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EAN : 9782263153297
224 pages
Solar (08/03/2018)
3.71/5   382 notes
Résumé :
Le journal d’une jeune imparfaite qui décide d’en finir avec les prises de tête : à travers ses chroniques pleines de piquant, de nombreuses pistes, des rituels express et des outils pour assumer une féminité décomplexée. Oser dire « Fuck », ça se travaille… Beyoncé ne s’est pas faite en un jour !

Moi, c’est Alice, jeune femme attachiante (si j’en crois mon entourage) qui a des rêves plein la tête. Pourtant, j’ai l’impression de subir ma vie plutôt qu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (89) Voir plus Ajouter une critique
3,71

sur 382 notes
En me baladant dans ma librairie, mon regard a été attiré par cette jolie couverture rose, et surtout son titre : "Celle qui a dit FUCK". J'attrape le livre, lis le résumé et je me dis : mais c'est que c'est tout moi, ça. Même le qualificatif "attachiante" me parle. J'ai trouvé comment me définir ! Alors, je me lance. Ce n'est pas du tout le genre de livres que je lis, mais j'aime explorer de nouveaux horizons en littérature, surtout quand le pitch me parle.

Les premières pages qui décrivent notre héroïne, me font sourire. Encore une fois, je me retrouve dans pas mal de choses la concernant, et son problème principal : l'overthinking. Je suis donc curieuse dès le départ, et totalement ouverte quant à l'analyse qui va suivre, ainsi que le parcours qu'Alice va traverser pour pouvoir aller de l'avant et lâcher prise. L'idée était bonne. Mélanger roman et développement personnel était un moyen de faire entrer des lecteurs comme moi dans un nouvel univers sans le côté trop "scientifique" ou pointu. Mais voilà, il y a Alice... Et là, j'ai décroché très rapidement. Elle est attachante, certes, mais très vite ce n'est pas seulement son problème d'overthinking qui prime, mais le fait qu'elle soit autocentrée et névrosée. Et cela m'agace. Je passe à côté de l'humour, et sans doute de l'envie aussi d'en faire un personnage caricatural. J'ai envie de secouer Alice, et je comprends tout à fait, le raccrochage au nez de sa mère, la remise en place d'une de ses amies, la pichenette qu'une autre à oser lui faire. Un couple d'amis se sépare : c'est le désastre pour elle. Elle n'aime pas le changement. Mais, j'ai envie de dire, on s'en moque. Sa première pensée, voire l'unique, doit être que son amie voit sa vie chamboulée et qu'elle n'a pas envie de savoir qu'Alice ne veut pas qu'elle se sépare de son chéri, un peu comme on ne veut pas que ses parents divorcent. Elle a 34 ans, mince !

Donc, arrivée à la moitié, j'ai lu en diagonale. Chose que j'ai apprise à faire depuis peu, car j'ai choisi de ne plus me forcer à lire un roman jusqu'à la fin pour le finir vraiment. Je me suis arrêtée sur les passages liés au développement personnel, aux méthodes pour aider, aux réflexions pour passer outre cette mauvaise habitude. Et c'est là que je suis ennuyée parce qu'encore une fois, dans le fond, Celle qui a dit Fuck est une excellente idée. En plus le côté carnet illustré est top. le côté développement personnel m'a bien plu, et m'a permise de me poser des questions, de pointer des mauvaises habitudes et des idées pour les effacer doucement. Mais tout cela se perd dans le reste, et c'est tellement dommage.

Malgré une envie de me plonger dans ce roman, et une grande ouverture d'esprit quant au sujet, je n'ai donc pas adhérer. Et j'en suis la première déçue, je vous l'assure.
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Ayant lu beaucoup de romans policiers dernièrement je cherchais une lecture différente sans prise de tête et étant un peu surmenée actuellement, je me suis dis que ce titre était parfait.

J'ai en effet beaucoup aimé cette lecture qui se lit très vite en deux petites soirées pour ma part et cela m'a fait du bien, cela m'a fait relativisé certaines choses, je ne suis pas sûre de faire tout ce qu'il y a mentionné mais certaines choses sont assez faciles à suivre.

On suite avec plaisir Alice et les conseils qu'elle nous délivre afin d'être plus zen, une lecture qui pour le coup sort de ma zone de confort mais que j'ai apprécié lire.

Les conseils prodigués peuvent convenir à tous les âges quand on devient maman, au travail, à la maison etc....
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Je viens de terminer celle qui a dit fuck
Mon oeil avait été attiré par cette couverture rose alors que je déteste le rose
Par ce chignon bizarre genre ma coiffure que je réalise chez moi quand je suis sur que personne me rendra visite
Je n'aime toujours pas les visites😉
Et par le résumé qui tombait à pic!
Comme alice
Je suis attachiante et comme alice j'ai des rêves plein la tête (après avoir réalisé pas mal de rêves de voyages je me suis calmée crise sanitaire oblige)
Mais j'ai d'autres projets aujourd'hui plus personnels et plus professionnels cest pourquoi alice m'a plus
Mon quotidien est jonchée de to do list
Mais ça m'aide aussi à réaliser mes projets mes envies je pense qu'il faut un minimum d'organisation
Par contre fuck à mes ruminations incessantes
Je ne peux pas me faire du mal avec des choses qui au final son la faute des autres
Du coup comme elle j'ai décidé de me foutre la paix, de réaliser mes rêves, et vivre simplement ma vie...

