Ena L.

Une héroïne détonante, des personnages attachants, beaucoup d’humour (comme toujours avec cette auteure), une romance d’été qui se lit très facilement. Des messages intéressant entre l’évolution de l’époque lycée à la trentaine sur tous les personnages.

My cruel owner de Ena L

Il s’agit d’un one-shot et d’une romance MM. Ce livre contient des scènes pouvant heurter la sensibilité.



Elio et Mattia, deux frères, n’ont pas eu la vie facile depuis leur plus tendre enfance, mais Mattia a toujours promis un avenir plus glorieux à son frère, enfin ça, c’est ce qu’il lui a fait miroiter. Cependant, tout ne va pas se passer de cette manière, bien au contraire. Elio va en avoir la preuve puisqu’il va se retrouver au coeur de quelque chose qu’il ne comprend pas lui-même, lui qui mène une vie tout ce qu’il y a de plus basique contrairement à son frère qui a toujours cherché les ennuis. Il va faire la rencontre de son bourreau : Mason Underwood. Il va devoir serrer les dents et tout faire pour survivre dans ce milieu hostile inconnu.



Comme toujours avec Ena, je ressentais une grande impatience à lire ce livre, son humour (même s’il n’y en a pas vraiment ici) et la qualité de sa plume ainsi que la manière de nous transporter à travers une histoire m’avaient manqué. On démarre fort, nous sommes plongés directement au vif du sujet avec un Elio ligoté, ça promet ! Connaissant les penchants de l’auteure, je m’attendais à tout, elle est capable du meilleur comme du pire concernant ses personnages.



Elio est un travailleur qui ne compte pas ses heures, il doit payer son école d’art en plus de toutes les contraintes financières qu’impose la vie. Je me suis bien marrée pendant le moment intime entre lui et son copain, Artur, je vous laisse découvrir pourquoi.



Elio est en demande constante d’attention et d’affection, très certainement dû au fait qu’enfant il ait été privé de tout ça, c’est quelque chose qui me touche beaucoup chez lui. Il est comme qui dirait un accro du sexe, ne passant généralement pas une journée sans s’envoyer en l’air, avec son compagnon ou non d’ailleurs. Il a une passion, l’art, Elio adore peindre, c’est son seul moyen de s’évader des tracas du quotidien, le moment ou il se sent vraiment en paix avec lui-même. Il rêverait de pouvoir un jour vivre de sa passion, comme tant d’autres avant lui. En fait, si on y pense, c’est un rêveur notre petit Elio. En tant que grande fan de l’art sous toutes ses formes, je ne peux que l’aimer.



C’est fou à quel point sa vision de la vie me parle, je suis comme lui, avoir un patron au-dessus de la tête non merci, je ne supporte plus qu’on me dicte ce que je dois faire ou non. Ena a le chic pour décrire parfaitement la vie dans son ensemble, les bons comme les mauvais côtés d’ailleurs, je pense notamment au moment où elle parle des gens et de leur manque de considération ou de respect envers autrui.



Elio a complètement coupé les ponts avec son frère, mais quelque chose m’a fait dire qu’il n’était pas étranger à ses problèmes récents. Sa rencontre avec Mason, ce beau brun ténébreux effrayant, ne le laisse pas de marbre malgré les circonstances et son physique à l’opposé de ce qu’il aime, même s’il dégage une aura sombre et mystérieuse. Il m’a fait mal au coeur pendant sa captivité, le pauvre, il n’a rien demandé à personne et s’en mange plein la tête, c’est le cas de le dire. Malgré tout, Elio est quelqu’un avec beaucoup de compassion et de coeur, prêt à se sacrifier pour celui qu’il aime d’un amour fraternel, Mattia, qui ne l’a jamais abandonné malgré les difficultés qu’ils ont rencontrées en grandissant. C’est donc tout naturellement qu’il va le protéger. Je ne sais pas si j’aurais eu cette force de caractère et ce courage, probablement pas. Ce serait mentir de dire que je ne me suis pas inquiétée du sort qu’on lui réservait, surtout avec le genre de personnes que sont ses kidnappeurs.



J’adore le fait que ce soit principalement les femmes au pouvoir, ça change du stéréotype « les hommes mènent la danse et sont au sommet de la hiérarchie ». J’ai le droit de dire que j’aime le personnage de Cody ? Non, parce que le type est complètement perché et dans son monde même si j’ai bien conscience de ce qu’il est (^^) !



Mon côté sadique m’a fait de suite apprécier Mason même si on ne peut pas le qualifier d’hôte agréable. Il s’avère qu’Elio n’est pas seulement devenu prisonnier, il est devenu la propriété de Mason, marqué à vie dans sa chair. À ce moment précis il m’a peiné, on ressent sa détresse et son impossibilité à y faire quoique ce soit ce qui le ronge.



Ce que j’apprécie également, c’est que l’on n’a pas seulement le point de vue d’Elio, mais aussi celui de Mason, ça, c’est un gros plus pour moi niveau compréhension des ressentis de chacun. Ce dernier est patron du Heaven, travaillant pour la famille Figueroa, au sein d’un établissement de nuit réputé dans le monde huppé de Paris. Son vrai rôle est homme de main pour McKenzie, s’assurant que tout se déroule comme il faut pour la famille et les clients. Mason ne fait confiance à personne sauf deux exceptions, Cody et Taylor. Il n’est en rien intéressé par l’amour ou toutes ces conneries. Elio est la seule véritable chose que n’a jamais possédée Mason et il compte bien le garder autant que possible, toutefois, il ne s’attendait pas à ce que ce dernier chamboule son existence à ce point.



