AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.73/5 (sur 63 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Thônes, Haute-Savoie , le 13/03/1933
Mort(e) à : Férolles-Attilly, Seine-et-Marne , le 05/05/2012
Biographie :

Jean Dufournet est un historien médiéviste et romaniste français.

Ancien élève de l’École Normale Supérieure (promotion 1954), il obtint son agrégation avec pour spécialité la grammaire, en 1957.

Il enseigne un an au lycée d'Arras, où il se passionne pour le rayonnement culturel de la cité médiévale, un autre à l'université de Rabat, et le voilà assistant à l'université de Clermont-Ferrand (1960-1964), avant d'être nommé à Montpellier où il fut successivement chargé d'enseignement, puis professeur (1964-1970) sitôt décroché le doctorat d’État ès lettres –pour une thèse consacrée à La Destruction des mythes dans les Mémoires de Philippe de Commynes (Droz, 1966).

Élu à la Sorbonne en mai 1970, il choisit la Sorbonne Nouvelle (Paris III) lorsque la vieille maison se scinde en obédiences plus ou moins ouvertes et libérales. Il y enseigne jusqu'à sa retraite en 1994. Chercheur infatigable, il publie plus de six cents articles, dirige une centaine de thèses, sillonne sans répit le globe où il est célébré partout en ambassadeur extraordinaire de la médiévistique française.

C'est aussi un formidable éditeur, co-dirigeant la séculaire revue Le Moyen Âge (Liège) comme La Revue des langues romanes (Montpellier). Chez l'éditeur Honoré Champion, il encourage tant la publication de thèses ou d'essais novateurs que la traduction de textes médiévaux oubliés.

Il a été directeur scientifique des éditions Champion-Slatkine, directeur de la Revue des langues romanes et codirecteur de la collection Bibliothèque du Moyen Âge. Commentateur, éditeur et traducteur des textes médiévaux, spécialiste de la poésie, du théâtre et de l'histoire du Moyen Age, il est l'auteur d'une cinquantaine d'ouvrages.
+ Voir plus
Ajouter des informations
Bibliographie de Jean Dufournet   (39)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
À celui qui voudrait tromper une femme, je tiens à faire savoir qu’il lui serait plus facile de tromper l’Ennemi, le diable dans un combat singulier.
Commenter  J’apprécie          90
Celui qui a toutes hontes bues,
peu lui importe ce qu'on peut lui dire ;
il laisse passer la moquerie
devant ses yeux comme les nuages.

Qui a toutes ses hontes beues,
Il ne lui chault que l'en lui die,
Il laisse passer mocquerie
Devant ses yeulx comme les nues.

Charles d'Orléans, p. 526
Commenter  J’apprécie          42
Rutebeuf

De l’Estat du Monde.

Ms. 7218.

----


Por ce que li mondes se change
Plus sovent que denier à change,
Rimer vueil du monde divers :
Toz fu estés, or est yvers ;
Bons fu, or est d’autre manière ;
Quar nule gent n’est mès manière
De l’autrui porfit porchacier,
Se son preu n’i cuide chacier.
Chascuns devient oisel de proie ;
Nus ne vit mès se il ne proie[1] :
Por ce dirai l’estat du monde,
Qui de toz biens se vuide et monde.

Relegieus premièrement
Déussent vivre saintement,
Ce croi selonc m’entencion.
Si a double relegion :
Li .i. sont moine blanc et noir[2],
Qui maint biau lieu et maint manoir

Ont et mainte richece assise,
Qui toz sont sers à covoitise.
Toz jors vuelent sanz doner prendre,
Toz jors achatent sans riens vendre.
Il tolent, l’en ne lor tolt rien ;
Il sont fondé sus fort mesrien[3],
Bien puéent lor richece acroistre ;
L’en ne préesche mès en cloistre
De Jésus-Christ ne de sa mère,
Ne de saint Pol, ne de saint Père :
Cil qui plus set de l’art du siècle,
C’est le meillor selonc lor riègle.

