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Critiques de Nesmo (156)
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Meto, tome 1 : La maison (BD)

Cette bande dessinée est l'adaptation du tome 1 de la trilogie de Yves Grevet que je n'ai pas lue.

On découvre 64 enfants qui vivent au sein d'une maison dans laquelle règne une atmosphère terne, grise, froide, rigide, un quotidien absurde où chaque jour se répète au fil des codes à respecter sous peine de punition physique et morale. le récit se met en place au travers du regard de Méto et vivons avec angoisse sa prise de conscience de l'absurdité de la situation et son incompréhension des raisons de cette enfance encadrée par les Césars terrifiants surveillants, et les soldats dont personne n'ose voir à quoi ils ressemblent tant il vaut mieux se rendre invisible en leur présence. L'angoisse est soulignée par la disparition de certains enfants...

La professeuse documentaliste de cdicollegeguisthau
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Meto, tome 1 : La maison (BD)

Voilà que qu'on appelle une adaptation réussi. Ce tome est très proche du roman et les illustrations nous embarquent dans l'univers de méto.
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Ronces, tome 3 : Fondations fanées

Une conclusion apocalyptique nous attend dans ce dernier tome, qui voit s'affronter l'incarnation de la nature et celle de la technologie et de la science. Une conclusion à laquelle je n'ai rien compris non pas sur le fond mais sur la forme qui est bien étrange. En effet, nous suivons les pas de l'inspecteur Mornières, investi du pouvoir de voir la véritable nature pervertie des êtres et des choses. On passe tantôt de sa vision véritable à la réalité et c'est parfois compliqué de suivre ce qui se passe.

Le tome fait la part belle à l'action avec des affrontements et des effusions de sang et de boyaux et de membres déchiquetés, arrachés, broyés. Âmes sensibles abstenez vous ou détournez le regard.

Il semble au fond que Jean David Morvan nous livre là son interprétation d'un conte qui se veut en faveur de la nature face à ce qu'il définit comme le progrès ( science, technologie...) mais la forme choisie est plus contemplative et onirique car, au fond, on ne sait pas vraiment avec certitude si ce que vit le commissaire ( oui il a gagné des échelons!) Mornières est bien la réalité ou s'il rêve tout cela, l'illustration de la dernière page nous laissant dans l'expectative et avec notre propre interprétation.
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Ronces, tome 2 : Fleurs de néon

Le premier tome nous laissait en compagnie du géant après qu'il ait fait une chute vertigineuse, et qu'il soit accueilli par un groupe d'individus mystérieux.

Le scénario progresse dans ce tome et nous en apprend plus sur les origines du géant ainsi que sur le monde, et la mythologie. Il y est question du combat sempiternel entre deux divinités. Il semble que ces deux divinités incarnent deux forces antagonistes, l'une représentant la nature et l'autre la technologie. Il est donc maintenant clair que Jean David Morvan fait porter son histoire sur cette dualité extrême, et qui retranscrit à merveille nos réflexions actuelles sur le climat, la protection de la nature mais également les progrès de la technologie. Il n'en oublie pas l'homme et sa place au sein de ce combat. D'ailleurs il en donne une bien piètre image et comme son homologue d'inspecteur pathétique, l'être humain n'occupe qu'une place minime dans cet immense échiquier, et paraît plus que dépassé par les événements.

Pourtant toujours à l'image de son "héros" qui n'a rien de tel, Morvan place tout de même l'espoir dans l'être humain puisqu'il en fait le réceptacle d'une force naturelle étrange qui semble pouvoir influer sur l'avenir.

Pour autant, il s'agit là d'une lecture difficile et je ne livre là que mes impressions et mes interprétations. Un autre lecteur aura sans doute une autre grille de lecture et y verra certainement autre chose.

