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Mary la Noire, tome 2 : La Passe de l'au-delà de Rodolphe
La vieillesse pénétra mon corps comme le froid de l’automne pénètre les demeures…
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Europa, tome 1 : La lune de glace de Rodolphe
Restez assise et conservez le garde-à-vous pour les cérémonies. Nous sommes des astronautes, pas des soldats!
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Memphis, tome 3 : Le Pays sans nom de Rodolphe
– qu'est-ce que tu regardes ? [...] – le ciel... autrefois, il y avait un drôle de phénomène... Ils appelaient ça "pluie". il y avait même dans les journaux des rubriques spéciales pour l'annoncer... – qu'est-ce que c'était ? – de l'eau ! ... de l'eau qui tombait du ciel ! – ho ? – comme je te le dis... |
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Pur-sang, tome 1 : Red Bird de Rodolphe
La saison des pluies dure ici presque six mois. Seuls la terre et les végétaux s'en réjouissent.
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L'Heure du loup de Rodolphe
Certes il n'a jamais été vraiment facile de mourir ; toutefois les sociétés traditionnelles avaient l'habitude d’entourer le mourant et de recevoir ses communications jusqu'au dernier souffle. Aujourd'hui, dans les hôpitaux et les cliniques, le mourant bénéficie sans doute d'une assistance technique plus efficace, mais on ne communique plus avec lui. Il est seulement observé comme un sujet clinique, isolé si possible, traité comme un enfant irresponsable dont la parole n'a aucune autorité. N'ayant plus de valeur sociale de statut, il n’a plus de dignité.
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Mary la noire, tome 1 : Les Trépassés de Rodolphe
[Lord James] Je suis ainsi fait : le mystère m’enivre, le surnaturel me grise… Je me délecte des rêves noirs et des songes morbides comme d’autres font des sucreries.
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Mary la noire, tome 1 : Les Trépassés de Rodolphe
- Mais ?! N’avez-vous pas plongé ? - Ben non…. C’est que je ne sais pas nager… - Vous ? Un marin ? - C’est vrai, M’sieur ! Ici, y a personne qui sait ! C’est mieux : s’y a naufrage, plutôt que s’débattre et agoniser des heures, on coule à pic et la farce est finie ! |
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Mary la Noire, tome 2 : La Passe de l'au-delà de Rodolphe
J’entrepris de partir à la découverte de l’île et de ses curieux habitants… Je constatai en effet, en effet, l’étiolement de certains d’entre eux… Leurs peaux et leurs corps tout entiers devenaient diaphanes comme s’ils perdaient progressivement matière et réalité… […] Comme je le remarquai rapidement, les contacts n’étaient pas aisés : leurs propos semblaient souvent un peu décalés et eux-mêmes un peu absents, comme perdus entre leur vie passée et présente… entre enfance et sénilité…
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John Le Noir était seigneur de quelle ville ?