Je me vois encore lire ces BDs sur le banc du CDI de mon collège entre deux heures de cours. Après avoir visionné les adaptations faites récemment au cinéma, j’ai eu l’envie de me replonger dans ces bande dessinées belges on ne peut plus célèbre.
Les ruses du cancre Ducobu ne manquent pas de nous faire rire à travers de nombreux petits sketchs prenant bien souvent une page mais également à travers de plus longues aventures comme la sortie de classe de neige ou encore le congrès des intellos !
Impossible à rentrer dans la tête, les tables de multiplications sont pourtant indispensables pour éviter un tête à tête avec Néness, le squelette d’anatomie du coin de la classe. Ducobu use donc de divers stratagèmes qui ne manquent pas de nous faire sourire.
Une bande dessinée pour moi typiquement belge aux dessins colorés pour nous mettre de bonne humeur à n’importe quelle heure de la journée.
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Dans "pas vu, pas pris", les auteurs nous permettent de retrouver les deux héros, Ducobu et Léonie Gratin, dès la maternité et nous découvrons que dès la maternité, le nourrisson Ducobu cherchait à s'inspirer de Léonie, jusqu'à échanger les bulletins de santé !
Ce potache de Ducobu dépense toute son énergie, non pour apprendre, mais pour tricher et tirer avantage de sa place à côté de Léonie, la première de la classe. Il ne manque pas d'ingéniosité.
Zidrou et Godi mettent en jeu leurs personnages favoris : Ducobu, le cancre, Léonie, la première de la classe, Monsieur Latouche, instituteur intraitable, Néness, squelettique de son état et compagnon de coin de Ducobu et parfois le père de Ducobu et la mère de Léonie, Madame Gratin.
Notre cher Ducobu a parfois des remarques pleines de bon sens, il a même parfois des propos poétiques. Il arrive à faire perdre son flegme à Monsieur Latouche et à le déstabiliser avec sa logique parfois fracassante.
Les auteurs utilisent toutes les caricatures ou les images d'Épinal que l'on peut avoir de l'école communale. Ils reprennent beaucoup de clichés, en s'appuyant sûrement sur leur passé d'élèves. On retrouve un peu l'univers de Jean-Charles avec ses perles de cancre.
Le graphisme est simple mais pas simpliste. Le principe des gags en une ou deux pages fonctionne bien, ce qui donne une lecture agréable qui fait rire les plus jeunes mais aussi sourire les plus anciens.
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Dans ce nouvel album, Ducobu donne le meilleur de lui-même pour conserver le titre d'Empereur des tricheurs et faire contre mauvaise fortune bons points. S'il ne sait toujours pas combien font 6 x7, il ne manque pas d'intelligence ni d'un sens personnel et aiguisé de la rhétorique pour déstabiliser ce bon vieux Latouche qui en perdrait presque son latin, Latouche qui semble d'autant plus troublé du fait de la présence à Saint-Potache de sa fragile collègue Mademoiselle Rateau.
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A mon goût ce n'est pas l'un des albums les plus réussi de la série. Malgré les personnages drôles et fantasques j'ai réussi à m'ennuyer dans ma lecture tant les gags sont prévisibles. Dommage
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Du Ducobu dans toute sa splendeur. On le retrouve égal à lui-même, avec ses gags et ses compagnons de route.
Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu les aventures du célèbre tricheur, et c'est avec plaisir que je les ai retrouvées.
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Loin d'être le meilleur de la série des Ducobu il en reste toutefois quelques bons gags nouveaux.
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• « L'Elève Ducobu,tome 2 : Au coin ! » de ZIDROU et GODI, publié chez Le Lombard .
• J'ai commencé cette lecture à la suite du défi lecture de BD de Babelio de Mars, cherchant une BD avec un titre commençant par la lettre E, dans le but d'étendre ma "culture" BD.
• C'est reparti pour une lecture de mon enfance ! Les aventures de l'élève Ducobu m'ont toujours plu, aussi loin que je m'en souvienne. J'ai en ma possession deux tomes, celui-ci et un autre, le tome cinq : « L'Elève Ducobu,tome 5 : Le Roi des cancres ! ». Je l'ai surtout connu grâce aux journaux de Mickey au départ, comme beaucoup d'autres.
• Ce tome deux démarre sur la fin des vacances et se termine sur le début de celles-ci. Le trame de base de la bande-dessinée est d'une simplicité géniale, c'est l'histoire d'un élève, un cancre notoire, qui va tenter par tout les moyens de copier sur sa voisine. Pour compléter le tableau (à craie !), s'ajoute aux personnages, la classique voisine intello, le professeur sévère et trop protocolaire, ainsi qu'un squelette placer dans le Coin de la salle de classe, ce fameux squelette servant à l'anatomie que l'on pouvait retrouver dans une bonne partie des salles de cours à une certaine époque (on en vois moins aujourd'hui).
