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Citations de Aprilynne Pike (71)


Aimer n'est pas un dû. C'est un choix que l'on renouvelle chaque jour.
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J'essaie de me débarrasser de mes doutes. S'il aime cette version humaine, brisée, de moi-même, c'est bien la preuve qu'il m'aime tout entière, non ? Ne suis-je pas bête de remettre en cause notre amour, un amour parfait et éternel ?
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Durant des mois, j'ai accepté mes limites, j'ai accepté que des parties de moi n'allaient jamais guérir. J'ai accepté d'être une version réduite de ce que j'avais déjà été.
Mais à présent, ce n'est plus vrai.
Je suis plus que cela. Tellement plus.
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Cela vaut-il vraiment la peine de sauver son existence si l'on y perd son âme ?
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- Tu penses que c'est juste une sorte de vengeance mesquine, mais tu te trompes. Je préfère accepter les conséquences de mes erreurs plutôt que de continuer à vivre avec la souffrance terrible de n'avoir rien fait.
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David tenait sa main et il inscrivit son numéro dans sa paume.
-De cette façon, tu ne le perdras pas, déclare-t-il d'un air penaud.
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Tu essaies de te fier à ton instinct; tu dois plutôt faire confiance à ton intuition.
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Quelque chose a changé ce soir, David. Pendant quelques heures, j'ai aimé la fleur. Je l'ai vraiment, vraiment aimée. Je me sentais spéciale et magique.
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- Tu ne comprends donc pas? C'est une vie de grandeur et de liberté qui t'attend. Tu refuses de le croire, mais je n'ai jamais fait tout cela pour moi. C'est un cadeau pour toi.
- Un cadeau? j'ironise ouvertement. Je suppose qu'on ne peut pas le rapporter en magasin?
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Hélas, je me trouve rarement dans la catégorie de ceux qu’on ignore. Une lady, jeune, inconnue, devenue fiancée du roi du jour au lendemain, et qui s’est élevée bien au-dessus de son rang sans explication d’aucune sorte : du scandale, de la perversion, et du mystère emballés dans du satin. Des « Votre Grâce » s’élèvent tandis que les révérences forment une ondulation à travers la salle, comme si j’étais un galet offensant la surface d’un étang immobile. On s’adresse à moi en disant « Votre Grâce », pourtant, je ne suis pas duchesse. Depuis mes fiançailles avec le roi, les citoyens de Versailles-Sonoma m’ont accordé ce titre honorifique pour cacher le fait que, de naissance, je ne suis personne.
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J'erre dans les bois. La traîne de la robe tasse la neige derrière moi, laissant une trace délicate qui serpente à travers les arbres.
J'aperçois en premier son profil. Comme d'habitude, il a les cheveux ramenés en arrière, même si quelques mèches lui caressent les joues. Il porte un manteau épais noir, de la même couleur que le tronc d'arbre contre lequel il est adossé, si bien qu'on peut les confondre. Il tourne la tête et ses yeux verts croisent les miens, sondant mon âme. Mon cœur se serre, mes poumons se compriment. Après un instant de contemplation - comme s'il avait découvert quelque chose de surprenant en moi -, il s'autorise à sourire. Puis il avance la main et une rose rouge sang apparaît entre son pouce et son index.
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Il fait froid, le genre de froid qui pénètre la peau jusqu'aux os. [...]
Mes longs cheveux ondoient autour de moi. Je sens qu'on me tire vers le bas et je tends les bras pour attraper les objets qui sont apparus à mes côtés : un gilet de sauvetage, un rondin de bois, une petite barque. Mais dès que je les effleure, ils disparaissent. Épuisée, je tente de me débattre, mais mes cheveux s'enroulent autour de mes bras et m'emprisonnent.
Une force m'attire vers les profondeurs, me faisant inéluctablement couler.
J'agite les bras, cherchant à m'agripper à quelque chose, mais je continue de sombrer.
Un halo lumineux me surplombe et mes yeux se remplissent de larmes ; ce sera ma dernière avant de mourir - mais je n'ai pas peur. Non, ce que je ressens est différent.
