AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Ann Brashares (613)


Règle n°1 :
Le client a toujours raison.
Règle n°2 :
Si le client a tort, se référer à la règle n°1.
- Duncan Howe -
Commenter  J’apprécie          00
Laisse moi t'aimer, mais ne m'aime pas en retour. Aime moi, mais laisse moi te haïr quelques fois. Laisse moi l'illusion de contrôler les choses, parce que je sais bien que tout m'échappe.
J'ai beaucoup aimé ce passage là! (Page 106)
Commenter  J’apprécie          00
C'était à cause de cette lettre. Ce n'était qu'un vieux bout de papier plié dans son porte-monnaie, mais il était assez puissant pour faire voler son monde en éclats et lui ronger l'esprit, la nuit comme le jour. Mais cela ne l'aidait pas à savoir ce qu'il convenait de faire. Cela ne faisait pas surgir un nouveau monde à la place. Il ne lui restait plus qu'à errer dans les décombres de l'ancien.
Commenter  J’apprécie          00
- Il y a encore une chose, a-t-elle ajouté au bout d'un moment d'un ton plus enjoué.
- Quoi donc ?
- Quand vous m'aurez retrouvée, comment saurai-je que c'est bien vous ?
- Je vous le dirai.
- Et si je ne vous crois pas ? Je suis plutôt du genre entêté, vous savez.
Je l'ai serrée plus fort contre ma poitrine.
- Oui, c'est juste. Mais votre cas n'est pas désespéré.
Commenter  J’apprécie          00
Ben est très âgé. J'ignore son âge. Il y a des jours où il me fait penser à Vishnou, qui a en mémoire toute l'histoire de l'humanité, mais je ne crois pas qu'il sache lui-même quand il est venu au monde la première fois. Il m'a dit que son premier souvenir était le clapotis de l'Euphrate, mais il s'agit là plus d'une impression que d'un fait. S'il est vrai qu'il a en tête toute l'histoire de l'humanité, je crains qu'elle n'ait été confiée à un poète plutôt qu'à un historien.
- Tout n'est que métaphore, n'est-ce pas ?
- Ah, bon ? ai-je rétorqué, avide de concret.
Commenter  J’apprécie          00
En tant que gardien de cette mémoire aussi ancienne qu'étrange, et étant l'un des rares individus sur terre capable de témoigner sur la mort, j'ai senti qu'il était de mon devoir de consigner ce processus et d'essayer de le comprendre mieux. Je ne sais pas très bien à qui profitera cette longue étude, ni s'il y aura quelque profit à en tirer, mais c'est ainsi. Rapporter, ce n'est pas faire, me dirait mon vieil ami Ben, se souvenir n'est pas vivre mais, plus j'avance en âge, plus il me semble que c'est ce que j'ai de mieux à offrir.
Commenter  J’apprécie          00
J'ai été jadis quelqu'un de tout à fait normal, mais ça n'a pas duré longtemps. C'était au cours de ma première vie. Le monde était alors nouveau pour moi, et j'étais moi-même nouveau à mes propres yeux. Tout a commencé vers l'an 520 après Jésus-Christ, mais je ne suis pas absolument sûr de la date. Ce n'était pas le genre de chose que je cherchais à me rappeler à l'époque. C'était donc il y a très longtemps, et je ne pouvais pas savoir que j'allais m'en souvenir.
Commenter  J’apprécie          00
Tu t'imagines peut être que tu auras droit à ton quota de bonheur total en repoussant toujours l'échéance, mais ça ne marche pas comme ça. Il faut de la pratique pour être pleinement heureux. C'est en vivant qu'on vit plus fort. Et en attendant qu'on attend plus encore. Chaque jour passé à attendre est un jour de moins à vivre. Chaque jour passé seule te renferme un peu plus sur toi-même. Chaque fois que tu repousses le moment de vivre ta vie, tu es de moins en moins capable de la vivre.
Commenter  J’apprécie          00
Comme la lune était belle, là-bas sur l'horizon. Elle avait envie de rester là, avec elles. De se rouler en boule, de se ratatiner, de prendre le moins de place possible et de laisser le monde tourner sans elle.
Elle s'allongea. Se roula en boule.
Puis changea d'avis.
Elles étaient mortes. Elle était vivante. Il fallait bien qu'elle fasse quelque chose de sa vie. Quelque chose de bien. Alors elle promit à Bailey de continuer à jouer.
Commenter  J’apprécie          00
Quel drame d'etre insupportable avec les autres pour finalement se retrouver tout seul à se detester plus que quiconque
Commenter  J’apprécie          00
Les reves devenaient bien moins agreables quand ils n'avaient aucune chance de se realiser
Commenter  J’apprécie          00
La reussite d'une soiree dependait de ce qu'on en attendait
Commenter  J’apprécie          00
La voix du sang parle peut etre plus fort que les autres, mais rien ne vaut celle de l'amitié
Commenter  J’apprécie          00
Les filles qui ne prennent jamais de risque ont une drole de fascination pour les filles qui osent :" elles les adorent et les detestent en meme temps
Commenter  J’apprécie          00
Elle avait appris depuis longtemps que les garçons interpretaient les excuses comme une raison de plus d'insister