McKenzie a des projets pour son meilleur élément, projets qui ne l’enchantent pas. Néanmoins, comme toujours, il fera ce qu’on lui ordonne en bon petit soldat simplement parce qu’il estime le devoir. Mason va être plus que surpris par le tempérament d’Elio, à l’opposé de ce à quoi il s’attendait et j’avoue que pour ma part, je me serais carapatée histoire de semer tout le monde à sa place.



Je note qu’on en revient aux goûts musicaux plus que douteux hein Ena (^^), mais j’ai tellement ri devant cette scène dans la voiture. Il y a beaucoup de petits messages dans ce livre, comme l’acceptation de soi, le droit au bonheur par exemple, j’apprécie quand ces choses sont mises en avant dans un récit.



Raaah Elio m’a brisé le coeur plus d’une fois. Cependant, le pire moment pour moi a été quand il a cru perdre tout ce pour quoi il a travaillé si dur. Bon, j’ai beau aimer Mason, quelques fois je lui aurais bien collé des baffes quand même. Je les trouve « mignons » ensemble, enfin si on peut définir leur relation de mignonne, intense serait peut-être plus exact. Je suis fan de ce couple atypique, vraiment, je pense qu’ils sont devenus l’un de mes préférés de l’auteure. Les scènes de sexe donnent chaud, comme toujours, je ne dirais pas non pour être spectatrice de nos deux protagonistes Ena ! Ils sont intenses, fusionnels, dépendant complètement l’un de l’autre. Mason, bordel, il me donne très très chaud, surtout avec son regard de braise et sa possessivité. Ce serait une utopie de songer qu’ils auront le droit à une jolie vie tranquille et heureuse, dans le monde de Mason, rien ne se passe ainsi. Je me suis longtemps demandé comment ils allaient faire en sorte d’y remédier.



Scarlett, cette nana est pire qu’une garce, je ne peux pas me l’encadrer, on dirait une petite fille riche pourrie gâtée à qui personne n’ose dire non à cause de son statut. Toutefois, mon avis sur elle a évolué au cours de ma lecture. Disons que je la déteste moins qu’au départ, mais surtout beaucoup moins que sa mère qui est une sadique et encore je pèse mes mots, je rêvais de la voir tomber de son piédestal.



J’ai eu les larmes aux yeux devant une scène, j’aurais voulu prendre mon petit Elio dans mes bras pour lui dire que tout allait bien se passer. J’ai hurlé devant mon livre plus d’une fois, souhaitant qu’ils l’aient cette pu**** de fin heureuse ! La bataille finale est épique, pile-poil ce que j’imaginais franchement, avec son lot de tragédie et de violence. J’ai jubilé autant que j’ai eu envie de chialer très sincèrement, les derniers chapitres sont intenses en émotion. Je déclare officiellement que ce livre est un coup de coeur magistral pour moi, ce qui ne m’était pas arrivé depuis longtemps.



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On parle aujourd'hui d'une romance contemporaine MM très sombre. ⚠🔞⚠

Elio jeune homme solaire a 2 passions la peinture et les hommes.

Livreur à velo son corps musclé et le hasard des livraisons lui pemettent d'assouvir son appétit sexuel tout en escroquant quelques clients.

Mais loin de lui l'idée d'être confronté à la mafia, dans son monde le sexe est toujours un plaisir...

J'ai retrouvé avec plaisir la plume d'Ena. Toujours aussi fluide et addictive elle est ici très sombre, exit les notes de bas de page rigolotes d'ailleurs.

Elle nous embarque ici dans la mafia, une lecture très intense où se mêlent tortures et passion.

Un véritable page turner que j'ai dévoré en 1 soirée/nuit.

Bref, encore une pépite mais attention les âmes sensibles. 😉

Rain a perdu l’amour de sa vie. Alors qu’elle est sur un toit en train d’observer un cliché d’elle avec Hope, son amour décédé, la photo s’envole et elle tombe du toit en voulant la rattraper et emporte avec elle, Léa dans la mort. Elles se retrouvent dans un monde très étrange, peuplé de créatures de tous types : enchantés, anges et démons. Elles sont tout en bas de la chaîne alimentaire et représentent les “rebus”. Léa, furieuse après Rain, exige qu’elle l’aide à accumuler assez d’argent pour payer un sorcier afin d'ouvrir un passage pour rentrer sur terre.

