Anna Kurian

Un roman feel-good catholique, ce n'est pas courant !

J'ai donc tenté l'expérience.

On va rencontrer un prêtre et divers membres de sa paroisse, qui tous ont à coeur de partager leur foi et de faire le bien autour d'eux, du moins, ça, c'est la théorie, vu que personne n'est parfait et que c'est quand même beaucoup plus facile de dire qu'on se rend utile aux autres que de le faire vraiment.

Un journaliste non croyant va venir rencontrer tout ce beau monde dans le but d'écrire un article sur cette paroisse "exemplaire".

Bon, j'ai rapidement été agacée par tous ces donneurs de leçons qui ne font pas la moitié de ce qu'ils prêchent et au niveau de l'intrigue, j'ai trouvé ça très léger.

Mais j'ai quand même lu ce roman avec plaisir, ça changeait de mes lectures habituelles, et même si les personnages sont assez caricaturaux et l'intrigue un peu trop pauvre à mon goût, le roman a le mérite de prôner de jolies valeurs, comme la solidarité, l'entraide et le plaisir de partager le peu qu'on a avec d'autres.

Et cerise sur le gâteau, le roman est court, ce qui évite l'indigestion de bons sentiments !

Livre reçu lors d’une opération masse critique. Je remercie chaleureusement Babelio et les éditions Quasar.



L’auteure Anne Kurian est une jeune femme dynamique qui vit à Rome où elle exerce le métier de journaliste De surcroit, elle est théologienne et écrivaine.



Je l’ai vu avec grand plaisir se présenter ainsi que ses livres sur You Tube.



Les protagonistes de : « Le secret d’Emma M » sont Emma, Sofia, David et Colyn Weine pour les principaux. Ah, j’oubliais le chien Neo dont la queue joue à l’essuie-glace pour marquer ses approbations.



Emma est journaliste et travaille pour un journal branché sur l’écologie.



Sofia est l’amie d’Emma. Elle lui lance un SOS en sollicitant sa participation dans une structure qui rassemble des dons divers redistribués aux gens nécessiteux. Emma travaille déjà le jour pour le journal et en soirée elle aime décompresser en baladant Neo en forêt. Emme fini par accepter pour faire plaisir à Sofia. Grand bien lui face car Emma est une jeune femme renfermée. Sofia lui confie le rôle de coordinatrice dans la structure. C’est elle qui doit distribuer le travail aux bénévoles dans la structure. Elle est appréciée au centre et se fait des amis.



Colyn lui est acteur de cinéma, plutôt beau gosse. Il séduit pas mal de jeunes filles. David est un ami sur lequel Emma peut compter.



Emma est une femme sensible. La façon dont Colyn se présente à elle la heurte. Au fil du temps Colyn Weine transforme sa présentation et son verbe. Il invite Emma à sortir avec lui. Ami amie ? Combien de temps vont-ils sortir ensemble ? Colyn se montrera-t-il fidèle ? Y aura-t-il des écueils à leur relation. Mais quel est donc le secret d’Emma ? Colyn va-t-il le découvrir ?



L’écriture d’Anne Kurian est simple, fluide, pleine de sensibilité. Les protagonistes ont bon idéal. Le livre se lit facilement. Il y a de bons interlignes et la police de caractère est parfaitement lisible.



Anne Kurian est une femme de grande culture. Pour construire le roman, elle s’inspire de nombreuses lectures : essentiellement les livres de Chesterton, mais aussi de Baudelaire, Chateaubriand, Hugo, Shakespeare, Musset, Lamartine, Verlaine, Sartre, Nietzsche, Jane Austen et Malo, pour ne citer que ceux-là.



Cela me fait penser à une vidéo, vue sur Babelio, où un auteur dont je ne me souviens plus du nom, disait ; vous voulez devenir auteur, Pour cela il y a des clefs qui peuvent vous y aider et j’ai retenu qu’il disait lire beaucoup d’auteurs peut-être une source d’inspiration.



Une anecdote, feu ma maman se prénomme Emma et son nom de jeune fille commence par M.



J’ai l’intention de lire deux autres livres d’Anne Kurian qui sont : 1) Le manège de Noël ; 2) Le premier jour de ma vie éternelle.