Commenter  J’apprécie          00
Il faisait doux ce soir-là. Les épais feuillages d’été embaumaient l’air d’un doux parfum sucré. Même la poubelle débordant d’ordures dégageait une douce odeur. Il est des nuits où les étoiles scintillent froidement là-haut, loin dans le ciel, et vous narguent, intouchables. Mais parfois, comme cette nuit-là, elles clignotent chaleureusement et vous font signe, donnant l’impression qu’elles vous connaissaient personnellement. Lena était contente que ce soit l’été, qu’ils puissent être ensemble dehors, à la belle étoile, sans toit pour étouffer leurs rêves.
Commenter  J’apprécie          00
Bee aurait commandé une énorme plâtrée de spaghettis. Sans même penser qu’elle risquait d’avoir des pâtes qui pendaient de la bouche comme des tentacules. Elle n’était pas du genre à changer ses habitudes parce qu’elle sortait avec un garçon. Lena oui. Elle aurait choisi un plat facile à manger. Peut-être une salade. Une petite salade toute simple. Tibby aurait pris un truc bizarre, comme des calmars. Histoire de voir la réaction du garçon. Mais en prenant garde à éviter les aliments qui restent coincés entre les dents.
-Un blanc de poulet forestière, s’il vous plaît, déclara Carmen en levant les yeux vers le serveur.
Commenter  J’apprécie          00
C’était une chose de déceler les problèmes des autres, c’en était une autre de regarder les siens en face. Si les émotions, les espoirs perturbaient la vision qu’on avait du visage d’un être cher, ne risquait-on pas d’être carrément aveugle devant son propre visage ?
Commenter  J’apprécie          00
Elle pensait avoir tiré une leçon de l'accident de Katherine. Une leçon qui disait : « N'ouvre pas, ne grimpe pas, n'essaie pas et tu ne tomberas pas. » Mais ce n'était pas ça du tout. Elle avait tout compris de travers !
Du haut de ses trois ans, la petite Katherine lui enseignait exactement l'inverse : « Essaie, tends la main, désire, tu risques de tomber mais, même si tu tombes, tu t'en remetras. »
Remuant ses pieds sous les couvertures, Tibby réalisa qu'une autre leçon encore en découlait : « Si tu n'essaies jamais, bien sûr tu ne risques rien, mais autant être morte. »
Commenter  J’apprécie          00
S'il n'est pas capable d'apprécier la beauté de notre jean, alors ce n'est pas un mec pour toi, déclara sentencieusement Lena.
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Ann Brashares Voir plus

Quiz Voir plus

Quatre filles et un jean

A qui appartient le jean à l'origine?

Carmen
Tibby
Bridget
Lena

6 questions
284 lecteurs ont répondu
Thème : Quatre filles et un jean, tome 1 : Le premier été de Ann BrasharesCréer un quiz sur cet auteur

{* *}