AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Brian Augustyn (33)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Out There : tome 1 (INT)

Une série assez sympa mais réservé à un public typiquement ado. J'ai beaucoup aimé le graphisme ainsi que la colorisation de ce comics teenager. On remarquera tout de suite l'excellente qualité de l'édition. Les planches sont particulièrement soignés. Il y a également une certaine fluidité des scènes qui accentue le plaisir de la lecture.



Un groupe d'ado va affronter des monstres surgit des ténèbres et qui essayent d'envahir leur bourgade bien prospère. Les autorités locales ont passé un marché avec une force démoniaque afin de protéger la ville de la violence, du crime et de la drogue qui sévissent partout ailleurs en Californie. Cependant, cette tranquillité a un prix à payer. Fort heureusement, nos quatre adolescents sont là pour nous sauver en déjouant cette menace planétaire.



Bref, si vous aimez ce genre de pitch, c'est pour vous. En conclusion, une lecture agréable sur un scénario efficace conçu pour plaire.
Commenter  J’apprécie          50
Batman : Gotham au XIXe siècle

Qu'aurait été Batman s'il avait vécu au XIXe Siècle? C,est ce que cette bande dessinée tente de répondre. Il y a deux histoires. La première est celle de Jack L'Éventreur qui décide d'aller en Amérique, plus particulièrement à Gotham. La seconde, un psychopathe veux empêcher l'Exposition universelle de Gotham d'avoir lieu.



C'est quand même intéressant de lire c'est histoire et de voir que Batman cadre bien à l'époque de la fin du XIXe siècle. Il a moins de gadget que d'habitude et n'a pas de Batmobile mais l'ambiance est aussi dark. L'ambiance me fait penser un peu à celle qui règne dans All-Star Western.



C'est une bonne petite BD à lire.
Commenter  J’apprécie          50
Out There : tome 2 (INT)

Toujours dans la lignée du premier volume, Bryan Augustyn et Humberto Ramos nous entraînent dans leur univers de sectes, de monstres et de sorcellerie avec un visage mi-sombre, mi-coloré qui n’est pas déplaisant et permet un bon pont d’entrée dans les univers d’horreur proches du style d’H.P. Lovecraft.
Lien : http://www.avoir-alire.com/o..
Commenter  J’apprécie          40
Batman : Gotham au XIXe siècle

Ce recueil comprend 2 histoires : "Gotham by gaslight" paru en 1989 et "Master of the Future" paru en 1991. Ces histoires se déroulent dans un passé alternatif aux alentours de 1889 pour la première histoire et 18 mois plus tard pour la seconde. "Gotham by gaslight" est le premier titre paru a posteriori dans la ligne des Elsewolrds, un concept où les héros de l'univers DC apparaissent dans une autre époque ou dans d'autres conditions que leurs origines traditionnelles.



Dans "Gotham by Gaslight", Bruce Wayne évoque un rêve récurrent de chauve-souris avec Freud tout en mentionnant son apprentissage avec un célèbre détective londonien de l'époque. Il revient à Gotham et décide d'utiliser une méthode peu orthodoxe pour traquer le meurtrier de ses parents : se déguiser en chauve-souris. Curieusement son retour aux États Unis coïncide avec d'atroces crimes qui présentent toutes les particularités de ceux commis un an auparavant à Londres par un mystérieux tueur en série surnommé Jack l'Éventreur.



Cette intrigue a longtemps été considérée parmi les meilleures de Batman et franchement je suis bien incapable de comprendre pourquoi. Le scénario se contente d'enfiler des scènes convenues et superficielles sans développer aucun personnage ou aucune conséquence. Les actions du Ripper sont celles d'un meurtrier lambda qui n'arrive pas à provoquer d'inquiétude et encore moins d'effroi chez le lecteur. Le commissaire Gordon apparaît, mais il peut être remplacé par n'importe quel autre policier sans que ça fasse de différence. Alfred Pennyworth est dépourvu de tout humour. L'intrigue est linéaire et plate. La conclusion est évidente dès la troisième page. Coté illustrations, il s'agit d'une œuvre de jeunesse de Mike Migonla agréable à regarder mais très loin de la maestria graphique de Hellboy. L'encrage de P. Craig Russell est délicat et ouvragé comme à son habitude. Mais à part quelques décors évocateurs, les dessins sont trop figés pour l'histoire. Et la mise en couleurs de David Hornung repose sur des couleurs sombres qui noient les à-plats de noir dans une boue difficilement lisible.



