Citations de Anna Milbourne (22)
Tu ne seras pas seule, dit maman. Nous serons tous là, pas loin.
Ou est passé le renard à présent?
HOU HOU !
Qui est la haut?
Une chouette, qui s'envole pour chasser sa nourriture.
Parfois, pour être gentil, il faut d'abord se mettre dans les souliers de l'autre.
Un tourbillon de vent soulève les feuilles et les fait voler. On dirait presque qu'elles dansent. Des écureuils mangent des glands, et en enterrent aussi quelques-uns pour l'hiver.
Au fond de la rivière, une larve de trichoptère cherche à se cacher.
Elle se construit un fourreau, à l'aide de brindilles.
Les voyages de Sindbad le marin :
Je passai la nuit au palais, et le lendemain, je descendis au port pour voir si quelqu'un pourrait me dire comment rentrer chez moi. Aucun des marins ni des marchands n'avait jamais entendu parler de mon pays.
Les sonnettes
Chaque pièce est équipée d'une sonnette près de la cheminée.
En tirant le bouton relié à l'une des cloches d'un tableau situé dans la cuisine, on fait venir la servante dans cette pièce.
L'empereur s'admira dans le miroir.
"Ne suis-je pas splendide ? demanda-t-il.
- Oh oui ! Votre Excellence", répondirent les valets en dévisageant l'empereur.
"Oui, Votre Excellence", répondit Boris en regardant le plafond. (Il essayait de NE PAS le regarder.)
Je voulus les récompenser en leur donnant des pierres précieuses, mais ces braves gens refusèrent de les prendre. "Non, merci. Sauver un homme est une récompense en soi", dirent-ils.
Les Voyages de Sindbad le marin
Tous les hommes naissent égaux,
Mais après, même s’il fait chaud,
Certains triment en permanence,
D’autres vivent dans l’indolence.
Les voyages de Sindbad le marin.
Il était une fois un sultan très riche et puissant. Il gouvernait son pays avec bonté parce qu’il était amoureux. Il formait avec sa femme le couple le plus heureux du monde. Du moins, c’est ce qu’il croyait…
Un jour, au retour d’une promenade à cheval, le sultan trouva sa femme dans les bras d’un autre homme. Il eut le coeur brisé, mais à sa tristesse succéda la colère. Il la fit aussitôt tuer, avec son amant. «Si mon épouse est capable de me tromper, c’est que je ne peux faire confiance à aucune femme. Je ne serai plus jamais amoureux», jura-t-il.
La conduite du sultan, après cela, fut si choquante qu’elle est entrée dans l’histoire. Tous les après-midi, il épousait une femme différente, qu’il faisait mettre à mort le lendemain matin.
La terreur régnait donc sous son règne. Les parents cachaient leurs filles pour qu’elles ne soient pas obligées d’épouser le sultan. Les jeunes filles quittaient le pays. À la naissance, les filles étaient accueillies dans la douleur plutôt que dans la joie, car on ignorait quand tout cela finirait.
Puis, un matin, une belle jeune femme appelée Schéhérazade dit à son père : «Je veux me porter volontaire pour être l’épouse du sultan.»
Les yeux de son père se remplirent de larmes. «Pourquoi donc ? Tu es bien trop bonne et bien trop intelligente pour gâcher ta vie.
– Fais-moi confiance, père, répondit Schéhérazade. J’ai un plan qui me protégera, ainsi que les autres jeunes filles, contre le sultan.»
A contrecoeur, son père la laissa partir.
Il était une fois un sultan très riche et puissant. Il gouvernait son pays avec bonté parce qu’il était amoureux. Il formait avec sa femme le couple le plus heureux du monde. Du moins, c’est ce qu’il croyait…
Un jour, au retour d’une promenade à cheval, le sultan trouva sa femme dans les bras d’un autre homme. Il eut le coeur brisé, mais à sa tristesse succéda la colère. Il la fit aussitôt tuer, avec son amant. «Si mon épouse est capable de me tromper, c’est que je ne peux faire confiance à aucune femme. Je ne serai plus jamais amoureux», jura-t-il.
La conduite du sultan, après cela, fut si choquante qu’elle est entrée dans l’histoire. Tous les après-midi, il épousait une femme différente, qu’il faisait mettre à mort le lendemain matin.
La terreur régnait donc sous son règne. Les parents cachaient leurs filles pour qu’elles ne soient pas obligées d’épouser le sultan. Les jeunes filles quittaient le pays. À la naissance, les filles étaient accueillies dans la douleur plutôt que dans la joie, car on ignorait quand tout cela finirait.
Puis, un matin, une belle jeune femme appelée Schéhérazade dit à son père : «Je veux me porter volontaire pour être l’épouse du sultan.»
Les yeux de son père se remplirent de larmes. «Pourquoi donc ? Tu es bien trop bonne et bien trop intelligente pour gâcher ta vie.
– Fais-moi confiance, père, répondit Schéhérazade. J’ai un plan qui me protégera, ainsi que les autres jeunes filles, contre le sultan.»
A contrecoeur, son père la laissa partir.
Toute la journée, un petit oiseau va et vient à tire-d'aile.
que penses-tu qu'il fait ?
L'un des oisillons bat des ailes.
Il bat, il bat... mais il n'arrive pas à s'envoler.
Enfin, il se lance dans le vide et bat plus fort des ailes.
Il vole pour la toute première fois !
Chouchou était un tout petit manchot qui posait toujours de très grandes questions. "Comment les poissons font-ils pour respirer sous l'eau ?", "Pourquoi le printemps arrive-t-il après l'hiver ?"
Le sol était couvert de diamants . Ils brillaient et étincelaient à la lumière du soleil . Il y en avait tant , et ils dégageaient une lueur si vive , qu'elle etait presque aveuglante. J'allais me précipiter , quand quelque chose m'arrêta net . Sur les pierres précieuses , rampaient une foule de serpents géants .
Les Voyages de Sindbad le marin .
Il etait une fois un pauvre homme qui avait fait un rêve . Dans ce rêve , un génie doré apparaissait et lui disait : ´ Pars au Caire chercher fortune .Tu reviendras riche et heureux .´
Le rêve du pauvre homme .
Il est impossible de forcer quelqu'un à aimer . L'amour est un choix . Cette princesse m'a donné son amour et je lui ai donné le mien .
J'espère que vous trouverez l'amour de votre vie . Au revoir ! .
Le cheval volant
Il etait une fois un roi qui avait deux filles aussi jolies que des fleurs des champs , et un fils aussi beau que la lune . Leur beauté et leur bonté étaient connues partout et tous les habitants du royaume rêvaient d'épouser l'un d'eux .
Le cheval volant .
Quelle merveilleuse histoire s'écria le sultan . Schéhérazade sourit : ´ Elle ne vaut pas celle que je vous raconterai demain si vous me laissez vivre encore un jour .
- Très bien , répondit le sultan .
Je t'accorde un jour de grâce .´