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EAN : 9782818966778
104 pages
Bamboo Edition (06/03/2019)
3.47/5   116 notes
Résumé :
Une plongée dans les eaux brûlantes du crime ! Dans les rues d'une petite station balnéaire, les putes tombent comme des mouches. Un premier cadavre, atrocement mutilé, est découvert, puis un second, brûlé au chlore. La série, pourtant, ne fait que commencer.
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Critiques, Analyses et Avis (36) Voir plus Ajouter une critique
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Assane NDiaye est inspecteur de police. Sa nouvelle affaire : Giorgia Bocelli, 17 ans, officiellement jeune fille au pair, officieusement entraineuse au Phare, dont le corps a été mutilé. L'affaire ne fait que commencer puisque un second cadavre est très vite retrouvé, cette fois-ci brûlé. Avec son collègue, Light, ils sont chargés de l'enquête. Qui peut ainsi en vouloir à des prostituées d'origine italienne ? En parallèle, Assane tombe sous le charme d'une jeune femme qu'il a rencontrée à la piscine. Bien que maladroit au début, il la convainc de partager un café avec lui... Ces deux événements, l'enquête et la rencontre, vont peu à peu déstabiliser l'inspecteur...

Zidrou et Laurent Bonneau, voilà une collaboration des plus inattendues ! le premier plus connu pour ses séries plutôt grand public, le second pour ses albums intimistes. Pour autant, Les brûlures est une réussite. Dès les premières pages, l'on est plongé dans une ambiance étrange et mystérieuse. D'un côté, l'enquête policière, de l'autre la rencontre amoureuse. L'une et l'autre se dévoilent petit à petit, à un rythme plutôt lent. Les sauts dans le temps interviennent brusquement, sans pour autant gâcher les scènes du présent. Zidrou fait montre d'une patience inouïe et nous surprend avec cet album singulier. Aussi, Laurent Bonneau, de par son trait épais et encré, ses lavis uniques et envoûtants, ses hachures ou encore ses fondus de couleurs, donne-t-il une profondeur et une dimension unique à ce récit.
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Ce tome contient une histoire complète, indépendante de toute autre. La première édition date de 2019. Il a été réalisé par Zidrou (Benoît Drousie) pour le scénario, et par Laurent Bonneau pour les dessins et les couleurs.

Dans une petite station balnéaire, Assane Ndiaye (surnommé Nutella) est en train de regarder la mer dorée par le soleil, derrière ses lunettes de soleil. Il est assis au comptoir d'une paillote et s'allume une clope en songeant qu'il y a toujours quelqu'un pour t'apprendre à nager, mais jamais personne pour t'apprendre à te noyer. La serveuse (avec un badge marqué Consuela, mais en fait c'est la robe de la précédente) lui demande s'il va se baigner. Au vu de sa réponse négative, elle lui propose de venir se baigner avec elle en fin de service. Inspecteur de police, Assane Ndiaye se souvient quand il s'est retrouvé à contempler le cadavre de Giorgia Bocelli, 17 ans, nue sur le plateau de la morgue, avec son tatouage Hello Kitty sur l'intérieur de la cuisse droite. C'était une entraîneuse travaillant au bar le Phare, à qui on a arraché 5 dents à vif et 3 ongles aux pieds. Il repense aussi à ses séances à la piscine, à cette belle nageuse en combinaison, avec bonnet et lunettes, sa façon d'enchaîner les longueurs, avec des demi-tours impeccables. Il se superpose l'image de la tête d'une femme maintenue de force sous l'eau d'une piscine privée, jusqu'à ce qu'elle s'asphyxie. 2 hommes la torturent pour lui arracher des informations. À un autre moment, Light (le collègue de Nutella) l'amène jusqu'à la piscine municipale.