J’ai redécouvert cette histoire avec la version audio qui est à deux voix. J’ai particulièrement aimé la narratrice dont la voix se module et s’adapte vraiment bien à tous les types de personnages et émotions. J’ai moins été transporté par la voix masculine qui est proche pour le personnage principal masculin mais pas forcément cohérente pour les voix féminines. J’ai beaucoup rigolé en entendant certains passages qui m'avaient marqué à l’écrit. C’est vraiment une très bonne adaptation et j’ai retrouvé les émotions ressenties à l’écrit. Comme pour ma lecture je me suis demandée si Ena avait sniffé trop de M&M’s bleus tellement son univers est décalé mais c’est juste tellement génial et addictif. À l’écoute on ressent les émotions et sentiments de Rain de façon encore plus poussée parfois. Mais pas seulement, les personnages secondaires s'expriment de façon nette et c’est émouvant de les entendre. En bref, j'ai passé un excellent moment et je suis déjà plongée dans la suite de cet univers fantastique ou la plume merveilleuse d'Ena L est magnifiée à l'écoute de l'audible.
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Avis Lecture / Coup de coeur Fuck Off, tome 2 : Fuck Off Again de ena l



Attention ! Il s’agit d’un tome 2, je vous déconseille de lire la chronique si vous n’avez pas lu le tome précédent, sous peine de vous spoiler des éléments importants.



On reprend le récit là où il s’est arrêté à la fin du tome 1, avec notre troupe préférée toujours enfermée. Le narcissisme et le tact de Také m’avaient manqué, il me provoque toujours autant de fou rire cette tête de lard (m’engueule pas, tu en es une, même ta femme le dit !). J’ai été tout aussi intrigué que dans le tome précédent concernant la relation de ce dernier avec Aly. Je voulais vite obtenir des réponses à mes questions, depuis le temps que cette histoire me travaille. On comprend que Také a beaucoup de ressentiments envers sa femme, il en a gros sur la patate comme on dit. Il ressent également un profond manque de ses fils qu’il chérit plus que tout. Chaque membre a trouvé le moyen de se parler sans que quiconque les entende, surtout par leurs ravisseurs, afin de parler de leur captivité en toute discrétion et de leurs potentiels plans d’évasion. Avouons-le, ils sont nuls pour ça, on ne peut pas être bon partout hein, non, mais oh ! Také est frustré, car il ne peut pas faire comme à son habitude et jouer de la guitare ou poser des mots sur le papier, pas dans cette situation, ce serait faire plaisir à ses ravisseurs, ce qu’il refuse.



J’ai tellement cru aux premières pages, j’avais écrit tout un paragraphe dessus en m’apitoyant. Vilaine Ena, elle me ferait gober n’importe quoi ! J’aime énormément le fait d’avoir une vision des sentiments profonds de Také, chose qu’il ne partage jamais à voix haute, ça nous le rend plus sympathique et humain. L’humour des membres du groupe me fait rire comme une gosse, c’est souvent de l’humour beauf, mais ça fonctionne toujours avec moi, c’est ça le pire. Les notes, les divagations et les pensées de l’auteure me fascinent toujours autant, elle a le don de me faire (mourir) de rire chaque fois.



La cheffe de bande ramène un cadeau improbable au sein de leur cage, qui n’est autre qu’Aly, la cohabitation va s’avérer mouvementée, surtout avec les deux mariés réunis. Také est hyper dur avec elle, même si ça ne m’étonne pas vraiment de lui et sans en connaitre les raisons on ne peut pas juger, néanmoins elle me fait beaucoup de peine. Sincèrement, je me suis vachement inquiétée concernant l’avenir de ce couple emblématique pour moi (oui, je sais, j’ai lu les autres livres donc, pourquoi m’inquiéter…), je les ai toujours vus comme indestructibles.



Il est très protecteur avec chaque membre de sa bande au même titre qu’avec sa famille, cependant on parle de Také, donc l’avouer serait un sacrilège pour lui… Cependant, c’est ce que j’aime aussi, ils ne sont pas seulement des amis qui se connaissent depuis longtemps, leurs liens sont bien plus profonds que ça.



Il tente d’inculquer de vraies valeurs à ses fils, pour ne pas qu’ils deviennent aigris par l’argent et le fait de tout avoir. La famille de Také est tellement le reflet des familles dans la vraie vie, je me reconnais totalement dans ce joyeux bordel. Quand il s’adresse à ses gosses ou que ces derniers s’expriment, je chiale de rire. J’ai eu un gros coup de coeur pour le petit Kei, hyper touchant et peu sûr de lui, je n’ai toujours pas lu le livre sur lui, mais je vais y remédier rapidement. Také c’est le connard en public, mais le père de famille super aimant et attentionné en privé, capable de décrocher la lune et pleurer pour ses enfants, j’aime beaucoup ces multiples personnalités. Pareil pour ses fans, sur scène, il donne tout, car il sait le sacrifice que beaucoup on dû faire pour venir voir les Fuck Off. En fait, c’est un tendre notre Také (mais il ne faut pas lui dire, il va gueuler sinon) !



Lui et Aly font face à ce que pas mal de couples avec enfants vivent ou ont déjà vécu, il est difficile d’avoir une intimité ou de trouver des moments à deux, ce qui souvent joue malheureusement sur la dynamique du couple et finit parfois mal. Je comprends tellement Aly et ses complexes, toutes les mamans ont, à mon sens, ce genre de phases concernant son corps et sa moitié. Elle m’émeut, ça ne doit pas être facile tous les jours de vivre avec une star de renommée mondiale.