Un sentiment de perte immense.
L'eau me prive de quelque chose.
Alors que je m'apprête à crier, un liquide glacial m'emplit la bouche, suivi d'une douleur violente qui me vrille la mâchoire.
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Dans mes cauchemars, je revis souvent le crash, ces moments dont je ne me souviens pas. Parfois, je vois les corps de mes parents se déchirer lentement, le sang gicle sur mon visage et tout vire au rouge. Parfois, c’est moi qui me retrouve écrasée sous les débris. Mes mains se tordent selon des angles étranges, mes os sont réduits en bouillie.
Ce qui est exactement ce qui aurait dû m’arriver.
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Une fois qu'il s'est aperçu de son erreur, comme il ne voulait pas passer pour un incompétent, il est parti comme un voleur. Les médecins ne savent pas admettre qu'ils ont tort.
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- (…) On se soigne avec les préparations de ma mère.
- La mienne flipperait en entendant ça. Pour elle, il existe un comprimé pour chaque maladie.
- Et la mienne pense que les docteurs sont des assassins.
- Je crois que nos mères pourraient apprendre pas mal de trucs l'une de l'autre.
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Ce fut un livre qui m’as beaucoup plu, replonger dans l’univers des fées à tout juste 18 ans fut magique , la manière dont ces romans sont écrits donnent envie d’en savoir un peu plus à chaque instant, l’action y est intégrée à bonne dose . On y trouve Laurell une jeune fille de 15 ans qui croit être humaine et n’accepte pas tout à fais sa vraie nature, David va l’y aider mais c’est pas gagner . L’histoire d’amour avec David est assez compliqué puisqu’il y a Tamani , J’ADORE TAMANI ! Même si David est très charmant et gentil. Ce premier tome est entièrement consacré à la « métamorphose » que va subir Laurell , il n’y à pas beaucoup de descriptions donc ce n’est pas difficile à lire. C’est une lecture agréable qui permet d’entrer dans un monde rempli de magie et de mythes.
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 — Quelque chose a changé ce soir, David. Pendant quelques heures, j’ai aimé la fleur. Je l’ai vraiment, vraiment aimée. Je me sentais spéciale et magique.
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 — C’est juste que… eh bien, c’est assez logique.
La main de Laurel vola vers sa hanche.
— Un inconnu bizarre prétend que je suis une créature mythologique et cela te paraît logique ?
David rougit à présent et haussa les épaules.
— Si je devais choisir une seule personne qui me fait penser à une fée, ce serait toi.
Laurel s’était attendue à ce que David rie et qu’il lui dise qu’elle était idiote. Elle avait compté là-dessus. Mais il croyait un peu à tout cela. Et même si elle savait que c’était irrationnel, cela la mettait en colère.
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Soudainement consciente de se trouver encore allongée sur le sol humide où elle était tombée, Laurel sentit la rougeur de l’embarras l’envahir. Elle ignora sa main et se poussa sur ses pieds, oubliant de retenir ses pétales. Avec une brusque inspiration, elle tira vivement son chandail vers le bas, grimaçant quand la fleur s’écrasa contre sa peau.
— Ne t’inquiète pas, déclara-t-il. Je vais garder mes distances avec ta fleur.
Il sourit largement, et elle sentit qu’elle passait à côté d’une blague pour initiée.
— Je sais dans quels pétales je peux m’emmêler et ceux de qui je dois éviter.
Il respira profondément.
— Hummmm. Et aussi fabuleuse que soit ton odeur, je sais que tes pétales me sont interdits.
Il arqua un sourcil.
— Du moins pour le moment.
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Depuis toujours, elle adorait le ruisseau. L’eau était tellement limpide dans le flot immobile que l’on pouvait voir le fond et observer les poissons aller et venir. Là où elle s’écrasait sur des roches en formant de petites chutes d’eau, elle bouillonnait et modelait une écume blanche parfaite qui ressemblait à des bulles de savon épaisses et légères. Toute la scène était digne d’une carte postale.
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