Caroline Reill

Aujourd'hui, je vous invite à un saut dans le temps pour découvrir la plume douce et délicate de Caroline Reil au travers de son roman "Là où naissent les embruns".

Sur les côtes bretonne, près de Saint Brieuc, dans les années 1800,partez à la découverte de la famille Le Garrec, et surtout de Leopoldine, leur benjamine,une jeune fille pleine de vie, lumineuse et joyeuse. Vient le temps des premières amours, et notre héroïne tombe sous le charme de Guillaume, son voisin et ami de toujours. Très vite, ils projettent de se marier, mais hélas le destin s'en mêle et le jeune homme est contraint de partir à la guerre. Il n'en reviendra pas. Les années passent et la jeune fille ne se remet pas de cette effroyable perte, jusqu'au jour où le père de Leopoldine se retrouve nez à nez avec Guillaume, accompagné de sa femme... Son cœur se brise face à cette trahison, son cœur se ferme et la méfiance l'habite envers la gent masculine. Mais la vie ne l'entend pas ainsi et place sur le chemin de Leopoldine, Antoine, un nouveau voisin, qui comme elle, a déjà le cœur bien écorché.

Ce roman a vraiment su me charmer par son histoire douce, belle et empreinte de nostalgie. Nostalgie d'une époque que je n'ai pas connue mais qui me fait rêver.

L'héroïne est très attachante avec son caractère affirmé, ses réparties cinglantes, son audace et sa mélancolie. Son évolution est belle au fil du récit, passant de la tristesse et la désillusion au retour de l'espoir, au renouveau suite à sa rencontre avec Monsieur Montaret. Lui aussi a su me séduire avec son caractère mystérieux et solitaire, véritable figure du romantisme.

Dans ce roman, l'on ressent l'amour de l'auteure pour les classiques de la littérature tels que les romans de Jane Austen, à qui elle rend un joli hommage au travers de ses personnages.

Vraiment une belle histoire d'amour, un joli portrait de femme libre et forte. Un roman qui fait du bien, véritable bulle de douceur et de bien être, qui offre une véritable pause au cœur de notre quotidien à 100 à l'heure.

La plume est délicate, poétique et authentique et donne un rythme très addictif au roman qui se lit tout seul tant on aime suivre les aventures de Leopoldine.

Un grand merci à Caroline pour ce voyage dans le temps tout en élégance et finesse. J'ai vraiment beaucoup beaucoup aimé et j'espère que vous serez nombreux à entreprendre le voyage à votre tour. Une auteure qui mérite tellement d'être lue car les histoires qu'elle raconte sont toujours très belles.

La lecture idéale pour fêter l'arrivée de l'automne avec une tasse de thé, un chat et un plaid!

J’ai retrouvé Claire, Ian et tant d’autres. Mais surtout j’ai pu voyager en Irlande parmi les paysages et l’ambiance mais surtout les souvenirs. La plume de Caroline est toujours parfaitement menée et j’ai réussi encore une fois à ressentir les émotions avec les personnages.



J’ai apprécié les alternances dans le temps, au début de la vie des protagonistes ou durant la continuation de leurs vies parfois compliquées mais remplies de beaux souvenirs. J’ai trouvé que ce livre étais sous le signe de la nostalgie, de l’amour mais aussi de la résilience et parfois ça fait un peu de bien.🙏🏻



J’ai aussi ressentis sur la fin un léger crève-cœur concernant la relation Ian et Claire, j’ai dû moi aussi apprendre à faire preuve de résilience. Mais c’est bien là que j’ai aimé ma lecture car la vie n’est pas toujours comme on le voudrait mais le plus important c’est de se relever plus fort et accepter la vie telle qu’elle.



Merci pour la confiance renouvelée de l’auteure, ce fut un plaisir immense de découvrir ce roman rempli d’espoir, de volonté, de douceur et d’acceptation. Je vous le recommande chaudement ainsi que les autres ouvrages.