J’ai apprécié avoir le point de vue sur leur histoire d’Aly ce qui nous permet d’avoir les deux versions. J’ai trouvé le Mathis étrange sur le moment, j’ai même fini par me demander ce qu’il cherchait vraiment. Il y a pas mal de quiproquos et de non-dits au sein du couple, c’est certainement en partie pour cette raison qu’ils rencontrent des problèmes. Je ne leur envie absolument pas leur vie, je détesterais être sous le feu des projecteurs ou au milieu d’une foule d’hystériques, Aly m’a fait beaucoup de peine à ce moment-là et après aussi, une fois chez elle.



L’auteure ne m’a pas fait flipper qu’avec le couple fard et je tiens à dire que ce n’est pas beau madame, pas beau du tout de briser des coeurs comme ça et de me donner envie de chialer, je suis faible face à un enfant !

En conclusion, j’ai retrouvé tout ce que j’aime tant dans la plume et les histoires d’Ena, mais je n’avais pas envie de les quitter, les Kirishima sont un peu devenus des membres de ma famille depuis le temps que je suis les aventures de Také et Aly (enfin d’une famille très très très éloignée hein, faut pas déconner !).



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Comme toutes celles qui ont dévoré le tome 1 sans savoir qu'il était suivi d'un 2, j'attendais cette sortie avec impatience 😅



Také fait partie de ces personnages détestables au premier abord. Vulgaire, brusque dans ses propos, sans empathie...



Et pourtant il suffit de l'observer, de chercher à le comprendre pour se rendre compte qu'il est à l'opposé de tout ça.



Sa devise: mordre avant d'être mordu.



Dans cette romance on découvre toutes les facettes de Také. Celles qui le rendent attachant, exaspérant... Le Také que je préfère est sans conteste le Také papa. Celui qui donnerait sa vie et son âme pour ses fils.



Ce retour sur la vie de Také permet également de comprendre un certain nombre de choses sur ses fils.



J'ai dévoré Ayato, Kei et Hiro mais les redécouvrir enfants permet de mieux comprendre les adultes qu'on a découvert.



Quel talent madame Ena de distiller tous ces éléments qui font qu'on comprend encore mieux certaines scènes ou réactions déjà lues.



Le couple est au cœur de ce tome.



On peut s'aimer de la plus forte des manières, le quotidien peut parfois tout faire voler en éclat. L'amour ne suffit pas parfois.



Dans la famille Kirishima, celui qui m'a le plus touché est Kei, il m'a émue aux larmes. Ces 2 tomes sont pour moi au même niveau.



C'est donc sans surprise un coup de cœur. A lire ABSOLUMENT !

Que dire à part MERCI Ena.

Encore une fois elle m'a embarquée avec elle, elle m'a retourné le cerveau et le cœur.

Ena est la seule auteure capable de me faire aimer les gros mots 😅

Je viens de terminer ma lecture et je suis encore soufflée par l'intensité des mots et des maux; par la puissance des sentiments...

Také est l'incarnation du charisme composé de milliers de molécules de fragilité, de manque de confiance (un peu paradoxale effectivement quand on le connait...) et d'amour.

Finalement il aurait été dommage que ce tome n'existe pas. On a l'impression d'entrer dans l'intimité de ce personnage sans qui tous les autres n'auraient peut-être pas existé...

S'il me lit, son égo va encore gonfler mais Také dira sûrement que j'énonce une simple vérité...

Vous devez absolument découvrir toute cette série si ce n'est pas déjà fait, vous passez à côté de nombreux coups de cœur.

De nouveau j’ai adoré retrouver la plume de l’auteure que je trouve toujours aussi originale. Ena a une façon d’écrire qui vous captive. J’ai dévoré le roman en une journée tellement sa plume est addictive.

Et que dire de toutes ses petites annotations sur lesquelles nous sommes obligées de cliquer ( enfin pour moi c’est le cas ) et qui nous font rire.



Nous retrouvons dans ce roman Aly et Také qui se sont installés ensemble. Un’ événement inattendu va faire que Také va devoir parler de sa vie.



Nous découvrons donc plus en profondeur dans ce roman le personnage de Také. Cet être que j’ai tant détesté dans Not a fucking romance, j’ai appris à l’aimer.



On y voit sa relation avec son paternel et on comprend beaucoup mieux son exigence, de vouloir toujours bien faire , ne pas décevoir. On y découvre sa jeunesse et les déceptions qu’il a eu avec sa famille.

On y découvre les coutumes japonaises et combien elles sont ancrées même pour ceux qui habitent depuis des années dans notre pays.



Bon attention il reste quand même un brin narcissique quoique je pense qu’un évènement qui va survenir pourrait le changer. Il a toujours des réparties méchantes. Mais comment ne pas craquer devant son amour pour Aly. Sa façon de mentir de peur de la perdre. De tout faire pour lui montrer qu’il l’aime. Même si il est un brin vulgaire comment ne pas craquer pour lui. Mais bon Aly est forte quand même car même si on connaît d’où peut venir cette fragilité chez Také je ne sais pas si je pourrais le supporter.



Euh par contre Ena c’est quoi cette fin. Tu peux pas nous laisser en plan comme ça même si je sais que la suite arrive bientôt.

Je comprends mieux tes fans maintenant

Voici l’histoire tant attendue d’Hardin Anderson, personnage complètement déjanté dans l’univers d’Ena L.

