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Critiques de Jef (167)
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No future

Je l'avais vu passer à la sortie et j'ai couru dans l'autre sens. Je l'ai emprunté à la bibliothèque parce que Magnetic Press le publie en anglais et ça m'étonnait d'eux vu ce que j'en avais vu. Bah c'est exactement ce à quoi je m'attendais. Des gros hommes blancs cishet ouins ouins qui se plaignent qu'ils peuvent plus discriminer les autres et qu'ils sont une minorité en danger. Ils créent une dystopie de gauche avec les méchants féministes, vegans et trans au pouvoir. C'est du cringe au possible. Par contre qu'est-ce que j'adore le dessin de Jef...
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No future

Scénario : Corbeyran

Dessin : Jeff



Cette BD était sur le présentoir de la bibliothèque où je me rend chaque semaine. Je l'ai donc empruntée, alléchée par la couverture.

Je suis surprise d'avoir autant apprécié cette BD, malgré le comportement vulgaire, n'ayons pas peur des mots, de Halen Brennan et sa manie de défourailler à tout va, pire qu'un tueur à gages.

Jean-Claude Belmondeau m'a fait penser à Jean-Paul Belmondo, ce n'est sûrement pas un hasard et certaines scènes ressemblent étrangement au "5ème élément" de Luc Besson, ce qui n'est sûrement pas un hasard non plus.

Alors, qu'est-ce qui m'a plu :

l'histoire, les références, musicales et autres, à un passé que je suppose lointain, le découpage des dessins, la précision de ceux-ci, la critique du wokisme, du féminisme extrémiste et des sujets de notre société poussés aussi à l'extrême et même les couleurs, très vives.

Je vois qu'il y a seulement 7 critiques que je vais aller consulter. Je ne le fais jamais avant pour ne pas être influencée malgré moi.

Alors, tentés ?
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Geronimo

Ce fut un petit voyage au cœur de la légende de Geronimo.

Un homme qui croyait en la vie, en combattant pensé récupérer ses terres. Mais les yeux claires sont trop nombreux...





J’ai apprécié les dessins et le récit. Mais je connaissais déjà son histoire donc rien ne m’a surpris.





Je suis donc mitigé.

Un moment agréable, une petite lecture dépaysante, rien de plus…



Bonne lecture !
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Corps et âme

Ah mince, ça c'est dommage ! La BD commence très très bien et se conclut d'une façon qui m'a carrément intéressé, mais l'entre-deux est assez mal exploité. Franchement, dommage !



Le début fait très polar noir, ambiance thriller avec un tueur à gage tout ce qu'il y a de plus classique (Matz semble à l'aise avec cet archétype) qui se fait trahir par sa hiérarchie. Rien que du très classique, déjà, mais qui prend soudainement un virage insoupçonné. L'idée est carrément invraisemblable, soyons honnête, mais si on se dit ok, l'intrigue se laisse lire. Sauf qu'après un développement qui semble assez prévisible dans certains détails, la fin laisse apparaitre ce que la BD essaye et surtout aurait pu être : un commentaire social sur les femmes dans la société et des questionnements de genre. C'est un vrai défaut à mes yeux puisque la fin propose quelque chose qui me plait vraiment : des questions sur le genre, sur la place des femmes dans les milieux mafieux aussi (et leur exploitation). Ces questions là auraient été franchement intéressantes et la fin laisse clairement entendre que c'était une possible volonté de la part des auteurs.



Mais en l'état, il s'agit finalement d'une simple BD polar bien menée, aux idées parfois un peu trop extravagante mais qui se tient dans l'ensemble. Les quelques idées effleurées à la fin laissent entrevoir un potentiel clairement inexploitée, ce qui est dommage. Matz a déjà fait mieux en terme de polar.
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Corps et âme

La revanche d'une flingueuse



En croyant avoir décroché un juteux contrat pour Noël, Franck Kitchen, tueur à gage notoire dont la furtivité n'a d'égale que l'élégance, tombe dans un sordide guet-apens.



Après plusieurs semaines de coma, l'assassin de profession se réveille ... dans le corps d'une femme.



Face au miroir, Franck perçoit des traces de bistouris sur son corps transformé, méconnaissable.



