La mafia du chocolat, tome 1

En tant qu'adoratrice absolue du chocolat, je suis forcée d'avouer que ce livre se devait de passer entre mes mains. le chocolat, illégal ? Mais quel cauchemar, quelle horreur !!
Le sujet et le résumé me semblait prometteur, mais hélas ce ne fut pas à la hauteur de mes attentes. Alors le livre se lit vraiment rapidement, en quelques heures à peine, et j'ai envie de dire tant mieux ! Parce que passer plus de temps en compagnie de Anya Balanchine ne m'enchantait pas plus que ça..

Franchement, au niveau de l'histoire, ce n'est pas ce à quoi je m'attendais. A mes yeux ce n'est pas réellement une dystopie comme on pourrait s'y attendre. C'est plutôt un remix du parrain, plus basé sur les pseudos problèmes familiaux dans une mafia que sur les interdictions et restrictions en tout genre qui sont juste survolés au lieu d'être le sujet principal. Il ne se passe pas grand chose, c'est assez plat en fait. Ce n'est pas nul, ça se lit mais ce n'est vraiment pas transcendant.
Et pour en rajouter une couche, je n'ai vraiment pas accroché avec le personnage principal. Une jeune fille avec du caractère certes, mais lunatique au possible et très limite dans son comportement vis à vis des autres. Bref, une fille que j'aurai bien baffé pour lui remettre les idées en place xD. Les autres personnages sont bien plus sympathiques qu'elle !

Ce premier tome ne me laisse donc pas un excellent souvenir et je ne pense pas lire la suite. C'est vraiment dommage, je m'attendais à autre chose..
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On peut dire que Gabrielle Zevin joue dans l'originalité : alors que la plupart des dystopies connues se focalisent sur une histoire d'apocalypse future, elle préfère au contraire planter son décor en 2083 et faire passer en toile de fond la datation de l'histoire.

Bien qu'il soit vrai que le futurisme du livre soit omniprésent - c'est de lui que découle l'enquête principale du roman -, je ne l'ai pas vraiment trouvé dérangeant ni destabilisant. 70 années après notre ère, les êtres humains restent les mêmes, mais les règles de vie en société ont été modifiées : pénurie d'eau, il faut restreindre notre consommation ; interdiction de manger du chocolat, ce qui devient une denrée rare, tout comme les oranges, que le personnage Win présente religieusement à la protagoniste, Anya... Des restrictions qui soulèvent des questions de la part du lecteur, curieux de savoir pourquoi les hommes en sont arrivés à ce point-là. Hormis ces quelques règles, rien n'aurait pu faire penser au lecteur que l'histoire se déroulait en 2083.

En effet, l'histoire peut paraître banale. On y suit Anya, la fille d'un célèbre chef de gang, assassiné, qui prend soin de sa petite soeur, de son grand frère qui souffre de problèmes mentaux, et de sa grand-mère alitée. Beaucoup de responsabilités pèsent sur cette jeune fille, d'autant plus qu'elle doit gérer le regard que les autres portent sur son histoire familiale, les préjugés et remarques assassinent qui la poursuivent. le fait que son père ait été un mafieux tueur d'hommes rend les choses compliquées pour Anya : lorsque son ex-petit ami, Gable, tombe malade après avoir illégalement mangé du chocolat chez elle, c'est directement Anya qu'on accuse et qu'on enferme dans un centre de réeducation pour empoisonnement. Mais pour elle, rien n'est plus important que le fait de protéger les trois membres de sa famille. Elle craint même les autres Balanchine, qu'elle croit perfides, cruels, salissant d'autant plus leur nom de famille. Un jour, alors que son frère Léo obtient un emploi au sein de la famille, grâce au cousin Jacks, Anya s'inquiète des conséquences qui vont en découler.

Alors que la situation aurait pu paraître pesante ou confinée, les personnages ont le don d'apporter une touche de légèreté au récit. Gabrielle Zevin fait la part des choses dans son intrigue, en mettant en scène une histoire sombre d'empoisonnement, qui cohabite avec des situations d'adolescents plus légères (comme les bals auxquels participent les jeunes personnages). Rien n'est alors dramatisé : on ne ressent ni peur, ni joie... nos émotions sont comme figées ou catalysées.