La première femme devant laquelle il est tombé en pamoison était sa dame de cantine et depuis il n’est attiré que par les femmes qui ont deux fois son âge.

Hardin est le manager de Kei la terreur Kirishima, le frère de Jamie et Mya. C’est un bon vivant, toujours dans les pires coups, ami fidèle bien que paresseux. Mais que s’est-il passé dans sa vie pour qu’il plaque tout du jour au lendemain (son job, son pays…) et veuille se marier à Vegas avec Jaja, la soi-disant femme de sa vie avec laquelle il s’est mis en couple récemment et qui est plus âgée que ses pères ?

La majorité de l’histoire est un flashback qui nous amène à répondre à la question du déclencheur chez Hardin. C’est une lecture parfois frustrante car à la fois nous avons envie de savoir la fin mais on ne veut surtout pas quitter l’univers trop vite. Hardin est un amoureux du farniente, d’en faire le moins possible au niveau du boulot et de faire la fête le plus possible. Hardin est très libre dans sa sexualité ce qui nous offre des scènes torrides! On a parfois l’impression que rien ne l’atteint, il rigole de tout mais pourtant on le découvre sous un autre jour à travers les pages.

Je ne m’attendais pas à cette magnifique histoire pour Hardin, j’ai été transportée par sa relation. Tout au long de la saga, Ena L nous a mené sur différentes pistes concernant Hardin alors je suis restée accrochée à ma chaise. Nous avons presque l’impression qu’il a eu une vie en parallèle de l’histoire qu’il nous a « montré » dans la saga. Il est difficile de plus en parler pour ne pas spoiler la lecture car si vous aimez Ena, vous voudrez avoir la surprise en lisant ce tome. Attention à ne pas aller lire le nom du 2ème point de vue pour ne pas gâcher la surprise 😉 !

Si vous êtes un ami de la poésie, ne lisez surtout pas ce livre ! Ne vous attendez pas à de belles phrases, du vocabulaire riche ou de la politesse 😉! Prenez votre humour et une bonne dose de second degré et éclatez vous 😃 !

Je me suis régalée avec ma lecture, je suis triste encore une fois de quitter les chocolatines mais cela fait du bien de rire (il parait que ça augmente l'espérance de vie 😉). Après tant de tomes nous avons presque l’impression de faire partie de la famille de cette bande de fous.

En plus, j’ai pu revoir mon couple préféré de toute la saga donc j’étais au-delà du bonheur, sur mon nuage de paillettes, près d’un arc-en-ciel de Bisounours !
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On se laisse embarquer par cet ouvrage, "loufoque", déjanté, un peu "cinglé" et au langage atypique.

Quant à la moralité dans cette romance, n'en parlons pas: il n'y en a pas dans cette colocation de "bad boys"qui n'ont ni tabous, ni barrières, ni règles et respect (pauvres voisins).

L'auteur dresse un portrait, bien trempé de chacun, avec leur langage assez cru (qui déroute parfois), leur arrogance (certains ont un comportement de tête à claques), leur manque de maturité parfois....

C'est une romance "qui ne fait pas du tout dans le romantisme", c'est plutôt "débridé"...avec pas mal de scènes de sexe.

Certaines moments sont très cocasses, et l'auteur a beaucoup d'humour et le traite dans une écriture très personnelle, avec beaucoup de fantaisie et elle arrive "à faire passer" ce qui pourrait paraître "un peu lourd" parfois.

Je ne dirais pas que ce "livre est une pépite" pour ma part, mais c'est une lecture plutôt addictive et "on se prend" à l'histoire......: c'est un moment agréable "de lecture légère".

Mixez un récit made in Ena L et un Také au meilleur de sa forme et vous obtiendrez cette romance singulière. Ce roman contemporain cache bien une histoire d’amour mais ce qui le différencie, c’est que nous connaissons déjà ce couple.



Vous ne savez pas de qui je parle ? Arrêtez tout de suite de lire cette chronique et filez lire not a fuckin’ romance. Ce serait vraiment dommage de spoiler Takeomi Kirishima. Il n’aimera pas beaucoup ça et risque d’être fort désagréable… oui, encore plus que d’habitude. Je suis certaine qu’il a de la ressource.



Fuck off c’est donc le nom du groupe que Také a formé il y a plusieurs années (et accessoirement, les mots doux qu’il prononce à tout qui oserait le faire chier). Les membres de cette alliance ne sont pas seulement des coéquipiers, ils sont sa famille. On apprend mille et une choses sur cette amitié indéfectible, sur les batailles menées, sur les doutes et les victoires. Mais on apprend surtout à connaitre Také. Et j’ai kiffé!



Rockstar dans l’âme, petit ami presque dévoué (il s’applique, il est craquant dans ce rôle) et papa en devenir. Plusieurs rôles pour une seule et même personne. Alors aussi impressionnant puisse-t-il paraître, sera-t-il à la hauteur des trois rôles de sa vie ?



Ce qui le touche (le brise) c’est l’indifférence et le mépris des gens qu’il aime. Et pour se montrer, il n’a rien trouvé de mieux que la provocation. Son apparence froide et hautaine est sa force. Je dirais même, sa signature. Mais il est bien connu que les apparences, cachent souvent de vilaines choses. La perte de contrôle et les doutes, le fond exploser.



