Mauricet

C'est encore une fois la couverture qui m'a attirée alors que je faisais du rangement dans la médiathèque pour laquelle je travaille. Après avoir feuilleté quelques pages, je me suis décidé à lire cette bande dessinée afin de pouvoir conseiller mon jeune public.



J'ai été enchantée de découvrir le personnage de Mademoiselle Louise. Cette dernière, avec un père millionnaire aurait tout pour être heureuse : vivant dans un somptueux domaine avec salle de jeux, , piscine, télévision dernier cri et j'en passe à sa disposition, Louise a de quoi faire des envieux. Et pourtant, elle, tout ce qu'elle aimerait, c'est ne passer que quelque temps avec son père. Ce dernier est bien entendu très attentionné envers sa fille qu'il adore et n'hésite pas à la couvrir de cadeaux mais avec son boulot, il est tout le temps aux quatre coins du monde. Aussi, Louise se retrouve-telle la plupart du temps seule avec sa nounou, la brave et adorable Millie qui fait tout ce qu'elle peut pour prouver à Louise que son père pense à elle...



Une bande dessinée avec des courtes historiettes assez sympathiques. De plus, le graphisme est extrêmement bien travaillé et cela est un grand plus. Un ouvrage qui je pense plaira plus à mon jeune public féminin que masculin mais quant à moi, il n'y a pas photo : j'adore et je vais voir si je ne possède pas dans mon fonds en médiathèque d'autres aventures de cette chère Mademoiselle Louise !

Premier tome d'une série qui connaît un véritable succès, l'élève Boulard a ensuite été intégré dans la série de bande dessinée dédiée aux profs, tout autant loufoque et barrée !

Comment décrire l'élève Thierry Boulard ? Ben tout simplement en l'archétype de l'adolescent glandeur, du cancre qui ne s'en cache nullement, le gros fainéant qui ne cesse d'envoyer des sms en classe, qui préfère draguer plutôt qu'étudier (mais qui s'avère piètre dans les deux cas) et qui met tous ses profs en rogne.

Cet énergumène nous rappelle certains de nos cancres de classe mais (à ma connaissance du moins) avec la puissance 1000 tant le personnage nous fait marrer par ses répliques et son attitude, mais aussi peut nous inquiéter car il reflète hélas une vérité criante : le décrochage scolaire et l'ennui de certains élèves en cours.

Est-ce que voyager dans le passé à un moment clé de votre vie vous tenterait pour qu’avec votre expérience acquise vous fassiez les choses différemment ?



C’est ce que font Hildy et ses amies sont capables de faire. Hildy vit dans un immeuble de luxe à New York, le Bellicent, qui lui permet d’user de son propre portail temporel. Elle a la maladie d’Alzeimer se développe et une aide-ménagère la rejoint au moment où elle s’apprête à faire le grand saut.



Elles retournent dans les années 70, juste avant le mariage d’Hildy et quelque chose tourne mal, Hildy revient au présent avec une enfant de l’époque ! Dérangeant le cours du temps.



J’ai adoré les illustrations, hautement colorées, ainsi que les portraits très marqués par l’âge, les pensées et les événements. C’est plus du dessin de Comics que de BD classique mais cela sert bien le teneur de l’histoire.



Les personnages ont beaucoup de personnalités et les femmes font partie de celles qui ne s’en laissent pas compter.



J’ai regretté le côté un peu brouillon de la fin qui a nécessité une relecture pour bien comprendre ce qui se passait et j’aurais aimé qu’il y ait une présentation des personnages et de leur situation un peu plus détaillée.



#GILTLaguildedestemporalistesindépendantes #NetGalleyFrance



Challenge Gourmand 2023/2024

Challenge 50 Objets 2023/2024

Challenge Féminin 2022/2023

Challenge Riquiqui 2023

Tout comme mon amie cici899 (qui est aussi ma collègue), j'ai trouvé sympa de lire cette BD qui nous transporte dans les salles du Muséum de l'Institut royal des Sciences naturelles de Belgique avant les travaux de rénovation de 2007.