Merci Anne pour la belle histoire d’Emma M.

Je suis terriblement désappointée par ce roman. J'en attendais autre chose. La 4e de couverture annonce "Un chef-d'oeuvre de science-fiction chrétienne !" Je cherche encore l'aspect chrétien dans ce roman. Mis à part, un morceau de papyrus de l'évangile de Jean, mentionnant "ilasouffertsousponcepilate"...de vagues évocations de Jésus, sans jamais le nommer, et qui arrivent bien trop tard à mon goût dans le roman, tout est trop mystérieux et trop voilé. Je m'attendais à des choses plus claires.

En lisant le résumé, j'imaginais Narval, chercher et découvrir qui est celui qui a souffert sous Ponce Pilate, avec une vraie évocation de l'oeuvre de Jésus. Mais cela n'est jamais abordé. Et je lisais, je lisais, en me disant, cela va arriver, et je voyais le nombre de page restante diminuer, et rien...



Alors, pour cet aspect particulier de la foi chrétienne, c'est une déception.



Pour l'aspect science-fiction, disons que nous sommes dans un temps lointain, où les humains se sont reconstruits en plusieurs clans, avec des aptitudes différentes, mais aucune technologie.



Pour l'histoire en elle-même, il y a des idées intéressantes autour de l'écologie, du poids de l'homme sur la nature etc...De cette volonté aussi de se débarrasser de Dieu, et du fait qu'au fond de l'être humain, il y a malgré tout ce manque, cette recherche de quelque chose.



Mais j'en attendais tellement autre chose, qu'au final, le tour pris par l'histoire m'a déçu.



Le roman est bien écrit, mais le vocabulaire employé est parfois un peu trop élaboré, j'ai dû utiliser le dictionnaire à deux ou trois reprises pour des mots que je ne connaissais pas ! Pour un roman à destination de la jeunesse, c'est un peu rude malgré tout. Je ne sais même pas à partir de quel âge je pourrais le conseiller, étant moi-même restée parfois hermétique à certains passages.



Au final, j'ai eu l'impression de lire un tome d'introduction, qui appelle à une suite, car je suis clairement restée sur ma faim.



[Masse critique, jeunesse, novembre 2021 - J'ai apprécié trouvé un petit mot manuscrit de l'éditeur accompagnant le livre, me remerciant pour ma lecture !]

Merci à Babelio et aux éditions de l'Emmanuel pour l'envoi et la découverte de : Je fête ma première communion. Un livre qu'une grand-mère ou un grand‐père, une marraine ou un parrain, peut offrir à l'occasion de la première communion d'un enfant. Mieux encore, le lire avec lui, pour lui expliquer la substantifique moelle et le vocabulaire parfois hors de sa portée. Nous suivons Guillaume qui, grâce à une vieille femme à qui il a généreusement offert une pièce de monnaie, va se retrouver dans 5 lieux et 5 époques différentes de la vie des chrétiens. Le signe du poisson, symbole de la chrétienté, lui permettra de franchir chaque étape. C'est l'occasion de découvrir 5 secrets, 5 aspects fondamentaux liés à l'eucharistie. Un joli livre d'initiation intéressant pour les enfants comme pour les adultes.

Le manège de Noël est un magnifique recueil de trois contes illustrés qui abordent avec douceur et sincérité la période des fêtes de fin d’année. À l’intérieur, vous ne trouverez pas des contes de Noël traditionnels mais plutôt des contes modernes et inédits. Attachée à l’authenticité des classiques de la littérature, c’est pourtant la contemporanéité et l’actualité de ces contes de Noël qui m’ont le plus séduite. J’ai trouvé qu’ils retranscrivaient avec brio la magie de Noël et témoignaient des plus belles valeurs qu’on puisse espérer en fin d’année, telles que l’amour de son prochain, le partage et la générosité. En ce lisant cet admirable recueil, vous découvrirez avec grand plaisir des personnages attachants, qui vous réchaufferont le cœur par leur bonté et leur candeur.