Là où naissent les embruns est une romance historique se déroulant en Bretagne au 19e siècle. Cette romance avait tout pour me plaire, et je vous confirme que le charme a opéré. J'ai d'ailleurs été agréablement surprise par la tournure de l'histoire car à la lecture du résumé, je m'étais imaginé autre chose.



On rencontre, dans ce roman, la famille Le Garrec, en particulier la fille cadette, Leopoldine. Cette jeune femme est tombée éperdument amoureuse d'un jeune garçon, Guillaume, alors qu'elle n'était encore qu'une adolescente. Elle a ainsi connu sa première peine de cœur lorsqu'il a du partir à Toulon avec son père et que la guerre lui a fait perdre le contact avec son bien-aimé. Cette déception l'a conduite à se renfermer sur elle-même, cachant ses émotions à ses parents.



Au fil des pages, on va la voir grandir, s'ouvrir à nouveau aux autres. J'ai aimé suivre son évolution, assister aux joies et aux peines qui l'ont accompagné. C'est une jeune femme affirmée, qui n'a pas peur du qu'en dira-t-on et de la pression sociale. Elle est très mûre, et c'est ce que j'ai appréciée chez elle. La relation complice avec sa sœur aînée est plaisante à suivre. Malgré la distance, elles sont très proches et j'ai ressenti l'émotion qui les traverse à chaque retrouvaille.



J'ai aimé certains personnages secondaires, à savoir la famille de Leopoldine et leur nouveau voisin, Antoine Montaret. Ce dernier a, lui aussi, vécu quelques épreuves douloureuse.



La plume de l'auteure est douce et délicate. L'immersion dans la campagne Bretonne du 19e siècle est totale grâce aux descriptions. La fin est très belle, elle m'a beaucoup plu.



Un roman dans la lignée des classiques, mais écrit par une auteure contemporaine, à découvrir !

Bonsoir à vous!



Nous partons à la rencontre de Richard, artiste peintre, qui à décidé de partir vivre à New-York afin de "recommencer" une nouvelle vie. Après la relation houleuse  et difficile avec son ex femme. Cependant, hormis son ami Jeffrey il n'a personne.. Son fils également lui manque plus que tout. Pour joindre les deux bouts ce n'est pas facile, alors il sombre doucement, dans un mal être. Un incompris, on lui conseille d'aller voir un psychologue.



Claire, jeune femme et psychologue sera donc la personne contacter. Elle non plus n'a pas eu de chance en amour, mais surtout à du mal à appliquer les conseils qu'elle peut préconisé à ses clients. Se pose trop de questions au péril de son bonheur. Mais surtout, elle qui écoute, aide..Ne peut pas réellement en faire de même, avec son amie assez volatile, mais surtout sa propre mère avec qui elle n'entretiens pas une super relation.. Va alors commencer entres ces deux personnes, une danse.



Une danse pas toujours facile, surtout quand on reprends de zéro. Des moments difficiles, envie de baisser les bras ou des meilleures moments..

Qui ne s'est jamais demandé, parmis nous..Si nous avions fait les bons choix ? Si nous devions évoluer?

Mélanger le tout, vous obtiendrez peut-être pas une danse parfaite, mais ça sera votre danse. Qui peut alors critiquer ces êtres abîmés qui tenteront de se reconstruire. Une douceur et une fluidité que j'aime tant chez cette auteure. Comme son premier roman (mon avis est posté,  La où naissent les embruns.) J'avais envie de voyager encore un moment, en savoir plus et à ce moment c'était déjà la fin..

Comme je l’ai déjà dit, quand un livre réussit à totalement me passionner, en général il est lu très rapidement.

Ça a été le cas pour le roman que m’a confié son auteure, Caroline Reill.

J’avais besoin de souffler après 4 tomes genre polar noir lus en quelques semaines.

J’ai adoré danser avec les personnages de ce roman.

J’ai de suite été embarquée par l’histoire de Richard. Artiste Peintre qui a tout quitté : son pays la France, son ex femme et surtout son fils, pour (re)commencer une nouvelle vie à New-York.

