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Citations de Alexander McCall Smith (791)


Ma fourgonnette a été endommagée deux fois , j'ai été griffée par une femme violente sur laquelle j'ai du m'assoir , j'ai arraché un petit garçon à une situation de quasi-esclavage et j'ai failli être reversée par un caddie.
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La plupart du temps , il y a assez d'amour pour tout le monde. Oui , c'était vrai , comme était vraies beaucoup de déclarations inattendues. Il étais aisé d'imaginer le pire , aisé de partir du principe que les gens seraient égoïstes et manqueraient de compassion , et qu'ils abandonneraient les êtres qui avaient le plus besoin de leur amour et leur assistance.
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Un regard d'encouragement. Un regard qui dit : si tu te demandes en ce moment si tu vas faire une certaine chose, n’hésite pas, fais-là ! C'est ce genre de regard-la....
Elle marqua un temps d’arrêt, puis reprit :
- Eh bien, cette femme-la est heureuse. Tous ces sourires qu'elle lance, tous ces rires sont à mon avis le signe qu'elle est parfaitement heureuse.
Les deux détectives plongèrent dans le silence en réfléchissant à l’injustice flagrante qu'il y avait là. Mma Makutsi ouvrit la bouche pour parler, puis la referma. Elle avait voulu dire : « Mais le bon Dieu la unira surement, Mma » et s’était ravisée : c'était le genre de chose que l'on ne disait plus, même si on le pensait.
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Où que nous soyons, quels que soient l'heure de la journée et de notre état d'esprit , ils sont là et continuent à faire briller sur nous l'éclat de leur amour.....
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Nous sommes tous perdus dans la savane , songeait Mma Ramotswe. Nous le sommes tous, même si nous l'ignorons et , tôt ou tard , un oiseau surgit pour nous mener là où nous devons aller......
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Nous avons encore cette terre que nous appelons tous notre terre , ces acacias qui sont nos acacias , ce ciel qui est le nôtre parce qu'il a vu vivre nos mères et nos pères et les a ensuite accueillis en lui , qu'il leur a ouvert les bras quand il sont partis.....Nous avons toujours cela , si immense et effrayant puisse devenir le monde. (p 20 )
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Mma Ramotswe sut tout de suite à qui pensait sa collègue.
- Violet Sephotho ?
Mma Makutsi hocha la tête et un fin rayon de soleil vint rebondir sur les verres de ses grosses lunettes rondes, envoyant danser des éclairs au plafond.
- Oui, c'est a elle que je songeais, répondit-elle. Quand on la regarde, elle a l'air rayonnante. Elle est toujours en train de sourire et de....
- Et de dévisager les hommes, compléta Mma Ramotswe. On connait bien le genre de regard que certaines femmes lancent aux hommes... N'est-ce pas, Mma ? Vous voyez ce que je veux dire ?
Mma Makutsi voyait très bien.
- Un regard d'encouragement. Un regard qui dit : si tu te demandes en ce moment si tu vas faire une certaine chose, n’hésite pas, fais-là ! C'est ce genre de regard-la....
Elle marqua un temps d’arrêt, puis reprit :
- Eh bien, cette femme-la est heureuse. Tous ces sourires qu'elle lance, tous ces rires sont à mon avis le signe qu'elle est parfaitement heureuse.
Les deux détectives plongèrent dans le silence en réfléchissant à l’injustice flagrante qu'il y avait là. Mma Makutsi ouvrit la bouche pour parler, puis la referma. Elle avait voulu dire : « Mais le bon Dieu la unira surement, Mma » et s’était ravisée : c'était le genre de chose que l'on ne disait plus, même si on le pensait. Car le problème, estimait-elle, c’était que le bon Dieu avait quantité de gens à punir de nos jours, de sorte qu'il ne trouvait sans doute pas le temps de s'occuper de Violet Sephotho. C'était là une réalité très décevante, une opportunité gâchée, dans un sens. Mma Makutsi aurait volontiers proposé ses services pour aider à faire appliquer le châtiment divin, peut-etre en créant une organisation qu'elle appellerait La ligue de justice de Mma Makutsi, par exemple, un moyen sévère, mais juste de punir des individus comme Violet.
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She made it so simple that he found himself convinced that it would work. That was the wonderful thing about confidence -- it was infectious.
