Les reines de sang Rani Lakshmi Bai 1
Aujourd’hui j’ai 90 ans.
Mais je peux encore transmettre cet ultime message : n’acceptez pas l’inacceptable.
Joseph Weismann ; La Mans, le 7 octobre 2021
La mondialisation sans la solidarité, c’est l’exclusion. On n’est plus en bas ou à la périphérie de la société, mais en dehors, plus seulement exploités, mais de trop, et jetables.
(Le pape François)
Géorgie, 1878
Ses parents et amis l'appellent affectueusement " Sosso ". Mais, dans l'ombre, grandit peu à peu celui qui deviendra l'un des plus grands dictateurs et criminels de l'Histoire. Enfant rebelle, chef de gang, poète, pilleurs de banques, maître-chanteur, forçat, assassin [...] un psychopathe et tueur de masse, bientôt hissé à la tête d'un Empire.
Jo... Jo Kogan, tu sais... On pourrait refaire le périple mille fois, nous écorcher encore le crâne sous les rouleaux de barbelés, dormir dans les bois, frapper à des portes qui restent fermées... Nous ne trouverons jamais vraiment la paix... Parce que nous ne cesserons jamais, jamais, de nous demander pourquoi tout cela est arrivé.
Aujourd’hui j’ai 90 ans. Mais je peux encore transmettre ce message: n’acceptez pas l’inacceptable.
On avait longtemps vanté la stabilité de Venise, dont le séduisant régime empruntait à la fois aux gouvernements aristocratique, monarchique et démocratique : en fait la peur du peuple était vivace.
La culture actuelle tend à proposer des manières d’être contraires à la dignité. Les idoles comme le pouvoir, la richesse, le plaisir éphémère sont devenues le référent, le critère de l'organisation sociale...
(Le pape François)
Le consumérisme hédoniste et individualiste, qui évalue la vie humaine en fonction du plaisir immédiat et sans limites, obscurcit le sens de la vie et la dégrade. Sa promotion ferme nos yeux sur la souffrance et nous situe sur un chemin de mort...
L’existence a une dimension plus profonde !
(Le pape François)
Pensez aux victimes, aux disparus, aux rescapés qui se sont battus pour que le souvenir de la Shoah demeure. Ceci est le plus bel hommage que nous pouvons leur rendre. et... si nous devons nous souvenir, bien sûr, nous devons surtout penser au futur. Alors, je n'ai plus qu'une seule chose à vous dire... pour finir. Mon nom est Jo Weismann. Et je vous en prie, mes enfants... N'acceptez pas l'inacceptable.
- Les voitures se vendent moins. Je suis sûr que la crise est aussi là parce qu'on s'amuse moins au travail.
- En même temps, c'est du boulot, t'y vas pas pour t'amuser non plus.
- Non bien sûr, mais l'ambiance n'est plus la même. Avec cette connerie d'internet aussi...
- Connerie ? Mais tu déconnes, Carlos. C'est génial.
- Si on veut. On se "maile" à dix mètres d'intervalle, on ne se parle plus.