A part son ami Jeffrey et la famille de ce dernier, Richard se sent bien seul…

On découvre son quotidien solitaire, sa difficulté à joindre les deux bouts, sa difficulté parfois à finir une toile, son rêve d’ouvrir un jour sa propre galerie et surtout revoir son fils…

Son mal être n’est pas forcément compris ni accepté… on lui conseille de voir un psy…

Claire est jeune, belle et psychologue.

Elle non plus n’a pas été épargnée par l’amour. Elle a une relation compliquée avec sa mère. Ce qui n’aide pas à se confier.

Elle qui écoute et essaie d’aider les gens dans son métier a bien du mal à appliquer les conseils qu’elle donne à ses patients pour son propre compte… On lui conseille de s’ouvrir plus et d’enfin profiter de la vie qui s’offre à elle.

Ces deux incompris vont alors se rencontrer… se jauger, se juger…

Commence alors une valse à trois temps entre Richard et Claire…

J’ai aimé la simplicité de ce roman. On s’identifie parfois aux personnages. Qui ne s’est jamais posé la question de savoir s’il avait fait le bon choix ? S’il devait changer ? Évoluer ?

J’aime beaucoup le personnage de Richard. Il rebondit malgré les bâtons que lui met la vie dans les jambes.

Claire, elle, se pose trop de questions et ne se rend pas compte qu’elle s’empêche parfois d’être heureuse.

Tous les deux ont le point commun d’avoir vécu une histoire amoureuse douloureuse et qui a mal fini.

Vont-ils réussir ce pas de deux ensemble ?

En tout cas, ce roman nous fait aussi parfois nous remettre en question.

C’est une lecture prenante et légère à la fois. J’ai adoré suivre la danse entre Richard et Claire.

Une écriture fluide, un réel plaisir, une déconnexion totale avec le monde extérieur.

Pendant 24 heures, je suis partie à New-York… et j’y serais bien restée !!

Encore une fois je suis sortie de ma zone de confort.

Grâce à ma famille Bookstagram j’ai découvert une auteure qui a beaucoup de talent et qui a réussi à ne pas me faire décrocher de ma lecture sans avoir tourné la dernière page… et dans un genre de littérature que je n’aurais pas lu avant !

Le premier roman de Caroline REILL que je remercie pour l’envoi de cette belle romance bretonne.



Au 19eme siècle, Léopoldine doit se marier avec Guillaume, son voisin, son ami d’enfance... mais le jeune marin, envoyé à la guerre, disparaîtra...



Léopoldine Le Garrec, l’héroïne, est attachante, ses liens avec sa famille sont touchants. Une jeune fille mélancolique mais pleine de caractère et d’audace avec des réparties qui m’ont fait sourire.

J’ai aimé suivre son évolution entre doutes, désillusion, chagrins et méfiance... et surtout, sa rencontre avec son nouveau voisin Mr Montaret, garçon solitaire et mystérieux.



Un style classique et délicat, une belle histoire captivante au cœur de la Bretagne, que je recommande à toutes les romantiques.

19eme siècle, près de Saint Brieuc, sur les côtes bretonnes. Léopoldine, jeune fille joyeuse et pleine de vie s’éprend de Guillaume, voisin et ami de longue date. Ils promettent de se marier mais le destin en décide autrement ...

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J’ai d’abord été très perplexe au commencement du roman, une romance qui se déroule au 19eme siècle, n’est pas du tout mon genre lecture habituelle. Au fil des pages, je me suis beaucoup attaché à Léopoldine, cette femme constamment sur ses gardes, sur la défensive, pour éviter de souffrir encore une fois, je me suis reconnue à travers elle. Je dirai que la 1er moitié du roman a été longue, j’étais pas trop dedans, et là 2ème moitié à été dévoré en quelques heures. J’avais tellement hâte de savoir ce que réservait le destin à notre heroïne