Qu’on se le dise ! Soit on adore cet individu charismatique, vulgaire, séduisant, égocentrique, perfectionniste soit on le déteste. Personnellement, j’ai craqué pour son côté provocateur, sa non-retenue, son air déjanté, sans filtre et cash depuis les premières lignes. Il y a au moins une qualité qu’on ne peut lui retirer, c’est l’authenticité.



J’ai aimé les révélations. J’ai aimé les vérités et les secrets. J’ai aimé apercevoir une touche de sensibilité dans ses gestes, dans ses attentions. Cependant, j’ai un peu moins accroché à la façon imposée à Také de nous conter son histoire. Et en même temps, c’est de Takeomi Kirishima qu’il s’agit. Et je me dis que si l’auteure ne l’avait pas mis au pied du mur, Také n’en aurait fait qu’à sa tête (comme d’hab) et on aurait pu courir pour connaitre son histoire…



Et vous, avez-vous tenter l’aventure Takéomi? Si oui, signez la pétition en bas de page pour que l’auteure arrête ce genre de fin insupportable.



Perso, en attendant que M. Kirishima se décide pour la suite, je vais me plonger dans d’autres notes de bas de page, dans d’autres délires de bruitages et d’onomatopée que cette auteure maitrise à la perfection.

Merci Ena L de nous faire passer pour des demeurées à rire toute seule face à notre liseuse, c’est toujours un plaisir!

ATTENTION ! Si vous n’avez pas lu le tome 1, je vous déconseille fortement de lire cet avis ainsi que le livre, sous peine d’être spoilé.



Také et les membres de son groupe, Fuck Off, se sont fait kidnapper par des groupies et enfermés les uns à côté des autres dans des « Chambres » uniquement séparées par des vitres. Qui sont leurs ravisseurs, qu’attendent-ils d’eux ?



Je pense qu’ils ne sont clairement pas prêts à affronter la tempête Kirishima. Il va devoir conter son histoire depuis son arrivée sur Paris jusqu’à sa signature dans une maison de disque en passant par sa relation dans les moindres détails.



Také alias Takeomi aka chouchou (surnom qu’il détesterait à coup sûr), que dire de ses premiers mots ? Ils sont totalement à l’image de sa personne, sans filtre, vulgaire à souhait, tout ce que j’aime chez lui. Son hobbie dans la vie ? Mettre mal à l’aise les gens, il en jubile. Je me suis tellement fendue la gueule grâce à lui. Také a un ego surdimensionné, mais il le vit très bien et en a pleinement conscience. Il voue un amour surpuissant à ses enfants de même qu’à sa femme, rien ni personne ne pourra changer ça. De ce fait, il vit très mal cet éloignement forcé. Il n’est pas réputé pour son calme, ses geôliers vont bien vite s’en rendre compte.



On découvre un côté beaucoup plus humain et sensible de sa personnalité, il ferait n’importe quoi pour ceux auxquels il tient. C’est un maniaque, autant vis-à-vis de sa personne que de ce qui l’entoure et il se montre « légèrement » susceptible.



Il décrit Aly, sa femme, comme l’une de ses sources d’inspiration, sa muse, j’ai trouvé ça tellement mignon. Les deux ont des personnalités complètement opposées, néanmoins ils se complètent de bien des manières. Také m’a beaucoup touché face à ses doutes, il a peur, ayant conscience qu’il n’est pas facile de le supporter tous les jours. J’apprécie tellement leur côté « je m’en foutiste » des convenances sociales, ils ont raison, chacun fait ce qui lui plaît, celui que ça dérange on l’e*****e ! Il a eu une enfance très stricte, ancrée dans la tradition japonaise.



Les autres membres du groupe ne sont pas en reste, j’ai adoré découvrir de manière plus approfondie JB, Max, Mika et Julien. On se rend compte que tous les membres du groupe partage un lien très fort, même avec Také oui oui. Je me suis tapé quelques fous rires, surtout quand ce dernier tente l’humour et fait du sarcasme.



En revanche, il n’y a que moi qui ai eu envie de distribuer des paires de claques ? On ne touche pas et ne massacre pas les compositions de Také non, mais oh ! Il y met toute son âme, tout son cœur, bande de tocards ! Puis parlons de Masaki tant qu’on y est, lui, si je l’avais en face de moi je pense que j’aurais envie de le secouer. Mais contre toute attente, il m’a agréablement surprise. Také fera tout pour que le groupe perdure et soit connu, pas seulement pour la gloire, mais aussi parce que chaque membre y tient comme à la prunelle de ses yeux.



Comme d’habitude, bien avant le prologue, la petite voix d’Ena que l’on aime tant me fait rire sans même avoir lu une ligne de l’histoire. J’aime beaucoup le fait que l’on ait accès à l’envers du décor, on a connu Také au sommet de sa gloire, toutefois on n’avait pas encore abordé cet aspect du métier.



