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Citations de Adolf Hitler (101)


Lire n’est pas un but, mais le moyen pour chacun de remplir le cadre que lui tracent ses dons et ses aptitudes.
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Si cette terre a reellement assez de place pour la vie de tous,qu'on nous donne donc le sol qui nous est necessaire pour vivre
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Plus ils sont petits, plus ils cherchent à paraître grands.
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On ne pose jamais la question :
-- que peut l'homme ?
mais :
-- qu'est ce qu'il a appris ?
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Tout d'abord, le cerveau des jeunes gens ne doit pas être surchargé de connaissances qui leur sont inutiles dans la proportion de quatre-vingt-quinze pour cent et qu'en conséquence ils oublieront bientôt.
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C'est uniquement en France que l'on remarque aujourd'hui un accord secret, plus parfait qu'il n'a jamais été, entre les intentions des boursiers, intentions dont les Juifs sont les représentants, et les vœux d'une politique nationale inspirée par le chauvinisme. Et c'est précisément cette identité de vues qui constitue un immense danger pour l'Allemagne. C'est pour cette raison que la France est, et reste, l'ennemi que nous avons le plus à craindre. Ce peuple, qui tombe de plus en plus au niveau des nègres, met sourdement en danger, par l'appui qui il prête aux Juifs pour atteindre leur but de domination universelle, l'existence de la race blanche en Europe. Car la contamination provoquée par l'afflux de sang nègre sur le Rhin, au cœur de l'Europe, répond aussi bien à la soif de vengeance sadique et perverse de cet ennemi héréditaire de notre peuple qu'au froid calcul du Juif, qui y voit le moyen de commencer le métissage du continent européen en son centre et, en infectant la race blanche avec le sang d'une basse humanité, de poser les fondations de sa propre domination.

Le rôle que la France, aiguillonnée par sa soif de vengeance et systématiquement guidée par les Juifs, joue aujourd'hui en Europe, est un péché contre l'existence de l'humanité blanche et déchaînera un jour contre ce peuple tous les esprits vengeurs d'une génération qui aura reconnu dans la pollution des races le péché héréditaire de l'humanité.
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L'Etat raciste aura à réparer les dommages causés par tout ce qu'on néglige de faire aujourd'hui dans ce domaine. Il devra faire de la race le centre de la vie de la communauté; veiller à ce qu'elle reste pure; déclarer que l'enfant est le bien le plus précieux d'un peuple. Il devra prendre soin que, seul, l'individu sain procrée des enfants; il dira qu'il n'y a qu'un acte honteux : mettre au monde des enfants quand on est maladif et qu'on a des tares, et que l'acte de plus honorable est alors d'y renoncer. Inversement, il professera que refuser à la nation des enfants robustes est un acte répréhensible. L'Etat doit intervenir comme ayant de dépôt d'un avenir de milliers d'années au prix duquel les désirs et l'égoïsme de l'individu sont tenus pour rien et devant lequel ils doivent s'incliner ; il doit utiliser des ressources de la médecine la plus moderne pour éclairer sa religion; il doit déclarer que tout individu notoirement malade ou atteint de tares héréditaires, donc transmissibles à ses rejetons, n'a pas le droit de se reproduire et il doit lui en enlever matériellement la faculté. Inversement, il doit veiller à ce que la fécondité de la femme saine ne soit pas limitée par l'infecte politique financière d'un système de gouvernement qui fait, de ce don du ciel qu'est une nombreuse postérité, une malédiction pour les parents.
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Mais alors intervient le droit de chacun a lutter pour son existence;et ce qui est refuse a la douceur,il appartient au poing de le conquerir
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La plus grande sagesse du monde reste impuissante si aucune force ne la sert, ne la défend, ne la protège, que la douce déesse de la paix ne peut paraître qu'au côté du dieu de la guerre, et que toute grande oeuvre de paix doit être soutenue et protégée par la force.
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Je remercie cette époque de m’avoir rendu dur et capable d’être dur. Plus encore, je lui suis reconnaissant de m’avoir détaché du néant de la vie facile, d’avoir extrait d’un nid délicat un enfant trop choyé, de lui avoir donné le souci pour nouvelle mère, de l’avoir jeté malgré lui dans le monde de la misère et de l’indigence et de lui avoir ainsi fait connaître ceux pour lesquels il devait plus tard combattre.
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Vu la bêtise aussi dure que le granit de notre humanité, il n'y a pas à s'étonner du résultat.
Sous la conduite de la presse, ébloui par le nouveau et séduisant programme, le bétail à voter "bourgeois", aussi bien que le prolétarien, revient à l'étable commune et élit de nouveau celui qui l'a trompé.
Ainsi, le candidat des classes laborieuses redevient la chenille parlementaire. Il continue à manger sur la branche de la vie publique, y devient gros et gras et, quatre ans après, se transforme en de nouveau en un brillant papillon.