Il est vrai que l'auteure fait l'apologie des liens familiaux, en plaçant Anya comme chef de file de sa petite famille, mais elle explicite aussi le déchirement au sein de cette même famille. En effet, les différends et les divergences d'opinions sont monnaie courante dans les ruptures familiales. Anya ne cautionnait pas les manigances de son père, elle n'est pas d'accord pour que son frère accepte l'emploi proposait par son cousin, qui lui-même, semble forcer la main à Léo.

Mais il est néanmoins assez compliqué de vous dire ce que j'ai ressenti en lisant ce roman, parce que je n'ai pas vraiment descellé d'actions spectaculaires, de scènes étonnantes, de situations particulièrement frappantes. Les personnages étaient attachants, certes, mais le noeud principal de l'histoire manquait de précision et de régularité. C'est comme s'il n'y avait quasiment pas d'histoire.

Le dénouement, quant à lui, était assez étrange. Ce n'est pas comme ça que j'aurais aimé que l'histoire se termine. le lecteur reste en suspens, destabilisé par cette fin, à la fois surprenante, mais décevante.
J'ai aussi appris qu'un second tome, La famille du parrain était sortie, qui faisait suite à ce premier opus. S'il s'avérait que je devais le lire, j'espère de tout mon coeur que ce livre-ci serait bien plus étoffé que La mafia du chocolat.

Comme vous l'aurez compris, mon avis sur ce livre est très mitigé. J'ai beaucoup aimé les personnages mis en scène, mais l'histoire en elle-même ne tient pas debout, elle est comme vide, elle ne reflète rien. Je ne peux pas dire que j'aie été déçue, mais pas loin...
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A 16 ans , Anya Balanchine a déjà un lourd passé derrière elle : une mère tuée dans une attaque qui visait son père (et qui a gravement blessé et diminué son frère), un père quasiment assassiné sous ses yeux et ceux de sa soeur, sans compter une grand-mère grabataire et une famille envahissante. Car oui, Anya Balanchine est la fille de feu le parrain de la mafia du chocolat, illégal en 2083. Et s'y tout ça ne suffisait pas : un ex-petit-ami empoissonné par des chocolats Balanchine, des luttes internes , et l'amour. Problème : c'est le fils du nouvel et ambitieux procureur de New-York. Et maintenant, on fait quoi ?
Je ne suis pas entièrement convaincue par le roman. Les personnages sont bien campés, notamment Anya, Leo et Charles Delacroix. Mais j'ai trouvé que cela manquait un peu de rythme, la mafia n'est pas très présente (Anya a tout fait pour l'éviter en même temps. Mais la famille, parfois, ça colle) Cependant, la fin ouvre des possibilités pour le tome 2.
A voir, donc

Le début de ce roman jeunesse est très lent et il ne s'y passe rien d'intrigant ni même quelque chose qui donne envie de poursuivre la lecture. D'ailleurs, j'ai bien failli l'arrêter après quelques chapitres. Ce qui m'a empêchée de le faire, c'est que j'avais déjà lu deux romans de l'auteure, Gabrielle Zevin, et que je les avais beaucoup appréciés (Une vie ailleurs et Je ne sais plus pourquoi je t'aime). Ce dernier - il ne faut pas se fier au titre un peu mièvre - m'avait beaucoup touchée et je l'avais trouvé très bien écrit et original. C'est grâce à cela que j'ai continué l'histoire de la mafia du chocolat. Je n'ai pas regretté d'avoir fini le roman, car il devient plus intéressant lorsque le récit avance. Toutefois, il manque un petit quelque chose au roman pour provoquer une réelle passion chez le lecteur. Peut-être ce premier tome est-il seulement une mise en place des personnages et du contexte afin de camper l'action et l'intrigue dans les deux autres tomes? le personnage principal est vraiment intéressant, ainsi que le milieu "mafieux" dans lequel elle évolue. Bref, ce roman est tout de même satisfaisant, néanmoins je ne crois pas avoir été assez intéressée pour lire la suite.

