Abe Yaro

Malgré la thématique qui pourrait en refroidir plus d'un, "Mimikaki, l'étrange volupté auriculaire" est un manga à la fois délicat et drôle servi par un dessin doux et poétique. Chaque histoire est également l'occasion de découvrir le quotidien de Japonais d'âges et de conditions différentes.
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Bon bah non rien ne change....et pourtant on finit le tome 3 avec déjà l'envie de lire le tome 4. C'est fou comme ni le fond ni la forme ne change, néanmoins on reste, on s'attache (ou pas), enfin en tout cas on prolonge le plaisir de la lecture, et surtout des papilles...Donne toujours autant envie de se rendre dans un resto de nuit pareil, et de manger toutes ces assiettes.

Très bon manga, original et différent ce que j'ai l'habitude de lire. Je l'ai offert à mon père pour Noël, il a adoré, puis je l'ai dévoré à mon tour. C'est une belle immersion dans la gastronomie japonaise, avec des personnages mystérieux et attachants. Je le conseille fortement ! Mais attention, après avoir lu La Cantine de Minuit vous n'aurez qu'une envie : manger l'un des nombreux plats préparés par le chef...

Chaque nuit, le patron de ce petit restaurant tokyoïte, ouvert de minuit à sept heures du matin, improvise un plat en fonction des désirs de ses clients. Chaque plat révèle une histoire, celle du client qui évoque alors les souvenirs du temps passé.



Ce manga est une galerie de portraits, une succession de rencontres éphémères plongeant le lecteur au cœur de la culture et de la gastronomie japonaise qui ne se limite pas aux sushis.

Ce tome 6 suit la trace des volumes précédents.

A l’évocation d’un plat, nous entrons ainsi à chaque chapitre dans l’intimité de différents personnages.

C’est très plaisant à lire.

Chaque chapitre est très alléchant.. chaque plat donne vraiment envie.

Certaines histoires sont vraiment touchantes.

D’autres plus basiques

Mais l’ensemble donne une lecture très agréable.

Les illustrations sont bien adaptées au scénario même si parfois certains personnages sont à mon goût trop ressemblant les uns des autres.

A lire de toute façon sans hésiter...

Extraordinaire immersion dans un petit restaurant de Tokyo! Pour tous ceux qui aiment la cuisine quotidienne japonaise, il y a un grand risque d'en avoir l'eau à la bouche. Les personnages sont très drôles et attachants.

Avec ce Tome 4, la cantine de minuit reste un manga accessible à tous. C’est toujours aussi plaisant mais je trouve néanmoins les séquences moins abouties que les précédents tomes. Du coup quelques frustrations sur certains chapitres qui auraient mérité une fin un peu moins rapide et surtout avec un aboutissement clair ce qui n’est pas toujours le cas. Peut être que certains personnages reviendront et que l’ensemble plus limpide. Mais en attendant c’est un peu dommage.

Les illustrations sont toujours en adéquation avec le rythme des histoires. Même si je trouve qu’il y a parfois trop de ressemblances entre certains personnages.

Espérons que le tome 5 apporte davantage de surprises...

Ce tome 2 était pour moi une bonne surprise par rapport au premier. Le rythme est plus soutenu. Les histoires un peu plus originale avec des plats toujours aussi succulents. Chacun avec son histoire même ceux a priori les plus faciles. Ce manga donne vraiment envie de côtoyer tous ses personnages tous bien sympathiques... les illustrations sont plutôt simple même s’il n’est pas toujours évident de bien identifier tous les personnages mais ils transmettent beaucoup de zénitude malgré les problématiques qu’ils traversent. L’ensemble est très apaisant et donne envie de découvrir la suite...

Stylisé, dépouillé, réduit parfois à quelques lignes sur fond blanc, le dessin très particulier cerne pourtant au plus près les situations et les personnages, à la manière parfois d’un Shigeru Mizuki. Une petite merveille de finesse, d’humour et de sensualité, très joliment servie par la traduction de Miyako Slocombe.
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Les chapitres présentent des individus de tous âges, sexes et situations. Chacun venant avec ses propres problématiques dans le salon de Shizue en ressort conquis et différent.
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Jouir par ses oreilles ? Vous n'en croyez évidemment pas celles-ci ! Mais détrompez-vous : c'est que vous n'avez pas encore goûté à la volupté d'un "mimikaki" plongé dans vos conduits auriculaires. Une découverte vers laquelle vous entraîne ce nouveau manga de Yarô Abe.


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Si les mangas ont popularisé les thématiques gastronomiques et œnologiques en bande dessinée, La cantine de minuit se situerait dans un registre moins directement culinaire
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Dans un dessin aussi authentique et épuré que la cuisine du patron, Yarô Abe raconte, avec beaucoup d’amusement, les clients toujours affamés de cette cantine parfois mal famée.
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Un manga où la cuisine rompt avec un idéal esthétique pour renouer avec ses valeurs premières : le partage et une forme de communion autour des repas. Formidable.
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Avec un trait aussi fin et dépouillé que celui des dessins d'Apollinaire, Yarô Abe a fait de sa Cantine de minuit un petit théâtre des émotions majuscules et de l'humanité dans ce qu'elle a de plus attachant.
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Original dans sa forme et son ton, La cantine de minuit s'ouvre sur un tome séduisant.
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