Par comparaison, la deuxième partie fait figure de grande réussite. Le scénario est également de Brian Augustyn et il a choisi un thème plus original et un développement plus important du personnage principal. Dix huit mois se sont écoulés depuis les événements de Gotham by Gaslight, Bruce Wayne a remisé son costume de chauve-souris dans la grotte car il a atteint le but qu'il s'était fixé : venger la mort de ses parents. Le maire de Gotham a organisé une exposition universelle qui doit se tenir dans quelques semaines et un olibrius du nom d'Alexandre LeRoi menace de détruire Gotham s'il n'est pas nommé maire. Le scénario marie intelligemment Robur-le-conquérant de Jules Verne avec un Bruce Wayne qui doute de l'utilité de Batman. Le scénario présente des personnages attachants qui ont une véritable épaisseur. Les dessins d'Eduardo Barreto révèlent une solide connaissance des costumes et des objets d'époque et une vraie compréhension de l'urbanisme. Sa pleine page exposant le terrain de l'exposition avec ses pavillons est magnifique et crédible.



Ce tome constitue donc une lecture mi-figue mi-raisin dans laquelle l'histoire la plus célèbre ne tient pas ses promesses, alors que la suite est très agréable et divertissante.
Commenter  J’apprécie          30
Out there, tome 3

Out There fait partie de ces petites perles que tout amateur d'Humberto Ramos sera heureux de retrouver dans la réédition de Glénat. Et en plus de retrouver la série dans de très belles éditions brochés avec couvertures mates, on se voit offrir un épilogue inédit de huit pages.
Lien : http://bulles-et-onomatopees..
Commenter  J’apprécie          30
Out There : tome 1 (INT)

Lorsque que quatre adolescents de la petite ville d’El Dorado se retrouvent impliqués dans d’étranges phénomènes, ils vont devoir lutter pour empêcher le mal de se répandre sur Terre. Pas de doute Out There est de retour chez Glénat pour notre plus grand plaisir !



Débuté en 2001 sous le label Cliffhanger de Wildstorm et sorti en France aux éditions Semic en kiosque Out There est la deuxième série de l’auteur mexicain Humberto Ramos et le scénario est assuré par Brian Augustyn. La sortie de cette nouvelle édition cartonnée marque le retour de Out There en France chez Glénat Comics qui réalise un superbe travail avec trois volumes aux couvertures inédites et exclusives.



El Dorado est une petite ville de Californie isolée et épanouie où il fait bon vivre. Véritable havre de paix, la violence et l’insécurité semble avoir été bannies hors de ses frontières pour la plus grande sérénité des habitants. Mais derrière cette apparente tranquillité se cache un lourd secret. Afin d’assurer la sécurité de leur têtes blondes, certains concitoyens particulièrement concernés ont décrété que leur tranquillité valait bien quelques concessions comme passer un pacte avec un Démon en lui vendant leurs âmes. Dès lors, des créatures démoniaques invisibles par les humains s’emparent de leurs corps afin d’accomplir une mission plus obscures encore au service de leur maître Dreadelus. C’est à l’occasion du bal de promo que quatre lycéens se retrouvent contraints de coopérer après avoir été assistés à un meurtre. Désormais Zach et sa petite amie Casey sont liés à Jessica et Mark. Ils réalisent très vite qu’ils sont les seuls à voir les créatures invisibles. Dotés de pouvoirs, ils vont devoir démêler les mystères qui entourent la ville et le pacte unissant le Démon et les notables de la ville rassemblés autour de la Maire. Ils sont le dernier espoir…