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C’était simplement une romance, pas de superflu, juste un cœur brisé, et une histoire d’amour. Ce roman m’a permis de sortir de ma zone de confort, et m’a donné envie de découvrir d’autre littérature classique

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Une douce romance, incluant les coutumes et mentalités des familles du 19ème. On va voir durant ce roman des personnes variés avec leurs vices et leurs qualités. Leopoldine une jeune femme qui se montre têtue et au jugement facile, finit par évoluer peu à peu et se rendre compte des erreurs faites et commises. Ayant souffert de la brutale perte de son presque mari, Guillaume (horripilant et déçu du comportement que peu engendré l'appât du gain.) Mais qui finira par se métamorphosé grâce au destin mais pas que..



Sa relation avec sa sœur Constance est douce, ce qui contraste avec son caractère aussi brut que l'océan. J'ai voyager avec les beaux paysages de Bretagne. La famille Le Garrec est aussi sous forme de clichés à la Jane Austen, le père compréhensif et la mère toujours à vouloir marier sa fille et à la pressé. Mais qui finit par se calmer et accepter que sa fille n'est pas un bout de chaire, mais une femme qui à souffert par le passer à besoin d'avancer à son rythme.



Une belle romance avec quelques longueurs, mais rien de bien dérangeant. Une plume douce et fluide.

Dans la vie on danse souvent seul, parfois on a la chance de trouver un partenaire. On s'observe, on s'avance hésitant, on a les gestes maladroits, on se frôle, et puis la danse commence. Mais là encore rien n'est gagné, il faut que les deux partenaires trouvent le bon tempo et gardent le même rythme.

Je remercie beaucoup Caroline Reill qui m'a fait confiance pour la lecture de  son deuxième roman: "la danse des incompris".

Nous partons à la découverte de Richard, peintre expatrié à New York, ayant laissé derrière lui les fracas de son mariage avorté et surtout son fils. Cette absence lui manque, lui pèse. Il est dans une impasse, incapable de continuer à avancer, tant la vie l'a abîmé. Il va alors aller en consultation auprès d'une psy, Claire. Vont alors, au fil des séances, ressurgir des questions enfouies. La rencontre de ces deux personnages en proie chacun à sa solitude est belle. Ils sont maladroits, ils sont incertains, ils doutent. Est-ce le bon moment pour eux? Existe t-il seulement un moment parfait pour une rencontre ?

J'ai aimé cette histoire d'amour qui prend son temps pour s'installer. Ces personnages qui nous ressemblent, qui sont terriblement vrais, qui nous renvoient à nos propres doutes.

Un joli moment de lecture avec la plume fluide de l'auteure qui nous emmène à la rencontre d'une ville, d'une histoire, de personnages qu'il est agréable de croiser et de suivre.

Maintenant que j'ai fait connaissance avec son univers, j'ai très envie de découvrir son premier roman !

Des âmes esseulées...



Ma Chère Lectrice, Mon Cher Lecteur, je viens de lire une romance à la Jane Austen. Avec, heureusement un style propre à l'auteure ! Merci Caroline pour votre confiance.



Direction la Bretagne aux alentours de Saint-Brieuc dans les années 1800. Nous faisons la connaissance d'une famille aimante et ouverte d'esprit. Léopoldine, la petite dernière était éperdument amoureuse de Guillaume, un jeune homme du hameau. Il lui promis de l'épouser. Mais la santé de son père en a décidé autrement, ajoutez à cela la guerre... Guillaume péri dans un naufrage. Enfin, ça c'est ce que Léopoldine croit ! Jusqu'au jour où son père croise Guillaume au bras de sa femme, une magnifique espagnol de haut rang ! Pour Léopoldine c'est la douche froide. Mais hormis sa grande sœur Constance, personne n'est au courant de se qui se tramait entre Léopoldine et Guillaume...



Les Loulous, ce roman fait du bien. Pourquoi ? Mais parce qu'il nous raconte avec des mots d'autrefois, les familles, les hameaux, la société, les bonnes gens, les rangs sociaux, les paysages, les rythmes de la vie... Avec Le Bibou, nous avons mis un peu de temps à entrer dans l'histoire, mais une fois que le déclic s'est fait, nous ne l'avons plus lâché !