Si je devais résumer mon avis en un mot, ce serait mouais. le tome 1 de la mafia du chocolat (All these things I've done pour le titre original, tellement plus joli !) est un bon moment de lecture, agréable et plaisant. L'intrigue autour de la mafia est plutôt bien conçue, le personnage d'Anya tient la route et a du caractère ; par contre le choix de l'univers dystopique m'a laissée carrément perplexe. Toute la facette anticipation (le roman se déroule en 2083) n'apporte rien à l'histoire, qui aurait tout à fait pu rester dans un contexte historique réel, puisqu'il n'est pas difficile de repérer les allusions à la Prohibition ou à d'autres cadres similaires. de là à penser que ce choix arbitraire et inutile de la dystopie permet à la fois de reprendre librement des éléments de la Prohibition sans avoir à se taper toutes les recherches qui auraient nécessaires pour s'appuyer sur une documentation solide, tout en surfant sur la vagues de romans ado à la mode, ça serait être bien mauvaise langue, n'est-ce pas ? Ecartons donc ces vilains soupçons et passons donc à ce qui m'a réellement posé problème. J'ai été très déçue par l'écriture, que j'ai trouvé fluide mais très neutre, sans saveur particulière, sans les petites réflexions philosophiques et le style un peu plus poétique qui m'avait tant plu dans les deux autres romans que j'ai lu de l'auteure (Je ne sais plus pourquoi je t'aime et Une vie ailleurs). L'ensemble du livre est vraiment très marqué par le style de narration habituel des romans Young Adult comme il y en a des dizaines, et je le regrette beaucoup car à mon sens, les précédents titres de Gabrielle Zevin se détachaient du lot en grande partie grâce à son style d'écriture.
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Cette histoire se déroule à New-York en 2083. Vous devez penser que ce doit être super le futur ... Mais je vous affirme que NON, en effet tous produits à base ou contenant du cacao (café, chocolat, etc) est strictement interdit.

Anya la fille du parrain du chocolat Balanchine va être au coeur d'un complot. Son père étant mort c'est son oncle qui gère l'affaire Balanchine. Anya est donc en possession de chocolats. Un jour son ex petit ami fut intoxiqué à cause de la tablette qu'elle lui avait donné. Elle fut emprisonnée durant son séjour en prison elle eut le temps de réfléchir à qui lui avait fait ça ... sa famille? ... une autre mafia? En plus de cela sa grand-mère venait de mourir, son frère est influencé par la mafia et elle est tombée amoureuse du fils du procureur général.

Bon je vais m'arrêter ici pour vous laisser découvrir le livre!!!!

Juste une chose, ce livre est bien car il joue beaucoup sur les sentiments et le suspense.

TGL

Nous voilà plongés en 2083, une époque où le chocolat est prohibé. Une histoire bien ficelée et qui se lit bien même si ce n'est pas le chef d'oeuvre.

C'est une collègue qui m'a conseillé cette trilogie. Rien que le titre est déjà intrigant, étant donné que j'adore le chocolat. Je suis incapable de m'arrêter à juste un carré, quand je commence une tablette, je la mange en entier!


Donc un titre comme La mafia du chocolat ne pouvait que m'interpeller!

Mon souci est que je commence à en avoir un peu assez des sagas jeunesse à rallonge. J'ai vraiment l'impression que la moitié des romans jeunesse qui sont édités en ce moment sont des séries. J'ai donc tendance à vérifier que la série est bien terminée avant de me lancer. La mafia du chocolat est donc une trilogie terminée!


Je dois avouer que j'ai beaucoup traîné à faire cette critique, parce que j'espérais lire le troisième tome rapidement pour pouvoir les regrouper sous une seule critique! Hélas, le troisième tome n'est pas encore sorti en France, je l'attends avec impatience, mais j'en ai eu un peu assez de voir traîner cette critique dans mes brouillons!