Max et Robin y effectuent un atelier avec pour thème les traditions des chasseurs-cueilleurs de la préhistoire. Max trouve dans une boîte qui traîne dans le couloir le fameux bâton d'Ishango et se pique le doigt avec un quartz qui se trouve au bout. Toute une série de choses étranges vont alors se produire...



J'ai beaucoup aimé les dessins, par contre, je n'ai pas été séduite par le scénario.



La BD commence avec une introduction historico-scientifique sur laquelle on a fait l'impasse. Par exemple, le bâton a été découvert en 1950 et donc je me demande l'intérêt de changer la date (1957 dans l'histoire)? Quel intérêt aussi de changer le nom du scientifique qui a fait cette découverte? Et puis, le truc le plus improbable : jamais un artéfact de cette valeur ne traînerait dans un couloir. En plus, plus loin dans l'histoire, celui-ci se retrouve comme par magie dans une vitrine de la grande salle avec un système high-tech de protection???



Il y avait un peu trop d'incohérences à mon goût. Dommage.







Challenge défis de l'imaginaire (SFFF) (61)

Challenge multi-défis 2018 (9)

Mouais...Bof, bof. En fait, c'est mon marie qui a emprunté cette bande dessinée à la médiathèque où il travaille et n'ayant plus rien à lire pour le moment, je me suis dis que j'allais tenter le coup. En fait, je ne savais pas du tout à quoi m'attendre, ne connaissant pas la série "Les Profs"n ni celle en bade dessinée ni celle adaptée sur petit écran et vu que j'ai vu qu'il s'agissait ici d'un premier tome, je me suis dis que je n'avais rien à perdre, si ce n'est un peu de temps.



Ici, le lecteur retrouve donc une nouvelle série entièrement consacrée à l'un des élèves, Thierry Boulard. Ayant plusieurs ratages de bac à son actif, expert de la glandouille et de la magouille en tous genres, pro des rencards manqués avec Chloé, la fille de ses rêves ou encore de ceux qu'il n'aura jamais avec sa prof de français, Thierry est un loser de base, l'ado type qui révèle un "je m'en foutisme" extraordinaires sans se préoccuper de ce que l'avenir peut lui réserver.



Des gags parfois drôles mais surtout très lourds. Bref, très peu pour moi ! Je ne peux cependant pas dire que j'ai détesté, juste que ce ne sera pas une lecture immémorable? Travaillant dans une médiathèque, Je n'hésiterai cependant pas à le recommander à mon jeune public, aux ados pourquoi pas, si cela peut les amener à franchir la porte de la médiathèque (du moment qu'ils lisent, pourquoi pas !).

Mesdames les Enseignantes, Messieurs les Enseignants, si je m’adresse aujourd’hui à vous, c’est pour laver la réputation d’un élève trop souvent malmené par nos a priori ! Combien de victimes innocentes notre aveuglement de profs ne crée-t-il pas dans notre établissement année après année ? Combien d’élèves surdoués avons-nous très injustement méprisés ?



Mesdames les Enseignantes, Messieurs les Enseignants, je sais que mes paroles vont blesser votre orgueil professionnel. Je sais que beaucoup parmi vous auront du mal à les accepter. Je comprends votre souffrance mais la vérité est sans appel : Boulard, Thierry Boulard, que nous avons hissé au Panthéon de la Crétinitude est un génie ! Ouiiii, Mesdames ! Ouiii, Messieurs ! Nous, enseignants, nous nous sommes complètement vautrés dans les appréciations que nous avons, depuis des années, portées sur le compte de cet élève… Un surdoué ! Nous l’avons méprisé et affublé de tous les maux, de toutes les tares… Et lui, il a accepté, sans protester, en surdoué qu’il est, que nous ne comprenions rien au génie de ses pensées !



Mesdames les Enseignantes, Messieurs les Enseignants, lorsque Boulard, Thierry Boulard, nous remettait une feuille vierge de toute réponse, nous le prenions pour un crétin ! Oui ! Un crétin ! Je pèse mes mots, je devrais dire LE crétinissime absolu ! Mais, Mesdames les Enseignantes, Messieurs les Enseignants, que voulait dire cette page blanche ? Quel message subliminal, ce génie voulait-il nous faire passer ? N’était-ce pas sa manière à lui de nous montrer qu’il ne s’abaissait pas à répondre à des questions aussi basiques indignes de ses immenses compétences ? Lorsqu’il répondait n’importe quoi, des fautes d’orthographe dans les fautes d’orthographe, n’était-ce pas sa manière de nous tester ?