Tres bon livre il m'a fait du bien à un moment où j'étais un peu perdue...
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En parcourant les critiques sur ce livre je m'aperçois que beaucoup disent avoir été attirées par la couverture ou encore par le titre dont le mot FUCK se détache fièrement. Eh bien... je dois avouer que moi aussi!
Il s'agit en fait du journal d'Alice, 34 ans, qui se qualifie elle-même d'attachiante. Elle court après la perfection, remplit des to-do list à longueur de journée, se prend la tête pour tout et pour rien. Comme beaucoup d'entre nous peut-être?
Elle décide alors de tenir un journal et de chercher le chemin de l'apaisement.
Apprendre à dire FUCK.
La force de ce livre est justement d'allier roman et développement personnel. En effet, le livre est parsemé de bons conseils, de techniques pour apprendre à lâcher prise, selon différentes thématiques: apprendre à dire non, apprendre à voir le bon côté des choses, prêter attention aux petites joies quotidiennes, etc.
Le tout est jalonné d'humour ce qui rend la lecture très agréable. Alice est souvent drôle, ses références font mouche. Cependant, ce qui fait la force du roman fait aussi sa faiblesse: on tombe vite dans la caricature. L'héroïne cumule tous les maux de notre société et se montre un tantinet immature et égocentrée.
Un livre qui se lit très vite et qui fait du bien, il faut le dire! Je n'irai quand même pas jusqu'à acheter la suite car la fin du premier ne laisse pas place au doute quant au futur sujet des prises de tête de l'héroïne et je ne me sens plus particulièrement concernée par celui-ci ;)
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Alice est un peu fatiguée… fatiguée par son job, par le fait qu'elle n'arrive pas tomber enceinte, par toutes ses copines qui semblent mener une vie *parfaite*… Il est temps pour elle de lâcher un peu prise… C'est là qu'elle découvre les réunions des OTA… des Over-Thinkers anonymes ! Ce qu'il lui manquait pour dire fuck à toutes ses prises de tête !
~
Ce petit livre est très drôle, mais il apporte en plus un réel éclairage de développement personnel. Avec à la clé, des conseils, mais aussi des explications. Certains moments de la vie d'Alice, qu'on peut comparer avec la nôtre, nous permettent de réaliser toutes ces choses qui encombrent notre ptite tête et notre bien-être par extension !

Je suis à 2 doigts de dire que ce bouquin peut devenir ma bible anti-stress pour lâcher prise ;)

Cependant, c'est un peu long à lire, je dirai que c'est à picorer par petites touches.
~
Bref, éclairant et amusant !
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critiques presse (1)
TPLF
18 juillet 2018
A travers des chroniques mordantes, de nombreuses pistes, des citations qui boostent, des petits rituels, une boîte à outils et de belles illustrations de Léna Piroux, ce journal intime prône l’imperfection avec beaucoup d’humour et d'autodérision.
Lire la critique sur le site : TPLF
Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
Life is a biches, chacun sa merde



J'arrête de m'excuser ...
J'arrête de me diminuer...
J'apprends la technique de l'autruche...

Alexandra
Je m'engage à ce jour....
1 être plus indulgente avec moi même
2 me défaire du regard des autres
3 affronter mes peurs
4 accepter mes échecs et me libérer de toute quête de perfection
5 relativiser quand cela est nécessaire
6 maîtriser mes ruminations incessantes
7 prendre du temps pour moi
8 croire en moi
9 cesser de culpabiliser pour un rien
10 laisser une place à la créativité dans mon quotidien
11 Dire Fuck quand cela est nécessaire
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- En ce qui concerne la peur : vous devez avant tout I'A-NA- LY-SER ! La phrase « J'ai peur » toute seule ne signifie rien ! On identifie l'objet de la peur, la situation, et on la déchiffre afin de l'apprivoiser : Qu'est-ce qui me fait peur ? Pourquoi ? Comment puis-je l'appréhender et me familiariser avec elle afin qu'elle devienne toute petite, qu'elle ne soit plus un frein mais une force ? C'est noté ?
Un silence d'or régnait dans la salle...
- Pour ce qui est de la gestion de l'échec, il faut se poser les bonnes questions ! OK, si je n'y arrive pas, que va-t-il se passer ? Parfois, on se rend compte qu'on ne risque vraiment rien, et ça nous permet de foncer ! Si l'échec arrive malgré tout, on ne s'affole pas, car ça arrive et ça fait partie de l'apprentissage ! Vous avez déjà vu un bébé marcher directement d'un pas assuré ? Jamais ! Avant ça, il tombe, tâtonne, s'emmêle les pieds... Eh bien, pour vous, c'est la même chose !
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L’un des grands axes fondateurs de la pensée de Tal est que s’autoriser l’imperfection et les échecs nous permettraient finalement d’être plus heureux. C’est ce qu’il définit comme l’optimalisme, l’opposé du perfectionnisme. Là où le perfectionnisme n’envisage la vie que comme une succession de succès et d’émotions positives, l’optimalisme accepte que le chemin soit parsemé d’embûches, et il en ressort plus fort !
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J’aime prendre le métro ! Pas pour son odeur, ses retards ou ses dysfonctionnements perpétuels, mais parce que, pour moi, c’est un vivier. On y croire des gens de tous âges, de tous les styles… J’aime les observer, scruter leurs gestes, étudier ce qu’ils portent, voir s’ils font la tête (ce qui est souvent le cas) ou s’ils sont heureux.
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j’ai compris que je devais accepter de ne pas aller bien tout le temps ! Je ne peux pas être en forme 24/24. Je dois accepter ma part d’ombre, et il semblerait qu’un certain Aristote ait bien résumé ma pensée il y a quelque temps : « Être heureux ne signifie pas que tout est parfait, cela signifie que vous avez décidé de regarder au-delà des imperfections. »
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Vidéo de Anne-Sophie Lesage
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