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Les nouvelles enquêtes de Ric Hochet tome 1 sur 6
EAN : 9782803635597
56 pages
Le Lombard (29/05/2015)
3.76/5   34 notes
Résumé :
Deux ans après son évasion, Caméléon est de retour à Paris. Grâce à la chirurgie et à des mois d'entraînement, il est devenu la réplique exacte de son vieil ennemi : Ric Hochet.
En prenant sa place, il va bouleverser son univers.
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Ric Hochet, tome 1 : Traquenard au Havre par Tibet

Ric Hochet

Tibet

1.92★ (3926)

78 tomes

Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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le thème du double, du sosie, est un classique de la bande dessinée. On se souvient par exemple de Mad Jim, le sosie de Lucky Luke, et de Latraviata, le sosie de Falbala… Et j'arrêterai là car je suis un peu à cours d'exemples, merci par avance de m'en envoyer d'autres (faute de quoi, je devrais bien le reconnaître, mon intro est un peu foireuse…).

A l'exception des dédoublements tactiques opérés par Mandrake le Magicien, on constate, à chaque fois, que le double est un personnage sans scrupules qui cherche à nuire au gentil héros, en prenant sa place, en salissant son image, en procédant à maintes actions pendables que la morale réprouve.

C'est le cas ici. Ric Hochet est aux prises avec le Caméléon, personnage déjà rencontré dans la série, qui, comme le suggère son surnom, est capable de revêtir plusieurs apparences, y compris celle de Ric. Et ce n'est rien de dire que dans cet album, il ne s'en prive pas. Il parvient même à prendre sa place dans presque toutes les planches, et son entourage n'y voit que du feu. Même sa petite amie Nadine tombe dans le panneau, et semble métamorphosée sous son charme (voir plus loin). C'est dire si la ressemblance est parfaite.

Il était logique que Zidrou choisisse le Caméléon comme source d'inspiration pour un premier scénario dans la continuité de l'oeuvre de Tibet, décédé en 2010. “Signé Caméléon” – inclus dans l'album “Traquenard au Havre” – était le premier épisode de la série publié en 1964. La scène finale où l'on voit Ric Hochet récupérer un avion sur le toit d'un immeuble est la scène d'introduction du quatrième album de la série "L'Ombre de Caméléon". L'histoire présentée ici s'intègre donc chronologiquement dans la série d'origine, et nous sommes au tout début du parcours de Ric Hochet, précisément en mai 1968, comme le prouvent de nombreux indices disséminés dans la BD. A ces indices s'ajoutent les meubles, les costumes, les véhicules… typiques de l'époque des sixties et montrant une réelle volonté des auteurs Zidrou et van Liemt de peaufiner leur reconstitution.

Passons maintenant en revue les grandes différences avec la série d'origine. J'occulte les détails afin de ne pas trop spoiler les sujets abordés. A déflorer uniquement si consentement mutuel.

1. le style graphique de Tibet, tendance ligne claire, n'a pas été respecté.


2. le changement de ton est manifeste. le héros de la série n'en mène pas large et semble être totalement dépassé par les événements. Les distances prises par rapport à la série d'origine sont nombreuses.


3. Nadine n'est plus l'oie blanche que l'on connaissait.


La cible de cette BD est-elle finalement le jeune lecteur actuel ? Ou le vieux lecteur nostalgique de la série initiale, à la recherche d'anciennes émotions oubliées ? Ou bien les deux à la fois ? Les auteurs en voulant ménager la chèvre et le chou, font ici le grand écart.

Peut-être fallait-il, pour mieux se les approprier, désacraliser ainsi les héros. Peut-être fallait-il humilier le trop parfait Ric Hochet et passer par perte et profit la pudeur de Nadine, pour rendre les personnages plus acceptables aux yeux des lecteurs d'aujourd'hui. Une fois admis les partis-pris des auteurs (et l'invraisemblance d'un scénario s'appuyant sur la possibilité de mettre au point un sosie parfait de Ric Hochet), l'impression générale concernant cette nouvelle enquête reste cependant très positive.