Ces romans sont une sorte de dystopie, puisque l'histoire se passe dans un futur assez catastrophique : Même si c'est loin d'être aussi apocalyptique que Les Ferrailleurs des Mers, le monde où Anya vit n'est vraiment pas rose : l'eau est rationnée, les voyages presque inexistants pour le commun des mortels, la délinquance à son apogée, manque d'électricité et de moyens, couvre-feu obligatoire, marché noir et interdiction de chocolat.


Pouvez vous imaginer cela? Interdiction du chocolat! On a l'impression de retourner en arrière, au temps de la prohibition aux Etats-Unis, où l'alcool était interdit. Et ici, ce sont à peu de choses près les mêmes raisons : nocifs, mauvais pour la santé…


Et bien évidemment, comme au temps de la prohibition, les gens ont vu qu'il y avait un moyen de se faire de l'argent (beaucoup d'argent!) et une mafia, ainsi qu'un marché noir se sont organisés. Et quelle mafia!


Anya est donc la fille de ce "parrain" du chocolat. Parrain qui a été assassiné il y a plusieurs années. Anya a retenu la leçon et elle ne veut qu'une seule chose, avoir une vie normale. Elle essaye donc de passer au maximum inaperçue, son oncle ayant repris le flambeau de l'affaire. Mais Anya n'est plus une petite fille à présent, elle a presque 16 ans, est donc considérée comme une adulte et doit prendre ses responsabilités.
Elle est considérée comme la successeur de son père, à la tête d'une immense fortune (et d'un immense trafic illégal!). Que faire, alors qu'elle ne le désire absolument pas?



Tome 1

Ce tome sert vraiment à mettre l'intrigue en place : On nous explique la situation, les personnages principaux et secondaires et très rapidement, on se plonge dans l'action. L'histoire est assez passionnante d'ailleurs!


Commençons déjà à parler d'une chose : Anya. L'auteure a réussi à faire un personnage principal assez extraordinaire! Elle est plutôt une personne très agréable à suivre, intelligente, pas naïve du tout, mais continuant tout de même à avoir parfois des réactions digne d'adolescentes. Je me souviens m'être dit qu'elle faisait un personnage très crédible!


L'autre point positif est que les personnages secondaires sont plutôt nombreux et très bien développés! Ils ne sont pas là juste pour meubler.

Par contre, quand on en vient à Win, rien à dire…il est mignon, assez attendrissant, mais aussi assez plat pour le moment je trouve. Il dit oui à toutes les bêtises qu'elle fait et il est tellement parfait que cela en est lassant…Les passages entre eux sont mignons, mais c'est de la romance d'adolescent, donc sympathiques au début, un peu gonflant au fil du temps…

Anya a de toute manière tellement de problèmes pour faire confiance aux gens et pour se confier que toute histoire d'amour semble assez compromise. J'ai beaucoup aimé le père de Win par contre, un personnage prometteur!


Anya reprend donc contact avec toute la partie de sa famille qu'elle évite soigneusement depuis des années. Elle est accusée de l'empoisonnement de Gable alors que les tablettes de chocolat lui était destinée à elle et bien évidemment, les ennuis ne s'arrêtent pas là. Qui essaye de lui faire du mal?

C'est donc un premier tome assez passionnant, il est difficile de ne pas avoir envie de continuer et de connaitre la suite!
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Une histoire très intéressante, je n'avais jamais lu de Livre sur la mafia de chocolat donc un bon point pour se livre.
J'ai trouvé assez rigolo que l'auteur nous adresse des petits mots, comme si elle s'adressait à un journal intime.

Bon le point négatif, c'est que le language es vraiment infantile, bon certes cela s'adresse aux jeunes à partir de 13ans, mais quand même, parfois c'est trop.
Les personnages sont bien décrits, attachants, et vraiment réaliste.

Une bonne dystopie pour les jeunes.

Une dystopie originale où le chocolat est prohibé !!! On y suit Anya, fille d'un parrain, qui doit lutter contre les préjugés afin de pouvoir s'occuper de sa famille et de sa vie.
Malheureusement, son ex petit ami se retrouve empoisonner. S'en suit alors pour Anya tout un lot de péripéties qui la mèneront dans le tome 2 jusqu'au Mexique....

De l'humour, des personnages attachants, une écriture fluide, un bon roman à suivre !