Le premier conte, intitulé « Le manège de Noël », est une magnifique histoire d’amitié et d’espoir. Un jeune garçon prénommé Arnaud met tout en œuvre pour guérir son amie Louise, atteinte d’une maladie grave. Le miracle ? Un merveilleux carrousel doré à l’or fin… Je ne vous dévoile ni comment ni pourquoi ce dernier serait en mesure de la sauver, mais je tiens à vous dire qu’il s’agit d’une histoire touchante et réconfortante. En effet, même dans les moments les plus sombres, si on y croit très fort, il y a toujours une vive lueur prête à ressurgir. Je pense que parmi les trois contes, « Le manège de Noël » est celui que j’ai préféré. La fin m’a surprise et émue. Je l’ai trouvée particulièrement belle et idéale pour terminer en beauté cette histoire.



Le second conte, intitulé « Le pire Noël », s’inscrit dans la lignée du conte Un chant de Noël de Charles Dickens. Sur le fond, ce n’est pas du tout la même histoire mais sur la forme, on se plaît à observer quelques références à ce conte devenu chef d’œuvre du genre. Un élève de CM2 offre à Matthieu, jeune écolier, une poudre magique afin de lui permettre d’éviter de passer le pire Noël de sa vie. Force est de constater que ce dernier n’éprouve plus la même joie qu’auparavant lors du réveillon, notamment parce qu’il ne voit que les défauts de sa famille. Or ils ont également des qualités, qu’il va devoir apprendre à voir et reconnaître pour pouvoir recouvrer l’étincelle qui l’animait encore quelques années avant durant la période de Noël. J’ai beaucoup aimé cette histoire qui à mon sens, fait prendre conscience de ce qu’il y a de meilleur en chacun d’entre nous.



Le dernier conte, intitulé « L’Etoile de Noël », est centré sur une jeune fille prénommée Agathe, passionnée de Noël. C’est simple, c’est elle la plus enthousiaste dans la famille et personne n’a intérêt d’enfreindre les traditions. Tous les soirs de décembre, elle fait un vœu devant l’Etoile la plus brillante dans le ciel, mais un beau jour celle-ci disparaît… Alors, comment retrouver la foi quand tout ce en quoi on croyait s’évanouit ? Encore une fois, il s’agit d’une très belle histoire qui transforme le désespoir en champ des possibles.



Ce que j’ai vraiment beaucoup aimé dans ces trois contes, ce sont les chutes. C’est-à-dire qu’on pense avoir terminé l’histoire mais il y a toujours un petit retournement de situation ou un élément surprenant qui fait qu’on passe d’un « c’était un joli conte de Noël » à « c’était un merveilleux conte de Noël ». Je recommande sans plus hésiter ce recueil aussi bien aux enfants qu’aux adultes. C’est ce que j’appelle être une véritable gourmandise littéraire, aussi bien de par les histoires que les illustrations. À déguster sans modération au coin du feu ou sous un plaid.

Reçu dans le cadre d'une Masse Critique, je remercie @babelio_ et les éditions Emmanuel jeunesse pour l'envoi de ce livre.⁣



Ce livre contient 3 jolis contes de Noël que nous avons vraiment pris plaisir à lire durant ces fêtes de fin d'année. Les illustrations sont de toute beauté et on y retrouve toute la douceur de Noël. j'ai trouvé que ces contes étaient porteurs de beaux messages. j'aime les histoires qui nous rappelle ces jolies valeurs de Noël.⁣

Nous avons préféré tout les 3 le premier que nous avons trouvé juste magique.

Un livre parfait pour nous plonger dans la magie de Noël qui fera rêver autant les petits que les grands.

Merci à Babelio et a Emmanuel jeunesse. Beau livre.