Après si sont li mendiant
Qui par la vile vont criant :
« Donez, por Dieu, du pain aus frères[4] ! »

Plus en i a de .xx. manières.
Ci a dure fraternité ;
Quar, par la sainte Trinité,
Li uns covenz voudroit de l’autre
Qu’il fust en .i. chapiau de faultre
El plus péreillueus de la mer :
Ainsi s’entraiment li aver.
Covoitex sont, si com moi samble :
Fors lerres est qu’à larron emble,
Et cil lobent les lobéors
Et desrobent les robéors
Et servent lobéors de lobes,
Ostent aux robéors lor robes.

Après ce que je vous devise,
M’estuet parler de sainte Yglise,
Que je voi que plusor chanoine
Qui vivent du Dieu patremoine
Il n’en doivent, selonc le livre,
Prendre que le souffisant vivre,
Et, le remanant humblement,
Déussent-il communément
A la povre gent départir ;

Mès il verront le cuer partir
Au povre, de male aventure,
De grant fain et de grant froidure.
Quant chascuns a chape forrée,
Et de denier la grant borsée,
Les plains coffres, la plaine huche,
Ne li chaut qui por Dieu le huche,
Ne qui riens por Dieu li demande ;
Quar avarisce li commande,
Cui il est sers, à mettre ensamble,
Et si fet-il, si com moi samble ;
Mès ne me chaut se Diex me voie.
En la fin vient à male voie
Tels avoirs, et devient noianz ;
Et droiz est, car ses iex voianz,
Il est riches du Dieu avoir,
Et Diex n’en puet aumosne avoir ;
Et se il vait la messe oïr,
Ce n’est pas por Dieu conjoïr,
Ainz est por des deniers avoir,
Quar tant vous faz-je à savoir,
S’il n’en cuidoit riens raporter,
Jà n’i querroit les piez porter[5].

Encor i a clers d’autre guise,
Que quant il ont la loi aprise
Si vuelent estre pledéeur
Et de lor langues vendéeur ;
Et penssent baras et cauteles,

Dont il bestornent les quereles,
Et metent ce devant derrière[6].
Ce qui ert avant va arrière,
Car quant dant Denier[7] vient en place
Droiture faut, droiture efface.
Briefment tuit clerc fors escoler
Vuelent avarisce acoler.

Or m’estuet parler des genz laies
Qui resont plaié d’autres plaies.
Provost et bailli et majeur
Sont communement li pieur[8],
Si com convoitise le vost ;
Quar je regart que li provost
Qui acenssent[9] les provostez,

Que il plument toz les costez
A cels qui sont en lor justise
Et se deffendent en tel guise :
« Nous les acenssons chièrement ;
Si nous covient communement,
Font-il, partout tolir et prendre
Sanz droit ne sanz reson atendre :
Trop aurions mauvès marchié
Se perdons en nostre marchié. »

Encor i a une autre gent,
Cil qui ne donent nul argent,
Comment li bailli qui sont garde ;
Sachiez que au jor d’ui lor tarde
Que la lor garde en lor baillie
Soit à lor tens bien esploitie,
Que au tens à lor devancier
N’i gardent voie ne sentier
Par où onques passast droiture.
De cèle voie n’ont-il cure ;
Ainçois penssent à porchacier
L’esploit au seignor et traitier
Le lor porfit de l’autre part :
Ainsi droiture se départ.

Or i a gent d’autres manières
Qui de vendre sont coustumières
De choses plus de .v. cens paires
Qui sont au monde nécessaires.
Je vous di bien veraiement
Il font maint mauvès serement,
Et si jurent que lor denrées

Sont et bones et esmerées
Tels foiz que c’est mençonge pure.
Si vendent à terme et usure ;
Vient tantost et termoierie
Qui sont de privée mesnie ;
Lors est li termes achatez,
Et plus cher vendus li chatez.

