Agnès Vandewiele

De très belles images de motos qui ont fait naître des goûts inattendus, des informations intéressantes et un tour du sujet qui donne bien les bases !



J'ai appris, j'ai appréciée et j'ai retenue.



Rien à redire c'est comme une partie des livres de la même collection, la mise en pages donne envie de découvrir, ça se lit rapidement et ça donne de bonnes bases, à approfondir par la suite si le sujet nous intéresse vraiment.

On ne présente plus la collection. Pour avoir un aperçu rapide sur un sujet, on peut toujours compter sur la Grande Imagerie des Editions Fleurus.



Ici, on fait le tour des motos. Personnellement, cela me laisse tout à fait de marbre, mais mes deux loulous se sont extasiés des heures durant sur les photos/dessins, en rêvant de leurs exploits futurs. Pour ces heures de calme, rythmées par leurs exclamations, je remercie les Editions Fleurus.

Théo, Jeannot et Robin sont trois garnements qui font les quatre cents coups. Quand leur maman les attrape enfin, elle les punit en les envoyant chercher des carottes dans le potager. Et voilà que les lapereaux se retrouvent prisonniers d’un filet à oiseaux. « Pourvu que le fermier ne vienne pas dans le potager ! Il pourrait les attraper et peut-être même les enfermer dans des clapiers ! » Maman Lapin est affolée, il faut qu’elle trouve de l’aide. Heureusement, un gentil mouton vient à la rescousse des petits lapins qui promettent désormais de rester bien sages.



Bon, à première vue, voilà une histoire banale de petits chenapans pris à leur propre jeu et punis par une grosse frayeur. Mais en réalité, ce n’est pas tout à fait ça. Les lapereaux sont envoyés dans un lieu dangereux par leur mère qui est excédée par leur comportement. Il est donc totalement crétin et hypocrite que la mère s’inquiète quand elle ne voit pas revenir ses petits : c’est elle qui les a envoyés chez le fermier ! Dans The Tale of Peter Rabbit de Beatrix Potter, le jeune héros est fermement prévenu du danger de fréquenter le potager : ici, le lieu est toujours très dangereux, mais les enfants y sont envoyés sciemment. Drôle de façon d’éduquer les enfants…



Par ailleurs, je suis gênée par la représentation et les attitudes des personnages. Le dessin est charmant et les lapins ressemblent à des lapins : ils se tiennent comme de vrais animaux et ne portent pas de vêtements. Cette absence d’anthropomorphisation est un choix qu’il aurait fallu suivre jusqu’au bout. Car si je n’ai aucun problème à voir un lapin en salopette faire de la varappe ou du vélo, j’ai du mal à concevoir qu’un lapin tout ce qu’il y a de plus banal puisse monter aux arbres. Les esprits chagrins diront que j’ai perdu mon regard d’enfant : c’est justement parce que je l’ai perdu que je n’apprécie que l’on propose n’importe quoi dans les histoires écrites pour les enfants. Pour un peu, j’en perdrais mon lapin !

Une petite histoire toute mignonne.

Pour tous les petits passionnés de pompiers !
Lien : http://lireparelora.wordpres..

Ce genre de livre court toujours le risque d'être dépassé rapidement par l'avancée des techniques. Pourtant l'auteur fait bien le tour et évite les écueils. C'est complet, riche en belles illustrations et en faits, en chiffres, c'est ce que recherchent les enfants, et cela permet à l'album de ne pas (trop) craindre les innovations et les avancées de la science.



Entre les trains spéciaux, les débuts, les trains à grande vitesse, il y a moyen de rêver... eh oui, c'est possible même en se disant qu'ils n'arrivent jamais à l'heure...



Un bon moment pour les 6-9 ans.

Un bon album qui fait voir les trains autrement que comme nous avons l'habitude de les voir mais, c'est un domaine que j'apprécie et je trouve qu'on aurait pu encore en dire et montrer plus le côté fascinant des trains de luxes entre autre.



Sinon ça fait quand même bien le tour du sujet, nous fermons le livre avec de bonnes bases et c'est agréable la mise en pages qui met bien en valeur ce mode de transport.



