Citations de A. L. Jackson (35)
"Don't you know all great love stories never should have been? That's what makes them great."
I know I'd been the one created specifically for his care because I loved him in a way that no one else could. In a way that was ours. Whole and complete.
"Take care of yourself. Let yourself off the hook once in a while. You deserve to be happy."
It's amazing how much power the ones we care about most hold. Especially when they're hurting us.
All moments matter. We just rarely know how important they are until the chance to act on them has already passed.
If you aren't laughing, you're crying.
Now, which would you rather be doing?
Même si on m’avait donné le choix, j’aurais choisi de l’aimer.
— Je me suis inquiétée pour toi, dit-elle d’une voix enrouée tandis qu’elle cherchait mon visage dans l’obscurité de sa chambre. J’ai essayé de t’appeler.
Je clignai des yeux, en essayant de fuir tout ça, cette douleur que je ne savais pas gérer.
— Je déteste le fait que tu t’inquiètes pour moi.
Je la fixai en sachant que c’était à la fois un mensonge et la plus honnête des vérités.
Je voulais que ça ne finisse jamais. Nos langues jouaient ensemble. Et je me délectai de cette utopie.
Le cœur d’Aly se gonfla tellement qu’il appuya sur ses côtes.
Peut-être qu’il ne l’avait pas oubliée après tout.
Je n’étais plus cette petite fille bercée d’illusions. Je ne pourrais pas le guérir, et je savais que je ne pourrais jamais effacer sa peine. Honnêtement, je n’en avais pas envie. Essayer ne ferait que minimiser ce pour quoi il souffrait. Mais peut-être qu’un jour il pourrait laisser partir une partie de sa culpabilité. S’il pouvait se libérer des reproches qu’il s’impose, il pourrait commencer à guérir. Je voulais faire partie de tout ça. Même si mon rôle se limitait à lui donner une lueur d’espoir.
Les lumières de l’intérieur laissaient son visage dans l’ombre, mais je distinguais de la beauté dans sa silhouette. Et j’avais envie d’avoir envie de lui, je voulais que quelqu’un me rende cette partie de moi que j’avais abandonnée cette nuit-là, si longtemps auparavant.
Je ne dis rien et me contentai de fixer Gabe alors qu’il s’approchait. Je ne l’arrêtai pas lorsque ses mains trouvèrent mes hanches, et ne l’empêchai pas de m’embrasser.
C’était agréable.
Mais il manquerait toujours quelque chose.
— Qu’est-ce qu’il t’a dit ?
La rage bouillonnait au creux de mon ventre, s’échappait par ma bouche tel un sifflement tandis que je prenais la pièce d’assaut.
Aly grimaça, plissa les yeux, tordit ses doigts entre ses mains.
— Il n’a rien dit, murmura-t-elle. Il était juste là. À attendre. Il savait où j’allais, Jared. Qu’est-ce qu’il veut ?
Je me foutais royalement de ce qu’il voulait. Je ne le laisserais pas l’avoir. Personne ne la toucherait. Ou il faudrait me passer sur le corps.
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Devant le comptoir de la cuisine, Aly se versait un verre de jus d’orange. Des mèches de ses cheveux presque noirs étaient lâchées et tout emmêlées ; sa tête au réveil devait être l’une des choses les plus mignonnes que j’aie jamais vues. Bien sûr, elle portait ce short qui exposait ses longues jambes qui me rendaient fou.
Mince.
Il me suffisait d’un coup d’œil pour que mon corps la réclame.
Après l’avoir eue toute la nuit.
J’approchai derrière elle et m’appuyai contre son dos. Je saisis le comptoir, emprisonnant son petit corps délicat. Mon nez s’enfouit dans la vague de cheveux qui tombait sur ses épaules, juste dans le creux sous son oreille. J’inhalai le délicieux parfum de noix de coco mélangé à l’odeur de cette fille.
— Trop belle, susurrai-je, parce que c’était carrément ce qu’elle était.
Je pus presque la sentir rougir, la chaleur émanant de sa peau tandis qu’elle mordait sa lèvre inférieure pour effacer son sourire.
Cette chose qui ressemblait à du bonheur s’attisa dans ma poitrine, me rappelant que j’étais vraiment super heureux.
— Aaah… Vous vous fichez de moi ?
Une voix détestable qui ne pouvait qu’être celle de Christopher rompit le charme du moment.
— Est-ce qu’il faut vraiment que j’assiste à ces conneries au réveil chaque matin ? C’est ma petite sœur, tu sais ?
Il ne faisait que me taquiner, mais je sentais toujours des traces de sa méfiance subsister.
Je me contentai d’attirer ma nana encore plus près et adressai à Christopher un sourire narquois.
— Il faut que tu t’y habitues, mec, parce que je n’irai nulle part.
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La gorge serrée, elle prit la parole.
-Est-ce que tu voulais m'mbrasser la nuit dernière?
- La nuit dernière, c'était une erreur, Aly. Je ...
Ses mains se dirigèrent vers mon visage, et elle les posa là, me forçant à la regarder dans les yeux.
- Je ne t'ai pas demandé si c'était une erreur. Je t'ai demandé si tu en avais envie.
Un son contrarié parvint à s'échapper de ma gorge, et je remuai à nouveau, ce qui la rapprocha encore un peu plus. A cet instant, je sus qu'il n'y avait vraiment rien que je pouvais faire parce que tout ce qui importait, c'était son corps serré contre le mien. Mes doigts s'enfoncèrent un peu plus dans ses hanches. nous étions nez à nez, les mains d'Aly fermement posées sur mon visage. Je réalisai que nous bougions, nos deux corps se balançaient légèrement.
Je gémis.
- J'ai eu envie de t'embrasser chaque seconde de chaque jour, depuis l'instant où j'ai ouvert les yeux et que je t'ai trouvée debout devant moi, Aly. Mais tu sais qu'on ne peut pas faire ça, ajoutai-je tandis que ma voix déraillait. Je ne suis pas fait pour ça. Je te l'ai déjà dit... Tu mérites quelqu'un qui pourra t'aimer, quelqu'un qui sera bien pour toi, et tu sais que cette personne, ce n'est pas moi.