L'auteur de ce crime pas comme les autres a tout de même pris la peine de lui laisser des pilules hormonales, quelques vêtements et la photo de Sebastian Kaye, qui n'est autre que son dernier "contrat" "exécuté" quelques mois plus tôt à New York.



S'il s'agit d'un parfait règlement de compte opéré par un cinglé de la chirurgie de transition de genre, alors pourquoi ne pas l'avoir descendu froidement ?



En attendant l'heure de sa revanche et forte de ce seul indice, Franck va devoir dans un premier temps apprendre les bases de sa nouvelle féminité avant de mener son enquête sur la piste du commanditaire de cette opération invraisemblable.



Ainsi commence le parcours de la combattante pour Franck, bien déterminée à se venger de ses ennemis.



Elle réalisera ô combien les femmes doivent redoubler d'habileté pour survivre et réussir dans un monde de misogynie, de chaos et de violence.



Pour ma part,



Plein la vue.



Corps et âme est la narration de Franck Kitchen, un tueur à gage qui se réveille dans la peau d'une femme. Il ne s'agit pas d'une réincarnation, mais bien d'une opération de transition de genre de haute volée.



Le récit de Franck est une façon originale d'aborder le thème de la féminité et du féminisme. Dans son nouveau corps, Franck doit donc se réinventer et casser les préjugés pour s'imposer dans le monde de la pègre et obtenir vengeance. Là dessus, je ne vous en dis pas plus, vous le découvrirez en lisant l'album.



J'ai littéralement été séduite par la grâce des traits des protagonistes et éblouie par la beauté des couleurs variées et contrastées.



Le graphisme ultra réaliste et richement détaillé respecte les codes du genre policier et du thriller psychologique, en mêlant humour noir, violence graphique et émotion profonde.



Il en résulte un album luxuriant aux effets visuels étonnants : explosions, rutilances, effusions de sang, et aux décors variés : de New York à Shangaï , des hôtels luxueux aux quartiers mal famés ... Bref tout et son contraire.



Corps et âme est une BD exceptionnelle captivante dès la première page qui aborde le sujet de la condition féminine avec intelligence.



Je recommande.



https://www.aikadeliredelire.com/2023/12/lu-approuve-corps-et-ame-de-matz-walter.html?m=1



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Jim Morrison, poète du chaos

Je ne sais pas trop comment aborder cette critique, tant j'ai été happé par certaines phrases bien lancées dans ce roman graphique. Mais est ce bien ses mots, à Jim, ou bien s'agit-il d'une fiction bien pensante ? Le bon dans cette BD c'est que l'on revit les errements de Jim. Sans en connaitre en fin de compte la réalité. Mais est ce bien nécessaire. Un bon ouvrage pour un fan de Jim Morrison.
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Corps et âme

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UN BEL ALBUM



Commençons pas le dessin. Eh oui puisque c'est une BD. Beau, belles mises en pages, beau réalisme genre moderniste, belles pépés qui me rappellent celles de Ricard dans Charlie (le vrai, le seul, le mensuel) des premières années. Belles couleurs. Tout pour plaire.



Puis le scenario. Une intrigue policière à la fois simpliste et tarabiscotée. Un entrecoupage de foreflashes déroutant. Sans doute pour évacuer la simplicité de l'histoire qui se devine dès le début. C'est un peu le problème de la BD, les bons scenaristes font des bouquins. Toutefois cela passe. Les dialogues sont corrects, bien posés dans leur phylactères. Longueur de l'album comme il sied à une belle histoire. Ce n'est pas de l'expédié en cinquantes pages.



Bref. de quoi passer un joli moment, bien que ce ne soit pas assez onirique pour moi. Je mets seize sur vingt.





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No future

Beurk !

Il y a des bonnes idées dans les décors, façon “Le cinquième élément”, des illustrations assez magiques, du moins quand il n’y a pas de personnages, mais ça ne suffit pas pour faire passer les relents nauséabonds et réactionnaires de cette histoire.

Imaginez qu’une dictature woke lgbtqia+ végans impose sa tyrannie sur cette société futuriste, on n’a même plus le droit de fumer une clope ou de conduire une voiture qui pollue, vous rendez-vous compte, sans oublier le racisme anti-blanc-hétéro. Les auteurs s’amusent à à retourner les codes, les hommes blancs hétéros sont les nouveaux parias, les écolos sont les pires pollueurs et la bien pensance on l’emmerde, ça se veut subversif, mais ça ne fonctionne pas, au contraire, cela devient totalement réactionnaire, du genre “regardez ce que ces féminazi voudrait nous infliger !”. Ambiance et esthétique des années 80, une intrigue de polar du futur déjà vu des milliers de fois, ça pompe les bonne idées, et aussi les mauvaises.

