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Critiques de Archie Goodwin (41)
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Alien, le huitième passager

Entre science fiction et horreur, c’est l’adaptation parfaite du premier film de Ridley Scott. Chaque case est une scène du film et nous avons même en bonus quelques scènes supprimées au montage. Vous pourrez hurler dans votre salon. Mais souvenez-vous : " Dans l’espace, personne ne vous entend crier ".
Lien : http://www.avoir-alire.com/a..
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Alien, le huitième passager

En collant au mieux à l’esthétique créé par Moebius et l’artiste suisse H.R. Giger, et en représentant les comédiens de façon fidèle, il réussit à apporter son propre style à l’ensemble. Pour convaincre définitivement les fans, quelques courts passages de la BD reprennent des scènes coupées au montage !
Lien : http://www.bdencre.com/2013/..
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Alien, le huitième passager

Une adaptation ultra fidèle, très proche du film, tout du moins au niveau scénario, allant même jusqu'à présenter des éléments coupés au montage. Goodwin utilise très adroitement les éléments du scripts original, tout en dosant la tension et les ellipses nécessaires.
Lien : http://www.sceneario.com/ind..
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Alien, le huitième passager

Voilà une belle réussite que cette adaptation. [...] Certaines pleines pages retranscrivent parfaitement l'horreur de cette histoire. Le scénario d'Archie Goodwin ne fait pas qu'énumérer les scènes cultes. Il donne un sens au mot "adaptation". Une autre vision d'Alien pour crier encore une fois !
Lien : http://www.auracan.com/album..
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Anthologie Creepy, tome 2

Deuxième volume d’une anthologie des meilleurs récits d’horreur de la Warren [...]où se déploie un art fantômatique du noir et blanc dans une densité de récit sans pareille dans la BD anglo-saxonne.
Lien : http://www.actuabd.com/Creep..
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Batman - Black & White, tome 1

Ce tome contient les 4 épisodes de la minisérie parue en 1996. Il s'agit d'une anthologie, chaque numéro contenant 5 histoires de 8 pages chacune, toutes réalisées par des équipes artistiques différentes. Il n'est nul besoin d'avoir lu des histoires de Batman avant, pour comprendre ces récits. Tous les récits sont en noir & blanc (comme le titre l'indique). La liste des 20 équipes artistiques est la suivante (pour mémoire (s) = scénario, (d) = dessins + encrage).



1. Ted McKeever (s) + (d)

2. Bruce Timm (s) + (d)

3. Joe Kubert (s) + (d)

4. Howard Chaykin (s) + (d)

5. Archie Goodwin (s) & José Muñoz (d)

6. Walter Simonson (s) + (d)

7. Jan Strnad (s) & Richard Corben (d)

8. Kent Williams (s) + (d)

9. Chuck Dixon (s) & Jorge Zaffino (d)

10. Neil Gaiman (s) & Simon Bisley (d)

11. Klaus Janson (s) + (d)

12. Andrew Helfer (s) & Liberatore (d)

13. Matt Wagner (s) + (d)

14. Bill Sienkiewicz (s) + (d)

15. Dennis O'Neil (s) & Teddy Kristiansen (d)

16. Brian Bolland (s) + (d)

17. Jan Strnad (s) & Kevin Nowlan (d)

18. Archie Goodwin (s) & Gary Gianni (d)

19. Dennis O'Neil (s) & Brian Steelfreeze (d)

20. Katsuhiro Otomo (s) + (d)



Outre ces 20 histoires, il y a également des illustrations pleine page réalisées par Jim Lee & Scott Williams, Frank Miller, Barry Windsor-Smith, Alex Toth, Michael Allred, Moebius, Michael WM. Kaluta, Tony Salmons, P. Craig Russell, Marc Silvestri & Batt, Alex Ross et Neal Adams.



Pour un lecteur disposant d'une culture comics, la liste des créateurs suffit à le convaincre de plonger dans ce recueil de nouvelles. Mark Chiarello et Scott Peterson (les responsables éditoriaux du projet) ont réussi à convaincre le gratin des comics de participer : pour une histoire (Katsuhiro Otomo, le créateur d'Akira, ou Neil Gaiman le créateur de Sandman) ou pour une page (le légendaire Alex Toth, ou Moebius).