Léopoldine est un personnage qui nous touche, mais qui nous énerve aussi au plus haut point ! Non mais oh ! Elle est gentille, un poil têtue et pleine de préjugés ! Mais elle est aussi douce, touchante et blessée. Après, oui je parle maintenant, du haut du XXIème siècle mais au XIXème ce n'était pas la même 😕

Je vous disais une romance à la Jane Austen ? Oui, Caroline réussi à s'inspirer sans calquer son style à cette écrivaine. C'est doux et languissant à la fois, avec des pointes de peps. Une romance qui joue au chat et à la souris avec des personnages qui nous interpellent. Je me suis beaucoup attaché à Antoine Montaret. Qui est-ce ? Je ne vous dirais pas ! Oh allez, vous savez c'est cette boule de bowling qui bouscule toutes les quilles 😉Constance, m'a fait rire et m'a aussi beaucoup plu ! Ce sont des personnages secondaire et pourtant, on s'y attache vraiment ! Caroline rend tout ce petit monde très vivant et grâce à sa plume adaptée, elle nous transporte complètement dans l'ambiance et l'atmosphère des lieux.



Enfin, il y a du rififi au pays des embruns ! Et grâce à la douceur de son auteure, l'histoire nous entraîne avec elle et nous montre toute la douceur et la beauté de la Bretagne. La chaleur de ses habitants quand le temps est plutôt crognon...



Ma Chère Lectrice, Mon Cher Lecteur, je vous conseille « Là où naissent les embruns » de Caroline Reill, si vous souhaitez passer un bon moment en Bretagne, aux côtés d'une tête de mule qui ouvre les yeux petit à petit et recolle doucement les morceaux de son cœur... Tout en douceur, on découvre le monde d'une jeune femme pas comme les autres au cœur du XIXème siècle...
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Richard, un artiste peintre, a tout plaqué pour débuter une nouvelle vie New Yorkaise… Loin de la France, de son ex-femme mais aussi de son fils.

Rattraper par la solitude et en manque d’inspiration, Richard qui rêve pourtant d’ouvrir une galerie d’art, se décide à consulter une psychologue… Et la jolie médecin va manifester beaucoup d’intérêt pour son nouveau patient.

« Dans le taxi qui la ramenait chez elle, la psy continuait de se soucier de son patient. »

Entre les deux, des points communs mais beaucoup de retenue…

Si tu veux savoir comment va évoluer leur relation, découvre à ton tour l’histoire que renferme cette jolie couverture.



Pour la seconde fois, Caroline Reill m’a confié la lecture de son roman. Son 1er roman d’ailleurs et il s’agit d’une romance.

Bon, j’te l’ai déjà avoué, ce n’est pas le genre littéraire que j’affectionne trop mais je l’ai lu avec plaisir.



Le style d’écriture est fluide, agréable à lire, quelques traits d’humour sympas aussi, mais je dois dire que j’ai relevé quelques longueurs… Le récit manque d’un peu de dynamisme.



Bien sûr, ce roman ne se concentre pas juste sur une histoire de cœur. Il aborde aussi d’autres sujets plus profonds comme les conflits avec les parents pendant l’enfance, la tromperie, la solitude…

Note à nous tous ; « Discuter pour soulager »

C’est je pense, le message à retenir après lecture.



La palette de personnages secondaires est fournie, mais j’aurai aimé en savoir + sur eux.

Quant à Richard, il a suscité une réelle empathie chez moi. Peut-être parce que sa personnalité m’a fait penser à un proche.



Autre point plaisant pour moi qui rêve de me promener à Central Park ; la balade à travers « la ville qui ne dort jamais » proposée par l’auteure. Top !



Un chouïa mitigée mais je sais que ce livre peut plaire à nombreux lecteurs, plus gourmands de love que moi. Les goûts et les couleurs… tu connais la suite !