Le lecteur se laisse entraîner dans une intrigue suffisamment complexe et haletante, au scénario ponctué de passages certes plus violents et adultes que ce qu'aurait permis la série d'origine, mais qui ajoutent un peu de piment à l'action. La machination du Caméléon destinée à assouvir son désir de vengeance est sans doute un peu trop tordue et alambiquée, mais elle permet de nombreuses opportunités de rebondissement, et, par ricochet (mouais), assure le respect des fondamentaux : les bons finissent toujours par reprendre le dessus.

Le défi à relever était particulièrement ambitieux. Il n'était pas facile, en effet, d'endosser des habits vieux de cinquante ans (rappelons que la série a été lancée en 1964) et d'en faire une série plus moderne, plus violente, adaptée aux goûts actuels des jeunes lecteurs habitués aux émotions fortes. Alors, R.I.P. Ric ? Non ! Visiblement, Ric n'est pas encore mort ! Longue vie à Ric sous la plume décomplexée de ses nouveaux pères adoptifs !

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Si, comme tout le monde, j'ai succombé à la mode des romans graphiques, one shots violents et comics en tout genre depuis quelques années, je ne trouve rien de plus agréable que de replonger de temps en temps dans les séries de BD franco-belges que je lisais lorsque j'étais jeune. J'ai toujours eu un faible pour la ligne claire, les dessins colorés et les aventures souvent exotiques que nous proposaient les auteurs de cette école de BD.

Je n'en garde pas un souvenir impérissable mais je me souviens que Ric Hochet faisait partie de ces BD que je lisais adolescent. Une série policière avec, comme toujours, le plus innocent des héros, un reporter qui combat le crime sans jamais sortir de pistolet. Un pitch à la Tintin avec néanmoins un ton beaucoup plus sombre que dans les aventures du célèbre reporter du Petit Vingtième. Il me semble que ses aventures se déroulaient surtout le soir et souvent dans des coins assez glauques.

La série s'était arrêtée en 2010 suite à la mort du regretté Tibet. C'est donc avec joie que j'ai découvert la couverture rouge sang contenant de nouvelles aventures de Ric Hochet qui renaît avec ce tome sous la plume et les crayons de Zidrouet Van Liemt. La couverture est très belle et renferme quelques indices quant à l'intrigue.

L'intrigue justement. Sans trop en dévoiler disons qu'il s'agit d'une sombre histoire de vengeance initiée par un vieil ennemi de Ric Hochet -identifié dès les premières pages- bien décidé à lui prendre sa place pour mieux le faire tomber. L'action se passe dans les années 1960.

Rien de follement renversant mais on suit l'intrigue avec grand plaisir. L'originalité de ce tome repose sur le fait que le narrateur du récit est le méchant en personne, ce dernier tenant d'ailleurs le rôle principal. Ce choix des auteurs est intéressant mais ne manquera pas d'en agacer certains. Quand on lit une aventure de Ric Hochet, c'est pour retrouver Ric Hochet et personne d'autre. Bien sûr, tout dans le récit nous rappelle à quel point le reporter est un détective hors pair et un garçon formidable. S'il a un rôle mineur, il occupe absolument tout l'espace, toutes les pensées. M'enfin, je fais partie de ceux qui se fichent un peu de la légende de Ric Hochet (d'autant que je suspecte une certaine ironie de la part des auteurs), et j'aurai préféré le voir un peu plus au combat.

J'imagine que ce choix a été motivé par l'envie des auteurs et de la maison d'édition de rappeler à un plus jeune public qui est Ric Hochet, tout en jouant à chaque page avec les souvenirs des plus vieux lecteurs. C'est donc probablement un parfait récit de transition mais sans doute pas sa meilleure enquête. On ne doute cependant pas une seule seconde que les auteurs ne seront pas capables de proposer de grandes aventures à l'avenir. Il faudra simplement qu'ils oublient leur héros, qu'ils cessent de rappeler sa grandeur pour le mettre véritablement dans l'action.