Pour un lecteur occasionnel de comics, la question est de savoir si ces histoires sont bonnes. La nature même d'une anthologie conduit au regroupement d'histoires de nature très hétéroclite, dont le seul point commun est de faire intervenir Batman, soit comme personnage principal, soit comme simple dispositif narratif, permettant de raconter une histoire plus personnelle. Il existe malgré tout un deuxième point commun : la haute qualité des dessins. Chaque artiste s'exprime dans un registre graphique qui lui est spécifique, avec de grands écarts d'approche entre le très descriptif (Brian Bolland), ou le très expressionniste (José Muñoz).



Chacun des artistes appose son identité visuelle sur Batman et son environnement. Ces histoires reposent sur le principe clairement établi de d'une narration la plus personnelle possible. Même les auteurs les plus conventionnels apportent leur vision et leur idiosyncrasie sans chercher à faire du Batman consensuel. Ainsi Walter Simonson propose une vision mythologique dans un futur totalitaire, et Joe Kubert propose un Batman très urbain à Gotham pendant la seconde guerre mondiale.



Parmi ces 20 histoires, certaines proposent une expérience visuelle irrésistible de séduction graphique sophistiquée et fluide. Matt Wagner est magnifique dans une savante mise en page, avec une utilisation du noir & blanc rehaussée par des trames à base de points (de type mécanographiées). Les personnages de Chaykin ont toujours autant de classe et de morgue. Kevin Nowlan montre une réalité aux contours étranges, légèrement anguleux. Richard Corben montre des personnages charnels, comme modelés dans une pâte. Gary Gianni retrouve la méticulosité des gravures de Gustave Doré. Bruce Timm raconte un petit roman noir, avec des dessins mêlant naïveté apparente et fausse candeur. Jorge Zaffino semble arracher chaque forme aux ténèbres primordiales à grands coups e burin.



Chuck Dixon réalise un bon polar en 8 pages. Klaus Janson évoque le lien père-fils, et père d'adoption à partir de la mythologie de Batman (avec Alfred Pennyworth). Bruce Timm réalise un bon polar. Walter Simonson développe la dimension mythologique du personnage. Jan Strnad propose un bon polar et une incursion dans le bizarre.



Certaines histoires dépassent le cadre de la nouvelle sympathique, dotée d'illustrations et d'une mise en page mémorables. Ted McKeever raconte une histoire à la fois macabre et lumineuse à partir d'un cadavre non identifié, évoquant l'anonymat d'une grande ville. Howard Chaykin creuse à sa manière goguenarde la question du droit moral, à travers de menues incivilités, avec un humour cynique des plus retords. Neil Gaiman écrit une fantaisie bien troussée sur la base de Batman et Joker en tant qu'acteurs de leur rôle, qui peut également se lire comme une métaphore des créateurs réalisant leurs histoires.



Quelques créateurs utilisent le personnage à bon escient (en respectant sa nature) pour un questionnement complexe et très personnel, rehaussé par un traitement graphique exceptionnel. Ainsi Kent Williams utilise des formes primordiales, à la limite de l'abstraction pour transfigurer Batman en figure totémique de la cité. Archie Goodwin et José Muñoz transporte le lecteur dans une ambiance de jazz sordide et vital, aussi glauque qu'habitée par une vocation et une inspiration irrépressible.



Brian Bolland semble raconter une histoire sans intérêt d'un jeune introverti tuant Batman en pensée. Son histoire au dénouement plat prend une autre dimension si l'on imagine que c'est une métaphore de l'auteur essayant de tuer cette figure emblématique du divertissement et de la propriété intellectuelle d'entreprise.



