Leo

Je trouve que cet bd est vraiment super une aventure plein de suspens, de tristesse, de joie ( rarement mais bon ) ext .

Je vous conseille de le lire car moi qui est une jeune lectrice j'ai adoré cet bd plaine de fantaisie .

Très bonne série, de science-fiction. Les personnage sont peut-être un peu trop stéréotypés, mais c'est une BD grand public et on se laisse néanmoins facilement emporter par l'histoire...

Les graphisme sont très agréable et les couleurs leur rendent hommage.

Un flash-back, une bonne construction, des décors à la fois classiques, western, et des touches se détachent pour en faire un monde nouveau. Les hommes en blanc c’est aussi un rappel du Ku Klux Klan. Une poursuite infernale et de mystérieux fantômes. On aime.
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Une histoire classique comme on les aime, aux multiples rebondissements, saupoudrée de créatures mystérieuses et ne négligeant ni l’écologie, ni la politique, ni la réflexion. [...] Magique !
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Les fans de la première heure comme les néophytes goûteront avec plaisir à ces nouvelles aventures intergalactiques.
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Cap sur la planète habitable Bellatrix située à 240 années-lumières de notre soleil. Les habitants ressemblent aux hommes de la Terre ce qui conduit les extra-terrestres à confier à nous deux héroïnes Kim et Manon une mission d'infiltration de la plus haute importance.



Il s'agit d'influer sur une élection présidentielle en cours comme l'ont fait par exemple les russes pour permettre celle de Donald Trump dans la mise en place d'une politique rétrograde vis à vis des femmes notamment en matière d'avortement. Bref, la servante écarlate n'est pas très loin.



Je dois quand même avouer que le pitch ne semble pas très convaincant à savoir qu'un gouvernement peut déclencher la fin d'une civilisation par des idées rétrogrades. Généralement, ce type de gouvernement est balayé dans des élections ultérieures à moins de se vouer dans une féroce dictature.



C'est sans doute l'aventure des mondes d'Aldebaran la plus politisée pour voir comment une civilisation peut basculer dans la haine et l'exclusion, en l’occurrence en s'attaquant aux femmes. On observera la patience de Kim contre une certaine forme d'abandon de la part de Manon en ce qui concerne l'ouverture d'esprit d'un jeune de 17 ans recueilli au cours de leur périple.



Une autre scène montrera un avion en feu au motif que si Dieu avait voulu que les hommes volent, ils auraient eu des ailes comme les oiseaux alors inutile de le défier avec de la mécanique. Bref, c'est assez poussé dans le paroxysme...



Pour le reste, les ingrédients sont toujours les mêmes et c'est toujours mené avec autant de talent par Léo au niveau du scénario qui réserve bien des surprises sur fond de mystère. Moi, j'adore et je crois que je ne me lasserais jamais. Il faut dire que Bellatrix inaugure le 7ème cycle des mondes d'Aldebaran après 26 albums parus. Bref, l'aventure continue avec le même plaisir de suivre ces perosnnages qui se battent pour un monde plus juste.

Entre un canevas éculé et des péripéties téléphonées, le résultat déçoit, malgré une mise en image soignée et le style unique (la faune !) de son auteur.
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Nouvelle série de Leo reprenant ses deux héroines préférées, Manon et Kim.

Leur nouvelle mission est d'analyser le risque qu'a une planète dont le développement est similaire au XIXeme siecle terrien de tomber entre les mains de politiciens intolérants et sectaires.

Leur but n'est pas forcement très clair : intervenir ou pas?

Les deux jeunes femmes habillées comme des hommes, se font très vite remarquées dans ce monde clairement misogyne par des hommes qui compilent tous les défauts possibles et imaginables! Leur coté féministe est d'autant plus appuyé qu'au final leur volonté de passer inaperçue est contredit par leur comportement.

Pour les amateurs de Leo (dont je suis) car si le graphisme reste identique à ces précédents opus, le scénario n'est pas très subtil.

On entame un nouveau cycle des mondes d’Aldébaran et on retrouve Kim et Manon ensemble en mission sur la planète Bellatrix, habitée par une population extra-terrestre très semblable aux humains et vivant dans un équivalent du far-west au XIXème siècle.



On retrouve un nouveau monde (j’adore plonger dans l’imagination de Léo) avec une faune un peu exotique (assez peu sur ce premier tome), un mystère (mais qui semble assez éloigné de la mantrisse. J’ai perdu espoir d’en apprendre plus sur elles) et une organisation sociale sur le point de basculer dans l’intolérance et la misogynie, assez proche de ce que Léo dénonçait déjà dans Antarès.



C’est un bon premier tome qui donne envie de connaître la suite. Kim semble un peu moins super woman que dans les derniers tomes et ça fait du bien car je commençais à trouver que les cycles se ressemblaient. L’équilibre entre Manon, Kim et les deux adolescents qui les suivent est intéressant.



Sans retrouver la fraîcheur du premier cycle, qui reste un de mes classiques, ce nouveau cycle m’a plu et j’attendrai encore avec impatience la sortie de la suite.

Un album qui réussit quand même à surprendre sur une recette narrative assez classique : on dirait parfois un épisode de « retour vers le futur » avec un message féministe appuyé. Reste à transformer l’essai dans une suite cohérente qui maintienne notre interêt …
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Debut d'un 7e cycle pour les mondes d'Aldebaran où l'on va retrouver Kim et Manon. Ces dernières sont appelées pour une nouvelle mission sur une lointaine planète : Bellatrix.