Toujours est il qu'il faudra attendre la lecture du troisième et dernier tome de ce conte fantastique pour s'en faire une idée globale.
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Ronces, tome 1 : Racines électriques

Étrange que ce premier tome, je le découvre avec circonspection. Nous sommes plongé au coeur d'un monde très steampunk, mais sur lequel règne une atmosphère sombre, morose, morne, triste et l'on suit les pas d'un géant venu de la campagne qui découvre la ville. Celui ci ne parle pas, il ne fait que suivre son instinct, et semble chercher ou être attiré par quelque chose.

La violence et le meurtre suit ses pas. Au fil du récit, on découvre qu'il est le meurtrier au premier degré de plusieurs personnes, en fait de toutes celles qu'il croise, mais nous n'en comprenons pas les motifs. Tous sont commis de manière horrible, le géant semble doté d'une force surhumaine. Son silence rend encore plus inquiétantes ses actions et son mobile. Rien n'est clair, le lecteur ne peut se contenter que de suivre ce qui se déroule. l'on découvre également un enquêteur qui se retrouve rapidement lié à l'affaire. Celui ci ne ressemble en rien à l'image du policier fort. Bien au contraire, un aparté nous montre sa vie quotidienne qui es loin d'être rose, entre son fils violent, cruel et tyrannique, et son épouse absente et dominatrice.

Pour le moment, rien ne nous dit ce qu'il en est, mais l'auteur semble placer en opposition la nature bienveillante, incarnée par le géant, et la technologie, l'industrie et les machines ,incarnée par la ville et ses habitants....

La suite nous en dira certainement plus...
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Meto, tome 1 : La maison (BD)

J'avais lu le roman, en avait un assez bon souvenir même si les détails étaient oubliés !

M'y replonger m'a fait à nouveau découvrir un lieu étonnant, dérangeant et mystérieux. C'est assez prenant mais j'ai été un peu déçue par les graphismes choisis. Ils sont très différents de celui proposé par la couverture, qui me plaisait beaucoup et correspondait plus, il me semble, à l'univers du roman.
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Meto, tome 1 : La maison (BD)

J'avais adoré le tome 1 et le tome 2 d'Yves Grevet (jamais eu l'occasion de lire le trois), c'est donc avec plaisir que je me suis tournée vers cette bande-dessinée. Pourtant, j'ai eu du mal à accrocher, je n'aime pas spécialement les dessins et du coup j'ai eu du mal à réellement entrer dans cette BD. Je retrouve l'histoire intrigante du roman, et ça m'a surtout donné l'envie de les relire et de découvrir le fin mot de l'histoire avec le tome 3.



Pour le collège et le lycée.
Lien : http://blogonoisettes.canalb..
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Meto, tome 1 : La maison (BD)

C'est un jeune homme qui veut tout savoir sur son lieu de vie, une maison où ne vivent que des enfants avec des règles de vie très strictes. Aucun enfant ne se rappelle de son passé.

Cette bande dessinée est bien, facile à lire et a du suspens. J'aime bien les personnages principaux et leurs divers aventures. Dans ce tome il raconte plus la vie de tous les jours.

J'attends avec impatiente de lire le tome 2. Je le conseille à tous.







Titouan.L
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Meto, tome 1 : La maison (BD)

Je ne connais pas le roman original. Je lis cette BD dans le cadre d'un festival local organisé par des médiathèques. A priori ce n'est pas le genre d'histoire qui me tente, mais je dois avouer que je suis restée scotchée sur celle ci.

Le scénario est très simple. On découvre l'environnement en suivant un nouveau. Puis, c'est un ancien qui part à la recherche des réponses à toutes ses questions.

C'est sombre, glacial, sans espoir.

L'histoire me semble inspiré de quelques grands classiques romans dystopiques. Mais je me suis laissée prendre par cet Nième version d'un avenir pas très joyeux.



Une bonne découverte

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Meto, tome 1 : La maison (BD)

J’avais eu un gros coup de cœur pour la série originale d’Yves Grevet à sa sortie en 2008. Dix ans après, le récit n’a rien perdu de son originalité ni de son intensité !