À première vue, Bill Sienkiewicz réalise une histoire particulièrement inintéressante de Batman discutant avec un père de famille peut-être indigne, peut-être pas, avec des dessins griffés et brouillons (des sortes d'esquisses nerveuses), et des dialogues envahissants. De case en case, le lecteur prend conscience que Sienkiewicz s'attaque au cœur d'une justice rendue par soi-même, au principe fondamental de Batman, redresseur de torts au dessus de la loi. Les expressions du père sont irrésistibles, entre dignité outragée et mauvaise foi patente, ainsi que l'impassibilité marmoréenne de Batman.



En fonction des goûts esthétiques du lecteur, il trouvera une ou plusieurs illustrations pleine page qui le ravira, que ce soit le Batman énigmatique et solitaire de Moebius, ou le dos couturé de cicatrices de Bruce Wayne par Alex Ross, ou encore l'élégance légère du Batman de P. Craig Russell.



Avec cette première minisérie, les responsables éditoriaux ont réussi leur pari d'attirer des créateurs de premier plan, pour qu'ils racontent une histoire de Batman, qu'ils enrichissent la mythologie du personnage. Le succès de cette entreprise tient à 2 choses. Primo : la brièveté des histoires (8 pages) a assuré que chaque créateur (même les plus lents et les plus rares, oui, je pense à Brian Bolland) envisage son histoire comme un projet réaliste et réalisable dans un temps raisonnable. Secundo : la liberté de ton donnée (il est facile de reconnaître les thèmes favoris de plusieurs créateurs) et la possibilité d'utiliser Batman à sa guise ont abouti à un investissement personnel de ces créateurs sur un personnage qui n'est pas le leur. Ce dispositif a été reconduit dans Batman: Black & White - VOL 02 (recueil d'histoires initialement parues en fin d'épisode de la série "Gotham nights").
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Batman : D'ombre et de lumière, tome 1

Ce premier tome de "Batman - d'ombre et de lumière" regroupe neuf histoires courtes en N&B, réalisées par divers scénaristes et dessinateurs avec l'homme chauve-souris comme personnage principal.



1/ Devenir chauve-souris - Warren Ellis/Jim Lee [Batman: Gotham Knights #1 - To Become The Bat] paru en mars 2000

2/ Batman avec Robin le jeune prodige - John Byrne [Batman: Gotham Knights #2] paru en avril 2000

3/ Nez cassé - Paul Pope [Batman: Gotham Knights #3 - Broken Nose] paru en mai 2000

4/ Bons baisers de Gotham city - John Arcudi/Tony Salmons [Batman: Gotham Knights #4 - Greetings From Gotham City] paru en juin 2000 5/ Cache-cache - Paul Levitz/Paul Revoche [Batman: Gotham Knights #5 - Hide And Seek] paru en juillet 2000

6/ L'énigme - Walter Simonson/John Paul Leon [Batman: Gotham Knights #6 - The Riddle] paru en août 2000

7/ Sans titre - John Arcudi/John Buscema [Batman: Gotham Knights #7] paru en septembre 2000

8/ Sans titre - Brian Azzarello/Eduardo Risso [Batman: Gotham Knights #8] paru en octobre 2000

9/ Couvre-feu - Howard Chaykin/Jordi Bernet [Batman: Gotham Knights #9 - Blackout] paru en novembre 2000



Etant donné le format de huit pages par histoire, l’ensemble reste assez moyen au niveau du scénario. Les récits sont aussi variés que les auteurs, avec une histoire assez bonne de la part de Brian Azzarello, une histoire plus axée sur la parodie de la part de Paul Pope, mais également des histoires assez banales, voir carrément mauvaises.



Au niveau graphisme, c’est également assez inégal au niveau des styles, même si tous font honneur au N&B en jouant avec les effets d’ombre et de lumière, comme suggéré par le titre de l’anthologie.