L’humour est d’une lourdeur incroyable, au raz des pâquerettes, tel que les auteurs voudraient faire passer pour du second degré, on dirait un débat chez Pascal Praud, et Michel Sardou aurait pu chanter cette histoire. Je me suis demandé sur quoi j’étais tombé, chaque page que je tournais me mettait dans un état de consternation. Corbeyran est un auteur que je ne connais pas très bien malgré sa production très prolifique, j’ai du mal à comprendre comment il est arrivé à pondre ça. Quant à Jef, je me rends compte en fermant ce livre que je l’ai déjà découvert avec "Le Convoi", tout aussi affligeant. Jef détient le triste privilège de détenir deux ans à la suite le titre de pire lecture de l'année (je sais, l'année n'est pas finie, mais il sera dur à détrôner). Désormais, quand je verrai son nom, je passerai mon chemin.

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No future

Un scénario qui sonne un peu creux. On pompe le visuel du film 'le 5eme élément' et on rajoute du wokisme, écologisme, feminoterrorisme. Un zeste de voyages dans l'espace et quelques scènes de tir de laser a la Star Wars. Bref c'est un méli-mélo sous des couleurs pastels. Mais ça ne fait pas une œuvre indispensable.
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No future

No future signifie qu’il n’y a pas de future. Or, on se situe bien en l’espèce dans un futur marqué par le matriarcat et le libéralisme dans un monde à la Blade Runner. J’ai été assez choqué de voir des similitudes presque copiées sur le film de Luc Besson « le cinquième élément » mais bon, les influences sont normales. Pour l’originalité, il faudra repasser.



L’élément un peu distanciel est l’introduction de référence à la culture des années 70 à 80 ce qui rend les situations assez anachroniques. J’avoue que cela manquait singulièrement d’authenticité.



Par ailleurs nous avons encore une femme guerrière qui a la main lourde sur la gâchette comme si c’était un fantasme d’homme. J’avoue que je préfère nettement la gente féminine dans un autre registre que la guerre et la violence. Oui, c’est une affaire de goût. J’ai eu peu de sympathie pour une héroïne bodybuildée et honnêtement très vulgaire. Pour la grâce et l’élégance, il faudra repasser !



Le thème est celui d’interdire l’exploitation des voyages touristiques destinés aux milliardaires sur d’autres planètes. Le tourisme spatial est en ligne de mire. Avis à nos multimilliardaires qui construisent actuellement ce type de navette. Bon, en même temps, ce n’est pas un voyage sans risque comme l’a démontré la tragédie du Titan voulant explorer le Titanic. Bref, des thèmes d’actualité.



Qui plus est, les couleurs sont « basiques de chez basiques » et n’offrent aucun réel attrait.



Je n’ai pas trop aimé ce one-shot multivitaminé pour les raisons invoquées mais je pense que cela peut plaire au public. C’est comme au resto : vous êtes alléché par un plat, le commandez et êtes déçu de ce que vous retrouvez sur votre assiette.

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No future

C'est plutôt une bonne surprise. Je n'étais pas fan du dessin en commençant ce pavé (plus de cent pages), ni même des couleurs, très "comics".

Mais je me suis laissé embarquer dans une histoire bien construite.

Et j'ai souri à l'humour discrètement corrosif des deux protagonistes principaux. J'ai commencé à avoir de l'empathie. Et même si certains visages ne me plaisent pas (Ratchead Kammer) car trop dans l'exagération botoxée, je me suis habitué, j'ai kiffé ceux de Halen (pas Hélène ! ) et de Jean Claude Belmondo...

Et entre nous (chuuut !) des héros genrés hétérosexuels qui clopent et qui picolent en rêvant d'un vrai steak dans un monde régit par des bonnes femmes végan wokes autoritaires non racisées, tout ça sans une scène de sexe, de nos jours, c'est devenu marginal !

Une très agréable bande dessinée très rythmée et très régressive. Bobowokis s'abstenir.

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Deux hommes en guerre, tome 2 : La Trahison..