L’adaptation qui en est faite reprend à son compte l’univers et les personnages créé par Grevet et les met en image avec qualité. On retrouve le même suspens et la même atmosphère angoissante que dans l’histoire première, mais les auteurs de la BD ont su y ajouter leur patte. Les scènes du quotidien donnent un ton très robotisé aux obligations de la Maison et la démonstration de l’Inche est particulièrement magistrale. Le trait de Nesmo rappelle certains comics américains et alterne entre effets de mouvement et scènes statiques en fonction des besoins de l’intrigue...



[Suite de la chronique en cliquant sur le lien]
Lien : http://boumabib.fr/2019/01/1..
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Meto, tome 1 : La maison (BD)

Un groupe de 64 garçons vit dans une sorte de prison avec d’étranges règles. L’ambiance est bien traitée, dystopie, post-apocalyptique, amitié, méfiance, désir d’évasion... mais on retrouve les ficelles d’un genre très (trop) à la mode, j’ai l’impression d’avoir lu 10 fois cette histoire. Je ne suis pas complètement convaincu à la lecture de ce premier tome : le graphisme de m’a pas totalement emballé, on dirait que les créateurs auraient préféré en faire un film plutôt qu’une bande dessinée et concernant l’intrigue, l’application d’une recette est trop évidente. Mais je suis prêt tout de même prêt à lire la suite. L’ambiance et le suspense se tiennent, avec quelques bonnes idées, les personnages sont assez touchant.

Bien mais pas extraordinaire.
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Meto, tome 1 : La maison (BD)

C'est l’histoire de Méto, un garçon qui vit depuis toujours dans cette étrange maison seulement composée de garçons. Le plus bizarre est que , lorsque les garçons deviennent trop grands et ne rentrent donc plus dans leur lit très petits, ils disparaissent du jour au lendemain, sans laisser la moindre trace.

Dans ce premier tome, nous allons suivre le quotidien de Méto dans cet endroit étrange , rempli de mystères et son fonctionnement.



J’ai vraiment adoré cette BD. Je n'avais pas lu les livres mais l'histoire m'a tout de suite fait accrochée. Ce qui m'a plus mis à part l'histoire, c'est que l’histoire nous explique bien de A à Z le quotidien de la maison et leurs habitudes. On rentre vite dans l'histoire. Même si il n'y a pas tellement d'actions, la BD se lit rapidement et le tome 2 parait prometteur...

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Meto, tome 1 : La maison (BD)

Premier tome qui reprend le premier volume de la célèbre trilogie d'Yves Grevet : Méto. 64 garçons vivent dans un pensionnat qu'on appelle la Maison. Enfermés, ils doivent obéir à tes règles très strictes. Méto s'interroge et veut se rebeller.

La BD reprend assez fidèlement le roman.
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Meto, tome 1 : La maison (BD)

En choisissant de nous faire suivre l'intégration d'un jeune garçon à la Maison, nouvelle recrue dont Meto va être le tuteur, l'auteur nous plonge tout de suite dans l'ambiance en nous présentant à la fois son héros, l'univers anxiogène dans lequel il évolue et, à travers ses questions, une remise en cause du système. Les personnages évoluent dans un univers angoissant où tout est calibré pour que chaque jour se ressemble, où l'on s'entraîne à un sport brutal dont les joueurs tiennent plus de l'animal que de l'être humain, où grandir vaut d'être exclu (pour aller où ?) et les élèves trop curieux sévèrement sanctionnés...



Une fois l'initiation de Crassus terminée, on suivra plus en détails le parcours de Meto qui cherche, avec plus ou moins de succès, à percer les secrets de leur enfermement et à s'enfuir. Comme lui, nous resterons à la fin de ce premier tome sans réponses à toutes les questions qui se posent. Vite, la suite !
Lien : http://ocalypso.canalblog.co..
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Meto, tome 1 : La maison (BD)

Cette série SF ado de Yves Grevet est un classique à présent.



