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Critiques de Alain Veinstein (17)
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Cent quarante signes

Moi qui suis maladroit dès que je me trouve avec plus de trois personnes autour d'une table, hésitant à prendre la parole, je retrouve de l'aisance face à la feuille blanche. Très vite je me sens agité de mille et une pensées, de multiples préoccupations. l'expression de Céline "agité du bocal", me conviendrait assez bien, passant du coq à l'âne, du futile au nécessaire, du sombre au rire.





C'est comme cela que je suis rentré dans le monde Twitter. Je n'en ferai pas l'éloge ni ne verserai un déluge d'insultes à l'égard des scribes sans scrupules et sans retenues. Twitter est un outil, un bel outil qu'un écrivain Alain Veinstein a eu l'audace d'affronter, et sur lequel il a publié un ouvrage appelé "Cent quarante signes".





140 signes pour ceux qui aiment les obstacles en voilà un beau, limiter une idée, une pensée, une rebuffade à un éclat de rire de 140 signes c'est un jeu subtil.





Pour vous donner soit la nausée soit le vertige, nous trouvons dans ce livre publié chez Grasset plus de 400 pages bourrées de twitts. Chaque page pouvant en contenir six ou dix selon les jours, prenons une moyenne de huit cela nous fait 3200 envois, c'est vertigineux. Une telle ascension dans l'espace littéraire à raison de 30mn par twitt cela nous donne 1600 heures soit 200 jours à twitter.





Je suis allé très directement au mercredi 8 août date de mon anniversaire, j'ai trouvé huit réflexions du jour dont celle-ci : "Depuis que j'ai quitté les Grisons dès que je croise plus d'une personne je deviens misanthrope". À celle-ci je préfère celle du 15 juillet : "Tout le monde parle pour les muets".



"Dimanche 6 mai : Le rêve, aussi ignorant que l'amour.

Samedi 2 juin : J'imagine Kafka dans le métro regardant tout, au point de rater sa station. Personne ensuite pour le remettre sur son chemin

jeudi 14 juin : Le poème : ce qui nous attache à la langue qui a juré notre perte

10 juillet : Écrire longer le réel comme on rase un mur.

16 septembre : J'ai donné un coup de pied dans la porte j'ai perdu mon enfance."



Bien sûr chaque ligne n'est pas une pensée sublime, Mais !





Mon expérience, pour l'instant celle d'un nouveau-né. Mes premiers twitts hésitent. "Les relations entre les twitts et moi ne furent pas d'emblée harmonieuses jusqu'au jour où j'ai commencé à regarder la vie avec humour" nous confie Alain Veinstein. C'est dans les premières pages qu'il présente comment il a apprivoisé 140 signes





Il n'y a pas de contraintes, le style d'écriture est libre, la forme a tendance à l'emporter sur le fond à cause de la contrainte des 140 signes.





Comme chaque twittt à vocation à être retwitté par vos followers, il faut élargir son audience par ricochet et augmenter le nombre de ses abonnés. Un bon twitt fait boule de neige explique-t-il, il y a comme une façon de s'enivrer, comme si l'œil et l'oreille fonctionnaient ensemble on écrit on regarde. On tend l'oreille pour savoir si d'autres vont capter ce que l'on a voulu dire.





Vous tous qui écrivez et qui par vos chroniques formez l'intention d'être lu, écoutez et imaginez ce passage par cette machine indélicate, muette où les échos ne viennent qu'au fil du temps.

Certains auteurs ont même édité leurs twitts. Je l'ai fait explique Alain Einstein "dans ce bric-à-brac de l'expérience vécue" par celui qui est connu comme poète. Il y a sans aucun doute un côté à la fois dérisoire mais chatoyant, car il s'amuse le bougre, oui le poète Veinstein aussi twitt au fil des jours et s'amuse tout le long de l'année





C'est cela qui m'a le plus enjoué et même plus dans ce livre, 140 signes.
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Le développement des lignes

Ce sont les lignes : premières lignes, ligne d’arrivée, lignes de la main… qui scandent les poèmes de ce recueil

Au tout début, il y a eu « l’enfance par grand froid » avec, déjà, ces gestes comme une danse. Puis il y a la découverte de ce lieu attirant, avec ce mot : DANCING, dont « les sept lettres lumineuses clignotent ». Dans un dancing, que faire sinon danser… et chercher l’amour, « le triomphe de l’amour dans des éclairages puissants »

Mais le dancing en ruine n’abrite que les ombres des danseurs et des amoureux de jadis.

Ne reste que la musique, « Seule la musique…elle s’accroche à moi en amoureuse »

Dans le chapitre « vers la ligne de danse » on découvre « le bonheur de danser ». Danser, c’est retrouver une légèreté, s’affranchir du passé

« Danser,

C’est prendre pied dans le monde

Allégé de tout le poids de sa vie

De tout ce qui est enfoui dans la mémoire »

L’amour est une sorte de danse, un pas de deux pour se rapprocher, sentir le souffle de l’autre. Mais derrière cette jeune danseuse, il y a une autre femme, plus sombre.