Les aficionados de Batman seront aux anges, les autres pourront passer leur chemin sur cet ouvrage assez dispensable.
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Batman : D'ombre et de lumière, tome 1

Un livre hommage à Batman riche en petites pépites.
Lien : http://www.bdencre.com/2016/..
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Batman : D'ombre et de lumière, tome 1

Voici une anthologie qui regroupe plusieurs auteurs de bandes-dessinées, qui sont connus surtout chez DC et Marvel. Ils nous montrent leur vision du Chevalier Noir, chacun à leur façon, et nous y trouvons 34 récits de huit pages chacune. Au départ, ce bouquin me faisais peur, vu la taille (Plus de 345 pages), mais il se lit vite, très vite même. Certaines histoires m'ont emballés, d'autres moins, mais dans l'ensemble, cela ce tient. Je vais donc entamer le tome deux sur le champs. Au fait, il y a quatre tomes.
Lien : http://www.critiqueslibres.c..
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Batman : Des cris dans la nuit

Il s'agit d'une histoire complète de Batman, initialement parue en 1992, indépendante de la continuité du personnage.



L'histoire s'ouvre sur une scène de nuit dans laquelle un groupe de chauve-souris prend son envol au dessus de Gotham. Ces 3 images sont accompagnées d'un extrait d'un guide sur la vie sauvage rappelant que ces animaux sont incapables de se diriger quand ils sont frappés de surdité. Il faudra attendre la fin du récit pour comprendre le sens de cette séquence. Dans cette histoire, James Gordon est l'équivalent du préfet de police pour Gotham. Il est accaparé par les relations avec les élus. En cette fin de soirée, il choisit d'échapper à cette pression pour se rendre sur les lieux d'un crime horrible : toute une famille massacrée, égorgée dans son appartement situé dans le quartier le plus défavorisé de Gotham. Il sait déjà que les rapports d'analyse mettront des jours à lui parvenir car l'élucidation de ce crime abject n'aura pas la priorité. Chez lui, il n'arrive plus à gérer ses responsabilités écrasantes et sa vie de famille, que ce soient les relations avec son épouse, ou avec son jeune fils. Cette même nuit, Batman envahit (à lui tout seul, c'est possible) un laboratoire synthétisant une nouvelle drogue appelée Boost, encore plus addictive que le crack. Il réfléchit en même temps à son apparence, à l'absurdité inhérente de son costume aux oreilles pointues et à l'effet que cela peut avoir sur les criminels qu'il attaque. Batman est en train de remonter, maillon par maillon, ce réseau de distribution de drogues. En parallèle, en tant que Bruce Wayne, il a décidé de prêter assistance à une oeuvre de charité qui gère un centre d'accueil pour enfants maltraités dans ce même quartier défavorisé. Il est directement en relation avec le chef de ce centre (Brian McLean, psychiatre) et sa sœur (Sybil McLean, administratrice). Un nouveau meurtre immonde chez un notable va réunir Batman et Gordon pour essayer de démêler les circonstances et trouver le coupable.



Fin des années 1980 et début des années 1990, DC Comics dispose de moyens et les emploie à diversifier le type de ses comics, en particulier en essayant de toucher un lectorat adulte. La plupart du temps les scénaristes augmentent juste le niveau de violence et de barbarie, et les dessinateurs troquent le crayon pour la peinture. La qualité du résultat n'est pas automatique. Et puis, parfois, le scénariste et l'illustrateur ne se reposent pas sur ces artifices, ils ont une vraie histoire à raconter et un vrai savoir faire. C'est le cas pour cette histoire.



Archie Goodwin est un vétéran des comics ; il a commencé à en écrire en 1964, et il a 55 ans quand il écrit cette histoire. Le début de l'histoire fait craindre un scénario prétexte à un thème (celui de la maltraitance) calqué sur une histoire mal équilibrée de Batman. En particulier, il est difficile de concilier les séquences très prosaïques de Gordon, avec celles forcément plus flamboyantes de Batman. Il faut attendre la moitié du tome pour que les différentes composantes s'agrègent plus harmonieusement. Passé ce point là, il n'est plus possible de refermer l'ouvrage avant la fin du récit. Le lecteur se trouve pris au piège d'un suspense psychologique diabolique et dépourvu de manichéisme. Goodwin a su trouver le bon équilibre entre les éléments de la mythologie de Batman, l'horreur des crimes et le roman policier sophistiqué. La fin est digne d'un roman très noir où l'espoir est réduit à sa portion congrue. On est très loin d'une solution assénée en 2 coups de poings bien placés.



