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Critiques de Arlette Jouanna (21)
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La France du XVIe siècle : 1483-1598

Ah que cet ouvrage m'éveille des souvenirs étranges ! Rien que son visuel est amusant : il reprend la charte graphique habituelle des Presses Universitaires de France (PUF) au tournant de l'an 2000, avec un portrait grand format de l'historienne en couverture et trois portraits petit format à l'arrière. Je ne sais pas pourquoi cela me reste en tête, cet aspect est désuet et en totale contradiction avec le fait que l'historienne concernée se met en avant non par sa personne, mais par son immense savoir.

Dans tous les cas, La France au XVIe siècle reste dans ma mémoire avant tout pour son propos. Il décrit le visage d'un pays entier, puissant et avantagé, mais complexe et troublé, entre deux dates charnières bien choisies, 1483 et 1598 (la deuxième est une évidence, la première pouvait être mise en balance avec 1498 afin de ne pas étendre le siècle trop loin). Cet ouvrage n'est pas un essai, ce n'est pas une thèse parmi d'autres, c'est une synthèse dans tout ce qu'elle a de bénéfique, car c'est une synthèse véritablement globale sur un sujet immense.

La France au XVIe siècle aborde tout ce qui compose une société à n'importe époque mais par le prisme des changements qui s'opèrent, soit de manière abrupte et donc plus spectaculaire, soit de manière sous-jacente, davantage sur le long terme, dans le royaume de France, tantôt uni, tantôt partagé sur des thèmes fondateurs comme la religion, la montée de l'absolutisme politique, l'usage des cultures antiques, la circulation de nouvelles marchandises et des nouvelles idées (et la nouvelle circulation des marchandises et des idées aussi d'ailleurs).



Arlette Jouanna met au service de ce vaste panorama érudit toutes les recherches qu'elle a pues mener durant tant d'années pour synthétiser notre vision d'une France qui se cherche, mais qui peut s'apaiser en affrontant des bouleversements qui, même s'ils sont graves, sont salvateurs dans ce qu'ils construisent sur le long terme.
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Montaigne

J'ai avec les Essais de Montaigne une histoire personnelle qui me laisse le souvenir d'un supplice. J'avais seize ou dix-sept ans, l'exercice nous était imposé par un professeur de français féru de XVIème siècle qui ne s'était pas satisfait des extraits du réputé Lagarde et Michard. Cet idéaliste obstiné tentait de détourner les ados que nous étions de leurs dissipations triviales, quand, pour ce qui me concerne, l'objet de mes préoccupations était assise quelques rang devant moi. Délicieuse, radieuse, mais studieuse. Les Essais de Montaigne sont restés dans ma mémoire comme une double frustration. Une langue indéchiffrable qui m'avait valu des notes calamiteuses et un dos tourné capable d'en déclamer quelques citations par coeur.



Je n'avais donc jamais envisagé de raviver cette déconvenue jusqu'à ce que sur l'étal de mon libraire, s'expose en gros caractère le nom associé à celle-ci : Montaigne par Arlette Jouanna.



Exorcisme ? Masochisme ? Je l'ai acheté. Je l'ai lu.



J'ai aimé. J'ai depuis quelques temps déjà l'esprit mieux disposé.



"Viresque acquirit Eundo", Il acquiert des forces au fur et à mesure qu'il avance.



La vie de Montaigne, c'est la vie d'une oeuvre. Cent fois sur le métier remet ton ouvrage. Les Essais, livre I, livre II, édition dite de Bordeaux. La vie d'une oeuvre. L'oeuvre d'une vie. La crainte de l'oubli. Première édition posthume de 1595; puis huit rééditions jusqu'en 1635, peut-être moins intègres celles-là. L'aventure se prolonge jusqu'au XXème siècle au cours duquel un lycéen en arrive à haïr le penseur à la langue obscure qui lui a dérobé ses préoccupations frivoles, ses espoirs d'envol.



La langue de Montaigne, que même certains de ses contemporains avaient trouvé ardue, m'avait fermé au contenu de sa pensée. Je n'avais donc pas entrevu que Montaigne était un homme comme les autres, avec ses interrogations, ses peurs, ses contradictions, ses espoirs, ses joies aussi mais si peu. Je n'avais pas entrevu que Montaigne parlait tout simplement de la vie des hommes, confrontés à leurs congénères et à eux-mêmes surtout, que ce qu'il disait en ces temps où ses contemporains s'entre déchiraient sur des questions de dogme serait encore d'actualité aujourd'hui. Avec la même acuité.