NDL : Eh oui, c'est Dodolf qui a écrit ça, c'est loin d'être faux, et toujours d'actualité : )
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Je ne voulais pas être fonctionnaire. […]
En vain mon père essayait-il d’éveiller en moi cette vocation par des peintures de sa propre vie : elles allaient contre leur objet. J’avais des nausées à penser que je pourrais un jour être prisonnier dans un bureau ; que je ne serais pas le maître de mon temps, mais obligé de passer toute ma vie à remplir des imprimés. […]
Je deviendrais « quelqu’un » -mais pas un fonctionnaire !
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De même que la femme est peu touchée par des raisonnements abstraits, qu’elle éprouve une indéfinissable aspiration sentimentale pour une attitude entière et qu’elle se soumet au fort tandis qu’elle domine le faible, la masse préfère le maître au suppliant, et se sent plus rassurée par une doctrine qui n’en admet aucune autre près d’elle, que par une libérale tolérance.
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Encore aujourd'hui, l'enseignement de l'histoire mondiale dans les écoles primaires supérieures est bien souvent mauvais. Peu de professeurs comprennent que le but de l'enseignement de l'histoire n'est pas d'apprendre des dates et des faits: qu'il est sans intérêt que l'enfant sache exactement la date d'une bataille ou de la naissance d'un maréchal, ou du couronnement d'un monarque. Là n'est pas la question. Etudier l'histoire, c'est rechercher les causes déterminantes des événements historiques. L'art de lire et d'étudier consiste en ceci: conserver l'essentiel, oublier l'accessoire.
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Tout croisement de deux êtres d'inégale valeur donne comme produit un moyen-terme entre la valeur des deux parents. C'est-à-dire que le rejeton est situé plus haut dans l'échelle des êtres que celui des parents appartenant à une race inférieure, mais reste en dessous de celui qui fait partie d'une race supérieure. Par suite, il succombera, plus tard, dans le combat qu'il aura à soutenir contre cette race supérieure. Un tel accouplement est en contradiction avec la volonté de la nature qui tend à élever le niveau des êtres. Ce but ne peut être atteint par l'union d'individus de valeur différente, mais seulement par la victoire complète et définitive de ceux qui représentent la plus haute valeur. Le rôle du plus fort est de dominer et non point de se fondre avec le plus faible, en sacrifiant ainsi sa propre grandeur. Seul, le faible de naissance peut trouver cette loi cruelle ; mais c'est qu'il n'est qu'un homme faible et borné ; car, si cette loi ne devait pas l'emporter, l'évolution de tous les êtres organisés serait inconcevable.
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Le fait que des millions d'êtres ont au fond du coeur le désir d'un changement complet des conditions de vie actuelle, prouve leur profond et douloureux mécontentement. Ce mécontentement se manifeste de mille façons différentes, chez l'un par le découragement et le désespoir, chez l'autre par le dégoût, la colère et l'indignation, chez tel autre par l'indifférence et chez tel autre encore par un furieux désir d'intervenir.
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[ Il nous faut ] abattre le régime démocratique actuel, issu de [ la juiverie et de ] la révolution de novembre 1918, et cela pour servir l'intérêt supérieur de la nation.

NDL : il s'agit du livre II, écrit en 1926.
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Car, était-il une saleté quelconque, une infamie sous quelque forme que ce fût, surtout dans la vie sociale, à laquelle un Juif au moins n'avait pas participé ?

Sitôt qu'on portait le scalpel dans un abcès de cette sorte, on découvrait, comme un ver dans un corps en putréfaction, un petit youtre tout ébloui par cette lumière subite.

Les faits à la charge de la juiverie s'accumulèrent à mes yeux quand j'observai son activité dans la presse, en art, en littérature et au théâtre. Les propos pleins d'onction et les serments ne servirent plus alors à grand'chose ; ils n'eurent même plus d'effet. Il suffisait déjà de regarder une colonne de spectacles, d'étudier les noms des auteurs de ces épouvantables fabrications pour le cinéma et le théâtre en faveur desquelles les affiches faisaient de la réclame, et l'on se sentait devenir pour longtemps l'adversaire impitoyable des Juifs. C'était une peste, une peste morale, pire que la peste noire de jadis, qui, en ces endroits, infectait le peuple. Et en quelles doses massives ce poison était-il fabriqué et répandu ! Naturellement, plus le niveau moral et intellectuel des fabricants de ces œuvres artistiques est bas, plus inépuisable est leur fécondité, jusqu'à ce qu'un de ces gaillards arrive à lancer, comme le ferait une machine de jet, ses ordures su visage de l'humanité.

Que l'on considère encore que leur nombre est sans limite ; que l'on considère que, pour un seul Goethe, la nature infeste facilement leurs contemporains de dix mille de ces barbouilleurs, qui dès lors agissent comme les pires des bacilles et empoisonnent les âmes.

Il était épouvantable de penser, mais on ne pouvait se faire d'illusion sur ce point, que le Juif semblait avoir été spécialement destiné par la nature à jouer ce rôle honteux.
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Il y a une cause pour laquelle souvent, dans la vie des peuples, des mouvements en apparence analogues, cherchent à atteindre par des voies différentes un but qui semble le même. Cette cause là est pitoyable.
Elle réside dans le lamentable mélange d'envie, de jalousie et de malhonnêteté que l'on trouve souvent réunies dans certains spécimen de l'espèce humaine.

NDL : c'est toi qui le dit, Adolf, mais tu as oublié que L'ORGUEIL fait partie de ce mélange pitoyable, comme tu dis. Tu es fier de cet orgueil que tu as, et que tu n'assimiles pas aux autres vices, tu aurais dû en avoir honte, pauvre de toi.
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La grande masse d'un peuple se soumet toujours à la puissance de la parole. Et tous les grands mouvements sont des mouvements populaires, des éruptions volcaniques de passions humaines et d'états d'âme, soulevées, ou bien par la cruelle déesse de la misère, ou bien par les torches de la parole jetée au sein des masses -- jamais par les jets de limonade de littérateurs esthétisants et de héros de salon. Seule, une tempête de passion brûlante peut changer le destin des peuples ; mais seul peut provoquer la passion celui-là qui la porte en lui-même.

NDL : En 1910, à Vienne, après avoir observé les hommes politiques autrichiens von Schoenerer et Lueger, Hitler savait déjà comment faire pour modifier le cours des événements, et appliquer sa politique.
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