Citations de Abby Clements (19)
Il te suffit de faire taire toutes les autres voix pour pouvoir entendre la tienne.
Quand le bébé sera plus grand, ou grande, il faudra l'y emmener pour l'éduquer en matière de glaces. Pas question qu'il ou elle s'imagine qu'un cornet industriel est une vraie glace italienne. Nous devons apprendre à notre enfant les vraies manières de mon pays.
- Je croyais que tu détestais les surprises, signora. Qu'est-ce qui a changé ?
- Peut-être que j'en ai eu quelques-unes de bonnes récemment, supposa Anna, en haussant les épaules. Ca m'a fait changer d'avis.
Je croyais que tu détestais les surprises, signora. Qu'est-ce qui a changé ?
Peut-être que j'en ai eu quelques-unes de bonnes récemment.(...) Ca ma fait changer d'avis.
- est ce que tu penses ce que je crois que tu penses? Demanda Anna.
- Imagine, si on pouvait rendre à la boutique sa gloire d'antan ! Proposa Imogène, rayonnante. Pour papa. Pour mamie Viv.
Anna réfléchit un moment.
- je ne sais pas. C'est très soudain. C'est une lourde charge.
- Qu'est ce que c'était, cette citation d'Alice aux pays des merveilles que mamie répétait tout le temps ? « Parfois, je crois à six choses impossibles avant même le petit-déjeuner» Anna, j'ai changé d'avis. Il est temps pour nous de croire à des choses impossibles. Je crois qu'on devrait essayer.
- Je vais vous paraître dur, alors que nous venons à peine de nous rencontrer, mais il vaudrait mieux que les êtres chers partent rapidement. Voir une des personnes qu'on aime le plus au monde disparaître peu à peu, c'est un crève-cœur.
Ce gâteau me rappelle le voyage que j'avais fait avec Viviane à Sorrente, sur la côte amalfitaine. Ça doit faire trente ans. On passait l'après-midi à une terrasse de café, avec la mer qui miroitait devant nous et rien à faire sinon attendre que le soleil baisse avec un bouquin.
P80 : "- Tu connais ton père, objecta Jan d'une voix plus douce qu'à l'accoutumée. Un hippy reste un hippy. Il cèdera, pour préserver la paix."
P115 : "- Peut être, répondit Jan. Mais je vous assure que vous ne diriez pas çà si vous habitiez au cottage, tous les jours. Je sais que ce n'est pas sa faute, je le sais. Et je veux le soutenir. Mais je ne peux pas. c'est lui qui est fort. Tom a toujorus été mon roc. Je ne sais pas comment être le sien.
P283 : "-Qu'est ce qui se passe ici ?
Imogène entendit sa voix avant de le voir. profonde, assurée, tranquille. Un frisson courut de sa nuque jusqu'à ses bras."
P312 : "- C'est drôle, tu ne trouves pas ? Qu'en vieillissant, on se rend compte à quel point ce doit être difficile. Que nos parents sont humains eux aussi. Parfois, ils tombent juste, parfois ils se trompent."
Partout où l'on a une histoire, on risque de trouver des traces de temps plus sombres, des problèmes persistants à toute résolution, des émotions et des gens qu'on préférerait oublier.
Partout où l'on a une histoire, on risque de trouver des traces de temps plus sombres, des problèmes résistant à toute résolution, des émotions et des gens qu'on préférerait oublier.
She hang up, feeling empty - the opposite of how she usually felt after talking to Finn. Phone conversations, she thought to herself, they were never the best way to talk. She was very much of a face-to-face person."
Parfois je crois à 6 choses impossibles avant même le petit dejeuner
Parfois, avoir du temps, ça aide à discerner ce qui est important
Ces dernières semaines, quelque chose en moi avait changé. Peut-être parce que après tous les hauts et les bas de cette année, je me sentais plus proche de Jack, et plus amoureuse de lui que jamais. Peut-être parce que j'avais enfin compris ce que ma mère avait enduré pour m' élever, et m etais rendu compte qu' elle avait eu un comportement exemplaire. Ou peut-être était-ce parce que j'avais vu Eleanor, entr' aperçu la souffrance qui perdurait en elle de n'avoir pu être une mère pour tous les enfants qu' elle avait mis au monde. Mes idées n' étaient plus si arrêtées. Je n'avais plus besoin que Jack et moi restions exactement comme nous étions. Je n'avais plus peur du changement. Plutôt qu'un projet tirant à sa fin, la maison semblait désormais le début de quelque chose pour nous deux.
Je remarquai le jeu du soleil sur les poils dorés de ses bras bronzés, et ses muscles subtilement dessinés sous son tee-shirt bleu clair.
- Un cornet de glace ?, proposa ma mère.
_ Volontiers. Ça, c'est le genre de décision facile à prendre.
- [...] Pendant des années, nos parents se concentrent sur nous, et puis tout d'un coup, ils se mettent à vivre leur propre vie. Ce devrait être interdit.
- Je pense que c'est ça. Je ne suis peut-être pas aussi adulte que je croyais.
- [...] Si je ne trouve pas d'autre travail, j'envisage de prendre mon vieux Camper et d'aller dans le sud de l'Espagne. J'ai des amis là-bas que je n'ai pas vus depuis longtemps.
- Mais pour le travail ?
Dès que les mots eurent passé mes lèvres, je mesurai combien ils étaient raides et conventionnels. Comment avais-je pu m'embourgeoiser si vite ?