Guillaume fait sa BA: il donne sa pièce de 1 euro à une vieille dame qui tisse des bracelets, en compagnie de Sethi, son petit chien; elle s'étonne de sa générosité et le garçon explique que c'est parce qu'il va faire sa première communion. A quoi la vieille dame lui propose de découvrir les secrets de la communion à travers 5 lieux et 5 époques. Chaque fois, il verra un signe qui lui rappellera qu'il n'est que de passage. Il se retrouve d'abord en Béthanie (où Jésus s'est reposé)Nathan officie, il a même été torturé pour cela par l'empereur. Eline dessine un poisson dans le sable: c'est le signe de Jésus et Guillaume comprend qu'il doit continuer son voyage; il arrive chez les celtes où deux frères ennemis vont se réconcilier; découvrant une sculpture de poisson dans l'écorce d'un arbre, Guillaume comprend qu'il doit partir et va se retrouver au Moyen-âge, chez les Germains déterminés à en finir avec un bandit de grand chemin avec l'aide de Jésus. De nouveau, un poisson sur le bouclier avertit Guillaume qu'il doit passer à l'histoire suivante: celle du miracle de Cava, une épidémie qui s'arrête une fois l'aide de Dieu requise. Un poisson gravé dans la pierre de la cheminée avertit Guillaume qu'il dit partir. Cette fois, il se retrouve chez lui mais la vieille femme a disparu. Guillaume sentit une présence, quelqu'un l'écoutait attentivement. Guillaume a alors compris le 5e secret et veut devenir meilleur. La vieille dame et son chien réapparaissent: le 5e secret est que l'enfant va recevoir Jésus lors de sa communion.

Bien que d'éducation catholique, je n'ai pas compris grand chose, j'ignore d'où viennent ces histoires; certes à chaque fois on invoque Jésus montrant qu'il est en tout temps et en tout lieu.

Je m'attendais à une explication claire de ce qui est un moment important dans la vie d'un jeune chrétien...

Un roman avec un héroïne impulsive. Cette histoire c'est aussi un deuil pour pouvoir revivre ensuite. L'histoire se laisse lire avec des personnages attachants. Le style est fluide.

Emma, journaliste, est une jeune femme rêveuse et douce, discrète et solitaire. Elle est passionnée de littérature - Chesterton en particulier, qu'elle cite constamment ! - et se ressource au contact de la nature. Une rencontre inopinée avec un acteur secrètement adulé, bouscule son quotidien et sa vie tranquille : Confrontation de deux univers, si lointains, de deux personnalités radicalement différentes...

Si on trouve dans ce livre les ressorts habituels de la romance, celle-ci se révèle au fil des pages, beaucoup plus profonde qu'il n'y paraît au premier abord, et les rebondissements ne manquent pas de surprendre. On y parle maturité de l'amour, engagement, libération aussi.

La plume est agréable, le vocabulaire riche et le style fluide. Bref, un bon moment de lecture pour débuter cette année, et une auteure que j'aurai plaisir à lire de nouveau !

Tout d'abord merci à Masse Critique pour cette lecture qui me sort un peu de mes choix littéraires habituels.

Le secret d'Emma M est un roman contemporain qui se lit rapidement et qui malheureusement va s'oublier sans doute aussi très vite.

Emma/Judith est sans doute spontanée et rêveuse mais je n'ai pas trouvé dans cette écriture la fraîcheur qu'on pouvait espérer. Les citations de littérature classique qui parsèment le roman alourdissent le style. Elles sont trop nombreuses, trop longues. L'histoire s'en trouve finalement hachée et on perd le fil. Les joutes oratoires sont aussi trop rébarbatives. C'est parler pour ne rien dire, et je ne trouve pas que cela facilite l'attachement aux personnages. On a parfois presque l'impression que ce roman est réservé à une élite de philosophie et pas à de simples mortels.

J'ai trouvé aussi que l'écriture manquait de fougue, de passion et de chaleur. C'est dommage pour au final une histoire d'amour entre deux personnes qu'on décrit comme extraordinaire.

Je reste donc sur la faim et je regrette que l'auteur n'ai pas pousser jusqu'au bout son envolée.

Le roman commence comme un coup de poing, avec force, par la description du monde juste avant sa destruction. Dans le nouvel ordre érigé par les survivants, la nature autrefois maltraitée sera désormais souveraine.



Dans ce monde où ne subsistent ni tradition, ni chronique, où sont autorisées uniquement des réponses rabâchées, poser des questions, se poser des questions n’est pas conforme et fait de vous quelqu’un de différent.

Une fiction puissante au style très agréable, des péripéties prenantes, des réflexions incisives dans un roman subtil. Dépaysement, surprises et réflexion garantis !
Lien : https://123loisirs.com/livre..