Grâce à ce tome centré principalement sur lui, on découvre qu’il protège ses potes, ce qui nous laisse une image différente du Také qui se fout de tout et de tout le monde. Il est fidèle, loyal, gentil quand et avec qui il le souhaite. Il laisse peu de femmes indifférentes. Il a énormément besoin d’amour, d’affection ainsi que d’être rassuré même s’il ne l’avouera jamais. Také se montre jaloux et possessif avec sa moitié. Il est très fier d’elle de même que de son parcours.



J’ai aimé aussi que l’on ait les détails de leur première rencontre à la coloc Benetton, comme je m’y attendais, cette dernière a été… spéciale et marquante !



Les révélations sur lui, sur son parcours, ce qu’il a dû faire pour s’en sortir et devenir la star d’aujourd’hui, j’avoue que je ne m’attendais pas du tout à ça.



Ses soucis le poussent à avoir un comportement pas toujours irréprochable, notamment vis-à-vis d’Aly. Il est doué avec les mots, bordel, quand il fait une déclaration d’amour, il ne fait pas les choses à moitié, il a failli me faire chialer et ne parlons même pas de la naissance d’Ayato !



Bon clairement, j’ai aussi eu envie de lui foutre des baffes, surtout par rapport à un sujet bien précis que je ne peux pas dévoiler, mais je l’aime quand même. En revanche, Ena, c’est quoi cette fin ? Tu veux ma mort ? Hâte d’avoir la suite, heureusement que l’on n’a pas six mois à attendre…



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Voilà c'est fini j'ai tourné la dernière page de F�k off by Takeomi Kirishima  de @ena l cette nuit et comme toutes celles qui l'ont déjà lu et celles qui le liront mon cœur est déjà en manque.



Je savais Ena douée mais je pense que sur ce livre, elle s'est surpassée... j'avais peur de ne pas l'aimer (en toute franchise avant cette nuit Take était loin d'être mon préféré) mais encore une fois elle bouleverse mes certitudes et je suis tombée en amour pour ce c*nnard arrogant égocentrique et imbu de lui même.

Il est tellement "choupinet" (pardon Take promis c'est la seule fois que je l'utilise pour te désigner) dans sa façon d'aimer Aly ... cet amour inconditionnel qu'il lui porte c'est tellement beau, tellement fort.

Et son attachement à ses amis, son groupe, ses "frères " ... pfff j'en dis pas plus parce que je ne voudrais pas spoiler par mégarde.



Bon, bien sur on retrouve les notes de bas de page (un incontournable des livres de Ena, j'en profite pour signaler que je milite quotidiennement auprès de @audible pour qu'elles soient incluses dans leur narration), les délires de l'auteure (... bruit de pets non mais sérieux 🤣🤣🤣), la playlist (dispo sur deezer et spotify) ...



Tout ça pour dire que Fuck off vient d'entrer dans mon top 3 des livres de Ena ... je pense avoir passé le meilleur moment livresque de mon année 2023 (oui je sais on est qu'en février mais lisez le vous comprendrez ... par contre ne commencez pas par lui c'est impératif de lire Not a fuckin romance avant ... histoire de profiter pleinement).



Bon je vous laisse faut que je me remette de toutes ses émotions ressenties.

Hardcore Love Story, c’est un roman incroyable de puissance, qui ne fait pas dans la dentelle, percutant, inévitablement violent, il aborde des sujets extrêmement délicats, mais d’une justesse absolument superbe, un récit poignant de réalisme, qui ne choisi jamais la facilité et qui nous livre une histoire aux multiples nuances, bouleversante par la sensibilité de ses émotions !
Lien : https://elodit.fr/2023/01/25..

On parle aujourd'hui d'une comédie romantico-dejantée (dixit l'auteure).

Fraîchement propriétaires d'une maison à la campagne, une bande d'amis depuis le lycée s'y rejoint pour un presque confinement.

Vous prenez donc 6 adultes, leurs 7 enfants dont des adolechiants, je vous fais grâce des animaux, vous les mettez en cohabitation dans une maison en travaux, vous ajoutez un voisin à peine pubère mais très sexy, un maire très investi dans l'accueil des nouveaux arrivants sur sa commune et vous secouez bien.

Normalement ça devrait être magique...

Ah Ena! Je ne rate plus une seule de ses sorties car je ne suis jamais déçue.

Peu importe l'univers qu'elle choisit elle nous transporte toujours là où elle veut, que ce soit boulversant ou déjanté, peu importe ce sera intense.

Derrière l'humour et la dérision de la société se cachent un hymne à l'amitié, une intrigue de fou-malade et une discographie endiablée.

Alors certes, comme elle nous en avise dès la première page elle ne gagnera pas de goncourt pour celui-là mais son écriture n'en est pas moins remarquable et l'orthographe est corrigée avec meticulosité (ah bon? Je croyais que c'était sa maman?).

Bref encore une pépite.

À lire en savourant un passoa, un verre hein pas la bouteille ! 😉

Le plus dur avec un bouquin de Ena L ce n'est pas de ne pas spoiler (quoi que c'est pas évident quand même, promis je vais faire attention) ... non le plus dur c'est d'arriver à faire un retour à la hauteur de son talent et de vous donner envie de le lire ( si vous navez jamais lu de livre de Ena ne commencez pas par celui-ci ... gardez le pour plus tard).