Dans ce roman, nous retrouvons plusieurs personnages découverts dans "la danse des incompris de la même autrice. Mais les deux livres peuvent se lire indépendamment.

Dans "La résistance des roseaux" nous retrouvons Ian, barman, juste au moment où il fait la connaissance de Claire, soit 15 ans avant "La danse des incompris".

Ian éprouve tout de suite des sentiments pour Claire, mais celle-ci ne le voit pas, ou ne veut pas le voir… Tout au long du récit, l’autrice nous balade entre 2017 (le présent) et la succession des événements qui vont jalonner les vies de Ian et Claire (depuis leur rencontre en 2000). Les chapitres sont courts, les pages se tournent vite car on a envie de connaître la suite !

J’ai beaucoup aimé ce roman, la sensibilité des personnages, les dialogues où se jouent beaucoup de choses, l’originalité de la construction, et aussi la part belle qui est faite aux descriptions des paysages d’Irlande (et aussi de la vie trépidante de New York).

Un roman plein d’émotions…

Quant à l’explication du titre, il vous faudra attendre les dernières pages pour la découvrir (à moins que vous ne la deviniez avant).

J’ai passé un très bon moment !

J’avoue que ça change un peu de mes lectures habituelles et c’est ce que j’ai beaucoup apprécié, sortir de ma zone de confort.

Pour moi ce que j’ai préféré, c’est le décor que l’auteure met en place. Je suis totalement fan de la ville de New York, je suis tombée amoureuse de cette ville lorsque je m’y suis rendue. La retrouvée dans ce roman était un réel plaisir. Les moments dans central Park 🥰

C’est une histoire lente, et c’est ce qui en fait tout son charme !

La psychologie des personnages est fortement mise en avant et très bien abordé (ce qui n’est pas forcément évident).

La fait aussi de retrouver fréquemment les personnages secondaires est aussi très agréables ! Ils ont une place dans l’histoire, et le fait qu’on suive leur propre histoire est un gros point positif !

C’est une très bonne lecture !

Avec ce roman, l’auteur nous livre une tranche de vie new-yorkaise. On y voit vivre des anonymes : Richard, un artiste-peintre en mal d’inspiration et solitaire qui souffre du manque de son fils et qui sombre peu à peu dans la déprime, Claire, psychologue de son état, qui soigne les autres pour aller mieux elle-même et il y a la famille RATHBORNE. Claire et Richard sont deux êtres écorchés vifs et chacun va être une bouée de sauvetage pour l’autre pendant la thérapie et au-delà.

Les descriptions de NEW-YORK nous plongent dans l’ambiance de la Grosse Pomme.

L’écriture est fluide. J’ai beaucoup aimé avoir le « off » des personnages, les réflexions qu’ils se font à eux-mêmes, leurs commentaires sur la situation du moment. L’auteur a transposé le mal-être et les difficultés relationnelles des personnages dans le rythme de la narration : l’intrigue progresse lentement et c’est ce qui fait la beauté de l’histoire.

Ce roman est un roman feel-good qui fait du bien. Je vous le conseille.

Une jolie histoire d’amour au cœur de Manhattan, toute en retenue.



J’avais envie de découvrir cette histoire car j’ai été interpelée par son titre. Oui, la vie est une danse. On danse parfois seul, parfois à deux ou même à plusieurs, mais toujours au milieu des autres. Parfois la bulle autour de nous est tellement belle qu’on ne voit plus les autres, et d’autres fois, ceux-ci sont trop présents et nous bousculent.



L’autrice nous emmène dans le rythme trépidant de Manhattan, qui marque le tempo de ce roman.



« La danse des incompris » , c’est l’histoire de la rencontre un peu improbable entre Claire et Richard. Claire se sent seule et triste, parfois dépassée par son métier de psychologue. Richard est un artiste peintre qui ne trouve plus l’inspiration et se décide enfin à faire un travail sur lui. Richard rencontre Claire en consultation et vient bousculer son quotidien. A eux deux, ils entament quelques pas de danse, se rapprochant et s’éloignant pour mieux se retrouver.