Si la série a plus de dix ans, elle n’en garde pas moins sa fraicheur. Le scénario mené par Brian Augustyn est parfaitement rythmé. L’intrigue mêlée et compliquée au démarrage gagne en clarté au fil des chapitres. . Les personnages sont stéréotypés (le quaterback et la cheerleader, le petit génie souffre-douleur et la fille en marge) mais bien construits et toujours aussi attachants. Les élèves sont durs entre eux et chacun a une place qu’il est tenu de garder. Les quatre héros vont devoir mettre tous leurs différends de côté et au plus vite pour pouvoir collaborer et affronter les problèmes qui les attendent. Le découpage des pages quant à lui est efficace et maîtrisé. Le dessin d’Humberto Ramos toujours aussi dynamique et la colorisation soignée et efficace. Il est d’ailleurs marrant de constater l’évolution du coup de crayon de Humberto Ramos entre les planches de la BD et les nouvelles couvertures.



Glénat Comics réalise une édition cartonnée très réussie de Out There et la fin en cliffhanger du tome 1 poussera tous les lecteurs vers le tome 2 désormais disponible. Un vrai régal.


Lien : http://www.adam-et-ender.com..
Commenter  J’apprécie          30
Batman : Gotham au XIXe siècle

Une merveille d'ambiance. Quel fan de Batman n'a pas rêvé de le plonger en pleine XIXème bien crade, à la From Hell? L'intrigue pèche un peu dans son dénouement, mais d'un point de vue artistique et créatif, c'est à ne pas manquer.
Commenter  J’apprécie          30
Out There : tome 1 (INT)

Résumé :



Dans la petite ville d'El Dorado City, des créatures étranges que seuls certains adolescents semblent pouvoir voir font leur apparition.

En enquêtant, ce groupe hétéroclite va comprendre que des élus locaux ont fait un pacte avec des forces démoniaques pour leurs permettre d'envahir la Terre.

Et si ce groupe d'ado était le dernier rempart pour sauver le monde ?



Mon Avis :



Je suis allé sur cette série pour découvrir le travail de Brian Augustyn, auteur décédé cette année.

Et si la série est sympathique, elle ne révolutionne pas le genre.

C'est une série où des forces démoniaques veulent faire de la Terre leur fief, parmi tant d'autres.

Il faut avouer que la force de cette série réside surtout dans le dessin d'Humberto Ramos qui nous offre de très belles planches.
Commenter  J’apprécie          20
Batman : Gotham au XIXe siècle

Batman au 19ème siècle, dans une version victorienne de Gotham City.



A peine rentré d'Europe, où il a pu rencontrer Sherlock Holmes et Sigmund Freud, Bruce Wayne est confronté à une série de crimes perpétrés par Jack l'Éventreur...



Le scénario est prometteur mais n'est pas suffisamment étoffé : dès les premières pages, on en devine l'issue. Il reste que la transposition de Batman dans un univers steampunk est bienvenue et ravira les fans du super-héros et de la vapeur.
Commenter  J’apprécie          20
Out there, tome 3

Résumé :



Dans la petite ville d'El Dorado City, des créatures étranges que seuls certains adolescents semblent pouvoir voir font leur apparition.

En enquêtant, ce groupe hétéroclite va comprendre que des élus locaux ont fait un pacte avec des forces démoniaques pour leurs permettre d'envahir la Terre.

Et si ce groupe d'ado était le dernier rempart pour sauver le monde ?



Mon Avis :



Je suis allé sur cette série pour découvrir le travail de Brian Augustyn, auteur décédé cette année.

Et si la série est sympathique, elle ne révolutionne pas le genre.

C'est une série où des forces démoniaques veulent faire de la Terre leur fief, parmi tant d'autres.

Il faut avouer que la force de cette série réside surtout dans le dessin d'Humberto Ramos qui nous offre de très belles planches.
Commenter  J’apprécie          10
Out There : tome 2 (INT)

Résumé :



Dans la petite ville d'El Dorado City, des créatures étranges que seuls certains adolescents semblent pouvoir voir font leur apparition.

En enquêtant, ce groupe hétéroclite va comprendre que des élus locaux ont fait un pacte avec des forces démoniaques pour leurs permettre d'envahir la Terre.