Si vous ne connaissiez pas encore l'aventure "Méto", il est encore temps de s'y mettre.



Cette adaptation BD vous permettra une petite courte échelle afin de vous mettre tranquillement en selle.







"64 garçons dans une grande maison coupée du monde. "



Attention, oubliez vos télés réalité, jeunes lecteurs, ça ne sera pas des vacances.



Chaque jeune résident est rebaptisé d'un nom romain, astreint à un planning quotidien rôdé avec des tâches récurrentes, c'est un autre monde maintenu par une discipline de fer.



Le naturel est chassé sans galop autorisé et les actes simples journaliers sont mesurés, deviennent des rituels tous calculés.



Et l'épanouissement dans tout cela?



Il y a bien du sport, il est vrai.



Des parties sportives organisées par équipes où là, au contraire, l'auteur Yves Grevet, son adaptateur Lylian, nous présentent une forme de sauvagerie maîtrisée.







La jeunesse est une vertu précieuse dans la "Maison", ceux qui font craquer le caisson qui leur sert de couche en grandissant le paie très cher.



Il ne faut pas trop en dire pour ne pas gâcher votre lecture.







Le nouveau venu, Crassus, est lentement introduit au déroulement de l'inquiétante mécanique par son tuteur Méto.



Méto suit le règlement en élève discipliné tout en glanant des informations. Sa connaissance du monde extérieur semble venir de livre et non empirique.



Il ne se rappelle pas sa prime jeunesse.



Yves Grevet sait exciter notre curiosité, Méto est aussi un "mouchard" pour les Césars, ceux qui font appliquer l'ordre.







L'univers proposé est étrange, froid, aseptisé, nous attendons évidement d'aller plus avant dans la lecture pour prendre un peu de hauteur.



Cela ressemble assez à une prison pour jeunes ados.



Mais est-ce aussi simple?



Le vrai calcul final de Méto face à une part de vérité découverte sera vite fait et sa décision sans appel.







La lecture des premières pages du roman d'origine donnait cet arrière-goût d'étrangeté, cette vision d'un puzzle aux 2/3 manquant, la BD est assez fidèle.



L'illustrateur Nesmo use de larges planches au plan incurvé, rappelant l'observation d'un oeilleton.



Qui peut bien se trouver au dessus du microscope de cette expérience effroyable et dans quel but?







Si les lecteurs accrochent, ils ne se priveront pas du roman, c'est certain.



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Meto, tome 1 : La maison (BD)

L'adaptation graphique du roman pour adolescent d'Yves Grevet est une réussite ! Ce premier tome, très fidèle au roman, pose l'ambiance de la maison, cet endroit mystérieux où ne vivent que des garçons, soumis à des règles très strictes.



Le dessin est plus noir que ce que laissait imaginer le texte, plus réaliste aussi. L'atmosphère est véritablement oppressante,



Ce tome est une introduction à la trilogie, beaucoup de questions sont soulevées sans que l'on ait pourtant de réponse. L'intérêt est réellement piqué par le cliffhanger de la fin, qui laisse présager une suite plus mouvementée...



Une aventure qui pose les questions des règles et de la liberté.
Lien : https://troisouquatrelivres...
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Meto, tome 1 : La maison (BD)

Intriguée par cette couverture, je n'ai malheureusement pas trouvé dans cette BD quelque chose qui me donne envie de connaître la suite (que ce soit par le biais du roman ou de la BD). L'univers est intéressant mais le rythme est très lent et ne suscite par l'angoisse et l'oppression ressenties par les personnages. Je pense que c'est en partie dû au manque de dynamisme dans les dessins... Dommage.
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Meto, tome 1 : La maison (BD)