Pour mettre en images ce récit poignant et terrible, Goodwin a bénéficié d'un illustrateur qui sait manier le pinceau : Scott Hampton (né en 1959, et frère de Bo Hampton). Hampton maîtrise bien la mise en place d'une ambiance par le choix des couleurs. Il a une préférence marquée pour les couleurs sombres qui nécessitent une bonne luminosité pour la lecture de cette histoire. Il y a plusieurs atouts dans sa technique. Chaque individu dispose d'un visage spécifique. Sa mise en page est très claire et facilement lisible. Il évite les clichés visuels simplistes pour des images qui montrent ou suggèrent selon les besoins du récit. Il réussit plusieurs décors marquant tels qu'une institution psychiatrique privée magnifique. Mais il reste encore un peu vert pour les expressions faciales qui provoquent l'empathie immédiate pour les plus réussies, ou un mouvement de recul incrédule devant des expressions peu réalistes pour les moins réussies. Il a également du mal à trouver le bon dosage entre les décors finalisés et les teintes uniformes derrière une tête en train de parler.



Malgré ces imperfections, cette histoire prend le lecteur à bras le corps pour l'enfoncer dans une horreur quotidienne immonde (Goodwin cite une statistique horrifiante) jusqu'à une fin réaliste et angoissante.
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Batman : Des cris dans la nuit

"Batman - Cris dans la nuit" est un album paru chez Glénat dans la collection Comics USA qui va à l’essence même du personnage de Batman.



Le scénario d'Archie Goodwin repose sur une histoire de meurtrier en série qui sévit sur Gotham et va donc mettre en avant les talents de détective de Batman. Le thème central de ce récit fort sombre étant lié à l’abus d’enfants, le parallèle avec ce petit enfant traumatisé par la mort de ses parents et combattant le mal depuis dans une tenue de chauve-souris, sera vite tiré. L’intrigue policière et son fond qui rapproche Batman de ses origines et de ses obsessions, sont donc les principaux ingrédients de cette histoire dépourvue de super-vilains. Troubles psychologiques, traumatismes, meurtres et enquêtes sont donc au programme de cette histoire fort sombre à la narration parfois troublante.



Une des grandes forces de ce one-shot se situe indéniablement dans le graphisme de Scott Hampton. Chaque planche est une peinture, réalisé sans encrage et dont les couleurs sombres contribuent à dépeindre un Gotham angoissant et lugubre. Un style surprenant qui sied parfaitement au récit, même s’il se fait au détriment de décors détaillés et d’une grande lisibilité.



Bref, une excellente histoire de Batman qui est à lire si vous parvenez à mettre la main dessus.

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Batman : Des cris dans la nuit

Dans cette enquête, on suit aussi bien Batman que le commissaire Gordon, et j'ai apprécié de découvrir la face plus sombre de ce personnage. L'enquête est rythmée, surprenante dans son déroulé bien qu'un peu classique dans sa résolution. Après, le graphisme très spécial pourra en rebuter plus d'un. On aime ou on aime pas.
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Batman : Des cris dans la nuit

Cet album vaut davantage pour ses images que pour l'histoire, néanmoins il reste aussi une lecture des plus agréables !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Batman : Des cris dans la nuit

Une réussite, un sans fautes, un moment fort, engendrant une œuvre sombre et prégnante qui devrait être considérée comme l’un des plus beaux récits de « Batman » jamais réalisés… Pas moins !
Lien : http://bdzoom.com/99630/comi..
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Batman : Des cris dans la nuit

Je découvre l'étendue de la collection "Batman". Ma surprise est de taille car c'est à chaque fois un style totalement différent que je trouve.



Je n'ai pas trop aimé le graphisme de celui-ci à cause sans doute de l'imprécision du trait. C'est volontairement flou et les personnages sont souvent dans la pénombre. Par contre, j'admets que cela donne un ton singulier à cette oeuvre.