Et si ce groupe d'ado était le dernier rempart pour sauver le monde ?



Mon Avis :



Je suis allé sur cette série pour découvrir le travail de Brian Augustyn, auteur décédé cette année.

Et si la série est sympathique, elle ne révolutionne pas le genre.

C'est une série où des forces démoniaques veulent faire de la Terre leur fief, parmi tant d'autres.

Il faut avouer que la force de cette série réside surtout dans le dessin d'Humberto Ramos qui nous offre de très belles planches.
Commenter  J’apprécie          10
Batman : Gotham au XIXe siècle

Après l’expérimentation d’Azarello et Bermejo sur Luthor j’ai décidé de me lancer dans une autre trouvaille qui remonte un peu, la variation steampunk sur Batman par monsieur Mignola. Sur le papier le paquet semble très alléchant avec un auteur réputé pour son exploration des mythes gothiques et l’idée d’une chasse entre le plus grand détective du monde et le plus grand assassin de l’histoire. Pour commencer je précise que l’album (assez court) rassemble deux histoires qui si elles ont pour point commun de se situer toutes deux dans une uchronique Gotham du XIX° (uchronique car transposant bien Bruce Wayne à cette époque et non son grand-père…), sont fort différentes tant graphiquement que scénaristiquement. Le principal apport original de ces histoires est de présenter un Wayne que l’on ne voit plus beaucoup dans les albums d’aujourd’hui: dandy, roublard et ravi de son mode de vie. On est bien loin du sombre milliardaire torturé et vaguement sociopathe… La brièveté des deux histoires rend au final cette lecture sympathique mais assez vide, loin d’une ambition supposée. La résolution de l’intrigue est finalement bien vite envoyée, sans enjeu réel sur l’itinéraire du Batman. Le design général ne déborde pas du simple gothique, le seul côté steampunk apparaissant dans la seconde intrigue et son dénouement surprenant. Contre toute attente le plus faible des deux est bien le Mignola même si le dessin du second épisode est sommes toutes vraiment classique et assez éloigné de l’aspect Dark-Knight… Au final cette lecture n’est pas franchement ratée mais bien peu ambitieuse et assez vite oubliée.



Lire sur le blog:


Lien : https://etagereimaginaire.wo..
Commenter  J’apprécie          10
Out There : tome 1 (INT)

Initialement parue en version kiosque chez Semic, cette saga datant du début des années 2000 revient en France chez Glénat Comics, en trois volumes cartonnés pourvus de couvertures inédites signées Humberto Ramos. Le premier tome de cette série écrite par Brian Augustyn et dessinée par Humberto Ramos reprend les épisodes #1 à #6.



L’histoire se déroule dans la paisible petite ville d’El Dorado, où il fait apparemment bon vivre. Mais, derrière les apparences et cette tranquillité se cache en réalité un lourd secret. Plusieurs responsables de cette charmante petite bourgade de Californie semblent en effet avoir passé un pacte avec un démon. Les auteurs invitent à suivre quatre lycéens qui vont apercevoir des phénomènes paranormaux et s’unir pour sauver tout le monde de cette menace démoniaque.



L’intrigue s’avère donc assez classique et s’appuie sur une galerie de personnages assez stéréotypés. De Zach le quaterback de l’école à sa petite amie cheerleader, en passant par Mark, le petit intello souffre-douleur, et Jessica, la fille rebelle un peu bizarre, les protagonistes de cette histoire sont immédiatement identifiables, évitant à l’auteur de devoir trop s’attarder sur la caractérisation des personnages. Au fil des pages, le lecteur finit cependant par s’attacher à ces héros teenagers et se laisse progressivement embarquer dans cette aventure impliquant des forces démoniaques.



La plus grosse réussite de cette saga reste néanmoins le graphisme de l’artiste mexicain Humberto Ramos. Son trait dynamique insuffle immédiatement beaucoup d’énergie au dessin, tout en offrant une lisibilité exemplaire.