Je découvre l'histoire d'Yves Grevet avec cette adaptation BD et elle est plutôt effrayante. Le quotidien des 64 (comme les pièces d'un échiquier) enfants est pesant de règles aussi rigides qu'injustifiées: il y a un horaire précis pour chaque activité, il faut compter jusqu'à 120 avant de commencer de manger et jusqu'à 50 entre deux bouchées, ils dorment dans des caisses en bois... Les activités sportives encouragent la compétition entre les garçons (ah tiens, pourquoi n'y a-t-il aucune fille?), quand elles ne sont pas franchement violentes telles "l'inche", sorte de jeu de ballon "horrible" en combinaison où tous les coups sont permis : dans cette scène de "combat acharné", les joueurs agissent de manière aussi sauvage que des animaux - et ils semblent apprécier cela. Un moyen de leur faire évacuer "une grande dépense d'énergie" (et une éventuelle frustration)? Le graphisme, de facture classique, a le mérite d'accentuer, par sa structure régulière, la monotonie de cette vie.



Et voilà que débarque le petit Crassus, dont la formation est confiée à Méto (à part ce dernier, tous les personnages ont des noms romains : Quintus, Rémus, César, Tiberius, Marcus..? Ceci dit, "meto" est un verbe qui, dans cette langue, signifie : "Je mesure" ou "Je récolte"..?). Tout nouveau, Crassus pose beaucoup de questions et réveille les propres interrogations, mises en veille, du héros : sont-ils aussi heureux que leurs gardiens veulent le leur faire croire dans cette "maison du bonheur" ? Ceux-ci prétendent, film à l'appui, avoir sauvé les orphelins d'une situation particulièrement sombre. Mais peut-on se fier à ces images ressemblant fort à de la propagande ? Les enfants ont si peu de souvenirs ("avant : rien... ou presque rien...")... Méto doute, enquête quand tout le monde dort, se méfie de ses compagnons. Crassus lui-même ne prétend-il pas entendre "une voix pendant mon sommeil", qui lui a indiqué un passage secret ?



Ainsi les mystères sont nombreux dans le pensionnat prison... Que devient-on une fois trop grand pour y rester? Méto a croisé d'étranges créatures une nuit... J'ai également remarqué que les deux seuls professeurs représentés étaient estropiés : l'un est en fauteuil, l'autre est manchot... Ce premier tome, en plantant décor et situation, déclenchent donc de multiples interrogations ! Les couleurs, sombres, entretiennent la sensation de confinement. Le scénario est concis et facile à suivre malgré la richesse de l'univers.

Un album prenant qui donne envie d'en savoir plus, d'autant plus que le héros fomente "une stratégie d'évasion" !
Lien : https://www.takalirsa.fr/met..
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Meto, tome 1 : La maison (BD)

Succès de librairie, récompensé par de multiple prix littéraire, Méto est une trilogie d'anticipation emblématique de la littérature jeunesse française depuis sa publication. Aujourd'hui elle bénéficie d'une adaptation en bande-dessinée qui permet à cette histoire de toucher un nouveau public et de faire découvrir l'univers inventé par Yves Grevet sous un aspect graphique.



Comme le roman, la BD nous plonge dans un huis-clos angoissant et terrifiant. On découvre à la fois les étranges coutumes de ces 64 garçons orphelins livrés aux diktats des Césars mais aussi le parcours d'un adolescent qui s'interroge sur son monde et ses règles.



L'ambiance sombre, carcérale et totalitaire de Méto est très bien mise en valeur par les illustrations de Nesmo mais aussi par les choix de couleurs ( dominance du marron, sépia et noire) du coloriste Christian Lerolle qui traduisent cette ambiance si particulière de la Maison dans laquelle évolue ces 64 garçons.



Lylian quant à lui, parvient à rendre l'esprit du roman, à en conserver les lignes importantes, comme il a déjà si bien su le faire sur ses précédentes adaptations de romans jeunesse ( La Quête d'Ewilan, Elleana).
Lien : http://www.lirado.fr/meto-bd..
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Meto, tome 1 : La maison (BD)

cool
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