Encor i sont ces genz menues
Qui hesoingnent parmi ces rues
Et chascuns fet divers mestier
Si comme est au monde mestier,
Qui d’autres plaies sont plaié.
Il vuelent estre bien paié
Et petit de besoingne fère,
Ainz lor torneroit à contrère
S’il passoient lor droit .ij. lingnes ;
Néis ces païsanz des vingnes
Vuelent avoir bon paiement
Por peu fére, se Diex m’ament.

Or m’en vieng par chevalerie
Qui au jor d’ui est esbahie.
Je n’i voi Rollant n’Olivier ;
Tuit sont noié en .i. vivier,
Et bien puet véoir et entandre
Qu’il n’i a mès nul Alixandre.
Lor mestiers défaut et décline ;
Li plusor vivent de rapine.
Chevalerie a passé gales[10] ;

Je ne la vois és chans n’ès sales :
Ménesterez sont esperdu[11] ;
Chascuns a son donet perdu.
Je n’i voi ne prince ne roi
Qui de prendre face desroi,
Ne nul prélat de sainte Yglise
Qui ne soit compains Covoitise,
Ou au mains dame Symonie,
Qui les donéors ne het mie.
Noblement est venuz à cort
Cil qui done au tens qui jà cort,
Et cil qui ne puet riens doner
Si voist aus oisiaus sermoner ;
Quar Charitez est pieçà morte :
Je n’i voi mès nul qui la porte,
Se n’est aucuns par aventure
Qui retret à bone nature ;
Quar trop est li mondes changiez
Qui de toz biens est estrangiez.
Vous poés bien apercevoir
Se je vos conte de ce voir.
Commenter  J’apprécie          00
Bernart de Ventadour

troubadour du XIIe siècle (– vers 1190)

Amors, niquera.us preyara
que.m fossetz plus amoroza,
c’us paucs bes desadolora
gran re de mal ; e paregra
s’era n’aguessetz merce.
car de me no.us sove ?
mas e.m pes qu’enaissi.m prenha
coin fetz al comensâmen,
can me mis al cor la flama
de leis que.m fetz estar len,
c’anc no m.en detz jauzimen.

Mout vin a gran aliscara
et ab dolor angoissoza
selh cui totz tems assenhora
mala domna ; qu’eu m’estegra
jauzens, mas aissi m’ave
que leis cui dezir, no cre
qu’eu l’am tan c’a mi covenha
l’onors ni.l bes qu’eu n’aten ;
et a.n tort, c’als no réclama
mos cors mas leis solamen
e so c’a leis es piazen.


Totz tems de leis me lauzara.
s’era.m fos plus volontoza,
c’amors, qui.l cor anamora,
m’en det (mais no.m n’escazegra) :
non plazers, mas sabetz que ?
envey’ e dezir ancse !
e s’a leis platz que.m retenha,
far pot de me so talen,
molhs no fa.l vens de la rama,
qu’enaissi vau leis seguen
com la folha sec lo ven.

Tant es fresch’ e bel’ e clara
qu’amors n’es vas me doptoza,
car sa bentatz alugora
bel jorn e elarzis noih negra.
· · · · · · · · · · · · · · · · · · · ·
· · · · · · · · · · · · · · · · · · · ·
no.n die laus, mas mortz mi venha
s’eu no l’am de tot mo sen ;
mas domn’, Amors m’enliama.

que.m fai dir soven e gen
de vos manh ver avinen.

Doussa res, conhd’ et avara,
umils, franch’ et orgolhoza,
bel’ e genser c’ops no fora,
domna, per merce.us queregra,
car vos am mais c’autra re,
que.us prezes merces de me,
car teim que mortz me destrenha,
si pietat no.us en pren,
e s’eu mor, car mes cors ama
vos, vas eui res no.m defen,
tem que i fassatz falhimen.