Une petite remarque au passage mais dites-moi si je me trompe : Je suis loin d'être choqué par l'apparition d'une femme nue dans les pages d'une bd, mais dans le cadre d'un aventure de Ric Hochet, de cette école de BD franco-belge, c'est très déstabilisant. Nous sommes certes à la fin des années 1960, en pleine libération sexuelle, mais cela m'a semblé un peu forcé. D'autant que les auteurs insistent quelques pages plus loin pour nous montrer la même jeune femme (Nadine) topless sur la plage. Plus généralement, le ton semble hésitant : on trouve quelques vieilles expressions comme "Nom d'une pipe" mais aussi quelques termes anachroniques comme "biopic" ainsi que des phrases qui n'auraient figuré dans aucun album antérieur à celui-ci: "Elle est à croquer cette petite ! Je me demande si Ric l'a déjà..." le fait de ne pas prononcer le mot clef n'empêche aucun lecteur de le faire. Rien de grave, mais j'ai l'impression que les auteurs ont hésité entre le ton sérieux des aventures précédentes et une modernisation légèrement ironique de ses aventures, comme s'il fallait se moquer un peu de lui et proposer par ailleurs des choses plus "adultes" pour pouvoir proposer, aujourd'hui, un récit avec Ric Hochet comme héros.

Enfin, au delà de la couverture, le dessin, simple et coloré comme il se doit, est très beau. Mention particulière pour l'excellente -quoique rapide- séquence nocturne dans le jardin de Giverny.
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Ric Hochet et moi, c'est aussi une vieille histoire d'amour, une de celles qui a mal tournée au bout de plusieurs années.

Mon reproche était que ses aventures, qui surfaient souvent sur le fantastique ou le bizarre, avant de s'expliquer naturellement, devenaient de plus en capillotractées en ce qui concernait les résolutions.

Ces explications étaient généralement balancées dans les dernières cases, à la va-vite, ou dans les derniers phylactères, à la manière d'un qui aurait failli oublier d'expliquer le comment du pourquoi à ses lecteurs… Je suis souvent restée dubitative devant ces explications qui n'éclairaient pas tout et pire, pour certains albums, il est demeuré des zones d'ombres.

Anybref, après le tome 57, j'avais lâché l'affaire, cela faisait trop longtemps que j'espérais un retour aux sources pour Ric et des explications moins vaseuses de la part de son scénariste.

Puisque la série repart avec deux nouveaux auteurs à ses manettes (R.I.P. Duchâteau et Tibet), je me suis dit que c'était peut-être l'occasion de tester à nouveau.

Verdict ? J'ai apprécié que l'on retrouve les codes de la bédé, comme le chat Nanar, les costumes de Ric (toujours les mêmes), un vieil ennemi (Caméléon), la touche d'humour avec le fait que les parents de Ric lui ont donné un nom débile et qu'il roule en bagnole de luxe alors qu'il est journaliste.

Les dessins sont bien réalisés, donnant un look rétro à Ric Hochet, comme dans ses premiers albums, lorsqu'il était jeune. Au vu des téléphones en bakélite posés à la rédaction du journal "La rafale", on comprend tout de suite que nous avons remonté le temps, style années 60 !

Effectivement, si j'avais pris la peine de lire le résumé de l'album avant ma lecture, j'aurais compris qu'il se déroulait 2 ans après l'évasion du Caméléon. 1968. Et comme j'ai monté ma chronique au fur et à mesure de ma lecture, vous avez mes impressions "à chaud".

Contrairement à l'original, exit la ligne claire, les couleurs sont plus sombres aussi, allant parfaitement avec le ton de l'album qui lui aussi est sombre, même s'il est parsemé de petites touches d'humour, avec le scénariste qui se moque gentiment, par la bouche du Caméléon, de toutes les qualités possédées par Ric et qui rendrait jaloux Sean Connery, de son côté boy-scout, séminariste, idole de la jeunesse…

Pour apprécier ce scénario, il faut mettre de côté qu'il est impossible à la chirurgie plastique de vous donner la tronche d'un autre, à un point de ressemblance que mêmes les proches s'y trompent (surtout en 1968).