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Il ferma les yeux de contentement, pour se rappeler aussitôt qu'il conduisait,
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Ainsi était fait le monde : composé de quelques rares individus presque parfaits (nous-mêmes), d'un grand nombre de personnes qui faisaient de leur mieux, mais qui n'étaient pas si parfaites que cela (nos amis et collègues) et de quelques autres qui se montraient franchement désagréables (nos ennemis et adversaires).
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She stopped. It was time to take the pumpkin out of the pot and eat it.In the final analysis that was solved these big problem of life.You could think and think and get nowhere, but you still had to eat your pumpkin. That brought you down to earth. That gave you a reason for going on. Pumpkin
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Pula, pula, pula ! est le cri de triomphe et de joie universel au Botswana. Il signifie « pluie, pluie, pluie » : le cri adéquat dans un pays aride où l’on ne vit que dans l’attente du jour où arrivent les pluies, celles qui redonnent la vie, ce jour où le ciel vire au violacé, où la chaleur est à son comble et où le vent se lève, précédant les premières gouttes qui viennent alors éclabousser le sol grillé en menant leur danse. Pula, pula, pula !
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Il portait un large pantalon vert olive sur lequel on avait cousu beaucoup trop de poches : le genre de vêtements dont les touristes pensent qu’ils constituent la tenue classique au Botswana, mais qui, en réalité, ne sont portés que par eux. Il fallait reconnaître que le pantalon semblait assez pratique, songea-t-elle, mais elle se demanda malgré tout ce que les gens pouvaient bien faire de tant de poches. Se figuraient-ils que l’on avait besoin d’emporter des canifs, des compas et toutes sortes d’outils de ce type, même pour aller à Mochudi ?
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 — J’ai fait un rêve très bizarre, annonça-t-elle à Mma Makutsi alors qu’elles dépouillaient ensemble le courrier du matin au bureau.
Mma Makutsi releva les yeux de l’enveloppe qu’elle s’apprêtait à ouvrir avec un coupe-papier.
— Un rêve, c’est forcément bizarre, rétorqua-t-elle. En fait, ce qui serait bizarre, ce serait de faire un rêve qui ne le serait pas.
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Il se passe quelque chose de très étrange et je n’arrive pas à comprendre quel est le problème. J’ai interrogé tout le monde, mais les gens ne desserrent pas les dents. Ils détournent les yeux. Vous savez ce qu’on fait quand on n’a pas envie de parler ? On détourne les yeux.
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Il en était ainsi au Botswana, partout ou presque : des liens de parenté, plus ou moins atténués par la distance et le temps, unissaient les gens, tissant dans le pays une grande toile humaine d’affection et d’appartenance. Et dans les fibres de cette toile, des liens d’obligation interdisaient d’ignorer les besoins d’autrui. Nul ne devait mourir de faim ; nul ne devait se sentir rejeté ; nul ne devait demeurer seul avec un chagrin.
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La grosse erreur, c'est de fermer les yeux. Tant de gens ont les yeux fermés. Quand on les regarde, bien sûr, on a l'impression qu'ils les ouvrent, mais en les observant de plus près, on s'aperçoit que, même si leurs yeux sont ouverts, ils ne voient rien.
- C'est parce qu'ils ne regardent pas, expliqua Clovis Andersen. Quand on ne regarde pas, on ne voit pas (...)
- Et puis, il y a ceux qui ont les yeux ouverts et qui regardent, mais qui ne voient rien, parce qu'ils cherchent des choses qui ne sont pas là. (...)
- Cela ne signifie pas qu'il n'y a rien là où ils regardent (...) Il peut y avoir quelque chose, mais comme ce n'est pas ce qu'on cherche, on ne le voit pas. Nous devrions toujours nous demander : est-ce que je cherche la bonne chose ?
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Elle était de constitution traditionnelle, après tout, et n'avait nul besoin de se soucier de la taille de ses vêtements, contrairement à ces pauvres névrosées qui se regardaient sans cesse dans la glace en se disant qu'elles étaient trop grosses. Qui était trop gros, en fait ? Qui était autorisé à dire à son voisin quel devait être son poids ? C'était là une forme de dictature imposée par les maigres et Mma Ramotswe n'avait aucune intention de s'y plier. Si les maigres devenaient trop insistants, les gros pourraient toujours s'asseoir sur eux pour les étouffer sous leur poids. Oui, ça leur apprendrait !
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O que é o patriotismo senao o amor as guloseimas que comiamos na infancia.
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Sabia que a empregada não considerava trabalho de verdade as horas passadas no escritorio. Claro que, para quem executava serviços pesadas, sentar-se a uma escrivaninha não parecia tarefa muito ardua.
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