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Citations de A. J. Kazinski (110)


Alors, pourquoi ne pourrais-je pas utiliser quelques petites heures de mon temps à rechercher quelqu'un de bon ? La bonté est-elle plus difficile à débusquer que le mal ?
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Ces deux-là avaient cela en commun : ils accordaient une telle importance à leur aspect extérieur que l' on pouvait légitimement nourrir des craintes concernant l' intérieur. ( page 142)
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" c'est le sang de mon fils qui paye votre salaire"
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C’est comme avec les mathématiques. En apparence, c’est le chaos. Ça n’a ni queue ni tête. Et puis, si on prend du recul et qu’on trouve la clé, tout nous apparaît soudain évident. Le système s’extirpe du chaos. Les nombres s’assemblent pour constituer des formules. Tout mathématicien connaît ça.
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Une écriture fluide.
Une intrigue très bien ficelée,
qui nous entraine entre le réel et l'iréel, entre le bien et le mal,..

L'histoire :
2 policiers considérés comme "dérangés" vont mener un combat ultime contre un sérial killer qui marque ses victimes par des chiffres.
Le point commun entre les victimes semblent être le fait qu'elles fassent le bien.
L'enquête menée tantôt sur Venise, tantôt au Danemark, nous entraine dans une course contre la montre pour trouver les 2, puis LE dernier homme bon.
Le fait de traquer toujours le mal va-t-il avantager ces policiers?
Vont-ils réussir a trouver le coupable a temps, vont-il déjouer ses plans?
Et que vient faire la bible et le coran la dedans??

Est-il possible que ce soit la main de Dieu qui agisse?
Ou est-ce un homme qui se prend pour lui?
Que penser de cette croyance selon laquelle a chaque génération 33 hommes bons sont sur terre pour l'empêcher de sombrer complêtement dans le mal...

Un délice!
a lire absolument, pour bousculer un peu ses idées, que l'on croit ou non a l'au delà !!
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- Ton fils ou ta fille ?
- C'était un accident...Je vous en supplie.
- Ton fils ou ta fille ?
Il avait alors brandi un couteau couvert de sang séché et avait placé la pointe sur la pomme d'Adam de son père afin de le forcer à prendre une décision.
Quand enfin il avait donné sa réponse, il n'avait regardé que son fils
- Ma fille. Prenez ma fille.
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Les adultes n'ont pas ce regard-là quand ils entendent quelque chose de nouveau et d'incroyable. Ils sont sceptiques devant tout ce qui n'est pas dans un moule.
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Cette femme qui, quelques instants plus tôt, avait été une véritable tornade, débordante d'idées, d'hypothèses et de classe, n'était plus qu'une amatrice balbutiante, une touriste de passage dans le monde réel qui n'allait pas tarder à courir se réfugier dans la forteresse de théorie et de chagrin qu'était devenue sa maison de campagne.
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Comme en prévision d’un temps où les bombes renverraient progressivement l’humanité dans le passé, où la civilisation moderne serait terrassée par un adversaire au formidable pouvoir de destruction. Un astéroïde. Un virus. Une arme chimique. Seulement vingt ans en arrière, pour commencer. Disparition d’Internet. Puis quatre-vingts ans en arrière. Plus de télévision. Plus de téléphone. Puis encore plus loin. À une époque où la société ne serait plus qu’un vague souvenir, où les hommes vivraient de nouveau de la chasse et de la cueillette et passeraient leurs nuits autour d’un feu sur lequel ils veilleraient attentivement de crainte de mourir de froid dans leur sommeil.
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Nous autres, humains, croyons avoir le droit d’accorder la vie ou de donner la mort. Réfléchissez à notre relation à la mort. Nous n’hésitons pas à la favoriser. Or la mort n’a pas besoin de nous. Elle finit toujours par s’imposer d’elle-même. Aussi pénible soit la vie, ce n’est pas à nous d’infliger la mort. Celle-ci survient quand le moment est venu.
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Mais le temps est ainsi pour elle, comme pour toutes les filles qui se vendent. Chaque fois qu’une putain couche avec un nouveau client, douze à quatorze semaines s’ajoutent à son âge. C’est comme pour les chiens. Le temps est plus cruel pour les putains et les chiens.
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La scène du crime ? Hans Christian ne parvient pas à faire sens de ces mots. Son regard s'attarde sur des femmes qui font leur marché, équipées de petites ombrelles, et sur des enfants portant chapeaux et dentelles. Le fourgon poursuit sa route vers le canal. L'odeur les atteint de plein fouet. Ce bout du canal est le dépotoir de toute la ville, là où échoue tout ce qui a été mangé, bu, utilisé, jeté et a pourri. Tout ce que charrient les caniveaux termine ici, parfois en bon état, mais le plus souvent, faisant la honte de la ville. Et en particulier par un doux jour d'été comme celui-ci, où rien ne peut s'écouler sans évoquer le souvenir amer de ce qu'il était avant.
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C'est moi, c'est moi, dit-il en pleurant, sanglotant. Ne le dit-il pas ?
Il se sent comme un nuage qui libère enfin son fardeau tant attendu sur le paysage pendant que le blé s'étire vers la moindre goutte et que chaque arbre étend ses branches en délivrance.
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Le sommeil ponctue l’éveil, qui lui-même ponctue le sommeil ; le bon devient pire, et le pire devient meilleur ; le grand devient plus petit et ne peut devenir plus grand que s’il a, à un moment, été plus petit. C’est ainsi que la vie naît de la mort, et inversement.
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Tu ne peux pas faire confiance à un homme qui ne boit pas et qui ne couche pas avec les femmes, dit elle. Par contre, tu peux être sûre qu’un homme qui boit et couche avec les femmes te fera du mal un jour.
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- Ils nous ont sucré une partie de notre budget au profit de la recherche sur l'environnement. Il te suffit d'appeler le ministère de la Recherche et des Sciences et de chuchoter le mot "climat" (même à 3 heures du matin) pour qu'on t'envoie des millions dès le lendemain, raillât-t-il. C'est désormais la question climatique qui fait recette. C'est comme ça.
- Et qui rapportera des voix aux prochaines élections? ajouta Thomas sans lever le nez de son écran d'ordinateur.
- Le climat, acquiesça Hannah en regardant Holmstrom avec gravité. Ils se trompent de dieux.
- De quels dieux est-ce que tu parles?
- Eux-mêmes, répondit-elle en souriant.
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9
MADAME KRIEGER
...