L’auteur nous parle aussi de la difficulté d’écrire, des questionnements de l’écrivain

« Quant à moi, je ne sais plus ce que j’écris,

J’ai l’impression que c’est tout sauf de la poésie »



A travers ces longs poèmes, Alain Veinstein nous entraîne dans la danse, celle qui lui permet de convoquer le passé, la nostalgie, il évoque l’amour, celui dont on rêve et celui qu’on a perdu.

Tout du long de cette lecture, on suit les lignes ou on s’en échappe un peu. C’est lumineux parfois, sombre et mélancolique souvent.

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L'accordeur

Soyons francs, je n'ai pas tout compris à cette histoire.

Il s'agit de la relation très difficile entre un père et son fils.

Je n'ai pas compris quelle était la part inventée par le père, sur son enfance notamment.

Je n'ai pas très bien compris où est passé le fils dans l'histoire avec Lena.

Je n'ai rien compris dans le dernier voyage en voiture entre le père et le fils.

Je n'ai pas compris où allait le fils.

Je n'ai pas compris ce qu'il advenait du père.

Bref, je n'ai pratiquement rien compris.

Mais étrangement, j'ai bien aimé quand même.

L'écriture est très belle, très poétique.

Bien que ne comprenant presque rien, je suis allée jusqu'au bout emportée par le style, pour le plaisir des mots et des phrases.
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Les heures lentes

Un volume d'entretiens, réalisé à partir d'une série de "conversations" sur France-Culture...qui nous fait connaître le parcours unique d'un écrivain-poète, Henri Thomas; tous les sujets sont abordés...; même si le travail d'écriture tient une place prépondérante dans cet ouvrage, comme l'état de solitude créatrice et nécessaire au poète... de nombreux autres thèmes sont évoqués: la solitude, et hyper-sensibilité immenses de l'enfance, la nature, l'amour, l'Amitié, etc.



Henri Thomas y parle aussi du travail de traducteur qu'il a assumé, pour pouvoir vivre ... qu'il trouvait fastidieux et frustrant. En contrepoint de très beaux passages concernent son amour de la poésie... sur lequel il digresse abondamment . J'ai retenu un passage étonnant et significatif de la personnalité de Henri Thomas



"Alors le poète, c'est une chose inutile, mais indispensable, et qui peut nous sauver, justement, de la société hyper-puissante , qui, elle, ne peut qu'écraser. Le poète, lui, ne rêve pas de carnages. c'est tout à fait différent. Je pense que le poète a non seulement un rôle, mais un rôle capital comme force inutile qui devient la clé de tout; (p.71-72)

A une des questions d'Alain Veinstein :

- " La poésie est un acte d'amour ?

-Oui, la plupart du temps. C'est d'abord un acte d'amour du langage. De soi-même, aussi, parce qu'on est heureux dans le langage poétique. Et puis, même si on vitupère, on est bien disposé envers la vie. (p.73)



Cet auteur marginal évoque ses amitiés, dont celle avec Cioran, mais aussi celles partagées avec Antonin Artaud, Jean Paulhan, Jean Grosjean qui d'ailleurs écrit fort justement le côté exigeant, puriste, et marginal de son ami



" Henri Thomas est dangereux, il cherche la vérité. Il est sur la piste. Il est presque seul, mais ça lui est presque égal."



Cette lecture est à la fois passionnante et très inconfortable, car Henri Thomas est en recherche et questionnements permanents, c'est un homme exigeant, qui doute, intransigeant envers lui même, comme envers l'écriture.

Deux autres passages, l'un de l'écrivain, Pierre Herbart, avec qui Henri thomas a travaillé, lui lance ces propos :

- "Thomas, vous ne savez absolument pas vivre. Vous ne savez pas vous habiller. Vous ne savez pas vous tenir en société. Mais vos poèmes sont les seuls que je peux lire." (p.39)



Ces entretiens , bien sûr, privilégient l'amour des mots, de la littérature,que l'écrivain vit intensément . Il est aussi toutefois question de leurs limites, des malentendus qu'ils provoquent... et parallèlement le reflet d'un absolu à atteindre..."Le langage, c'est une recherche du point de vue de l'éternité" (p. 107)



Henri thomas parle de son enfance, de son attirance pour la mer...depuis toujours. Originaire des Vosges, dont les montagnes, lui barraient l'horizon, et même plus, l'horrifiaient, il s'est pris de passion pour les îles... des séjours très longs à Londres, puis en Corse et enfin à l'île d'Houat...où il vit et écrit.