Soven plor tan que la chara
n’ai destrech’ e vergonhoza,
e.l vis s’en dezacolora,
car vos, don jauzir me degra,
pert, que de me no.us sove.
e no.m don Deus de vos be,


s’eu sai ses vos co.m chaptenha,
c’aitan doloirozamen
vin com cel que mor en flama ;
e si tot no.m fatz parven,
nnlhs om menhs de joi no sen.
Commenter  J’apprécie          10
Cette leçon est sans équivoque : croyez-vous que, quelle que soit sa pauvreté, une honnête femme se dévergonde ? Non, elle se laisserait plutôt trancher la gorge avec un rasoir que de faire pour de l'argent quelque chose qui déshonore son mari.
Commenter  J’apprécie          30
Mais Erec l'aimait d'un si grand amour / Mes tant l'ama Erec d'amors
qu'il ne se souciait plus des armes / Que d'armes mes ne li chaloit,
et ne participait plus aux tournois. / Ne a tornoiement n'aloit.
Il n'avait plus envie de tournoyer ; / N'avoit mes soing de tornoiier ;
il préférait honorer sa femme / A sa fame aloit donoiier
dont il fit son amie et son amante : / De li fist s'amie et sa drue ;
il mettait toute son ardeur / Tot mist son cuer et s'antandue
à l'embrasser et à la couvrir de baisers ; / An li acoler et beisier ;
il ne cherchait pas d'autre plaisir . / Ne se queroit d'el aeisier.
Ses compagnons en étaient peinés ; / Si conpeignon duel en avoient
ils se lamentaient entre eux / Antr'aus sovant se demantoient
de ce qu'il l'aimait beaucoup trop. / De ce que trop l'aimoit assez.

p. 181
Commenter  J’apprécie          10
Blondel de Nesle
ltrouvère français (1155 – XIIIe siècle)

Cuers désirous apaie
Douçours et confors :
Et je d’amours veaie
Sui en baisant mors.
S’encor ne m’est autres donés,
Mar fui onques de li privés !
A morir sui livré,
Sé trop le me delaie.

Premier baisier est plaie
D’amours : en mon cors;
MouM’angoisse et esmaie,
Si ne pert défors.
Hélas ! pour quoi m’en sui vantés,
Quant ne m’en puet venir santés,
Si ce, dont sui navrés
Ma bouche ne rassaie.

Amours, vous me féistes
Mon fin cuer trichier,
Que tel savour méistes
En son doux baisier.
A morir li avez apris,
Sé plus n’i prend qu’il n’i a pris,
Dont m’est il bien avis
Qu’en baisant me traïstes.

Certes, molt m’atraisistes
Juène à cel mestier,
N’aina nului n’i vausistes

Fors moi ingénier.
Je suis le plus loiaua amis,
Qui oncques fust ; nus bien meris !
Hélas! tant ai je pis.
Amours, mar me nourristes.

Sé je Dieu tant amasse
Com je fais celi
Qui si me painne et lasse,
J’eusse ja merci.
Qu’ains amis de meillour voloir
Ne l’a servi pour joie avoir,
Com j’ai fair tout pour voir
Sans mérite et sans grasse.

Sé de faus cuer proiasse,
Dont je ne la pri,
Espoir je recouvrasse,
Mès n’est mie einsi.
Ne ja Diex ne me doint voloir
De li déçoivre sans doloir.
Ce me tient en espoir
Qu’amours blesse et repasse.
Commenter  J’apprécie          00
Bernard de Ventadour

Can lo dous temps comensa

Can lo dous temps comensa
E pareis la verdura
E.l mons s’esclair’ e gensa
E tot cant es, melhura,
Chascuna creatura
S’alegra per natura;
Eu sols fatz estenensa
De far envezadura.