Encore une fois, elle m'a surpris... mais je devrait avoir l'habitude... je ne m'attendais pas à ça mais je ne m'attends plus a rien avec Ena je me laisse porter, parce que on ne sait jamais où elle va nous emmener ... c'est ce qui fait que sa plume est addictive (... mais le pire c'est qu'on la suit les yeux fermés ) ... encore une fois ... C'est pfff... waouh ... c'est dérangeant... perturbant ... troublant (... non mais quand même 😱😱😱) on est sur des trucs que dans la vraie vie on accepterait pas ... et ben la on dit mouais pourquoi pas après tout!!!

Je le dis à chaque fois mais Ena a ce don de nous faire voir les choses sous une autre perspective... elle déplace les frontières entre ce qui est bien et mal, ce qui est normal ou pas, ... mais après tout chacun fait comme il veut ... du moment que ça le rends heureux ... on est pas la pour juger mais juste faut respecter. Et on s'en fout d'être hors des clous. Le bonheur c'est quand, où, comment et avec qui je veux et puis c'est tout.



Ena m'a retourné le cerveau ... m'a tout chamboulé mon petit cœur... je ne me lasserai jamais de la lire ...



Bon comme à chaque fois ... je lis quoi moi maintenant ? Je vais recommencer les Là où tu te perdras ... je ne vois que ça pour combler le manque en attendant le prochain.



Tiens d'ailleurs c'est qui, c'est où et surtout c'est quand?

Mister Hardin, c’est un roman que l’on s’attend à trouver sans prise de tête, si l’humour est omniprésent, il saura se révéler tellement plus riche, riche de sentiments, de réflexions, de messages d’une importance cruciale, qu’il nous fera finalement partager un récit bouleversant, une romance d’une sensibilité extraordinaire et qui ira au-delà de toutes les frontières !
Lien : https://elodit.fr/2022/10/21..

J'entendais parler de cette romance depuis tellement longtemps que j'ai enfin décidé à me lancer. Et je rejoins l'avis de @Odlag, dans les commentaires. Je ne pouvais pas m'empêcher de tourner les pages, totalement happée par la plume incroyable de l'autrice (quand elle n'est pas vulgaire). Elle a cette manière si incroyable de retranscrire les sentiments de Hannah et m'a plusieurs fois arrachée des larmes.

Alors, malgré la vulgarité, la violence, la romance qui est longue à se mettre en place avant un claquement de doigt scénaristique, je suis allée jusqu'au bout et j'ai aimé. Malgré tout, j'ai passé les scènes de s*xe très présentes et répétitives, et j'ai trouvé que la narration souffrait de quelques longueurs.

Mais voilà, Ena L nous propose une romance qui change de l'ordinaire, avec son style bien à elle, qui nous transporte. Ce n'est pas lisse, mais assumé, et ça, j'adore !

Camden est jeune, torturé, blessé, fragile.

Summer est [/sa psy scolaire] forte et déterminée.

La fragilité de Camden m'a émue, touchée, bouleversée.

Ce livre prends aux tripes, on s'attache à ses personnages ... on a envie de le protéger et aussi de le secouer ... le duo est parfait et magnifique... petit plus j'ai pu ( et c'est une 1ère pour moi) écouter la playlist durant ma lecture et j'en vibre encore (je me la passe en boucle depuis et je ressens chaque émotion comme pendant ma lecture)

Lire Ena L c'est comme déguster une bonne recette. Elle y met les ingrédients que l'on aime et puis elle y ajoute une pincée d'humour, un zeste de folie, une louche de sentiments et elle saupoudre le tout de sa magie follesque, enaesque...

Vous dévorez le tout et vous obtenez un coup de cœur ❤

Je ne connais pas la recette exacte de ce qu'elle prend au petit-déjeuner ou à tout autre moment de la journée d'ailleurs mais c'est chaque fois une merveille, "the Cherry on the quatre-quarts" (oui y'a pas que Hardin qui a le droit d'en faire à sa guise avec les expressions anglaises ! )

Encore une fois je me suis jetée dans cette lecture les yeux fermés (non je ne fais pas référence à la note de l'auteure en début de roman). Je sais que l'auteure va me surprendre, elle réussit à chaque fois, mais encore une fois je n'étais pas prête. C'est au-delà de ce que j'aurais pu imaginer.

Cette romance m'a fait penser à une autre de l'auteure, ma préférée de toutes si je devais n'en choisir qu'une. Je vous tairai le titre bien évidemment pour ne pas trop en dévoiler. J'ai été transportée par cette romance.

Sous ses airs futiles, Hardin est un jeune homme qui sait décrypté les gens. Il a vécu un traumatisme enfant qui a laissé des séquelles sur l'adulte qu'il est devenu.

Hardin, c'est Hardin. Pas sûr de pouvoir le décrire. Il est au même niveau que Mya niveau dinguerie...mais il est tellement attachant et bouleversant. Je n'ai pas pu empêcher les larmes de couler 🥺😭🥺

J'aime qu'une romance que je pensais "légère" me prenne aux tripes comme ça. C'est un gros coup de cœur ❤

PS: Si vous êtes comme moi en approche de la quarantaine, l'avantage c'est que vous avez toutes les références télévisuelles, cinématographiques et musicales d'Ena 😉😁😂