C'est un véhicule avec un esthétisme particulier à mes yeux et j'en ai appris de bonnes, c'est un sujet à approfondir pour plus de connaissances et cela m'a même donné envie d'avoir un petit train comme j'ai pu m'amuser avec quelques fois étant plus jeune.



À découvrir pour les petits et grands !

Ce livre et très intéressant pour les enfants car il apporte des informations

Dix questions sont posées, et leur réponse suit. Celles-ci sont par exemple : Pourquoi il y a de moins en moins d'abeilles ? Comment sait-on qu'une espèce a vraiment existé ? Peut-on faire revivre les animaux disparus ? Comment préserver les espèces actuelles ?, Mais au fait c'est quoi une espèce?, Toutes les espèces finissent-elles par s'éteindre ? Peut-on faire revivre les animaux disparus ? .



Sur la double-page, destinée à l'exposition du sujet, se trouve des illustrations occupant un tiers de l'espace global, un développement autour de l'interrogation, deux explications en lien avec la question, et un savais-tu ?. S'ajoute de plus à cela un glossaire.



De plus, il est proposé trois activités à réaliser par l'enfant, la connaissance de lieux de visite ou d'associations en rapport avec ce thème de la disparition des animaux.

Merci Masse Critique Babelio pour ce petit guide pour l'apprenti écolo ! Très facile (8/12 ans), des illustrations claires et agréables bien explicites, pour comprendre

le rôle des océans dans le climat de la Terre, pourquoi la mer monte, découvrir les espèces marines en danger, ou encore comment réduire les pollutions, pourquoi protéger les requins ?

Des encarts en couleurs tels que "Le sais-tu ? " "petits gestes écolos" permettent de rythmer la lecture qui n'est pas linéaire.

Un petit bémol : comme dans la majorité des livres documentaires maintenant, pas d'index à la fin, ni de glossaire, même si les explications au fil des pages sont bien claires. On a heureusement un sommaire, mais je trouve dommage cette absence de référencement..

En bonus : un quiz sur les écogestes pour tester ses connaissances.

Bref, un joli livre, utile à tous et bien au-delà des 12 ans affichés en couverture, j'y ai appris que l'acidification des océans permet une propagation plus importante des sons (p.20), et que la pollution sonore menace toute la vie sous-marine !

Un livre reçu de l'éditeur dans le cadre de l'opération Masse critique Babelio.

Un livre pour les apprentis écolo de 8 à 12 ans.

Ma fille de 8 ans à trouver cela très ennuyant et je vais vous dire que j'ai moi-même lu le livre à 40 ans et vraiment, je trouve que l'auteur a été très loin dans ses explications, car c'est très fourni, dense et c'est lourd même pour moi-même, alors j'imagine pour les enfants.

Personnellement, je n'ai pas adhéré à cet ouvrage, ma fille non plus. Mes seuls points positifs, ce sont les petits gestes écolo à mettre en œuvre. Je trouve l'ouvrage trop poussé pour les enfants, mais comme je le dis souvent, ce n'est que mon avis.

Si vous aimez la thématique, faites vous votre propre idée.

Un ouvrage magnifique sur une thématique essentielle. Un livre simple mais jamais simpliste, parfaitement adapté aux 8-12 ans, constructif. En effet, les problèmes sont bien sûr bel et bien décrits, mais l'auteure a également pris soin de souligner les gestes écolos ou écogestes que nos jeunes peuvent facilement adopter et surtout les solutions possibles, les recherches des scientifiques en cours, pour souligner que rien n'est perdu ni irréversible, et, qu'au contraire, les nouvelles générations ont un rôle essentiel à jouer. Un ouvrage superbement illustré par Joanna Wiejak afin de faire passer un message d'espoir, de partager des "appels à l'action" un peu comme les conclusions des Ted Talks. Un grand livre pour nos petits, pour leur avenir et pour notre planète ! À mettre (urgemment) entre toutes les mains, de tous les âges !

Très bien conçu et didactique, ce documentaire largement illustré passionnera sans aucun doute les aventuriers en herbe amateurs d’air iodé mais aussi d’animaux et de mythologie.
Lien : http://www.leshistoiressansf..