J’ai préféré ce deuxième tome au premier, d’une part parce que je me suis un peu habituée au dessin (même si je ne l’apprécie toujours pas), d’autre part parce que certains éléments de l’histoire s’éclaircissent.

Néanmoins mon opinion reste très mitigée sur ce diptyque.
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Deux hommes en guerre, tome 1 : Le ministre..

J’ai été attirée par le titre de cette BD, le ministre et l’espion, tout un programme quand comme moi on aime les thrillers politiques et les romans d’espionnage, et par le dessin de couverture.

Mais pour le moment, j’ai été déçue. Je n’ai pas tout compris à l’intrigue, et je n’ai pas accroché au dessin. Ce n’est néanmoins que le premier tome d’un diptyque et j’attends le suivant pour voir ce qu’il en est des destins liés de Jacques Dufeutel et Charles Weber.
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Corps et âme

J'ai beaucoup aimé le dessin et les couleurs par lesquels Jef a illustré cette histoire pleine d'humanité, de violence et de sang. Les trois premières planches, dont la taille est croissante, montrent simplement des yeux, très beaux, féminins, et pourtant le héros est un homme...



Les traits des différents personnages sont bien travaillés, présentant des expressions réalistes et changeantes suivant situations et sentiments exprimés, les corps féminins sont très beaux malgré leurs physionomies souvent dures, notamment celle du héros devenu une héroïne.



L'histoire, si elle demeure classique, avec investigations, meurtres, vengeance, présente l'originalité d'une mutation de genre et de sexe non désirée qui m'a semblé finalement peu à peu acceptée par l'intéressé(e). Le scénario est bien ficelé et l'action menée avec célérité, sans temps mort,



On plonge vraiment corps et âme dans cette bande dessinée de très bonne qualité.

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Corps et âme

Walter Hill ? Que vient faire le producteur et réalisateur US dans cette BD française ?

Pour ceux qui, comme nous, ne savaient pas, la collaboration entre Walter Hill et le scénariste Matz ne date pas d'aujourd'hui : Du plomb dans la tête au cinéma, Balles perdues en BD.

Matz (aka Alexis Nolent) c'est le scénariste de la série fleuve Le tueur (déjà un de nos coups de cœur).

Et pour compléter le trio, ce sera Jef (aka Jean-François Martinez) le dessinateur de Balles perdues et de la série 9/11.

Une fine équipe aux commandes de cette BD (un seul volume one-shot, ouf !) : Corps et Âme.

Et donc encore une histoire de tueur.

Mais une histoire de tueur pas comme les autres (ni l'histoire, ni surtout le tueur) car Franck, le tueur, le mauvais garçon, va se transformer sous nos yeux et c'est rien de le dire ... donc on n'en dit pas beaucoup plus mais vous devinez peut-être déjà ce qui va lui arriver.

Le dessin de Jef est nerveux mais pas trop, les ambiances sont sombres mais pas trop : les planches sont superbes et certaines très sexy. Le texte est au rendez-vous (on connait Matz), le scénario qui combine plusieurs vengeances est riche, sans faille et particulièrement bien monté (la patte ciné de W. Hill peut-être ? qui prévoit d'adapter cela au grand écran l'an prochain) et tout cela donne un très bel objet.

Un scénario à la précision chirurgicale et des planches au dessin esthétique (ah, ah).

Un bel album très réussi, qui tombe vraiment à pic au moment où les obscurantismes de tous bords s'acharnent à réglementer les genres et les transgenres. À faire connaître d'urgence !

Si certaines planches n'étaient pas si sexy, cette BD aurait pu être au programme scolaire !

Pour celles et ceux qui aiment les Bd de genres.
Lien : http://bmr-mam.blogspot.com/..
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No future

Le No Future du titre trouve son origine dans le premier dessin de cette BD, une cassette audio d’un album des Sex Pistols. C’est avec cette musique dans les oreilles que l’héroïne drôle, survoltée et déterminée surnommée Halen arrive dans la ville où elle a rendez-vous. Les couleurs de ses vêtements, son attitude rebelle, sa démarche vigoureuse dénotent avec le côté officiel du lieu de rendez-vous. Halen a une mission simple à remplir pour renflouer les caisses. Alors elle y va et là, tout dérape. Elle rencontre un type, autre inadapté de cette société matriarcale.