Dans un monde où la civilisation telle qu'on la connaît a disparu pour laisser place à une société hiérarchisée et ultra protectrice, un frère et une soeur qui n'ont jamais compris le décès soudain de leurs parents, cherchent un sens et des réponses au désarroi qui les habite.

Un roman vite lu, apprécié, mais j'aurais aimé que l'auteur, qui a un talent certain, détaille beaucoup plus l'intrigue, précise davantage les caractères des personnages et approfondisse le contexte intéressant qu'elle a imaginé.

Une sympathique lecture de vacances.

Un très beau livre qui met les mots exacts sur les sentiments ou les problèmes communs à tous : amour, amitié, famille, spiritualité, pardon…

Les personnages sont attachants, jamais caricaturaux. Les rebondissements pas prévisibles. Les réflexions toujours intéressantes sur les grandes questions de la vie.

Ce livre parle aussi des épreuves et de la souffrance, sans jamais nous plonger dans la tristesse ou le désespoir.

Un roman sympathique, sans prise de tête, qui se lit en une soirée. L'auteur le sait et elle en joue, ce qui donne un ton assez léger, malgré quelques passages évidemment plus sérieux - voire plus graves, mais cela n'enlève rien au charme de ce petit roman qui, mine de rien, remet en question sans en avoir l'air bon nombre de nos attitudes, que l'on soit dans la "team catho" ou non.

Car c'est là une autre de ses forces, cette histoire peut se lire et s'apprécier quelles que soient vos croyances. Membre assidu de la paroisse, vous reconnaîtrez avec un sourire ses petits tracas et ses personnalités, athé pur et dur, le personnage de Samuel ne pourra que vous être symapthique !

Du moins je l'espère, et je vous encourage vivement, un soir d'hiver, à vous plonger dans ce petit bouquin rafraîchissant !

Roman bavard, ponctué de citations de Chesterton semées à tord et à travers pour justifier les atermoiements de l’intrigue. On comprend que l’auteur a lu ses œuvres complètes, mais on s’ennuie ferme. L’histoire en elle-même est peu crédible. Dommage.

Merci à Babelio et à Emmanuel Jeunesse pour ce livre gagné lors d’une masse critique. Ma première réaction à l’ouverture du colis fut de m’enthousiasmer devant la magnifique couverture! Un magnifique dessin ainsi qu’un beau titre doré s’y trouve et donne un charme fou au livre! Je l’ai ensuite feuilletée et découvert de jolis dessins à l’intérieur mais qui me semblait fort peu nombreux…

Quelques jours plus tard, je l’ai enfin lu… J’ai trouvé le livre relativement « mature » pour une lecture qu’on ferait aux alentours de 7 ans… Il y a peu d’images, il y a beaucoup de textes, et certains mots sont assez complexes… Concernant les histoires elles-mêmes, je ne suis pas pratiquante et donc je me suis demandé si elles étaient en lien avec la bible car je ne les connais absolument pas…. Ce livre doit être lu et expliqué par un adulte à un enfant… Je ne le trouve pas assez accessible pour qu’un enfant comprenne seul ce que l’histoire transmet… La morale de l’histoire est totalement prévisible mais bien amenée… Je suis contente d’avoir fait cette découverte et ce livre va être désormais offert à un petit garçon qui va commencer, tout bientot, son catéchisme pour sa première communion!

📔 Résumé

C’était un jour comme les autres au royaume du Ciel, dans la salle de réunion Il avait réuni les 12 car Dieu était consterné : décidément les hommes ne comprenaient rien…



💝 Les romans de Anna Kurian sont toujours des petits bijoux de finesse, de spiritualité , de messages tout en douceur. Et celui ci ne fait pas exception!

Beaucoup d’humour un brin décalé, des pistes de réflexion l’air de ne pas y toucher et les sujets du libre arbitre et de la liberté humaine abordés de façon subtile…

Dans un monde post-apocalyptique, ruiné par les catastrophes écologiques qui se sont succédées, les humains survivants ont rejeté en masse leur culture, leur organisation et jusqu'au souvenir du monde d'avant. Dorénavant, ne subsite que quelques groupes vivants en villages ou en autarcie. Chaque groupe a ces caractéristiques : les Asters enseignent, les Kelyphos vivent en communauté proches du fleuve, d'autres vivent isolés sur la montagne. L'humain est considéré comme un animal bipède, et uniquement ainsi.



