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Citations de Andreas Gruber (35)


Un pur régal ! L'intrigue est si complexe jusqu'à son dénouement que le fait que l'on sache qui est le tueur en série, et ses motivations, aux 3/4 du bouquin, n'a aucune importance. Que les fans du genre n'hésitent pas !
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Les rêves peuvent être utiles. Ils montrent que votre subconscient s'occupe de choses longtemps refoulées.
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— Ohé ?
Merde ! Pourvu que ce ne soit qu’un cauchemar. Combiende fois, la nuit, avait-elle bondi jusqu’au lit de ses enfants pour les rassurer quand ils criaient ? Rendors-toi, ce n’était qu’un mauvais rêve ! Maman est là. Cette époque était révolue, maintenant elle vivait seule. Mais ce qui se passait ici était réel. Bien réels étaient le goût dans sa bouche et l’irritation de sa gorge ! Un mal de tête lancinant battait contre ses tempes, plus violent encore quand elle tentait de bouger.
Quel jour sommes-nous ?
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Elle ferma les yeux. Quelle étrange odeur ! Entre les relents de terre et de pierre se faufilaient des effluves d’encens. Dingue ! Elle passa sa langue sur ses lèvres. De la poussière granuleuse. Elle déglutit. Un drôle de goût aigrelet ! Une nausée, soudain. Elle eut un haut-le-cœur. Un peu de bile lui coula sur le menton.
Mais que s’est-il passé ?
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— Ohé ? croassa-t-elle. Sa voix résonna contre les parois. On aurait dit un écho, dans un caveau. Le son était néanmoins étrangement assourdi, recouvert par les battements de son cœur. Comme pendant ses vacances en Croatie, lorsque, petite fille, elle collait un coquillage contre son oreille pour entendre le ressac
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Elle comprit instinctivement qu’elle n’était pas allongée, mais debout. Comment l’avait-elle deviné ? Elle l’ignorait. Sans doute parce qu’une larme lui descendait le long de la joue. Elle voulut l’essuyer, mais ses bras, lourds comme du plomb, pendaient, inertes, contre son corps. Instantanément, la panique l’envahit.
Que m’est-il arrivé ?
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Quand elle ouvrit les yeux, une pesante obscurité l’entourait. Elle n’était pas dans sa chambre, ni même dans son appartement. Il manquait le tic-tac de l’horloge, le parfum des draps propres et le clignotement rouge du magnétoscope. En revanche, elle sentait une odeur d’humidité, de bois et de ciment.
Un chantier ?
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Carmen actionna la télécommande de verrouillage central de sa voiture, qui clignota deux fois. Elle aperçut alors
du coin de l’œil une ombre de grande taille. L’homme
bondit de derrière un pilier. Avant d’avoir eu le temps de se retourner pour se protéger, elle sentit sur sa nuque une
légère piqûre.
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Parfois des fous se promenaient dans les caves de l’Institut de pathologie de l’université de Vienne. Elle se demanda s’ils s’en prendraient à une femme de quarante-sept ans. Avec l’âge, ses chances de ne pas être importunée grandissaient-elles ou diminuaient-elles ?
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Telles des créatures aux aguets, les voitures étaient
tapies dans l’ombre des piliers d’où seuls leurs capots
émergeaient. Pas un chat en vue.
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L’ascenseur descendit dans un bourdonnement régulier. Une lumière blafarde envahit la cabine à l’ouverture
de la porte.
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Le monde était un lieu étrange, rempli de contradictions dont on ne pouvait tout simplement faire l'économie. Et c'était précisément grâce à elles que les choses suivaient leur cours.
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Il passa derrière Carmen. La lumière de sa lampe tomba sur un miroir oscillant au bout de la chaîne. Un reflet dansa sur les murs. Des briques rouges. Pas de crépi. La voûte, nue, n’était pas très haute. On aurait dit une petite cave à vin. Carmen crut discerner des crochets au plafond.
- J’espère que tu ne paniqueras pas en te voyant. N’oublie pas : ta cage thoracique est prise dans un étau. Tu ne dois pas respirer fort ! Plus tu réagiras calmement, mieux ça vaudra. Si tu hyperventiles, tu t’étoufferas.
Le miroir tourna, si bien qu’elle aperçut son propre visage un instant.
Et elle ne voyait… que son visage !
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Il avait la voix déformée par un procédé électronique quelconque et il m’a dit « Monsieur Nemez si vous trouvez en quarante-huit heures pourquoi votre femme a été enlevée, elle restera en vie. Sinon, elle mourra »
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Jusqu'à mon retour sage et obéissant tu seras. Et surtout, Konrad, ton pouce point tu ne suceras. Sinon le tailleur, avec ses ciseaux, bien vite arrivera. Et tes pouces comme du papier de soie coupera.
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