À la piscine municipale, la belle nageuse arrive dans une robe à fleur. Dans le couloir, elle dit bonjour à Édith, une femme de 87 ans, déjà en maillot de bain, qui s'apprête à rejoindre le bassin. Celui-ci est très lumineux grâce à une grande baie vitrée, légèrement entrouverte, et un superbe vitrail non figuratif. La belle nageuse s'approche de son casier, alors qu'Assane est déjà en maillot. Il l'observe et la contemple à la dérobée. Il demande à Maïtena, la femme de ménage si elle la connaît. Cette dernière se moque de lui en disant qu'elle ne souhaite pas renseigner un flic. Light et Nutella se trouvent au bord du bassin de la piscine privée devant une magnifique demeure. C'est le jardinier et sa femme qui ont trouvé le corps d'Adriana Totti, 23 ans, celle à qui on a maintenu la tête sous l'eau, puis brûlée avec le barbecue à 2.500 degrés, puis achevée de 3 balles dans la tête. Nutella ne comprend pas comment Light peut être en train de manger un hamburger devant un tel spectacle. La barista sert son café à Assane, avec beaucoup de crème fraîche comme il l'a demandé. Elle lui fait observer qu'il n'a pas répondu à sa proposition de venir se baigner avec elle le soir.

Cette bande dessinée constitue une étrange lecture. Cela commence comme un polar bien noir avec ces assassinats sadiques, avec un inspecteur désabusé, à qui il manque une forme d'envie ou d'entrain. Dès la première page, les dessins occupent une place prépondérante dans la narration, avec seulement 3 cases qui sont de la largeur de la page. le mode de rendu se focalise plus sur l'impression donnée par ce spectacle de soleil qui commence à décliner, que sur les détails concrets de la plage, de la mer, ou des nuages. le lecteur ressent que cette page est en phase avec l'état d'esprit d'Assane Ndiaye, que son état d'esprit colore la manière dont il perçoit ce qui l'entoure. Il s'agit donc d'un polar où l'enquête est indissolublement liée à l'environnement dans laquelle elle se déroule, mais aussi à la personnalité de celui qui la mène. Il faut un peu de temps au lecteur pour se rendre compte que toutes les scènes ne se déroulent pas dans un ordre chronologique, et qu'il y a au moins 2 fils chronologiques qui s'entremêlent. Cette construction narrative ne gêne en rien la compréhension du récit, le lecteur se rendant compte qu'une partie de ce qu'il découvre constitue des souvenirs qui reviennent à l'esprit du personnage principal, ou des éclairages sur une sensation, une émotion.

Le lecteur se laisse donc emmener par ce savant désordre chronologique et accompagne Assane Ndiaye à la morgue ou sur les lieux du crime. Les images montrent le corps dénudé de la première victime sur la table de la morgue, avec son étrange tatouage, une partie des coups portés à la deuxième victime, et mentionne la troisième victime. le lecteur observe les réactions des 2 inspecteurs : l'un blasé, l'autre affecté dans une mesure difficile à apprécier. Light semble compenser ce contact avec les pires exactions des êtres humains, en se gorgeant de sucre et de graisse, comme en atteste son obésité assumée. Une remarque en passant de Ndiaye permet de comprendre que l'accumulation d'horreurs lui pèse, et qu'il aspire à un autre métier. le scénariste fait le nécessaire pour étoffer un peu le personnage principal, indiquer qu'il est impliqué dans son métier, mais qu'il apprécierait que sa profession ne l'oblige pas à contempler les horreurs commises par les pires représentants de l'humanité. Au final, d'ailleurs, il le voit plus en train de draguer gentiment qu'en train de travailler. Au travers de la nageuse, Zidrou met en scène personnage féminin mystérieux, abîmé par la vie, ayant certainement accompli des actes répréhensibles. le lecteur se sent un peu moins concerné par l'enquête qui avance sans réelle difficulté, de cadavre en découverte d'indice bien pratique.

