Leïla G.

Pourquoi a-t-on envie d’écrire ? Partager ses rêves et ses douleurs avec le monde entier, se créer un monde fictif pour se protéger de la réalité, coucher par des mots ce que l’on n’a jamais vraiment réussi à exprimer de vive voix…

Il est des rencontres suprenantes, sur le chemin de la vie.
Ni l'âge, ni la nationalité, ni l'argent ne comptent dans ce qui est vrai.
Ce sont seulement des relations de coeur à coeur.
On ne les oublie jamais.

Nous décidâmes de partir vivre à l'étranger.
Grande décision. Un virage à cent quatre vingt degrés.
Une nouvelle vie, une nouvelle page, un nouveau départ. Comme si mes démons ne pouvaient pas prendre l'avion...

Je ne sais que trop bien l'effet du poids du passé sur un corps humain fragile. C'est porter un sac de trente kilos en permanence [...] Quand je joue du piano, j'ai le sentiment de réussir à poser ce sac. [...] J'ai à nouveau l'impression de déposer mon sac lorsque j'écris.

Ma vie était une perpétuelle quête de refuges.

Les gens réagissent aux messages que nous transmettons et les victimes attirent les bourreaux, c’est la loi de la jungle.

Le jour où j’ai commencé à écrire, j’ai commencé à m’accepter.

- La mémoire va vous revenir... n'ayez pas peur, ne forcez rien. En tout cas, elle est là... quelque part.
Il fait une nouvelle pause et se tourne vers moi.
- J'ai appris que le cerveau peut s'égarer ... mais que le corps n’oublie pas, finit-il par lâcher...

La différence se remarque, attire l’œil. Elle interpelle et elle angoisse. C’est comme ça il n’y a rien à faire.

La vraie famille ne s'encombre pas des liens du sang, ce sont des relations de coeur à coeur.

Et j'ai appris qu'il ne faut rien brusquer. La mémoire va vous revenir... n'ayez pas peur, ke forcez rien. En tout cas elle est là.... quelque part.
Il marque une nouvelle pause puis se retourne vers mois.
-Le cerveau peut s'égarer... mais le corps n'oublie pas, finit-il par lâcher.

Je m'agitais dans tous les sens pour ne pas penser, je donnais aux autres ce que je n'avais pu recevoir, je vivais à moitié et seulement pour les autres.

Le contentement est une des merveilleuses clés du bonheur. La gratitude est la mémoire du cœur...

Le cerveau peut s’égarer… mais le corps n’oublie pas.

"Il y a des rencontres surprenantes sur le chemin de la vie. Ni l'âge, ni la nationalité, ni l'argent ne comptent dans ce qui est vrai. Ce sont seulement les relations de cœur à cœur."

Moi aussi j'aimerai que ma vie soit un beau voyage. Mes parents m'ont mis sur leur bateau, un horizon infini s'offre devant moi. Inconnu, indécis, inconstant. A moi d'apprendre à naviguer.

Et le self au milieu, une véritable immersion dans le cosmos chatoyant du passage à l’âge adulte. Une sphère privée où toutes les espèces évoluent ensemble, se jaugent, s’évaluent, se rentrent dedans.

La différence se remarque, attire l’œil. Elle interpelle et elle angoisse. C’est comme ça il n’y a rien à faire.