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3.85/5 (sur 78 notes)

Nationalité : Mexique
Né(e) à : Mexico City
Biographie :

Auteur de romans pour jeunes adultes

"Let's Get Lost"
"Never Always Sometimes"

Source : http://alloyentertainment.com/authors/adi-alsaid/
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Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
Nous sommes plus ou moins gentils, ou plus ou moins pas. Plus ou moins égoïstes, heureux, sages, solitaires. Tout comme les choses sont rarement toujours vraies ou jamais vraies, nous ne sommes jamais parfaitement une chose ou une autre. Nous sommes plus ou moins.
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- Je doute sérieusement, continua Leila, que ce que tu t'apprêtes à dire ait quoi que ce soit de stupide. Et, quand bien même, la stupidité fait partie de notre condition humaine. Surtout quand il s'agit de nos émotions.
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Le monde autour d’elle était un assemblage de sensations dérisoires : la caresse du canapé en cuir frais sur sa peau, le courant d’air lui chatouillant la nuque, le goût du thé sur sa langue. Tout le reste était oublié, happé par sa lecture.
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- On se fait du mal, dit Leila d’un ton posé. Ça arrive à tout le monde. Exprès, pas exprès, à regret ou non. Ça fait partie de la nature humaine. Ce qu’il y a de beau, c’est qu’on soit capable de s’en relever et de se pardonner.
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Comme c’était injuste, que même après vous avoir brisé le coeur une personne vous foudroie toujours autant par sa beauté, que son visage soit toujours celui que vous aimez le plus au monde.
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Voila, ce que sont les aurores boréales. Toutes les vies que nous ne vivons pas. Pas juste celle de cette fille, non, celle de tout un chacun.
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"-C'est la citation de Vonnegut que je préfère! s'exclama-t-elle en la montrant du doigt: Je vous somme de bien vouloir reconnaître le bonheur quand il se présente.
Hudson se sentit rougir. Devait-il lui avouer que c'était lui qui l'avait notée quelques semaines plus tôt?
-C'est génial, dit-elle, avant de se saisir à son tour d'un des minces bâtonnets de craie posés sur le rebord métallique du tableau.
Après un bref moment de réflexion, Leila se dresse sur la pointe des pieds pour atteindre un espace vide, dans lequel son écriture nette se détacha bientôt du reste des graffitis: Habitants de Vicksburg, vous vivez dans un endroit unique."
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"Il était temps, comprit-elle. Il était temps d'arrêter cette quête de tout ce qu'elle avait perdu. Elle s'était lancée
dans ce voyage pour fuir une vie où elle se sentait étrangère, et quelque part en chemin elle s'était égarée elle-même. Elle s'était persuadée que quelques lumières dansant dans le ciel pouvaient tout changer, mais la blessure était bien plus profonde que ça. Il était temps d'abandonner, de faire le deuil de ses souvenirs. Temps de mener la vie qui s'offrait à elle. Au présent, et non pas au passé. Il était temps de rentrer à la maison" (Leila Partie 3 dernier paragraphe)
"Elle était chez elle." (dernière phrase)
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"- Je sais que ça semble fou après juste une nuit et deux mois de rien du tout, mais s'il y a une chose dans ma vie dont je ne doute pas, c'est toi Leila."
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Chaque planche clouée à l’arbre, chaque branche sciée pour dégager l’espace faisait croître leur sentiment d’avoir accompli quelque chose, mais peut-être était-ce simplement palpable dans l’esprit de Dave. De temps à autre, le bras de Julia venait frôler le sien, sa peau nue malgré le froid nocturne – ils n’avaient pas tardé à transpiré et avaient relevé leurs manches, remisé les pulls en tas sur la plate-forme vide du pick-up, là où plus tôt dans la soirée étaient entassées des tonnes de matériel. Ce serait mentir que de dire que ce contact le laissait indifférent – la peau n’oubliait pas si vite – ou qu’il n’en tirait pas de plaisir, car le cœur est encore plus lent à changer ses habitudes, mais ça avait perdu de sa puissance. Ou plutôt, le frisson qui lui parcourait l’échine éveillait rapidement la pensée de Gretchen, et c’est avec elle en tête qu’il construisit la cabane.
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