Non, ce qui m'a le plus marqué, c'est le sujet traité à savoir la maltraitance des enfants et toutes les dérives psychologiques que cela implique. C'est très fort. J'ai rien à redire sur le traitement et le déroulement. A découvrir !
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Batman : Des cris dans la nuit

Graphiquement, le titre s’impose indéniablement comme marquant. Le travail réalisé par Scott Hampton, jouant d’une forme de réalisme troublant, confère une atmosphère de mystère assez formidable à l’ensemble.
Lien : http://www.actuabd.com/Batma..
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Batman : Des cris dans la nuit

Voici un one-shot très bien écrit mais aussi très sombre. Un peu à la manière de Arkham Asylum, un de ces Batman qu’il faut lire en étant averti de ce que l’on va trouver. Ici c’es trash, c’est dur, et ça parle d’enfants maltraités. L’histoire n’est clairement pas destinée aux plus jeunes, ni aux plus sensibles. Les aspects les plus sombres de l’hommes sont dépeints avec brio mais de façon parfois crue. J’ai beaucoup aimé parce que les auteurs vont jusqu’au bout de leur réflexions et osent ne s’adresser qu’à un type de public, afin de raconter leur histoire comme ils l’entendent.



J’évoquais un peu plus haut Arkham Asylum, ce qui m’y a fait pensé de suite, c’est le graphisme peu habituel que l’on a dans Des Cris dans la nuit. Certes les techniques et le dessin des deux albums sont très différents mais l’un comme l’autre innove pour nous offrir un ouvrage qui se veut étonnant visuellement mais aussi scénaristiquement. Je dois avouer que certains planches m’ont fait rêver tandis que d’autres m’ont un peu déçue. Je l’ai trouvé étonnant mais inégal au niveau du visuel. Ce qui est un peu dommage. Mais la scène d’introduction et la scène qui clôture sont parfaite et évoque en 3 cases tout ce que nous allons trouver dans ce comics.



Des cris dans la nuit évoque un Batman qui fait peur, qui pourrait être la cause de meurtre. Les soucis psychologiques et les troubles qu’ont les enfants dans l’histoire rappelle les psychoses de Bruce Wayne, traumatisé lui-même durant son enfance. Ce qui est mis en miroir avec le comportement de James Gordon, devenu violent également suite à des traumatismes de l’enfance. Les héros que l’on connaît sont ici mis à nus et ce n’est pas toujours beau à voir.



Des cris dans la nuit est un comics que je ne peux que recommander tellement l’histoire évoque en profondeur des questions fondamentales dans tout l’univers de Batman.
Lien : http://chickon.fr/2016/04/10..
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Batman : Des cris dans la nuit

Dustin, jeune rescapé d’une série de massacres frappant Gotham désigne Batman comme le coupable : comment le justicier ailé va-t-il s’en sortir ?

Un Batman d’une grande noirceur, superbement mis en couleur par Scott Hamphton. L’enquête, autour de la maltraitance, prenante et tragique plaira aussi aux lecteurs moins habitués aux comics de super-héros.




Lien : https://bibliotheque.brest-m..
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Batman La Légende, tome 2

Voici le deuxième tome des aventures de Batman dans le titres le Brave et l'audacieux (The Brave and the Bold) où l'on retrouve Batman associé à un autre justicier. Les épisodes de ce volume vont de décembre 1975 à juin 1979. Ce volume complète le premier tome et les dessins de Jim Aparo sont toujours aussi bons. En bonus on trouve deux épisodes de Detective Comics de novembre 1973 et Janvier 1974.

On retrouve aux cotés de Batman d'autres héros mythiques de DC comme Superman, Supergirl, Catwoman, Wonder woman, Flash ou Aquaman.
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Blazing Combat

Blazing Combat retrace donc un pan méconnu de l’histoire des comics de guerre anglophones, cinq ans avant que les mouvements de contestations de la Guerre du Vietnam ne jettent des milliers jeunes gens dans la rue.
Lien : https://www.actuabd.com/Blaz..
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