Le lecteur se prête d'autant plus volontiers au jeu de la construction du récit, que les planches font la part belle aux grandes images, avec 3 ou 4 cases par planche, et souvent des cases panoramiques de la largeur de la page. le lecteur commence par admirer ce début de coucher de soleil et le jeu de lumière qu'il génère. Par la suite, il découvre le bâtiment de la piscine dans un dessin en double page, puis le bassin de la piscine dans un dessin pleine page (p. 21). Il voit la voiture des enquêteurs sur l'autoroute dans un autre dessin en pleine page, p. 41. À 2 reprises, l'artiste représente la côte avec la mer, dans un dessein en double page, une fois de jour, une fois de nuit. Laurent Bonneau réalise lui-même sa mise en couleurs, en couleur directe, avec une approche oscillant entre naturalisme et impressionnisme. Lorsqu'il bascule dans ce deuxième mode, cela a pour effet d'installer une ambiance qui entre en résonance avec l'état d'esprit du personnage principal, sa manière d'être songeur, de ressentir un affect particulier. le lecteur se rend aussi compte que l'artiste utilise aussi l'aquarelle pour saisir avec une exactitude surnaturelle l'impression que produit la masse d'eau dans le bassin de la piscine, le jeu des lumières, mêlant de manière étonnante des éléments descriptifs précis, avec une colorisation rendant compte de sensations.

Laurent Bonneau joue sur le degré de précision des traits de contour, de manière à s'adapter à la nature de la scène, à mettre en avant plutôt une représentation descriptive, ou plutôt une représentation d'impression, de sensation. En fonction de la sensibilité du lecteur et des scènes concernées, le résultat peut être extraordinaire, ou juste correct. Par exemple, en pages 9 & 10, 4 cases montrent l'intérieur d'une boîte de nuit. Les traits de contour se font un peu plus lâches et imprécis, avec une colorisation jouant sur des tons verdâtres et violets pour rendre compte de l'éclairage tamisé. le lecteur a l'impression de se tenir aux côtés des protagonistes dans cette ambiance feutrée. Les sensations sont encore plus immergeantes quand la mystérieuse nageuse plonge dans le bassin dans une savante structure de cases sur 2 pages, en pages 14 & 15. L'impression devient plus mitigée quand le dessinateur se contente de 3 cases de la largeur de la page, avec uniquement des têtes en train parler, comme la discussion entre Nutella et Light en page 61. Les camaïeux en fond de case n'apportent pas grand-chose en termes d'émotion et les 3 cases semblent assez vides en termes narratifs.

Le lecteur tombe sous le charme de très belles pages, et ne prête pas forcément une grande attention au mélange des fils chronologiques, d'autant que les informations sont dispensées avec parcimonie et que l'incidence d'un fil sur l'autre n'est pas patente. Sans qu'il s'en désintéresse, il se dit que cet entrelacement est plus une technique pour rythmer la narration par des séquences courtes de nature différente, plutôt qu'un jeu de réponses les unes entre les autres, pour faire ressortir des points communs ou des oppositions. Ayant achevé sa lecture, il comprend mieux pourquoi Zidrou a choisi cette structure qui se révèle plus complexe que prévue, transformant l'enquête en une histoire à chute, dont l'effet est rétroactif. le scénariste a réussi un exercice de style périlleux, sans perdre son lecteur, en jouant sur une juxtaposition lisible qui cache bien son jeu.