Depuis des années, Boulard, Thierry Boulard, brouille les pistes. Pourquoi ferait-il donc cela ? Mais pour nous étudier ! Mesdames les Enseignantes, Messieurs les Enseignants, nous sommes ses rats de laboratoire, l’objet de ses expériences, sans le vouloir, sans le savoir ! Ce surdoué nous teste. Ce surdoué a maquillé son intelligence pour mieux nous égarer, et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il a parfaitement, en génie qu’il est, réussi dans son entreprise !



Seuls les tests de notre brillante psychologue scolaire ont réussi à démasquer cet individu d’une intelligence nettement supérieure.





Critique :



Ah, BOULARD ! Thierry BOULARD ! Il m’amusera toujours autant et ne manquera jamais de me surprendre. Ce garçon, plein de ressources est un génie ! Je n’en ai jamais douté.



Une fois de plus, les scénarios et gags d’Erroc m’ont réconcilié avec les cancres (bon, je verrai si l’effet perdure à la rentrée, le 2 septembre, lorsque j’accueillerai mes nouveaux disciples plus indisciplinés les-uns que les autres). Les idées d’Erroc sont parfaitement mises en, valeur par la qualité des dessins de Mauricet et la mise en couleurs de Benoît Bekaert.



Alors, si vous vous demandez comment Boulard, Thierry Boulard, est passé du stade de cancre inégalable à celui de surdoué inatteignable, une seule solution : ruez-vous sur cet album !

Pauvre Boulard ! Comment concilier ses habitudes de malbouffe (notamment) et sa passion pour Chloé, plus que jamais décidée à manger sainement, BIO et végétarien, évidemment !



Et si les soucis de Boulard pour conquérir Chloé n’étaient qu’une question d’alimentation, passe encore ! Mais ne voilà-t-il pas que débarque dans l’établissement scolaire un méga-écolo en la personne de Cyril ! Non seulement môssieur Cyril lit des bouquins sur les scandales des cultures OGM, et les fait lire à Chloé, est végétarien pour pas faire souffrir les animaux, et gnagnagnabio par-ci et gnagnagnavégétarien par-là, mais en plus, il détourne Chloé le week-end en privant Boulard de sa compagnie !



Chloé ! La seule raison valable qu’avait Boulard de se rendre au Lycée ! Chloé va-t-elle lui échapper ???



Pour trouver une réponse à cet insoutenable suspense, une seule solution : vous plonger dans la lecture de Boulard 3 « En mode écolo » !



Critique :



Vive la période bénie des vacances qui permet à un vieil instituteur d’oublier la lente agonie de l’auretaugraffe, la révision des valeurs dépassées des additions, 2+2 = ce que vous voulez tant que ce n’est pas 4 qui est tellement « has been », l’accélération des déplacements des plaques tectoniques faisant de la Slovaquie un pays d’Afrique australe et cette révolution historique transformant Napoléon Ier en un joueur de foot napolitain ! Et quoi de mieux pour oublier l’enseignement, que de se plonger dans un bon Boulard ? Hein ?



Parallèlement à la série « Les Profs », Erroc donne naissance à la série centrée sur Boulard, élève modèle pour les diplômés en cancritude. Les scénarii d’Erroc sont toujours aussi drôles et basés sur l’observation des adolescents, de leurs sujets d’actualité et de leurs comportements. Erroc est français. Vive la France !



Mauricet est au dessin. Après avoir rejoint l’équipe des « Profs » créée par Erroc et Pica (au dessin), Mauricet se voit confier le soin de dessiner les aventures de Boulard. Le dessin est à se gondoler. Mauricet est belge. Vive la Belgique !



Voilà donc une parfaite illustration de ce qu’est la BD franco-belge dont on reconnaît le style.