Caroline Reill livre ici une histoire d’amour plutôt moderne et sympathique. J’ai aimé le fait que Claire et Richard parviennent petit à petit à dévoiler leurs failles et à panser mutuellement leurs blessures. Quelques maladresses de style m’ont toutefois empêchée de vraiment être touchée par les différents personnages.



Alors, laissez-vous tenter. Entrez dans la danse de la vie...
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Ce roman est vraiment bien plus que son résumé ne le laisse présager! J’ai vraiment été très surprise de cette lecture, que je pensais apprécier mais sans plus, alors que pour être honnête j’ai bien accroché, même si le fait que l’histoire se passe au 19ème siècle m’avait au début rebutée mais finalement ça passe bien.

J’ai beaucoup aimé le personnage de Léopoldine, son caractère fort, elle ne se laisse pas influencer ni marcher sur les pieds, malgré les convenances de l’époque de devoir se marier, fonder une famille etc, Léopoldine n’en a que faire et j’ai apprécié les remarques qu’elle a faites à plusieurs reprises sur le fait qu’il n’y avait aucune urgence à se marier pour une jeune fille de son âge. Bon, j’avoue que parfois elle m’a énervée par rapport au fait qu’elle se fait des idées trop rapidement sur les gens, et qu’elle s’étonne de ne pas avoir de nouvelles d’une certaine personne alors que c’est en réalité elle-même qui n’a pas répondu à la dernière lettre qu’il lui avait envoyée 😅

Sinon, il y a parfois quelques longueurs mais je m’attendais à pire, c’est surtout l’époque qui fait ça car ils m’avaient pas beaucoup d’occupations donc le temps passe moins vite.

Le personnage de Guillaume m’a beaucoup énervée aussi, on ne comprend pas son comportement et on a hâte de tourner les pages pour en savoir davantage.

J’ai beaucoup aimé le personnage du père de Léopoldine, un homme sage et bon qui respecte les volontés de sa fille et est toujours prêt à aider son prochain. Sa femme au contraire est plutôt aigrie et peu compréhensive.

Au début, il y a une longue description et accumulation de personnages et on peut se sentir un peu perdus mais cela s’estompe peu à peu, en faisant place à seulement la famille Le Garrec.

La fin est un peu trop baclée à mon goût, cela se finit trop rapidement par rapport au temps de certaines descriptions dans l’histoire qui auraient pu être écourtées pour laisser place à une fin plus développée.



Bilan: je vous conseille ce roman que j’ai bien aimé, une romance sur les côtes bretonnes qui nous transporte dans l’univers de l’époque, et qui nous fait malgré tout apprécier les lenteurs d’une relation amoureuse.
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L'histoire se déroule au XIXème siècle dans un petit village Breton près de Saint-Brieuc.

Là-bas Léopoldine la fille cadette des Le Garrec passe une enfance joyeuse et remplit de folles aventures qu'elle partage avec son meilleur ami Guillaume.

A l'adolescence, cette belle amitié se transforme très vite en un sentiment bien plus fort et les deux jeunes gens décident alors de se marier.

Mais ( car oui il y a toujours un "mais" dans ce genre d'histoire ) Guillaume s'engage dans la marine et est appelé à la guerre.

Des jours, des mois, des années s'écoulent sans que Léopoldine n'ait de nouvelles de son bien-aimé. Le cœur brisé elle devient alors une jeune femme mélancolique et très méfiante envers la gent masculine.

Le destin finit bien sûr par s'en mêler et met sur sa route Antoine, un nouveau voisin qui comme elle a déjà le cœur bien cabossé pour son jeune âge.

Ce n'est pas le genre de romance que je lis habituellement mais je me suis tout de même laissé convaincre par l'autrice et j'ai bien fait.