Cette lecture très dense, m'a donné envie de faire plus ample connaissance avec le reste de l'œuvre atypique de cet écrivain, qui considère comme "créations" l 'acte d 'écriture comme l'acte de lecture...
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L'introduction de la pelle : Poèmes 1967-1989

"L'introduction de la pelle" est la première de trois anthologies consacrées à l'oeuvre poétique d'Alain Veinstein. Ce volume publié aux Éditions du Seuil regroupe l'essentiel de ses textes écrits entre 1967 et 1989.



Dès les premières pages, on entre dans une écriture très particulière. Sans effet lyrique, sans rimes, en vers ou en prose, les poèmes d'Alain Veinstein sont comme des fragments épars, sans liens apparents entre eux. Textes courts de quelques vers, de quelques mots, parfois d'un seul, recouvrent invariablement la surface de la page.



Que ce soit pour enfouir ou pour extraire, La pelle sert à creuser la terre nourricière mais aussi à y déposer l'être qui a perdu la vie ou un objet secret. Cette métaphore de la pelle chez Alain Venstein représente notre esprit qui extrait de lui-même, comme d'une terre propice, le poème à venir et qui enfouit celui déjà écrit, voué à disparaître.



" Écrire sans être épaulé par

un récit en cours, comme si

à chaque phrase (en chaque

phrase) le récit devait se

perdre. "*



Dans un langage comme disloqué, comme rentré en lui-même avec sa réserve de temps et d'espace, l'écriture d'Alain Veinstein se soumet à l'expérience d'une langue perdue, sans avenir, à une langue dans laquelle pourtant l'écrivain cherche une issue à son récit.



" D'où ces

lignes brisées, ces récits

déchirées, ces amas...

comme s'il m'était impos-

sible de faire un geste, de

m'engager dans une his-

toire, sans que surgissent

les traces du choc. "**



Le souvenir d'un enfant, d'une femme aimée,.... Les thèmes se succèdent, se croisent, s'entrecroisent. Si l'écriture est une tentative constante de ramener la réalité à nous, de l'inscrire au plus fort de notre conscience, les mots paraissent parfois insuffisants, impuissants à le faire. Viennent la mort, la douleur, les mots nous manquent, nous sommes comme privés du ressort de la parole.



J'ai particulièrement apprécié cette anthologie, l'état de conscience que scrute, que creuse Alain Veinstein dans sa poésie. Dans un style qui peut paraître en soi assez disparate, aride, déstructuré,... j'ai été sensible au travail de l'auteur qui interroge avec précaution l'écrit et le langage, la mémoire que nous en conservons, à tout ce qui nous lie à eux et qui nous font être ce que nous sommes. Une belle découverte.



" Tout se joue avec eux,

je n'ai que ces mots pour vivre,

je n'ai que ces mots qui meurent de vive voix

pour me défendre du pire.

J'aurais pourtant aimé

qu'ils me viennent aux lèvres,

ces mots arrachés au vif,

pris sur le vif d'une passion. "***







(*) extrait de Après coup, in Vers l'absence de soutien - 1978

(**) extrait de Troisième journal de l'autre, in Vers l'absence de soutien - 1978

(***) extrait de La leçon d'écriture l'été dans le jardin, in Une seule fois, un jour - 1989
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Léna

.



HONNETE HOMME ?



Homme de lettres de couleurs de mots et de radio.

Homme qui s’abstient d’ostentation et de leçons.

Homme semblant tout le contraire de sa compagne Laure Adler

Homme bien bourgeois mais trop touche a tout et ouvert pour cela.

Homme qui malgré tout est victime de la mode.

Encore Ecrire un Bouquin.



Mais semble t’il plus pour se faire plaisir à écrire que pour être lu par les rares lecteurs qui restent et qui n’ont pas le temps d’ouvrir tout ce qui se publie par les moult maisons d’éditions qui se créent.



Heureusement que c’est pour se faire plaisir parce que c’est un remake d’un precedent. On ne prend même plus le temps dans les salons parisiens d’essayer d’imaginer une histoire . On ne cherche que des A Valoirs.



Livre aussi vite ouvert que refermé. Le numérique c’est pratique.





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L'accordeur

Remarquable livre sur la paternité, la lignée paternelle, ses transmissions, ses "Complexes"... Comment continuer, se différencier, supporter, assumer, exécuter ses devoirs, aimer, se passionner, s'émanciper, outrepasser, sortir des rails et des clichés, faire mal et faire bien...

J'ai rarement lu un livre aussi déployé sur cette "thématique" "masculine". En balancier, l'écriture est poétique, fine, et sans mièvrerie. Floue et pourtant précise.

De la terre, aux fleurs, aux sons de piano... Des envolées de bouches fermées, aux lèvres qui s'ouvrent, tout ça fait mal. Très mal. Tout ça fait bien. Très bien.



