Citations de Ram V (50)
On ne se remet jamais vraiment de son premier cœur brisé.
Je n'arrive pas à comprendre cette obsession que les mortels ont pour la mort. La cérémonie. La gravité du rituel.
Ce n'est pas pour les Dieux que je danse, mais qu'ils regardent, s'ils le souhaitent.
Peut-être que tu ne comprends pas parce que tu es la déesse de la mort. Mais nous les mortels ... On ne travaille pas les uns sans les autres.
Pourquoi as-tu pris Menaka ? Comment je suis censé vivre,maintenant ?!
Je ... n'ai rien fait ! Je ne suis plus une déesse, Darius. Je voulais seulement ..
Mensonges ! Regarde-toi !
Aucun d'entre nous n'a droit à une deuxième chance, et encore moins une troisième, Laila Starr. On dirait que le monde est incapable de se débarrasser de toi, même s'il le voulait. Qu'est-ce qui te rend si spéciale ?
Fais attention à ce que tu plonges dans l'eau car une fois immergées, les choses changent de forme.
Nous espérons noyer nos péchés dans son étreinte glacée, mais prends garde à la forme que revêtent les choses oubliées. Une fois immergés, nos peurs et rêves nous échappent.
Elles appartiennent aux ténèbres des profondeurs, à leur lit mouvant et au Roi des Mers.
Peut-être que c'est facile de manquer ça quand on est une déesse. Mais quand on est mortel, il y a toujours ce moment. Au milieu de la douleur, du désespoir et de tous les outrages subis par un corps mourant, il y a ce moment de grâce.
"Maintenant que je suis au bout du chemin, je vois enfin à quel point c'est beau."
L’avantage d’être au bas de l’échelle, c’est qu’on ne peut que monter.
Il faut croire que certains d'entre nous sont destinés à brûler.
Qui peut dire exactement comment les choses s'achèvent ?
S'il y a bien quelque chose que nous avons apprise, c'est que la fin de la vie n'apporte aucune réponse. [...]
Peut-être suffit-il de se souvenir qu'à la fin de l'histoire, le miracle, c'est tout simplement d'avoir vécu.
(p. 123 et 124)
C'est ce qui se passe quand les choses meurent.
Elles disparaissent, mais ce n'est qu'après que tu comprends l'ampleur du vide qu'elles laissent en toi.
(p. 71)
J'ai toujours entendu de la musique dans cette maison.
Toujours.
"La seule chose qui marque une existence, ce sont les souvenirs qu'elle laisse."
"De temps à autre, je parle
Avec des mots que j'espère entendus.
Et toi tu chantes les louanges
Des mystères que je garde tus.
Je m'interroge, de temps à autre."
Les bites sur les murs sont la plus pure forme d'art.
Je suis désolée, Darius, mais la vie est trop courte pour qu'on la traverse sans avoir le cœur brisé.
Qu'y a-t-il au-delà de l'horizon ?
Ai-je murmuré à la mer vaillante.
Et elle m'a répondu, au gré d'une vague douce et bienveillante,
De l'amour et des erreurs, des victoires et des peines de cœur.
Moi qui pensais que tout ça était déjà derrière moi.
(p. 117)
Si la vie est un exercice qui consiste à produire des souvenirs…une personne ne disparaît pas vraiment tant qu'on se souvient d'elle. p. 46
L'Humanité ne peut être sauvée si personne ne la croit capable de s'améliorer.
Je leur ai expliqué que s'ils voulaient sauver le monde, ils devaient considérer les Hommes comme les monstres qu'ils sont.
Nous ne comprenons ni la patience ni la bienveillance.
Nous comprenons la douleur, la mort et la peur.