En aspra penedensa
Sui, s’a lonjas me dura,
Qu’en tal ai m’entendensa,
Don nulhs bes no m’agura
Tot’ ai meza ma cura
En cor de peira dura ;
E sai que fauc falhensa,
Car non am per mezura.

En sa bela fachura
Ed en so clar vizatge


Paus tota ma rancura
Com en ric senhoratge.
Tant es de bel estatge,
Rich’ e de gran linhatge,
Qu’eu no cre, s’ilh o jura,
Refut mon omenatge.

E si.m tenh a tortura
Lo seu respos salvatge,
Sei olh m’en fan drechura,
Que.m son del cor messatge;
Qu’eu sai be per uzatge,
Qu’olh no celon coratge.
Sol aisso.m n’asegura,
Qu’eu no.n ai autre gatge.

Mout fai gran vilanatge
Qui trop leu s’espaventa,
Qu’apres lo fer auratge
Vei que.lh dous’ aura venta.
S’a .xx. ans o a .xxx.
Agues sauva m’ententa,
Ges no planh mo damnatge
Vas que ma joy’ es lenta.

Domna pros e valenta,
Genser de la plus genta,
Faitz vostre cors salvatge
Tan privat qu’eu lo senta.


Car s’eu mor, domna genta,
Que ja nuza no.us senta,
Mos cors n’aura damnatge
E m’arma n’er dolenta.
Commenter  J’apprécie          00
Blondel de Nesle
« En tos tens, que vente bise »

En tos tens que vente bise,
Pour cele, dont sui sorpris,
Qui n’est pas de moi sorprise,
Devient mes cuers noirs et bis.
De fine amour l’ai requise,
Qui cuer et cors m’a espris,
Et s’ele n’en est esprise,
Por mon grant mal la requis.

Mais la dolors me devise,
Qu’à la millor me sui pris,
Qu’ains fut en cest mond prise,
Sé j’estoie à son devis !
Tort a mes cuers, qui s’en prise ;
Car ne sui pas si eslis,
S’ele eslit, qu’ele m’eslise :
Trop seroie de haut pris.

Et nequedent destinée
Done à la gent maint pensé.
Tost i metra sa pensee,
S’Amors li a destinée.
Je vis ja telle dame amée
D’hom de leur bas parenté,
Qui miex iert emparentée,
Et si l’avoit bien amé.

Por c’est droit, s’Amors m’agrée,
Que mon cuer li ai doné ;
Sé s’amors ne m’a donée,
Tant la servirai à gré.
S’il plaist à la désirée
Commenter  J’apprécie          00
Thibaut de Champagne

comte de Champagne, roi de Navarre et trouvère français (1201 – 1253)


Por conforter ma pesance
Faz un son
Bons ert, se il m'en avance
Car Jason
Cil qui conquist la toison,
N'ot pas si grief penitance.
E!é!é!
Je meïsme a moi tence,
Car reson
Me dit que je faz enfance,
Quand prison
Tieng ou ne vaut raençon;
Si aii mestier d'alejance.
E!é! !é!
Ma dame a tel conaoissance
Et tel renon
Que gi ai mis ma fiance
Jusqu'en son.
Meus aim que d'autre amor don
Un regart, quant le me lance.
.
E!é!é!

Bien ai en moi remenbrance
A compaignon;
Touz jorz remir sa semblance
Et sa façon.
Aiez, Amor, guerredon!
Ne sosfrez ma meschance!
E!é!é!
Commenter  J’apprécie          00

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Jean Dufournet (113)Voir plus

Quiz Voir plus

Les figures de style dans la littérature

"Adieu veaux, vaches, cochons, couvée" Quelle figure ici utilisée par La Fontaine et marquée par la juxtaposition de mots vise généralement à donner du rythme à la phrase ou à mettre en valeur l'abondance.

L'allitération
L'énumération
L'anacoluthe
L'anaphore

10 questions
758 lecteurs ont répondu
Thème : Les figures de style de Henri SuhamyCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *} .._..