De même pour la voix : même en travaillant avec un imitateur professionnel, il est impossible d'avoir la même voix que la personne remplacée. Oui, je pinaille un peu, je tenais à souligner la chose en passant. Ensuite, j'ai joué le jeu.

Par contre, je pense qu'il n'est pas très bon de laisser une personne pendue par les pieds trop longtemps… le coeur doit pomper contre la gravité terrestre pour faire circuler le sang dans les jambes, et cela représente une charge lourde pour cet organe.

Le risque devient donc grand que le pendu à l'envers ne décède ou n'ait des séquelles graves (dommages au cerveau et aux yeux en raison de l'afflux de sang à la tête)… David Blain l'a fait, mais c'est un cascadeur. Enfin bon, comme je le disais, je pinaille !

Là où j'ai vu rouge, c'est qu'ensuite… Je ne dirai rien de plus, mais voici que Zidrou arrive droit sur ma kill-list !!!

Les références aux premiers albums sont nombreuses, on retrouve des personnages déjà croisés, un autre bien réel, ce monsieur Ducastel qui ressemble à Duchâteau, le père littéraire de Ric.

Les lieux connus sont de la partie aussi, comme la villa des frères Gusbin, sur l'île de Porquerolles ou le toit des éditions du Lombard, à Bruxelles, avec la tête de Tintin et Milou…

Si vous connaissez l'univers, cela vous rappellera de bons souvenirs, dans l'éventualité où vous seriez vierge des aventures/enquêtes de Ric Hochet, cela ne vous posera aucuns problèmes et vous donnera peut-être envie de découvrir les premières aventures.

Durant tout l'album, la question qui se pose, c'est : comment tout cela va-t-il se terminer ? Quel coup foireux nous réserve le scénariste ? Va-t-il nous épater ou tout cela va-t-il finir en eau de boudin ?

Parce que bon, l'histoire de vengeance, c'est connu, du déjà vu des millions de fois et là, nous sommes dans une vengeance violente… Loin du raffinement de celle d'un Monte-Cristo (que personne ne reconnaît non plus, tiens…).

Ouf, pas d'eau de boudin, même si c'est un peu con de la part du Caméléon ce qu'il fait… Finalement, le but d'une vengeance, ce n'est pas ensuite s'assoir et regarder la/les personnes visées se débattre dans les emmerdes ? Non ? Sinon, où est le plaisir ?

Ce final est violent et plus sombre que dans les albums que l'on a connus, où les personnages importants ne souffraient pas de cette manière. Et où personne ne se baladait les nichons à l'air ou en slip…

Les nostalgiques des premières heures ne retrouveront pas le Ric Hochet qu'ils ont connu. Les atmosphères, les ambiances, le ton, tout cela est différent.

Dans les années 60, jamais les auteurs d'origine n'auraient pu se permettre une certaine scène. En 2015 (date de publication), cela ne choquera plus personne que la jolie et pudique Nadine s'envoie en l'air.

On dirait que cette bédé tente l'exercice difficile et périlleux du grand écart entre deux chaises : s'adresser à un nouveau public, en modernisant un peu la série, afin de les fidéliser et ne pas oublier de contenter les nostalgiques qui ont connu la saga à une lointaine époque (ou pas) et qui aimeraient retrouver Ric Hochet autrement qu'en relisant pour la 36ème fois ses albums.

Si vous voulez en profiter pleinement, faite une séparation pure et simple entre l'ancienne et la nouvelle série, parce que la nouvelle a un goût de Canada Dry© : ça pétille, c'est bon, c'est rafraîchissant, mais ça n'a ni le goût, ni tout à fait la même couleur que l'alcool !

