Thérèse Raquin

Thérèse à été élevée par sa tante pour épouser le fils de cette dernière, Camille, un homme frêle et malade. Thérèse rêve de courir et nager mais elle doit rester enfermée dans la maison a préparer des tisanes et à soigner Camille. Lorsque la famille déménage dans le passage Pont-Neuf, un lieux sinistre, elle ne le supporte plus. Bientôt elle rencontre Laurent, un homme qui agit sous le coup de ses pulsions. Elle devient son aimante, et Camille devient gênant dans leur relation, ce qui les amènent à planifier son assassinat.

J'ai dû lire ce livre pour mes cours mais je n'ai pas aimé...
Je pensais qu'il y aurait des mots compliqué mais pas tellement, cependant j'ai trouvé la lecture très longue... Il y a beaucoup de description, trop à mon goût.
L'aspect sombre, la folie de Laurent et Thérèse, que reflète ce livre ne m'a pas plu.
Ce livre, est basé sur la fatalité, de ce fait la fin était à prévoir, donc il n'y avait pas vraiment de rebondissements.
Pour finir, ce n'est pas le genre de roman que je lis habituellement, ce qui peut expliquer que je n'ai pas aimé.
Cela reste tout de même un classique qu'il est bon de lire.

Thérèse est mariée à son cousin maladif. Ils vivent dans les ténèbres et la monotonie la plus absolue? Survient Laurent, la passion, le crime. La folie qui s'en suit est décrite dans les moindres détails.

J'ai trouvé ce livre noir, sans une once d'optimisme. L'analyse des caractères est sans doute profonde, mais j'ai dû utiliser tout mon courage pour arriver à la fin de ce livre.

Je n'ai vraiment pas aimer!

Le seul roman de Zola que je n'ai pas aimé.
Ce passage où se déroule le livre est vraiment trop sinistre. J'ai trouvé l'atmosphère du roman un peu étouffante et je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages.
Néanmoins, il se dégage de ce roman une force indéniable et on en garde un souvenir marquant même sans l'avoir apprécié.

Contrairement au cycle des Rougon-Macquart, j'ai eu beaucoup de mal avec Thérèse Raquin. Certes j'admire le style et la force de Zola à camper des personnages hors du commun et tourmentés mais j'ai ressenti un certain malaise tout au long de ce roman. Tous les protagonistes du récit sont insupportables et j'en arrivais à espérer une séquence avec un petit rayon de soleil. Mais non, j'ai dû boire le calice jusqu'à la lie. Je ne peux évoquer un manichéisme quelconque car seul le mal existe, mais une certaine complaisance dans le sordide qui virerait presque au grand guignol.

Je n'ai pas aimé ce livre car l'histoire prend trop de temps à commencer, il y a une dizaine de chapitres pour présenter les personnages et leurs vies. Il y a aussi des chapitres longs où le personnage effectue seulement une action pendant une quinzaine de pages. Les chapitres sont mal répartis, il y a des chapitres seulement de deux pages et des chapitres très longs. La plupart de l'histoire raconte la terreur de Thérèse et de Laurent après le meurtre de Camille. Il y a des chapitres longs consacrés seulement à décrire les peurs et la terreur de Thérèse. Il y a très peu d'action à part le moment où Laurent fait tomber Camille de la barque. Après avoir lu les peurs des deux personnes, ils finissent par se suicider ensemble avec le poison qu'avait fait Laurent. Je n'aime pas cette fin car elle est trop simple, je m'attendais à plus.

Non mais quelle horreur ce livre ! Honnêtement à quoi servent les descriptions de cadavres ou de scènes "d'amour " entre Thérèse et Laurent ? On entre dans la noirceur humaine à un tel point qu'on ressent un dégout irréfléchi pour ce livre.
Ok peut-être que c'est du grand art, que je suis trop jeune ou que je n'y connais rien en littérature mais vraiment je n'ai pas aimé voir détesté ce livre.

Creux. Plat. Ennuyeux.
Le charme de la plume de Zola ne m'avait encore jamais atteinte... Et ce n'est pas avec Thérèse Raquin que cela commencera.
Les premiers chapitres étaient pourtant prometteurs : une mise en place de l'histoire claire et lisible, ne débordant pas des descriptions habituelles.

Et puis on avance dans le livre et ces descriptions plates qu'on croyait réservées aux premières pages restent, constituant le plus gros de l'histoire.
C'est un roman plat, qui ne fait rien ressentir. On peut comprendre son intérêt littéraire : deux amant prêts à tout qui se font avoir par leur passion. Mais toutes les descriptions sont vides, mêmes les meurtres auraient mérité d'être revus, puisqu'ils constituent ces passages qui auraient pu être intéressant. Alors que dans ce livre, le lecteur sait que cela être important, que ça change beaucoup de choses, mais il ne ressent rien, il le sait, c'est tout.

Cinq chapitres sur les trente deux suffiraient à raconter l'histoire, et le feraient peut-être même mieux...

Je ne dirais pas que c'est le meilleur Zola à faire lire au lycée...
Les personnages sont aussi peu attachants que possible et peu diversifiés (Thérèse, Laurent, Camille), pas un sourire n'éclaire la lecture... Aucun sentiment après l'avoir fini si ce n'est celui qu'un beau gâchis.

Une fois de plus un livre assomant avec un style lourd qui l'accompagne. L'histoire est franchement déprimante! Je l'ai lu pour le lycée mais la prochaine que je devrais le ressortir de son armoire se sera pour mes futures enfants qui devront le lire pour l'école. J'espère pour eux qu'ils n'auront pas à le lire car c'est une belle perte de temps!!

Comment dire... j'ai été trés décu par cet ouvrage de Zola, pour moi Jules vernes et Emile Zola sont des maitres à mille lieux des auteurs contemporains prosaiques et médiocres, mais ca c'était pour la Terre, pour l'Argent, Une Nuit d'Amour, Ce Thérese Raquin est d'un ennui indicible, je l'ai écouté en livre audio mais en livre papier il doit faire des centaines de pages pour un contenu qui se résume à quelques mots, une femme décide de tuer son mari pour mieux profiter de la vie avec son amant et s'en repent ensuite jusqu'au point de sombrer dans la folie. Répétitif, lourd, long, sombre, dépressif, je me demande combien de fois les mots "roides", "nerfs", "sang", "cadavre de camille"ont du etre utilisés, des répétitions sans aucun effet pour le lecteur que l'ennui, j'ai du lutter pour ne pas abandonner le livre, lutter pour essayer d'en apprécier le contenu, pour essayer d'y trouver le soit disant coté "osé" annoncé dans la préface de l'auteur, comment mon auteur fétiche et respecté a t il pu écrire un somme aussi imbitable : est pour faire ressentir cette petite vie étriquée des commercants de l'époque, pour dénoncer la conditions de la femme sans livre agir ni pensée au XIX ieme ? livre de commande ? épuisement créatif ? avez vous une idée ? cela faisait des années que je ne m'étais pas forcé à lire un livre jusqu'a sa fin comme celui la