Conclusion : Vos zygomatiques ont besoin de faire un peu d’exercice ? Votre moral est aussi bas que peut l’être le compte en banque d’un SDF ? Essayez « Boulard » garanti sans BIO, probablement bourré d’OGM… Mais franchement drôle !

Hildy Winters habite dans un bel immeuble de New York. Trista a été engagé pour être son aide à domicile. Mais la vieille dame l'embarque dans un voyage dans le temps.

J'ai vraiment passé un excellent moment en compagnie d'Hilda et Trista. L'intrigue est prenante, enchainant les péripéties. On sait bien que le passé ne doit pas être changé et les conséquences ici sont dévastatrices. On se demande alors comment nos héroïnes vont s'en sortir.

J'ai apprécié de plonger dans le New York des années soixante-dix, avec ses tenues colorées, la cigarette dans les avions, l'émancipation féminine,... Bref, le parfum d'une époque révolue.

J'ai apprécié que les personnages ne soient pas des jeunes filles en fleur, mais des femmes d'expérience. Leur côté revêche apporte aussi un peu de changement. Ce ne sont pas des personnages naïfs même si elles agissent comme elles l'entendent.

Les graphismes sont vraiment dans le style des comics. J'ai beaucoup aimé le trait plein de détails sans pour autant essayer de se rapprocher du réalisme et la palette de couleurs qui apporte un côté vintage à l'ensemble.

Sans révolutionner le genre, j'ai vraiment apprécié de lire ce roman graphique, avec ses héroïnes atypiques.

Pour Hervé il n'y a que , les potes , le canapé , les filles , les sorties , est les jeux vidéo , le groupe de rock.

Malheureusement pour sa peine , il y a le lysé , ses parents , son petit frère est surtout......... les profs.

Quelle vie de chien.

Ca me rappelle le cancre qu’il pouvait avoir quand nous étions au lysé. Il s’appelle Thiery Boulard, c’est le champion des notes de deux sur vingt, mais il arrive toujours à faire passer ses points avec une sorte de moral dont il rend presque ses parents responsables.

Merci à Babelio et aux éditions Bamboo pour cet album obtenu dans le cadre d'une opération masse critique.

Comme son nom l'indique, cet album des profs a été créé spécialement pour fêter les 20 ans de la publication du 1er tome.

Je me souviens avoir lu des planches dans le journal de Mickey avant que cela ne devienne un véritable album (en 2000, donc).

On retrouve dans cet album spécial une chronologie des albums parus avec des planches « phares » par année et par tome, sélectionnées par les créateurs Pica et Erroc, des interviews des personnes qui ont participé (et participent encore) à l'élaboration des « profs » et des informations sur la création de la BD et des deux adaptations en film.

Un album qui ravira tous les fans de la saga Les Profs.

Il ne sait faire que des plans scabreux, toujours des mauvais points, mais qu’elle plaisir de lire ses histoires.

Un tome 14 fidèle à l'esprit habituel des "Profs", idéal pour une pause relaxante entre 2 lectures + sérieuses. Il faut dire qu'en ce moment j'ai 5 livres en cours, ce qui n'est pas dans mes habitudes... J'ai toujours beaucoup lu mais là, je m'étale!



Pour revenir à cette BD: c'est agréable de retrouver des personnages qu'on connaît bien, on les retrouve avec plaisir comme une bande de potes. L'humour reste relativement facile sans être lourd. Ici, l'Education Nationale prend cher, mais ça reste bon enfant...



Contrairement à la BD "Le vétos" que j'ai lue il y a peu et qui m'a beaucoup déçu, les gags sont ici beaucoup + crédibles et drôles, car basés sur l'actualité et les clichés de la profession d'enseignant/de l'adolescent moyen. Un bon moment donc, mais comme souvent avec ce genre d'album, c'est amusant à la première lecture mais on se lasse vite. En l'occurrence il s'agissait ici pour moi d'une relecture, que j'ai appréciée mais je ne le relirais pas une troisième fois. Donc: cette BD est à échanger :)

Quelques gags drôles... C'est un peu tout ce qu'il y a à dire sur ce genre de BD. Les éditions Bamboo sont assez coutumières des BD autour des professions ou des hobbys... Pompiers, Postiers, Profs, Campeurs, Golfeurs, Pétanqueurs, Commerciaux, Vétos... manquent plus que les Pétomanes et les Incontinents, finalement... J'exige des droits d'auteur si une telle série se lance après ma chronique...