Ce roman m'a vite happé mais j'ai néanmoins trouvé quelques passages un peu trop long à mon goût… Je pense aux chapitres où Léopoldine est sans cesse dans l'incertitude.

J'ai en revanche beaucoup aimé la complicité de Léopoldine et sa sœur Constance très présente dans le roman. Malgré la distance leur lien est très fusionnel et apporte beaucoup d'émotions dans le récit. J'ai d'ailleurs eu une préférence pour le personnage de Constance que j'ai trouvé bienveillante, aimante et courageuse.

La plume de Caroline Reill est quant à elle très poétique et sensible, elle m'a beaucoup faite penser à celle de Jane Austen. On ressent aussi l'attachement qu'éprouve l'autrice pour les terres Bretonnes dans ces magnifiques description de paysages ce qui n'est pas pour me déplaire.

J'ai passé un bon moment de lecture et je remercie encore à l'autrice pour sa confiance.

J'ai découvert le livre de Caroline dans le cadre d'un sp sur instagram il s'agit de littérature romantique inspirée des chefs d'oeuvre de Jane austen on y découvre leopoldine et sa famille dans un village breton du 18e siècle. Suite à une blessure amoureuse leopoldine est devenue très méfiante. Malgré l'attirance qu'elle ressent pour son nouveau voisin elle a du mal à livrer ses sentiments à refaire confiance. Ce livre aborde la force des liens familiaux, le poids de la société face à une jeune fille non mariée, la trahison amoureuse, l'importance de l'instruction. Il est agréable à lire, les personnages sont attachants. J'ai juste regretté quelques longueurs et la lenteur du récit. Un joli premier roman prometteur.

Un premier roman réussi pour cette jeune auteure auto-éditée qui saura vous ravir. C'est un ouvrage plein de poésie, de charme et de sensibilité qui vous étonnera par sa qualité d'écriture.

Amateurs de littérature classique d'inspiration austennienne, ne passez pas votre chemin et laissez vous tenter par la lecture de cette belle histoire.

"Là où naissent les embruns" de Caroline Reill vous enchantera.

Hello there!



Comment allez-vous?



Moi, je vais bien... Même très bien grâce à la nouvelle lecture dont je vais vous parler aujourd'hui!



Non... ce n'est pas un roman feelgood...



Et pourtant, il m'a fait rêver, voyager, et me sentir plus légère.



Mais comment? Me direz-vous...



C'est très simple, Caroline REILL sait nous emporter avec subtilité dans un autre monde, dans une autre époque, et doucement, nous déconnecte de notre monde actuel.



L'histoire se passe en Bretagne, au XIXème siècle, et cela tombe bien, d'origine bretonne et adorant cette époque, je ne pouvais que me jeter sur ce service presse que m'a proposé l'auteure!



Le style est authentique et Caroline manie les mots d'autrefois avec une aisance impressionnante. J'ai lu ce roman comme je lisais, plus jeune, les grands classiques.



L'histoire? Un Amour, deux Amours, et l'Amour. Du nian nian? Absolument pas! C'est une pure romance historique, où se mêlent langueur, pointe d'humour, et même ironie, grâce aux personnages aux caractères bien trempés!!



Et en même temps, ce n'est pas que de la romance. Il y a vraiment tout l'univers de cette époque qui est dépeint ici, et qui rend compte des richesses pécunières et des richesses de cœur, des faiblesses, des difficultés, des mariages de raison et des mariages d'amour, du rang social, du rôle de l'homme, du rôle de la femme...



Ce roman est vraiment une pépite dans tous les sens du terme.



C'est une pépite littéraire, de par le style.



C'est une pépite qui regorge de richesses diverses que l'auteure nous délivre subrepticement.







Merci Caroline pour m'avoir fait découvrir Léopoldine, Constance, Antoine et les autres. Merci pour votre confiance et merci pour cette beauté qui m'a fait voyager géographiquement et temporellement.







Envie de déconnecter de tout ce présent encombrant, lourd et  monotone?



Alors plongez dans les embruns, et laissez-vous porter...