En ouvrant cette BD, le lecteur n'est pas trop sûr de ce qui l'attend : une enquête sur des meurtres sordides, en bord de mer. Il commence déjà par apprécier la qualité picturale de la narration visuelle, avec des pages aux couleurs envoûtantes. Il suit une intrigue assez linéaire, étrangement réarrangée en plusieurs fils temporels. Il savoure le plaisir visuel de lecture en ressentant un début d'affection pour Assane Ndiaye. Il s'incline devant l'habileté de la structure du scénario, tout en ressentant un effet exercice de style un peu artificiel.
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J'apprécie de plus en plus de lire des romans graphiques, et j'ai dévoré : Les Brûlures de Zidrou (scénario) et Laurent Bonneau (dessins et couleurs).
Dans les rues d'une petite station balnéaire, les putes tombent comme des mouches. Un premier cadavre, atrocement mutilé, est découvert, puis un second, brûlé au chlore. La série, pourtant, ne fait que commencer...
Les Brûlures est un roman graphique très noir, un polar qui ne plaira pas à tout le monde mais que j'ai trouvé bien ficelé.
Je n'ai pas toujours accroché aux graphismes, j'ai peu l'habitude de lire ce genre de roman graphique et les dessins sont parfois trop réalistes pour moi. Je préfère imaginer que voir, du coup les femmes mortes ont parfois l'air un peu trop mortes pour moi !
Mais c'est réaliste, l'histoire est très bien ficelée, les graphismes réussis de même que la colorisation.
Parfois, c'est un peu brouillon, on est dans le flou, ce qui correspond à l'état d'esprit de l'enquêteur. Je me suis un peu perdue par moment, mais l'ensemble m'a plu malgré tout.
Pas de coup de coeur mais une découverte intéressante à qui je mets trois étoiles et demie :)
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Une petite cité balnéaire. Des putes. Les deux se marient plutôt bien, non ?
Est-ce encore le cas lorsqu'on retrouve une jeune prostituée, Giorgia Bocelli, 17 ans, sensée être jeune fille au pair, travaillant en réalité comme entraîneuse au « Phare », morte, défigurée après avoir subi d'atroces souffrances, cinq dents arrachées à vif et trois ongles de pieds ?
Quelques jours plus tard, « Miss Barbecue », 23 ans, Adriana Totti pour l'état-civil, est retrouvée atrocement brûlée. Italienne, comme la première victime. Sera-ce la dernière ou la série ne fait-elle que commencer ? Qui leur en voulait à ce point pour les torturer de pareille manière ? Pour l'inspecteur, Assane Ndiaye, « Nutella » et son co-équipier « Light » impossible de croire qu'il s'agit là juste de crimes sadiques… On a voulu faire « parler » ces filles ? Mais que voulait savoir celui qui les a ainsi torturées ?

Critique :

Boum ! Dès les premières planches le lecteur non averti se ramasse un coup de massue sur la tête dont un Neandertal n'aurait pas désavoué la finesse ! Vous refermez le livre et vous allez relire sur la couverture le nom de l'auteur… Zidrou ! … LE Zidrou ? … Apparemment, oui, on n'en connaît pas d'autre… Là, il a quitté sa « zone de confort ». Un polar dur ! Non seulement par le récit, mais également par le trait de Laurent Bonneau (amusant nom pour un dessinateur dont une bonne partie des planches se passe dans la piscine ou à la mer – dans l'amer). La violence du trait et des lavis désarçonne. Je n'en suis toujours pas revenu : dois-je faire Beurk ! Beurk ! Beurk ! tellement le trait diffère de ce que je vois habituellement en BD ou dois-je crier au génie ? Un peu des deux, mon fils ! C'est un album dérangeant. Voilà qui conduira certains à parler d'art. Pas si artistique que cela car « je ne trouve pas ça beau », diront d'autres… Et voilà ! le débat est lancé.

Ce qui me perturbe, c'est le découpage du récit que je trouve quelque peu brouillon, côté brouillon accentué par le trait de Laurent Bonneau. Bref ! C'est un livre à lire qui ne ménagera pas votre sens critique et suscitera admiration ET perplexité chez beaucoup d'entre vous, voire même du dégout.
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« Les Brûlures » est un roman graphique assez nébuleux qu'il faut laissé venir avant de vraiment comprendre où l'histoire cherche à nous emmener. Ce polar très noir ne plaira pas à tous les lecteurs mais saura sans doute parler à ceux qui l'accueilleront tel qu'il est sans en réclamer plus.

