D'une grande densité dramatique,
Cóndores no entierran todos los días dénonce les crimes perpétrés par Condor, chef de la faction conservatrice de Tulua dans la lutte qui l'oppose aux libéraux, à la suite de l'assassinat du candidat à la présidence Gaitan en 1948. Cette année aura marqué le début de la période dite "de la Violence" en Colombie et qui durera dix ans. Ce roman très bien écrit fait partie du mouvement littéraire colombien "littérature de la Violence" et invite à découvrir de l'intérieur un pays socialement et politiquement ravagé.
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