Ann Brashares

Il n'y a pas d'avenir, Alice. Pas d'espoir. Nos vies non plus de point de contact. Tout ça, c'est du passé
maintenant, officiellement.

Mais il l'aimait. Pouvait-il lui dire ? C'est tellement simple de l'aimer et encore plus simple de ne pas se
l'avouer.

Elles étaient quatre. Elles avaient toujours été quatre. Il ne pouvait rien se passer entre elles tant qu'elles n'étaient pas toutes présentes, ç'aurait été une trahison.

Ethan a été le premier à m'adresser la parole, quand je suis arrivée au lycée. [...]
A ses yeux, je suis sans doute comme ce clochard: un cas désespéré, mais intéressant quand même. Une bonne action plutôt qu'une amie. Il sait qu'il y a un truc qui cloche chez moi. Il s'en doute. Je le vois à sa façon de me regarder. Du coup, il y a comme une sorte d'accord tacite entre nous.
Je ne lui mens pas, mais je ne lui dis pas la vérité non plus. Je ne peux pas. Si je luis révélais quoi que ce soit, ça le mettrait dans une situation impossible. Il est déjà le goutte-à-goutte qui creuse lentement un ravin en moi. p.53

« Nous devons allégeance absolue à la communauté. Afin d'assurer sa survie et sa sécurité, nous suivons les ordres de nos dirigeants et conseillers sans questions ni discussions. […] Il nous est interdit de recevoir des soins médicaux et de nous soumettre au moindre examen en dehors de la communauté. » (p. 23)
« Humains contre moustiques. Qui devait l'emporter ? Nous avons construit des fusées et des cathédrales. Nous avons composé des poèmes et des symphonies. Nous avons trouvé le moyen de voyager dans le temps. Et pourtant. Nous avons saccagé la planète pour satisfaire nos besoins, du coup, c'est le moustique qui va gagner. A moins que nous ne réussissions à inverser le cours des choses. » (p. 39)
« Un texte imprimé est un objet. Une chose réelle. On ne peut pas le modifier, le réécrire, le rafraîchir, le mettre à jour, le pirater ou quoi que ce soit. […] Aujourd'hui, les gens sont à fond pour le tout numérique, les bases de données, chacun est fier de posséder son morceau de Cloud,etc. On n'a plus grande considération pour le papier, mais l'enthousiasme va retomber au bout d'un moment. » (p. 135)
« Les gens vont se mettre à stocker leurs souvenirs. […] C'est le même principe que dans nos lunettes. Il suffit d'avoir un Smartphone, en fait. Si tu laisses tourner la caméra en permanence, tu enregistreras tout ce que tu fais, tout ce que tu entends, tout ce que tu vois. » (p. 139).
« On est partis en 2098 et arrivés en 2010. […] Parce que la technologie du voyage dans le temps était enfin fonctionnelle. » (p. 189)
« Les gens d'ici ont une drôle de manière d'agir pour éviter le désastre. Ils organisent la Journée mondiale de la planète et achètent des produits bio pour se donner bonne conscience. Comme s'il suffisait de porter des chaussettes en chanvre et de dormir dans des draps en coton produits sans pesticide pour y changer quelque chose. En revanche, personne ne s'attaque au plus important » (p. 192)

C'est un très bon livre!!!

"Comme dans n'importe quel système politique ou religieux un peu strict, plus les règles sont astreignantes, plus il est nécessaire de les répéter aux pratiquants."
Chapitre 1

Bon roman.mais je ne l'ai pas encore lu

J'ai vu la beauté dans toutes sortes de choses. Je suis tombé amoureux, et c'est elle qui continue à vivre. Je l'ai tuée une fois et je suis mort pour elle plusieurs fois, et tout cela en vain. Je la cherche désespérément; son souvenir me hante. Je garde espoir qu'un jour ou l'autre elle se souviendra de moi et me reconnaîtra.

j'ai hate que le film sorte

- Tout le monde sait pertinemment ce qui va arriver. Avant de venir ici, j'imaginais que les gens de la fin du XXe et du début du XXIe siècle ignoraient le mal qu'ils faisaient à la planète car, sinon, pourquoi auraient-ils continué ? Pourtant, ils sont au courant. Ils ne savent pas en détail ce qui va arriver, mais ils en ont déjà une bonne idée.
(...)
Mais les gens d'ici ont une drôle de manière d'agir pour éviter le désastre. Ils organisent la Journée mondiale de la planète et achètent des produits bio pour se donner bonne conscience. Comme s'ils suffisaient de porter des chaussettes en chanvre et de dormir dans des draps en coton produits sans pesticide pour y changer quelque chose. En revanche, personne ne s'attaque au plus important. Parce que cela leur coûterait trop. Personne n'est prêt à faire les sacrifices nécessaires. Les hommes politiques n'en ont pas le courage. Un jour, ils seront bien obligés d'exiger ces sacrifices, ils n'auront plus le choix, mais ce jour-là, ce sera déjà trop tard. p.217-219

Je peux t'offrir un verre ou tu préfères que je te donne l'argent ?
- Comique raté.

Soudain, elle eut une vision : la route de sa vie s'étendait sous ses pieds du passé au présent, ferme, solide, sans rupture, et continuait loin, loin devant, aussi loin que l'horizon.

Soudain, elle eut une vision : la route de sa vie s'étendait sous ses pieds du passé au présent, ferme, solide, sans rupture, et continuait loin, loin devant, aussi loin que l'horizon.

Pourquoi n'avait-elle pas voulu que Brian vienne ? Parce qu'elle avait peur de ce que Cora et Alex allaient penser de lui ? Ou parce qu'elle avait peur de ce que Brian allait penser d'elle ?

Elle passa une heure à la caisse trois pour vendre en tout et pour tout deux piles LR6 à un adolescent boutonneux et, après cela, son service était terminé.

Elle passa une heure à la caisse trois pour vendre en tout et pour tout deux piles LR6 à un adolescent boutonneux et, après cela, son service était terminé.

Je pourrais vous raconter que j'ai adoré ce jean dès le premier coup d’œil et que j'ai tout de suite su apprécier sa beauté, etc., etc., mais je préfère être honnête et vous avouer que j'ai failli le jeter à la poubelle.

En fait, je suis la blonde. Le coup du top model, c'était une blague.
-Bridget-

Il était une fois quatre filles...et un jean. Ces filles étaient on ne peut plus différentes, en taille et en poids, et pourtant le jean leur allait parfaitement.
-Lena-