À vous de voir ! J'ai bien envie de poursuivre afin de voir ce que me réserve les trois albums parus à ce jour.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Un nouveau Ric Hochet, on ne peut pas passer à côté. J'ai toujours aimé cette BD, que l'on pourrait parfois qualifier de kitsch, surtout dans les derniers albums qui, il faut bien l'avouer, ne sont pas du meilleur cru.

Néanmoins, la curiosité attisée par cette nouvelle aventure, j'ai eu la chance de recevoir RIP Ric via la dernière masse critique de Babelio.
On replonge à la fin des années 60, à l'époque du Caméleon, ennemi juré de Ric Hochet. Et le caméleon a soif de vengeance, il va même très loin pour nuire au détective reporter.

J'ai bien aimé : Zidrou dépoussière le mythe. le ton est plus moderne, les clins d'oeil sont foison, l'humour est bien présent. On sent une grande connaissance de la série. On retrouve aussi avec plaisir tous les personnages de la série. L'histoire est digne d'un Ric Hochet.

Cependant, quelques petits accrocs m'ont légèrement fait grincer des dents : Nadine. Mais que lui est-il arrivé ?? Franchement, l'écart est trop énorme. Je peux comprendre que l'album réponde à certains fantasmes de lecteurs sur la petite blonde aux yeux bleus, mais là, c'est limite et pas du tout respectueux du personnage inventé par Tibet et Duchâteau.

J'ai eu également un peu de mal avec le graphisme. J'ai aimé les décors, mais je préfère de loin la précision des dessins de Tibet.

Une lecture toutefois très sympathique. Il n'y a pas de doute : je vais continuer la suite des aventures de Ric.

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Ric Hochet renait de ses cendres. sous la houlette de Zidrou et Van Liemt, le célèbre journaliste revient dans de nouvelle enquêtes.

Les auteurs commencent par tuer le personnage de papier et le mythe en rapprochant Ric Hochet de notre mode de vie plus moderne tout au moins au travers de son double qui se moque de son nom, qui change sa garde robe et qui se la joue bad boy avec la petite amie de Ric qui ne semble d'ailleurs pas détester cela.

Pour le reste, l'histoire est bien construite. le double qui veut la mort du gentil est certes un classique, mais la petite machination n'est pas inintéressante et nous replonge dans un univers fin des années soixante.
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critiques presse (4)
ActuaBD
23 mai 2018
Au chapitre des reprises réussies dans le domaine de la bande dessinée, il faut mettre le « Ric Hochet » de Zidrou et Van Liemt au tableau, une version respectueuse et intelligente, qui manie la nostalgie et le second degré avec une maîtrise inégalée.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
BoDoi
11 juin 2015
Zidrou est un scénariste très malin. On ne l’attendait pas dans ce registre, mais il démontre son sens du dialogue et des situations, pour dépoussiérer un héros qui sentait la naphtaline à des kilomètres.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Sceneario
04 juin 2015
Un premier épisode alléchant qui conforte l’intemporalité du fameux Ric Hochet.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BDZoom
28 mai 2015
On n’aurait mieux fait pour rendre les personnages de Tibet et Duchâteau à leur fascinante et mémorable vie de papier.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
RIC : Tu sais, je me suis souvent demandé comment cet imposteur avait pu vous duper de la sorte.
NADINE (le rose montant aux joues) : Faut croire qu'il était vraiment bon...
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Une enquête réalisée à Londres montre qu'un quart des personnes interrogées croyaient que Winston Churchill et Dickens étaient des personnages imaginaires, tandis que Robin Hood et Sherlock Holmes avaient existé.
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Qui se risque à allumer un feu de camp au cœur de l'été doit s'attendre à devoir éteindre un incendie de forêt !
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Ce n'est pas moi qui remue le passé , c'est le passé qui me remue !
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Cela a dû vous couter des efforts considérables pour devenir mon double ?
La haine, mon cher Ric Hochet.
La haine est le meilleur des carburant du monde.
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