Arlette Jouanna a su m'ouvrir à tout cela. Elle a produit une biographie qui évite l'écueil de la simple chronologie des dates auxquelles se raccrochent des événements. On n'y échappe certes pas, s'agissant du genre de cet ouvrage, mais elle a eu à coeur d'aborder la vie du philosophe avec un canevas plus thématique, de faire le décryptage qui avait rebuté les ardeurs de l'homme en devenir que j'étais. Qui n'est pas devenu si on se réfère à l'idéal de Kipling.



Montaigne rêvait de survivre par ses écrits, sans y croire vraiment. Philosophe pessimiste mais opiniâtre, pragmatique mais influençable, ambivalent mais consensuel, entreprenant mais prudent, humaniste mais individualiste, subjectif mais ouvert à la contradiction, pacifiste sans illusions. Penseur pétri de modération bien inspirée, de modestie mal inspirée, puisque devenu référence parmi les humanistes.



L'utopiste-réaliste avait un grand talent pour la dérobade. Philosophe, il rêvait de voir ses pairs prendre en main la destinée des hommes en lieu et place de politiques ambitieux. Avec une prudence avisée en ces temps de guerre de religion il a laissé planer le doute sur ses convictions, et à son lecteur, qu'il interpelle en préambule de son ouvrage, le soin de décrypter ses raisons et convictions qu'il distillait avec le souci de ne pas heurter, l'obsession d'être aimé : "C'est ici un livre de bonne foi, lecteur. Il t'avertit, dès l'entrée, que je ne m'y suis proposé aucune fin, que domestique et privée. Je n'y ai nulle considération de ton service, ni de ma gloire."



Tout est suggestion chez Montaigne, car "toute certitude révélerait une violence prête à se déchaîner". Nous sommes nés pour butter sur des questions sans réponse. Le doute doit rester le propre de l'homme.



Arlette Jouanna a construit la biographie de la genèse d'un esprit plus que de la vie de l'homme, celui qui "prenait plaisir de déplaire plaisamment". Un ouvrage très riche qui fait la part entre l'avéré, le supposé, le caché. Sous sa plume, j'ai aimé faire connaissance avec le tourmenteur de mes années lycéennes.



Quant à l'autre, le dos tourné, si j'en crois Montaigne, je trouverai consolation à mon insuccès :

"Toutes passions qui se laissent goûter et digérer ne sont que médiocres".

"La plus sûre garde de la chasteté à une fille, c'est la sévérité."



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La Saint-Barthélemy : Les mystères d'un crime d..

Excellent ouvrage, écrit d'abord pour la collection "Les journées qui ont fait la France" par l'historienne seiziémiste Arlette Jouanna. Le récit des événements est complet et bien mené, n'oublie ni l'explication d'ensemble, ni les détails, ni les débats interprétatifs, et recourt à des témoignages individuels de rescapés d'un grand intérêt. Cette fin du XVI°s voit l'accouchement atroce et convulsif d'une idée et d'une politique qui sont nôtres aujourd'hui encore, fondées sur la séparation de l'identité religieuse et des devoirs du citoyen. L'unité médiévale du sujet croyant, où le politique et le religieux ne faisaient qu'un, se brise définitivement grâce à la Réforme en France. En France plus qu'ailleurs, puisque le pays est bi-confessionnel en 1560, alors que l'Angleterre, les Pays-Bas ou l'Empire allemand refont l'unité de la foi et de la citoyenneté au profit de l'une ou de l'autre confession. On voit aussi naître ou renaître des projets politiques audacieux : chez les protestants et les "monarchomaques" (ceux qui se battent contre le monarque), l'idée d'une monarchie contractuelle, où le pouvoir royal ne se légitime que de l'accord des sujets. Dans l'autre camp, celui des catholiques fidèles aux Valois, la sacralisation extrême du Roi, qui annonce les liturgies de Versailles un siècle après. Voilà donc un essai historique lumineux, bien écrit et qui ouvre de passionnantes perspectives : aujourd'hui, cette question laïque n'est pas close, puisque notre pays se peuple de nouvelles communautés qui ne font aucunement la séparation entre le sujet politique et le sujet croyant, et n'ont pas l'intention de la faire. Leur présence pose à nouveau ce même dilemme qui fit couler tant de sang il y a quatre siècles.
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Le sang des princes : Les ambiguïtés de la légi..

J'ai été passionné et dans une certaine mesure touché par ce livre exigeant mais passionnant.

Touché parce que c'est le dernier livre d'une grande historienne décédée depuis, Arlette Jouanna, que je ne connaissais que de nom et de réputation, mais dont je n'avais rien lu. Et aussi parce que ce livre constitue dans une certaine mesure, le testament d'une très grande spécialiste de l'histoire de la monarchie française en particulier au XVIème siècle, mais que l'on se rassure elle peut largement déborder avant et après.