Au rayon des gags les plus convaincants, il y a les portraits d'élèves (la parfaite, la râleuse, etc.) et quelques planches sur les parents (qui prennent cher, et ce n'est pas volé). Pour une fois, le jeu de mot du titre (hilarant, oeuf corse) est un peu exploité à l'intérieur. Le smartphone s'invite dans les classes et dans la salle des profs.



Ce genre de BD n'est pas neuf, cela dit. Boule et Bill, Cubitus ou Gaston Lagaffe, pour n'en citer que 3... ce sont aussi des BD de gags en une planche. La grande différence avec les Profs, c'est que les auteurs comme Franquin, Roba ou Greg montrent de la tendresse pour leurs héros. Ici, on a davantage de raillerie et de mesquinerie à l'encontre des professeurs. Pas mon kiff.

Le concept n'est pas nouveau que celle d'une fille un peu décalée qui fait la rencontre d'un démon vampirique. C'est frais, parfois drôle et plutôt dans un concept moderne. Bref, un conte gothique qui surfe sur une vague très Twilight. Les jeunes adolescentes romantiques vont certainement adorer...



J'ai passé un bon moment de lecture d'autant que notre héroïne se démarque de ce que l'on a l'habitude de voir. Elle n'est pas belle, elle a une sexualité différente, elle souffre de dépression et de mal-être: tout cela lui donne de l'originalité et on a envie de la suivre dans ses aventures avec son amoureux tueur de chat.



Je suis pourtant mitigé au final car malgré des atouts, il y a également beaucoup de faiblesses à l'image de tous les clichés que l'on va rencontrer au fil du récit. Cela ne correspond pas vraiment à mon style de lecture et de ce que j'aime habituellement.

Je suis tombée sur cette BD en faisant les retours de prêts de la bibliothèque de l’Institut Royal des Sciences Naturelles de Belgique, dont fait partie le Musée.

C’est assez sympa de découvrir une BD dont l’action se déroule sur mon lieu de travail. Je ne serai donc peut-être pas complètement objective dans ma critique…



La bande dessinée se compose de quelques pages de documentation sur le Bâton d’Ishango avant que le récit ne commence.

Nous sommes d’abord transportés en 1957, sur le site des fouilles d’Ishango, lors de la découverte du bâton. Ensuite nous nous retrouvons dans l’époque présente, en compagnie de Max et Robin qui visitent le Musée, mais aussi les coulisses de l’Institut. La curiosité de Max le pousse à ouvrir une boite dans l'un des conservatoires et il saisit le Bâton d’Ishango à mains nues. Un phénomène étrange touche alors l’adolescent.



On découvre, au travers de la BD, le chemin d’un objet, de sa découverte à son statut de pièce de collection d’un musée.



Les couleurs sont assez sobres, les dessins sont simples mais ils représentent de vrais endroits. C’est évidemment ce qui m’a le plus plu : pouvoir reconnaitre des endroits que je fréquente tous les jours, aussi bien dans le musée qu’aux alentours.



Un petit point négatif tout de même, je ne comprends pas pourquoi l’identité de l’archéologue à été modifiée dans le récit.



Challenge multi-défis (9)

Une série de gags assez amusants prenant comme vedette le lycéen flemmard de la série des "profs" : Boulard. Atteint de flemmingite aigüe, draguant sa copine Chloé avec la finesse d'un bulldozer, dissimulant par tous moyens ses bulletins de notes à sa parents, Boulard est un cas, quelque part entre Ducobu et la série télé Soda.

L'adolescent dans toute sa splendeur ? Des gags rigolos, mes enfants aiment beaucoup. Mais parfois trop caricatural.

Trop cool comme son titre l'indique

Pour les amateurs de la série les profs. Les autres passez votre chemin y a rien à voir !