Un premier tome très agréable à lire, qui ravira les amateurs de « teen comics » !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
Commenter  J’apprécie          10
Justice League : Année un (1ère partie)

1998 : Alors que la Justice League bat des records de vente avec Grant Morrison aux commandes, DC lance, comme à son habitude, un paquet de séries parallèles, dont JLA Year One.



La déclinaison "Year One / Année Un" est maintenant un classique, tous les héros et éditeurs y sont passés, pour nous expliquer comment s'étaient déroulés leurs débuts. Au tour de la JLA.

Mais attention, quitte à raconter, on invente un peu. Non non non, on ne va pas revenir jusqu'en 1960, date de la création de l'équipe, mais on va s'imaginer revenir dix ans en arrière, donc vers 1988.

(Le temps, comme la mort, est une donnée très fluctuante dans les comics)

Et on va mettre en lumière les "seconds couteaux", histoire de vendre du JLA sans la Trinité (à savoir Batman, Superman & Wonder Woman)

Logique, au fond. Si on vend bien de la JLA avec des personnages secondaires, on pourra ensuite lancer leurs propres séries, ou augmenter les ventes quand ceux-ci en ont déjà une.



Donc voila la JLA, sans la Trinité, qui va s'élancer dans ses premiers pas en tant qu'équipe, avec les aléas que cela occasionne : manque de préparation, de confiance, d'esprit d'équipe. Mais bon, c'est la JLA, ils devraient s'en sortir...
Commenter  J’apprécie          10
Out there, tome 3

Out There est une bande dessinée que je vous recommande, à déguster sans modération !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
Commenter  J’apprécie          10
Out there, tome 3

Retour à El Dorado City, mais en enfer cette fois. Avec comme questions : qu’est-il advenu de Draedalus et comment faire revenir tout le monde sur Terre ? Troisième et dernier volume d’un comics qui s’enlise un peu dans son dénouement.
Lien : http://www.actuabd.com/Out-T..
Commenter  J’apprécie          10
Batman : Gotham au XIXe siècle

Ce "Batman - Gotham au XIXe siècle" regroupe deux récits issus de la collection Elseworlds de DC Comics, une collection qui s’amuse à placer les super-héros les plus mythiques dans des contextes et des époques différentes.



Le premier récit, «Gotham by Gaslight» a déjà été publié en version française par Comic USA en 1990 sous le titre "Batman - appelez-moi Jack" et par Rackham en 2004, dans une version noir et blanc intitulée "Sanctuaire". Cette histoire mêle la destinée de Batman à celle d’une autre créature de la nuit, connue pour ses meurtres sanglants dans le quartier de Whitechapel à Londres : Jack L’Éventreur ! Si le fait de retrouver Gotham au XIXème et Batman à cheval n’est pas déplaisant, le scénario n’est malheureusement pas extraordinaire. Si le dessin de Mike Mignola sied parfaitement à l’époque, je trouve qu’il ne parvient pas à donner la même aura à Batman qu’à son Hellboy.



Le deuxième récit, «Batman : Master of the future», fait suite au premier et est également écrit par Brian Augustyn. Cette histoire qui voit un Batman à la retraite, opposé au Maître du Futur, est également divertissant sans jamais atteindre de sommets. Le dessin de cette deuxième histoire est assuré par Eduardo Barreto.



Un Batman plutôt moyen !
Commenter  J’apprécie          00
Crimson Omnibus : L'odyssée d'Alex Elder

"Crimson", un des premiers grands récits personnels de Humberto Ramos, s'offre là dans une copieuse intégrale façon omnibus. L'occasion de redécouvrir ce comics fantastique sombre et sanglant, étonnant porté par le dessin "cartoon" du dessinateur mexicain.
Lien : http://www.actuabd.com/Crims..
Commenter  J’apprécie          00
Justice League : Année un (1ère partie)

(...)Dans ce 1er tome, c’est essentiellement la formation de la Justice League que nous suivons. Les 5 membres qui la composent apprennent à se connaître et à travailler ensemble, parfois secondés par d’autres super-héros. Divers groupes d’ennemis apparaissent, mais l’activité du grand méchant de l’histoire reste en filigrane tout au long du récit. C’est vraiment sympa, assez drôle et bourré d’action. Ce 1er tome se termine en offrant une conclusion à une partie des évènements mais n’est qu’une longue introduction pour le tome suivant.