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Cent quarante signes

à prendre, laisser, reprendre - charme du ton - un rythme qui se crée entre le récit, vrai ou non, d'une journée, des souvenirs de lecture, des notes sur l'écriture, un peu comme une construction en mosaïque à partir de ces tweets, (donc dans la limite de 140 caractères) postés chaque matin pendant près d'un an (avril à février)
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L'Imaginaire à l'écoute de Louis-René des Forêts : ..

J'ai déniché cet audio et je l'ai savouré car c'est un moment rare, Louis-René Des Forêts n'ayant jamais donné d'interview à la radio. C'est le premier et il a choisi Les nuits magnétiques sur France culture. L'interview de Alain Veinstein date de 1983, à l'époque où il n'y avait pas d'ordinateur à la maison, encore moins de podcast.



Louis-René Des Forêts est un auteur proche du Nouveau roman, mouvement littéraire du 20ème siècle qu'il a traversé, de 1916 à 2000. Il a fréquenté le groupe de la rue Saint-Benoit et raconte dans cette interview qu'il a été influencé par les surréalistes, Alain Breton notamment, quand il a écrit « le bavard ».

Il dit que la musique à une grande place dans sa vie et a fait de la peinture aussi, un moyen d'expression. Il évoque ses textes (qui restent peu nombreux) au moment où il se remet à écrire, dans les années 80, après une période d'une dizaine d'années durant laquelle il n'a rien publié. Très émouvant.





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Le désir que j'ai

Arrière, toute !



En arrière, oui, en plusieurs sens. D’abord parce que ce gros livre regroupe trois recueils précédents d’Alain Veinstein, Le développement des lignes (2009), Voix seule (2011) et Scène tournante (2012), c’est-à-dire semble compléter L’introduction de la pelle (2014), compilation des premiers poèmes de l’auteur (1967-1989). Je dis « semble », car en fait le nouvel ensemble atteste plutôt d’une rupture.
Lien : https://www.en-attendant-nad..
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Dancing

J'ai eu un peu de mal à faire la route et à suivre les chemins qui mènent nulle part pendant plus de la moitié du livre. J'ai douté un moment qu'elle finisse par déboucher sur le dancing.

J'avais l'impression d'être dans "le terrier" de Kafka, le truc de dingue. Je pense que ça tient plus à mon état d'esprit qu'au roman de Veinstein. Pour moi c'est un cauchemar cette première partie. Le protagoniste est perdu dans sa tête, dans ses émotions comme sur la route. Chaos qui me rappelle un rêve récurent quand j'étais plus jeune : je conduisais ma voiture avec les yeux à moitié fermés et j'avançais dans une grande angoisse, c'était tjs la nuit et ça durait durait durait....................ouf le dancing et d'autres surprise.

Livre à réserver aux périodes de doute et de prises de tête.
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L'accordeur

À 81 ans, Alain Veinstein accomplit une bien surprenante plongée aux racines de son oeuvre. En remaniant « L'Accordeur », premier roman paru en 1996, et en y adjoignant une « Léna » à la croisée de l'autobiographie et de la cavalcade poétique d'un Breton dans « Nadja », il livre un texte dont la poésie protéiforme vaut davantage qu'un simple détour.
Lien : https://www.lesechos.fr/week..
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Poursuivre

Où le rafraîchissement d'un appartement tourne à la cocasserie métaphysique. Quel chantier !




Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
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Cent quarante signes

A lire en direct, cela devait valoir la peine, imprimés à la suite, c'est un peu indigeste...
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Cent quarante signes

Alain Veinstein est un poète, et finalement, scander un vers, n’est pas si éloigné de rédiger un twitt. Surtout pour un Grand Prix de poésie de l’Académie française. « On ne peut écrire vraiment qu’avec une main blessée. » Et celle gantée, le pouce à l’air sur son écran tactile ? Cela n’empêche pas les erreurs, quand on twitte, on prend un risque, immédiat. « Franchir le seuil : c’est le premier pas qui compte, même les bras chargés de honte. » Et plus certainement : « Chaque phrase, un pas perdu, aussi bien. S’en convaincre n’est pas sorcier, il suffit de se relire. » Pourtant : « Comment la rage peut-elle mettre le feu à des mots jusque-là sans histoires ? »



(paru dans Blake 62)
Lien : http://tmblr.co/Z4Dxcn1EvYdTF
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Cent quarante signes

A lire sur le blog
Lien : http://sansconnivence.blogsp..
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Voix seule

Si la poésie est la part la plus confidentielle de la littérature - monde secret, hélas trop peu visité -, Alain Veinstein parvient à ouvrir une voie très personnelle qui mêle l'intimité de sa parole à la générosité de la fiction.
Lien : http://www.lemonde.fr/livres..
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