Cette planète est peuplée par des humains mais ils vivent une période politique tourmentée qui risque de les faire basculer vers une société rétrograde.

Les scénario de Leo ne sont guère originaux et la lutte contre le sectarisme religieux et politique est souvent présent. Cela reste agréable à lire, il y a des rebondissements et le message défendant les valeurs féministes est honorable.

Le dessin de Leo ne bouge pas d'un poil au fil des albums même inventivité dans la faune et laflore d'une nouvelle planète et même défaut dans les attitudes très raides des personnages.

Après une aventure près de Neptune très soft niveau créatures et dialogues lourdingues, nous retrouvons Kim et Manon dans un nouveau décor, une planète où la vie ressemble à celle des habitants de l'Ouest américain du XIXe siècle.

3e planche, 1e dialogue de l'histoire...et le sujet est : le physique de Kim!

Bref, on retrouve les vieilles habitudes mais je pousse un premier (long soupir).

Nos deux héroïnes se retrouvent ensuite aux prises avec l'obscurantisme religieux et l'asservissement de la femme...thème que Léo avait déjà exploité dans d'autres sagas, dans Antares notamment...(et comme il s'en rend parfaitement compte, Kim souligne elle-même cet état de fait) le tout amené au chausse-pied avec la finesse et la subtilité d'un hippopotame...2e soupir.

Le postulat de départ de toute cette histoire, expliqué après quelques pages est relativement intéressant quoique pas très original. Et qui pourrait croire qu'une civilisation étrangère à la Terre et non issue d'elle puisse développer non seulement le même physique mais aussi les mêmes systèmes politiques et les mêmes codes vestimentaires??

Je me pose trop de questions, sans doute, et je dois simplement accepter l'idée que Léo voulait juste faire un Western.

Bref, au final, l'histoire est lourde, les dialogues pesants...

Reste, comme souvent, la faune et la flore quoique ça ne parvient plus, pour moi et depuis longtemps, à compenser le reste...

Les deux premiers albums de ce cycle nous présentent les différents protagonistes. Nous connaissons encore peu de chose sur Betelgeuse, si ce n'est qu'elle abrite des animaux mystérieux, les iums, dont le degré d'intelligence est à l'origine des querelles entre les deux groupes de survivants. Les dessins de Léo sont magnifiques et l'intrigue nous donne envie de lire la suite.

J'ai adoré toute la série de Betelgeuse à Antarès. Cette colonisation d'autres planètes par les terriens avec cette réflexion sur le rapport à la nature, aux autres et à soi, plus particulièrement à travers le personnage de Kim, l'héroïne m'a beaucoup interpellé.

Bref, si vous êtes fan de SF, mais que vous aimez aussi le rapport à la nature et que vous avez des interrogations quant à notre devenir, lisez cette BD, vous ne serez pas déçu !

J'ai apprécié, comme dans le premier intégral, le monde créé, la faune et les flore. Mais le paysage étant le meilleur des personnages, il m'a été difficile de m'accrocher à la lecture. J'ai trouvé les personnages et leurs dialogues insipides et j'ai fini par lâcher l'affaire.

Prologue ultra classique d'une nouvelle série de Space-Opera signée Léo, Rodolphe et Janjetov. Je ne suis pas fana du dessin, et si le scénar sème quelques scènes avec un peu de suspense et de mystère, on arrive à la fin de ce premier album avec un sentiment mi-figue mi-raisin mais avec, aussi, pourquoi pas quelques raisons d'espérer un décollage dans les tomes à venir. Quelques personnages hautement sympathiques parsèment ces planches, comme Bram, ou plutôt bien pensés, comme les jumelles June et Joy. Mais j'espérais tout de même beaucoup plus de Centaurus que d'éprouver une certaine sympathie pour ses personnages.

Une entrée en matière rebondissante.
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La Terre devenue inhabitable est un lointain souvenir pour cette communauté qui depuis des siècles arpente l'espace à la recherche de la terre promise. Et justement, elle est en vue mais pas si hospitalière que prévue. Une expédition est donc programmée. Parmis les membres qui débarqueront les premiers il y aura Joy et June, des jumelles aux curieux dons, et leur ange gardien Bram.



Il s'agit là clairement d'un tome d'introdcution. Les bases sont posées pour la suite des évenements et les différents personnages ont été présentés.

Nous débarquons ici dans du pur Léo et son univers science-fiction. La découverte d'un monde vierge (ou presque car il faut bien quelques extraterrestres), une nouvelle faune (ici au accents dinosaures) et flore, et une petite équipe de jeunes gens. Il a bien du mal à se renouveler et à trouver des idées originales. Bon après c'est toujours sympa à lire hein, mais ça donne une impression de déjà vue.

Néanmoins je souligne que les jumelles forme un duo intéressant qui semble prometteur pour la suite.



Les dessins ne sont pas vraiment extraordinaires mais ça va... Eux aussi restent dans l'univers de Léo bien que réalisés par Janjetov.

Après Aldebaran, Centaurus promet beaucoup aux lecteurs. La suite va se faire attendre…
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C'est reparti pour une épopée intergalactique, des relations humaines délicates et quelques bébêtes chatouilleuses. Pourquoi changer une recette qui marche ?
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