• Les moyens utilisés pour copier sur sa voisine de classe sont divers et variés, allant de la simplicité à des méthodes plus loufoques les une que les autres. On ne se limite à rien ! Les situations sont parfois même ce que certains d’entre nous aurait pu rêver d'accomplir pour obtenir ces fameuses notes volées.. La plupart des écoliers s'y retrouveront d'une certaine façon.
• Malgré tout, je ne monterais pas beaucoup plus la note de ce livre, car certaines de ses situations, ainsi que les méthodes scolaires de l'époque ne sont plus aussi proche de la réalité scolaire actuelles. Cela reste néanmoins une bonne lecture, que je conseille aux plus jeunes !
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une bd avec des gags hilarants et qui permet de passer un bon moment de lecture
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bd toujours aussi drole avec ce roi de la triche mais tellement touchant
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Avec ce septième album on n’est pas déçu, les blagues sont toujours aussi drôles.
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Ce livre est très drôle. Ducobu est un personnage qui fait beaucoup rire. C'est un cancre qui passe plus son temps à s'amuser qu'à réviser ses leçons. En classe, il triche beaucoup sur sa voisine Léonie mais il a quand même de mauvaises notes. Je le conseille aux adolescents fans de BD humoristiques.
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Ducobu avec ses gags , pas toujours au mieux de sa forme mais agréable à lire.
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Dans la continuité du tome 1, des histoires courtes bourrées de gags le temps d’une page puis des histoires plus longues comme la sortie des élève à la piscine. Une année scolaire de plus pour Ducobu, un regard amusant envers le corps enseignant (l’instit effrayé par les vacances scolaires) et des astuces toujours aussi farfelues pour nous faire sourire !
En espérant qu’un jour Ducobu réussisse à apprendre ses tables de multiplications !
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L'élève Ducobu, c'est le bon gros cancre, sympathique en diable, à la bonhomie sans faille, et qui trouve que travailler quand on a une super bosseuse à côté de soi, c'est du gaspillage.
Il est incroyable, attachant et finalement déploie une énergie et une (osons le dire) intelligence considérables à ne pas apprendre...
Pour ce premier tome, l'auteur réussit (presque) un tour de force en développant une sorte d'histoire continue en mettant bout à bout des gags en une planche. Je dis "presque", car d'une part on a droit à une mini-histoire d'une dizaines de planches à la fin (où Léonie Gratin donne une conférence sur les cancres à rayures à son Club des 90% +... un grand moment), et d'autre part il y a des ruptures dans le récit qui manque alors de continuité. Les transitions entre les quelques bribes d'histoires sont parfois inexistantes, ce qui est un peu dommage.
Certains récits sont moins bons que d'autres. L'épisode en suisse pour les classes d'hiver est moins drôle, par exemple. Par contre, les apparitions de Néness, le squelette du coin, "un pote à Ducobu", sont toujours savoureuses... pour moi, c'est le vrai personnage principal de la BD (à tout le moins, celui qui agit comme un vrai ressort à rire).
Enfin, question dessin, je préfère quelque chose de plus achevé, de plus rond, comme Gaston, par exemple. Mais cela reste correct.
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Pour le 10e volume de la série, Léonie Gratin prend de l'importance, avec un titre en clin d'oeil au nombre dix.
Ducobu se révèle de plus en plus futé et intéressant, philosophe aussi.
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Ne restera pas dans mes préférés, mais je me régale toujours à lire les inventions de notre cancre préféré.
Ici, on ouvre sur une jolie histoire un peu longue avec les animaux de l'école, on ignore combien ils sont nombreux à peupler les locaux.
L'occasion pour moi qui ne regarde jamais suffisamment les illustrations d'apprécier combien les dessins sont drôles, bien croqués ; tout un monde sympathique ou grognon, un régal.
Une histoire aussi avec un grand-père qui retourne sur les bancs de l'école, une des plus amusantes peut-être.
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Je continue ma (re)découverte des albums de Ducobu, à l’initiative de mes petites-filles, et j’avoue que je ne m'en lasse pas.
C'est drôle, toujours inventif, un bon moment de détente.
Dans ce numéro, nous voyons, entre autres, l'arrivée du "chien" Rotule, qui sera au fil des albums suivants un bon compagnon pour le squelette Néness.
On rencontre aussi le papa de Ducobu à son ministère, et Léonie toujours présente.
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Entraînée par mes petites-filles, je continue mes (re)lectures de notre cher Ducobu, et je ne m'en lasse pas.
Je trouve que les auteurs se renouvellent agréablement, toujours des idées drôles et sympathiques.
Ici, on découvre la petite enfance de nos deux héros, Ducobu et son inséparable Léonie, et on s'aperçoit que leur "duo", leurs défauts et leurs qualités viennent de loin. On apprend à connaître leurs parents, et quand la maman de Léonie parvient à se faire élire présidente des "parendélèves", les choses ne s'améliorent pas vraiment, même pour sa fifille !
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