Alors, évidemment, le jeune Narval détonne : orphelin de père et de mère, boiteux, à l'intelligence différente, toujours en questionnement...

Seuls sa soeur Lophi et son ami Marlin en sont proches.



Lophi et Narval découvrent un jour une phrase secrète, cachée dans le journal de leur mère défunte : "Il a souffert sous Ponce Pilate". Cette simple phrase les met en danger, car si l'humain n'est qu'un animal, alors l'idée même d'une divinité est à proscrire de ce nouveau monde.



Commence alors le début de leur périple, pour comprendre qui ils sont, apprendre comment leurs parents sont morts, et ouvrir les yeux sur le monde.



Le premier chapitre est poignant. J'avoue avoir eu de la peine à rentrer dans les chapitres suivants, où l'on suit l'itinéraire intérieur de Narval, qui n'est connu pour sa loquacité... Il s'agit davantage d'une dystopie que d'un roman de science-fiction, que j'ai vainement cherché entre les pages.

Le caractère religieux est également assez réduit, puisqu'il fait uniquement référence à l phrase découverte par Narval et Lophi : pas besoin de connaissances ésotériques pour apprécier la lecture ;)



Je pense que ce livre peut plaire à un public assez jeune (collège/lycée), et qu'il faut le voir comme un roman apportant matière à réflexion (qui est l'homme, en fin de compte? qu'est-ce que l'essentiel?) plus que comme un ouvrage de science-fiction !

Intrigué par la quatrième de couverture qui nous annonce « un chef-d'œuvre de science-fiction chrétienne », j'ai souhaité lire ce roman.



L'histoire évoque un monde post apocalyptique, on se retrouve dans une société proche de celle de la préhistoire avec quelques artefacts de notre monde actuel disparu.



L'entrée en matière se fait avec un texte fort dans les trois premières pages poussant un peu plus loin la logique actuelle de notre monde mourant, jusqu'à sa disparition.



Hélas il eût été souhaitable que l'auteur s'arrête là.



Je ne suis jamais parvenu à entrer vraiment dans l'histoire ou l'intrigue décousue, s'il y en a une.

Le langage est trop souvent implicite, les personnages et leurs rôles sont difficiles à appréhender (sans doute trop de personnages aux noms peu familiers).



Ce roman est présenté comme une lecture pour adolescents. J'ai bien peur qu'ils s'y ennuient et s'y perdent.



Je n'ai pas compris assez rapidement que l'expression « chef-d'œuvre » est un choix de l'éditeur pour améliorer la vente. Peut-on parler de chef-d'œuvre pour une œuvre si récente qui n'a pas encore pu faire ses preuves ? Assurément non. Mais le temps ne sera pas plus favorable.



L'éditeur précise qu'il s'agit d'un roman «chrétien »... Mise à part une brève évocation implicite de Jésus, Dieu ou l'Esprit Saint dans ce qu'il y a de plus naïf et du mot final du texte: Jérusalem, le lien avec la religion n'est pas flagrant, même lorsque, comme moi, on a reçu une éducation catholique (avec laquelle j'ai pris mes distances depuis).

A la rigueur, on peut préciser que pour comprendre cette œuvre, on a besoin, comme pour les textes de la Bible, qu'on nous l'explique ou qu'on nous l'interprète.



J'ai eu beaucoup de difficultés à finir la lecture alors même que le livre ne fait que 186 pages !

Trois histoires inédites qui renouvellent la malle aux trésors des contes que l'on raconte aux enfants en attendant Noël.



Ils contribuent à la magie de ce jour illuminé en préparant les cœurs et les esprits, en créant une atmosphère de paix, d'entraide et de joie.



Une galerie de personnages variée et colorée révèle la magie des "possibles" que permet Noël, même et peut-être surtout, dans les situations les plus désespérées.



Admirablement illustrées par Amandine Wanert, ces trois aventures se lisent avec plaisir, à l'oral en famille ou seul à partir de 7-8 ans.



Humour, délicatesse et originalité.


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