Comme toujours, Zidrou nous propose une aventure énigmatique qui, tout en faisant écho à certaines de ses oeuvres, se trouve diamétralement opposée, par son ton ou sa forme, à certaines autres. Cet auteur est, en effet, capable d'écrire de simples gags en une planche totalement hilarants comme dans ses titres tels que « Lélève Ducobu » et « Tamara » ou de magnifiques romans graphiques tels que « bouffon » (que je vous recommande particulièrement), « Horizontale » et « L'obsolescence programmée de nos sentiments ».

Le travail graphique est assez déstabilisant mais trouve très vite tout son sens. Cette impression de flou, de vision brouillée, correspond parfaitement à l'état d'esprit de l'inspecteur qui nous raconte cette histoire. Son esprit embrouillé saute parfois d'un récit à l'autre, d'une époque à l'autre, sans que le lecteur ne s'en rende vraiment compte. Mais, comme je le disais au début de cet avis, tout fini par s'éclairer et par devenir limpide en fin d'album.

Il faut donc faire preuve de patience pour apprécier pleinement ce titre étrange et pénétrant. Les gouts et les couleurs ne se discutent pas. Il en ira de même de l'opinion de chacun sur ce roman graphique. Pour ma part, j'ai ressenti un malaise assez violent au cours de ma lecture, mais ai finalement trouvé une fin satisfaisante au bout de ma lecture.

Je laisserais donc chacun libre de son ressenti et de son opinion à propos des « Brûlures ». Si vous êtes déjà un fervent lecteur des romans graphiques de Zidrou ou si le résumé, ou même simplement la couverture, vous interpelle : n'hésitez pas à lire cette bande dessinée qui ne vous laissera certainement pas de marbre.
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critiques presse (3)
Bedeo
10 avril 2019
Une histoire qui nous offre le plaisir de prendre son temps, d’installer un écoulement des situations en nous permettant de voir les grains de sable du sablier tomber un à un, tout en nous immergeant assez pour nous empêcher de voir le schéma global. Et c’est tant mieux !
Lire la critique sur le site : Bedeo
BDGest
12 mars 2019
Une enquête peut en cacher une autre. C'est le cas dans ce récit complet au sein duquel l'auteur laisse ses personnages se dénuder, affichant tour à tour, leurs forces et leurs faiblesses. Après L'Adoption et Merci, Zidrou bouscule l'archétype du polar [...] Sans réussir à mettre le feu, Les Brûlures parvient toutefois à attiser l'intérêt et maintenir la flamme allumée jusqu'à la dernière page.
Lire la critique sur le site : BDGest
ActuaBD
04 mars 2019
En s’attaquant au genre polar, il [Laurent Bonneau] confirme à coups d’encre de chine, de mine de plomb et d’encre colorée son entrée dans le cercle, assez restreint, des dessinateurs dont le langage sublime le récit qu’ils supportent.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (33) Voir plus Ajouter une citation
Les sirènes retournent toujours dans la mer. Elles plongent au plus profond des abysses pour qu'on les oublie. Mais c'est peine perdue : la mer, à chaque marée, nous rapporte un souvenir d'elles...
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La vie, c'est comme la piscine.
Il y a toujours quelqu'un pour t'apprendre à nager.
Mais va t'en trouver quelqu'un pour t'apprendre à te noyer !
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- Et toi, Light, pourquoi t'as fait flic ?
- Je te l'ai déjà dit : je ne suis pas une lumière... Alors, le gyrophare, ça compense !
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La vie, c'est comme la piscine...
... si tu ne sautes pas dans l'eau, ne compte pas sur elle pour venir à toi.
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La vie, c'est comme la piscine : il faut savoir se mouiller. Si je vous disais qu'il m'a fallu 39 ans, un divorce et une solide dépression pour le comprendre…
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