Citations de Blake Pierce (657)
Certes, elle n'avait aucun désir de voir un autre corps si elle pouvait
l'éviter, mais elle désirait surtout sauver cette femme, qui qu'elle soit.
Décoder le message du tueur ne suffisait pas, ils devaient également aider la prisonnière.
Une énigme impossible à résoudre n'en est pas une. Un concours où on ne prévoit pas de remettre le prix au vainqueur n'en est pas un non plus. Si les casse-têtes ont une telle importance pour le tueur, au point qu'il ait créé tout ce système, alors cela veut dire que nous avons une chance de trouver la solution. Il met en place des jeux en considérant qu'on ne les résoudra pas à
temps.
Quelqu'un qui n'aimait pas l'excitation aurait probablement cherché un travail classique,avec un patron standard, sans la pression qui accompagnait un poste dans un journal important, même si c'était un poste de rédactrice de casse-têtes.
Elle avait toujours eu
une excellente mémoire, et certaines images restaient gravées dans son esprit.
Comme le cadavre de Willow Matthews. Elle buvait très rarement, mais elle avait
ouvert une bouteille de Merlot et en était à son deuxième verre.
Poursuivre des suspects,enfoncer des portes... La simple idée du danger me fait trembler. Tout ce que je veux, c'est rentrer chez moi et m'occuper de mes
casse-têtes. Vous savez que chercher, désormais, vous n'avez pas besoin de moi pour décrypter un code.
Nous avons affaire à un tueur qui semble aimer les énigmes et les
casse-têtes, expliqua-t-il. Pour retrouver ses victimes encore vivantes, nous devons donc être capables de déchiffrer ces messages cryptés rapidement, et
vous avez largement prouvé que vous en étiez capable.
Elle n'était pas reporter, et même si elle pensait que son patron serait content d'obtenir ce
scoop, elle craignait qu'il ne s'énerve si elle essayait de jouer à la journaliste. Mieux valait laissait cela aux autres.
Pourchasser des tueurs en série n'avait rien à voir avec ce qu'elle faisait. Elle créait des jeux cérébraux et s'efforçait
d'empêcher son patron de supprimer sa page. La perspective de courir après des criminels la terrifiait... tout en lui paraissant assez excitante.
Les mots ne doivent pas être interprétés dans leur sens
littéral.
Elle ressemblait à un indice de mots
croisés qui en disait plus long que ce qu'il n'y paraissait.
Bien sûr, le jeu favori de la plupart des journalistes consistait
à essayer de leur soutirer tout de même une réflexion, ou du moins une réaction, afin de pouvoir publier un article du style « le FBI frustré par l'absence de progrès dans l'affaire ». Amber se dit à nouveau qu'elle était contente de s'occuper de jeux et de devinettes. Elle ne pensait pas être capable de s'adonner à ce genre de pratiques.
Dans le monde du journalisme, rien n'était plus embarrassant que ne pas publier d'article sur un sujet qui devenait ensuite capital. Certains écrans montraient les cours de la bourse, sur d'autres figuraient les débats au Congrés, mais celui qui attira l'attention d'Amber affichait « le Tueur au Casse-Tête a-t-il été capturé ? » en gros-titre.
Elle essayait de tuer le temps, elle s'en rendait bien compte. Elle n'avait pas besoin de s'adonner à tout ça. Elle désirait juste avoir l'air occupé, au cas où Henry sortirait de son bureau pour
s'assurer que tous ses employés méritaient bien leur salaire. C'était évidemment à cause de lui qu'elle n'avait pas beaucoup à faire aujourd'hui, mais il s'en moquerait bien.
Rédiger des questions de culture générale constituait toujours un bon moyen d'occuper son temps au journal : elle en apprenait plus sur des sujets relativement obscurs, tout en trouvant de nouvelles façons d'écrire ses devinettes.
Il eut envie de lui faire remarquer
qu'un simple indice ne suffisait pas à faire de cet homme un tueur, mais il était évident qu'elle ne l'écouterait pas. Il l'observa donc pendant qu'elle conduisait Ralph Evers, menottes aux poings, au bas des escaliers puis à leur voiture.
Simon était habitué à reconnaître un suspect qui plongeait vers une arme. Il tendit donc la main vers son pistolet par réflexe,mais ce n'était pas chose aisée quand on se tenait en équilibre précaire sur
une pile de caisses. Le type à l'intérieur avait déjà saisi un gros revolver,un genre de .45, et Simon ne put que se jeter en arrière pour sortir de sa ligne de mire.
Si le tueur aimait voir ses victimes lutter vainement pour se libérer, il y avait alors de fortes chances
qu'il reste à proximité pour les observer. Simon ne pouvait donc se permettre d'être repéré et de mettre ainsi en danger la vie de la prisonnière.
Il nous recommande de ne pas mettre de vies en danger en se
jetant dans des situations dangereuses à l'aveuglette, répliqua Simon. Écoutez,
Kale, je sais que vous voulez en finir avec tout ça. Moi aussi. Mais je veux d'abord m'assurer que nous sachions à quoi nous attendre.
Le sudoku en pied de page fournit la clé pour le décoder, et les lignes des dessins nous donnent l'ordre des lettres. Le sudoku donne les lettres de A à I, qu'on numérote ensuite de un à
neuf, puis on continue avec les autres lettres de l'alphabet.
L'ennui, c'était qu'il n'avait aucune compétence en matière de casse-têtes. Il savait examiner des preuves, gérer des informateurs, exécuter des missions d'infiltration et maîtriser les pires criminels. Il était
capable de tirer au pistolet, de se battre et de conduire à très grande vitesse pour pourchasser un suspect. Tout ce qui suffisait normalement à attraper un
méchant classique.