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Citations de Centre national d`art et de culture Georges Pompidou (15)


Quatre seulement des tableaux qui représentent aujourd’hui Victor Brauner dans les collections publiques françaises y sont entrés de son vivant : Stable/Instable (1942), acquis par l’État en 1951, Les animaux (1957) puis La ville (1959), acquis en 1961 et enfin Matière autoritaire (1962) dont l’achat fut conclu en 1963.

(p. 6)
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Christian Bobin

- Il y a parfois des livres que je lis comme on mange par boulimie, quand on a un creux dans le cœur ou l'âme, mais qu'on remplit en remplissant son ventre. (p.17)
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Je suis inquiet pour la différence de lumière, lumière d'Antibes à Paris. Il se pourrait que les tableaux n'aient pas à Paris la résonance qu'ils ont dans mon atelier d'Antibes. C'est une angoisse.
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Le nouveau réalisme a rassemblé des artistes qui ont perçu, avant les autres, les problèmes posés par les rapports avec l'objet, l'objet produit, mécanique, rejeté, la production de masse, les affiches. Ils ont essayé de comprendre la civilisation dans ce qu'elle a de matériel, le problème de l'envahissement des slogans, de la publicité, de la machine, des supermarchés, le monde urbain et l'objet manufacturé.
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- Les livres de leur vie- Christian Bobin :

J'aime Ramuz sans réserve. J'aime même cette image mineure qu'il a d'un écrivain pour les ploucs, pour les paysans, pour "néo-rural" ou une stupidité comme ça. Je le tiens pour un des plus grands écrivains qui soient (..). Que fait Ramuz . Je ne sais pas. Il a une magie; comme on dit de quelqu'un qu'il a les doigts verts (....) Et dans l'air des phrases de Ramuz, je respire à merveille. (p.20-21)
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Les livres de leur vie- Christian Bobin :

Il n'y a pas de vraie lecture qui ne soit pas en même temps bouleversante. (p.16)
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Les livres de leur vie- Christian Bobin :
On va vers quelqu'un qu'on aime, qui est dans la vie vivante, et on lui dit: "Tiens, tu devrais lire ça, c'est pour toi, ça m'a tellement plu." A ce moment là, ce qu'on donne est de le première importance, c'est comme une lettre d'amour (...) Cette transmission du livre est une des choses les plus fragiles et les plus vives qui soient. (p. 22)
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Les livres de leur vie- Christian Bobin :
Eh bien, achetez un livre chez un libraire, sortir avec ce livre et commencer à le lire dans la rue, c'est une merveille enfantine comme de manger le pain volé et peut-être de ne pas rendre la monnaie aux parents...(p.28)
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Quand je peins, c'est avec un idée d'ensemble de ce que je veux faire. Je peux contrôler la coulée de peinture, il n'y a pas d'accident, pas plus qu'il n'y a de commencement ni de fin. Parfois, je perds mon tableau. Mais je n'ai pas peur des changements, de détruire l'image, parce qu'un tableau a sa vie propre.
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Je dessinais à l'école, beaucoup et très mal.
Puis, dans une revue scoute, j'ai dessiné "Les aventures de Totor", encore très mal.
Puis en 1929, dans "Le Petit Vingtième", supplément d'un journal bruxellois, Totor est devenu Tintin : il n'était pas mieux dessiné pour autant.
J'ai continué, d'abord en dessinant toujours aussi mal, et puis un peu moins mal et ainsi, je crois, de moins en moins mal, jusqu'à nos jours ...
(lettre du 26 avril 1955)
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Ceux qui sont décidés à poursuivre dans un domaine dit artistique des recherches plus ou moins gratuites ont droit non seulement à notre admiration mais à un étonnement sans mesure.
A Paris, à la fin de l'année 1927, vivent deux peintres, Toyen et Stirsky, qui n'ont pas désespéré de la peinture, davantage même, ils nous font espérer que l'on peut encore attendre avant de tout jeter à l'eau. Ils osent, en effet, à l'heure actuelle, dans cette ville où la peinture coule à plein bord, risquer le temps sur des tableaux.
Ils vont ainsi à la découverte du désespoir.
[...]

(Philippe Soupault.)
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Le Japon : une culture où le signe n'est pas de l'ordre du paraître ni de l'ordre de l'indice d'un Être caché. La réalité se lit à découvert dans une écriture picturale qui déteint sur toutes les manifestations physiques des productions humaines.
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Prenant pour date charnière l'année 1921, lorsque Kandinsky quitte définitivement Moscou en s'interdisant toute possibilité d'y revenir, la rétrospective du Centre Pompidou, qui possède le fonds Kandinsky le plus documenté au monde, s'attache particulièrement à reconstituer cette trajectoire européenne, à l'occasion de la plus complète des rétrospectives tentée depuis 40 ans.
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Pendant le siècle qui suivit le début de la modernisation du Japon au commencement des années 1850, les entreprises japonaises, avec le soutient du gouvernement, adoptèrent une conception plutôt paternaliste du développement des produits, et les consommateurs acceptaient ce qui leur était proposé. La question de la liberté de choix ne se posait pas.
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Le design est maîtrise de la manifestation physique de la forme.
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