La porte claque derrière le professeur.
De la compassion. Elle ne veut pas de sa compassion. La compassion est le poison qui empêche l'humain d'être libre.
Ce stupide médecin ne comprend-il donc pas que ce n'est pas une négociation, mais une exigence ? A cet instant, elle sent qu'elle pourrait enfoncer la porte et arracher l'âme du médecin de son corps.

...
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3

IL MANQUE QUELQUE CHOSE.
C'est la première pensée d'Anna quand elle se réveille.
Puis elle sent sa tête battre de douleur.
Le sang se presse sur ses yeux, sur sa bouche.

....

L'espace qui l'entoure est vaste. Le plafond est élevé. La corde est attachée là-haut, cette corde par laquelle elle est suspendue, la tête dans le mauvais sens.

....

Elle tremble de froid, malgré la chaleur de la fin de l'été.
Quelqu'un monte un escalier.
Une silhouette contre la lumière de la nuit sur l'eau.
C'est la femme, celle qui est venue voir Anna. Elle est si belle, si bien habillée, dans ses mains elle tient un petit plat de porcelaine avec des motifs bleus. Sur le plat se trouvent deux étroits couteaux,

....

Elle s'assoit devant Anna, la regarde dans les yeux.

....

Anna essaye de comprendre,

....

La femme prend une profonde inspiration, choisit un couteau et se lève.

....

La compassion ne sert à rien,

....

Anna crie, crie dans le tissu, crie et pleure,
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— Je l'ai sacrément dit. Et je le répète volontiers. Que le roi est un idiot. Il ne veut pas donner le droit de vote à mon fils parce que je suis un paysan, mais il veut bien l'envoyer à la guerre. C'est le pouvoir absolu de l'idiot. En tant que paysans, c'est nous qui nourrissons le roi et tous les princes lubriques, nous qui payons le gros Fritz pour qu'il se pavane en ville, la bite à la main.
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N'est-ce pas vrai, Andersen, que tu as fait tout cela pour que nous nous souvenions de toi ? N'est-ce pas vrai que ton nom, pour l'amour de Dieu, ne doit pas être oublié comme celui de ton père et de ta mère, oui, le nom de toute la classe la plus basse, que personne ne prononce avec plaisir, mais juste avec dégoût ?
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