Et si vous deveniez lhéroïne de votre vie ? : Défi #4
Si vous avez cru en Wonder Woman pendant 8 ans, vous pouvez bien croire en vous pendant au moins 5 minutes.
Life is a biches, chacun sa merde
J'arrête de m'excuser ...
J'arrête de me diminuer...
J'apprends la technique de l'autruche...
Alexandra
Je m'engage à ce jour....
1 être plus indulgente avec moi même
2 me défaire du regard des autres
3 affronter mes peurs
4 accepter mes échecs et me libérer de toute quête de perfection
5 relativiser quand cela est nécessaire
6 maîtriser mes ruminations incessantes
7 prendre du temps pour moi
8 croire en moi
9 cesser de culpabiliser pour un rien
10 laisser une place à la créativité dans mon quotidien
11 Dire Fuck quand cela est nécessaire
J’aime prendre le métro ! Pas pour son odeur, ses retards ou ses dysfonctionnements perpétuels, mais parce que, pour moi, c’est un vivier. On y croire des gens de tous âges, de tous les styles… J’aime les observer, scruter leurs gestes, étudier ce qu’ils portent, voir s’ils font la tête (ce qui est souvent le cas) ou s’ils sont heureux.
L’âge auquel j’ai été le plus épanouie ? 4 ans et demi, car je me fichais du regard des autres. Je me sentais libre (je pouvais sortir en leggins roses sous une jupe orange sans risquer d’être jugée).
Le seul endroit où je suis habituée à attendre et à prendre mon parti, parce que c’est un endroit spécial où l’espace-temps n’est pas le même que sur la terre, c’est la POSTE !
L’un des grands axes fondateurs de la pensée de Tal est que s’autoriser l’imperfection et les échecs nous permettraient finalement d’être plus heureux. C’est ce qu’il définit comme l’optimalisme, l’opposé du perfectionnisme. Là où le perfectionnisme n’envisage la vie que comme une succession de succès et d’émotions positives, l’optimalisme accepte que le chemin soit parsemé d’embûches, et il en ressort plus fort !
j’ai compris que je devais accepter de ne pas aller bien tout le temps ! Je ne peux pas être en forme 24/24. Je dois accepter ma part d’ombre, et il semblerait qu’un certain Aristote ait bien résumé ma pensée il y a quelque temps : « Être heureux ne signifie pas que tout est parfait, cela signifie que vous avez décidé de regarder au-delà des imperfections. »
Mais la société nous met la pression : si on n’a pas encore procréé à 30 ans, c’est que quelque chose cloche. Dès le brunch de notre mariage, on nous demandait : « Alors, le bébé, c’est pour quand ? » Comme si, alors que nous venions de cocher une case, il fallait vite passer à la suivante.
[...]ces mères traduisaient leur stress comme un défi, quand les autres le subissaient, le vivaient comme une menace ! Ce n’était donc pas l’événement en lui-même qui déterminait le niveau de stress, mais la manière dont elles le percevaient.
Je crois qu’il faut qu’on arrête de chercher LE parfait équilibre comme s’il existait. Il faut que chacun trouve SON équilibre, et le fasse évoluer selon les événements de la vie, en définissant ses propres priorités.