Le dessin est sympathique, classique du genre, avec des couleurs vives et un trait précis. Le style rappelle celui des anciens comics, auxquels il est très souvent fait référence ici.

(...)
Lien : https://bienvenueducotedeche..
Commenter  J’apprécie          00
Justice League : Année un (1ère partie)

Je connais un peu la Justice League of America, notamment les membres fondateurs et plus ou moins l’histoire d’origine. Du coup j’étais surprise de voir qu’il y avait eu un reboot avec une nouvelle équipe d’origine très différente, mais je me suis dit, « pourquoi pas ? ». Ça peut mettre en avant des personnages qu’on voit moins que d’autres, et changer un peu les choses.



Malheureusement, j’ai trouvé la réalisation de ce comics très maladroite. Au niveau scénario, il y a énormément d’ellipses qui ne sont pas toujours expliquées ou explicitées. On réalise que du temps s’est passé d’un épisode à un autre parce qu’on est perdu, qu’on a l’impression d’avoir loupé le coche, mais pas grâce à une bulle « Une semaine plus tard »… On ne sait même pas combien de temps s’est écoulé à dire vrai. Alors, peut-être qu’il s’agissait d’un mini cross-over où l’histoire se prolongeait dans les comics propres à certains héros, mais dans ce cas là, ce n’est pas très malin de ne pas les inclure dans le recueil.



Parce qu’au final, ça donne une histoire des plus décousues et avec des ressorts narratifsJustice League Année un 2 ridicules tant ils sont opportuns. Comme par hasard, les héros se sont trouvés en même temps à combattre tous ensembles, comme par hasard les médias étaient là pour lancer l’idée d’un « nouveau groupe » (il y a déjà eu une génération de ’Justice League’). Et puis, les super-héros semblent tous être d’accord, sans qu’ils en parlent vraiment. Un jour ils combattent ensemble, le lendemain ils ont tous décidés dans leur coin qu’ils seraient une équipe… Ils commencent alors à combattre ensemble les autres extra-terrestres qui atterrissent sur Terre et qui ne lui veulent pas du bien.



Pour rythmer les combats et les histoires personnelles des personnages, surgissent des trahisons, manipulations, possessions… qui ne sont pas mauvaises en soit, mais j’avais l’impression que ça s’enchaînait très vite et qu’on n’avait pas le temps de respirer (c’est peut-être voulu : les personnages ont pas vraiment de repos). Enfin, je trouve que l’idée de base était intéressante mais au final, elle n’est pas exploitée comme elle pourrait l’être. Martian Manhunter (« Limier Martien » urgh) n’est visiblement pas vulnérable au feu, alors qu’il me semblait que c’était la faiblesse des Martiens verts. Peut-être pas. Et puis, le personnage d’Aquaman est sous-exploité au possible, ce qui est dommage étant donné qu’il fait partie de l’équipe.



Bref, j’attendais plus de ce reboot, mais selon moi les auteurs ne sont pas allés jusqu’au bout dans la refonte et le scénario ne fait pas toujours sens. Sinon, c’est un comics chargé en action, avec une intrigue assez complexe, et une équipe de super-héros qui apprend au fur et à mesure à travailler ensemble, et à se faire confiance.
Lien : https://deslivresetlesmots.w..
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Brian Augustyn (74)Voir plus

Quiz Voir plus

De qui est cet extrait d’une œuvre littéraire ?

Sur un plat d’argent à l’achat duquel trois générations ont contribué, le saumon arrive, glacé dans sa forme native. Habillé de noir, ganté de blanc, un homme le porte, tel un enfant de roi, et le présente à chacun dans le silence du dîner commençant. Il est bien séant de ne pas en parler.

Marguerite Yourcenar
Marcel Proust
Marguerite Duras
Éric Chevillard

8 questions
1 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}