Et puis passionné, car ce livre témoigne d'une maitrise sidérante de l'histoire de la France du Bas Moyen-âge et de la France moderne.

Le livre aborde spécifiquement la question de la place des enfants des rois, de leur famille dans la monarchie française. Comment à un certain moment la loi dite salique a été sortie du chapeau pour exclure les femmes. Quelles ont été les conséquences des rivalités entre frères, entre branches ? Comment à un moment donné, sous la Régence, un autre système a paru se mettre en place ? Comment au XVIIIème siècle des femmes au destin singulier ont-elle illustré la diversité de la condition féminine au sein de la famille royale...

Enormément de choses à vrai dire. Je n'ai pas tout digéré de ce livre passionnant (et vers lequel je serai amené à revenir), car on y croise des centaines de personnages qui parfois portent plus ou moins le même nom. Les sources sont variées et passionnantes, parmi lesquelles l'inévitable Saint-Simon.

Le livre est écrit avec élégance et précision et j'ai appris des mots qui vont me permettre de briller dans la conversation ! : "successibles", "exhérédation", "polysynodie". Ce n'est pas du snobisme, c'est à chaque fois le mot le plus juste pour dire les choses.

Après pas mal de lectures sur ce sujet, il me semble que je n'ai jamais autant appris et surtout compris sur la monarchie française que dans ce beau livre testament.
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Montaigne

Voilà une biographie de Montaigne écrite par une historienne au style supportable. A quoi bon une biographie de Montaigne ? Les Essais ne satisferont pas le lecteur curieux de la vie de l'auteur : ils sont chronologiquement imprécis, lacunaires et désordonnés, indifférents aux détails et parfois même aux gens ; bref, Montaigne n'a rien d'un mémorialiste à la Monluc ou Marguerite de Valois. Il n'est pas non plus un biographe à la mode de Brantôme. Il se propose de se peindre, pas de se raconter. Donc Arlette Jouanna utilise modérément les Essais, et étend sa recherche documentaire aux archives de la mairie de Bordeaux, aux mémoires du temps, au livre de raison de l'auteur, aux témoignages des contemporains. Je ne dirai pas que son livre rend Montaigne plus vivant, car il l'est déjà, inimitablement, dans sa conversation avec le lecteur des Essais. Cette biographie, paradoxalement, fait de Montaigne un homme du passé, engagé dans les solidarités nobiliaires locales et les guerres civiles de son temps. C'est ici un homme de la Renaissance comme un autre. Evident, direz-vous. Mais souvenez-vous de l'avertissement de Proust dans son "Contre Sainte-Beuve" : un livre est le produit d'un Moi autrement plus profond et secret, peut-être plus durable et même éternel, que le Moi public visible par tous. L'historien n'a accès qu'à l'homme public. Il fait le portrait du mort. A l'inverse, le lecteur des Essais converse avec Montaigne vivant.
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La France de la Renaissance

Je viens de finir la première partie du livre d4arlette Jouanna, et je dois dire que je suis surpris. Le sujet appelle souvent un texte difficile à lire, ce qui n’est pas le cas de ces pages. En plus la première partie est une surprise, ici pas d’état géographique de la France si ce n’est un bref rappel, pas de politique, non elle nous amène dans la culture de l’époque qui est un tournant. De Rabelais à Erasme une nouvelle ère s’ouvre, fini l’obscurantisme. On va désormais s’abreuvé directement à la source du savoir, on passe des humanités à l’humanisme. Les modes d’éducation se transforme. L’art picturale et architecturale évolue vers un classicisme à la Française.
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Montaigne

"QUE SAIS-JE ?" (Michel de Montaigne-1533-1592)

Le XVIème siècle français se divise très grossièrement en deux périodes : celles d'avant les guerres de Religion (avant 1562), celles durant les guerres de Religion (1562-1598). L'éclatante Renaissance française cède le pas aux violences inter confessionnelles d'une cruauté infernale confirmant, s'il en était besoin, que les conflits les plus furieux, les plus atroces, les plus destructeurs trouvent une de leurs expressions les plus abouties dans les guerres civiles.

Montaigne vit l'essentiel de sa vie au sein de cette période de troubles incessants. Issu de la Robe bordelaise, enserré dans un maillage étroit d'alliances, de dons et de contre-dons, inscrivant sa course aux honneurs dans la quête d'une Noblesse sans ascendants roturiers, n'existant que pour servir sa Maison, sa croissance, sa richesse, sa réputation, Montaigne va se dégager de ce carcan social en se créant un espace intérieur de liberté qui dépasse très largement la notion de "Temps à soi" dont parle Pline le Jeune dans ses lettres.