Avec de nombreuses références musicales, littératures ou encore cinématographiques au XXe siècle, à la culture punk, à la science fiction, les auteurs nous embarquent dans une comédie d’aventure. Les personnages éveillent la sympathie tant la société dans laquelle ils évoluent est aseptisée. Les dialogues claquent, comme dans les romans de Jean-Patrick Manchette.



Les dessins y apportent une finesse fascinante. La société est uniforme et lisse. Jef utilise donc les surfaces qui facilitent les reflets pour amplifier la confrontation entre les deux rebelles et les autres. Chez Halen et Jean-Claude, tout dépasse. Le personnage d’Halen, par ses expressions, son attitude et son désir d’indépendance, est un très beau personnage de bande dessinée. Elle porte des talons, ne cesse de bouger la tête, arbore un air renfrogné. Lui est mal rasé, pas très bien réveillé. On ne peut ne pas les voir. Ils sont tellement différents, tellement uniques qu’ils font tâche. Jef s’amuse de tout cela et son élégance fait mouche. Dans l’ordre de la société ou le chaos qu’ils provoquent, elle et lui amusent, aiment et se balancent de tout.
Lien : https://tourneurdepages.word..
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No future

No future a une ambiance Blade runner, sans la noirceur du film, mais aussi un sentiment très John Difool pour l'atmosphère.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Convoi

Pas réussi à aller jusqu'au bout de cette histoire bizarre qui ne m'a pas plu, i le dessin, ni les personnages (parfois malsains), ni l'humour. Bref rien sauf la couverture plutôt chouette. Les road trip dans les univers post apocalyptique ne sont ma "tasse de thé", j'aurai du le savoir..
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No future

Nous voilà dans le futur ! Et pas le plus sympa des futurs. Interdit de boire, de fumer, de se marier si on fait partie d'un groupe de personnes, tout est calculé, contrôlé et la moindre action en dehors des clous vous fera arrêter !



L'histoire est très très classique. Stella qui représente la femme riche et surtout qui représente le genre de très grosse société qui se moque de l'écologie et qui n'a qu'une envie, faire masse argent.

C'est vu, vu, vu et encore vu. Ce scénario on le connaît tous. Et, encore une fois, on nous le sert ici.



Ça manque cruellement d'originalité et de profondeur. L'histoire est donc bateau...Quant au récit, aucune surprise.

c'est ULTRA cliché. En permanence, sur tout et n'importe quoi. C'est vraiment dommage.



La satire est poussée au maximum et tous les sujets liés à l'écologie, le féminisme ou encore les idéologies radicales sont poussées à l'extrême.

Ici, le récit n'a pas besoin de soutenir l'histoire. Celle-ci étant basique, on sait très bien comment elle va se terminer.



Le récit se contente donc de jouer sur les clichés tout au long de l'album. Les personnages eux, sont sympas. Leur caractère est lui très caricatural, mais les dialogues sont sympas et l'humour, souvent second degré est lui aussi bien amené.



Les dessins en revanche relèvent vraiment la qualité de l'album. C'est beau, très beau même !

Certaines planches sont vraiment magnifiques, les extérieurs sont d'une très grande précision et on est plongé dans un univers futuriste, proche cyberpunk avec brio !



C'est dommage car on se retrouve avec un album en demi-teinte. Ce n'est pas mauvais mais ce n'est pas non plus génial. C'est neutre.
Lien : https://www.labulle-lunelopo..
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No future

Raaaaaahhh! Qu'est-ce que c'est que cette intrigue? Même si le scénario - de la multinationale toute puissante qui se fiche des conséquences écologiques et sociales de ses actions pour faire à tout prix du profit - reste d'actualité, il est trop éculé, dommage de n'y apporter rien de neuf et aucune subtilité.

Le reste est cependant jouissif (si on sait faire preuve de second degré) : Le dessin des décors, des véhicules est précis et splendide ; les détails font de l'ambiance cyberpunk une réussite ; les personnages - volontairement clichés et caricaturaux - sont délicieux ; mais le meilleur reste la satire - au travers de la peinture d'une société matriarcale et écologiste extrémiste et hypocrite - du radicalisme de certaines idéologies woke, féministes, ou encore écologistes. Ca fait plaisir de voir une œuvre culturelle s'attaquer au excès de la bienpensance.
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