Arlette Jouanna, historienne émérite de la vie nobiliaire du XVIème siècle, nous raconte cette vie étirée entre des contradictions apparemment insolubles dont il se sortira par les Essais.

Il ne s'agit pas d'un commentaire de l'Oeuvre. Arlette Jouanna décrit la trajectoire humaine, les aspirations, les ambitions, le goût pour les plaisirs de la vie, l'estime dans laquelle il tient les femmes, le désir sexuel, la genèse des trois livres, la relation privilégiée avec Marie de Gournay (1565-1645), sa "fille d'alliance" très grande lettrée et gardienne vigilante des écrits, les voyages, l'amitié avec La Boétie, en les inscrivant dans ce milieu aristocratique provincial, éloigné de la Cour Royale, dans le contexte de ces troubles incessants, sources de malheurs ininterrompus, dans la vie culturelle et littéraire du Royaume et hors celui-ci.

L'érudition, au rendez-vous, ne freine pas la lecture. La richesse des connaissances crée un tableau complexe rendant encore plus éclatant, par contraste, le caractère divers, ondoyant, déployé de la pensée montaignienne. Et puis, bien sûr, on retrouve dès l'ouverture du livre cette Tour-Bibliothèque, sorte de Graal de sérénité, de connaissance, de tolérance et de détachement.

Cette biographie de Montaigne est un livre d'histoire dense très réussi.
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Le Prince absolu

L'historienne Arlette Jouanna retrace l'essor de l'absolutisme et sa justification.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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Histoire et dictionnaire des guerres de rel..

Livre plaisant didactique qui rend claire cette époque qui ne l'est pas beaucoup...

Et cerise su le gâteau le Dictionnaire dont les courts articles éclairent certains points précis.J'ai particulièrement gouté -entre autres- l'article sur la guerre à cette époque ...
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Le Pouvoir absolu: Naissance de l'imaginair..

Les guerres qui ont opposé catholiques et protestants ont constitué une inflexion décisive dans l’histoire de la monarchie française. Ce sont elles, montre A. Jouanna, qui ont poussé le pouvoir royal à devenir absolu – faisant du droit d’exception un régime ordinaire.
Lien : http://www.laviedesidees.fr/..
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Le sang des princes : Les ambiguïtés de la légi..

Les liens complexes entre princes du sang et monarques sous l'Ancien Régime.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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Chevaliers et châteaux forts

Un bel album très complet pour découvrir la thématique chevaliers et châteaux forts (78 pages). Les format est pratique, les pages sont épaisses et certaines transparentes.
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Penser et vivre l'honneur à l'époque moderne

Alors que depuis vingt ans, les travaux des historiens ont fait de l’honneur une catégorie heuristique, le colloque revient sur les raisons de l’honneur avant d’en aborder ses codes.
Lien : http://www.nonfiction.fr/art..
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La Saint-Barthélemy : Les mystères d'un crime d..

Livre intéressant dans la partie descriptive de l'évènement. Cependant les conclusions que tirent l'auteure ne semblent pas devoir s'y appliquer précisément.

Dommage que le style soit trop scolaire et pas assez vivant.
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La France de la Renaissance

Extrêmement documenté et précis, ce texte dresse un portrait complet de la France principalement sous le règne de François premier. Malgré la densité historique, l'auteur arrive à nous faire voyager dans l'époque sans grande difficulté. J'ai personnellement appris beaucoup et ce livre passionnant a éclairci des zones d'ombre.
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La Saint-Barthélemy : Les mystères d'un crime d..

Livre très intéressant.

Mme Jouanna se concentre sur les faits, leurs causes probables ou possibles et leurs conséquences, sans se noyer dans un ouvrage d'historiographie, citant à longueur de pages les collègues (en attente de retour d'ascenseur ?).

Passages très intéressants sur l'idéologie prônant les états-généraux.
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La France de la Renaissance

Un outil de référence pour comprendre la Renaissance, incarnée par François Ier, et marquée par l'essor démographique, le développement des échanges et des arts, l'invention de l'imprimerie, mais aussi l'ébranlement des idées et des moeurs.
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La Saint-Barthélemy : Les mystères d'un crime d..

bon livre
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La Saint-Barthélemy : Les mystères d'un crime d..

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Montaigne

Arlette Jouanna consacre à Montaigne une passionnante biographie, qui montre la complexité de son rapport à l’intériorité.
Lien : https://www.la-croix.com/Cul..
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