Carolyn G. Hart

Quelques mois auparavant, Annie Laurance avait quitté New York et sa carrière d'actrice ratée et sans avenir pour se ressourcer auprès de son oncle Ambrose sur l'île de Broward's Rock. Ces vacances sont devenues définitives lorsque l'oncle s'est noyé, lui laissant ses biens, dont une librairie spécialisée dans les romans policiers : Crimes à la demande.

Le succès est tel que tous les dimanches soirs, les écrivains de romans policiers résidant sur l'île ont pris l'habitude de se retrouver autour d'une petite causerie portant sur les crimes. Seulement, le calme est de courte durée lorsque l'un des écrivains, Elliott annonce le thème de la prochaine réunion : les secrets inavouables des écrivains présents dans la pièce.

Le soir en question, tout le monde est réuni et attend avec appréhension le début de la conférence d'Elliott. Brusquement, la lumière s'éteint, un bruit d'objet tombant se fait entendre. Une fois la lumière de nouveau revenue, le corps sans vie d'Elliott git sur le sol de la librairie...

L'un des auteurs de romans policiers semble être passé de la fiction à la réalité...



Ce roman policier ne se distingue pas par son intrigue palpitante, son suspens haletant et ses personnages complexes. Au contraire, nous avons ici une sorte de Armchair défective revue à la sauce moderne avec comme héroïne un couple : Annie, une libraire passionnée de romans policiers et Max, un richissime gosse de riche, ne sachant pas trop quoi faire de sa vie.





Comme dit plus haut, l'intrigue n'est vraiment pas des plus palpitantes. En effet, dès les premières pages, les éléments en ma possession me poussaient vers un suspect qui s'est révélé être le bon. Donc, si vous cherchez quelque chose à lire pour mener l'enquête et la résoudre de manière ardue, ce n'est pas dans ce roman que vous le trouverez. L'ambiance est assez proche des Miss Silver, Hercule Poirot avec un huis clos, des suspects et des mobiles en pagaille.



Côté personnages, vous serez gâté par la variété des suspects. Tous ont quelque chose à cacher. Par contre, j'ai été quelque peu blasée par le duo Slaughter/Annie. Trop stéréotypée et trop vue dans les romans policiers ! D'un côté, un policier un peu bourru et pas très futé pour qui, la coupable des crimes n'est autre qu'Annie... et de l'autre, une Annie en femme tenace, volontaire et prête à ridiculiser le policier du coin. Franchement, rien de sensationnel ni d'inédit là-dedans.



Heureusement, ce roman se distingue par ses références incroyables aux romans policiers. Ainsi un fait amène sur un titre ou un auteur de roman policier ; ce qui est plutôt sympathique et drôle quand on connait les références en question.





Bon, ce roman policier n'est pas aussi incroyable qu'un bon thriller mais cela se laisse lire avec plaisir. 🚔

Annie hérite de son oncle une librairie spécialisée dans les romans policiers "Crimes à la demande" située sur une île. Mais elle se retrouve bientôt soupçonnée de meurtre et elle doit mener sa propre enquête pour se disculper.

Un meurtre dans une librairie, une librairie spécialisée dans les romans policiers, des lecteurs qui se réunissent tous les dimanches soir pour échanger sur les polars, et le tout situé sur une île: ce livre avait TOUT pour me plaire!

Je l'ai d'ailleurs acheté 2 fois à quelques années d'intervalle, séduite à chaque fois par le résumé et par ce contexte particulièrement prometteur.

Malheureusement, la réalisation n'est pas du tout à la hauteur (ce qui explique d'ailleurs que j'ai complètement oublié ce livre entre mes 2 achats), l'intrigue est plate et sans grand intérêt, et la déception est d'autant plus grande que j'attendais beaucoup de ce roman vu son point de départ particulièrement prometteur.

Même les références à certains romans policiers -qui sont pourtant la spécialité de la librairie d'Annie-ne m'ont pas semblé particulièrement pertinentes.

En bref, une bonne idée, mais pas grand chose ensuite, dommage.

Parfois en déambulant dans les rayons de la bibliothèque on fait de bonnes petites découvertes et ce petit roman policier en est une.

Annie Laurence, l'héroïne tient une librairie "Crimes à la demande" et organise tous les dimanches soirs des soirées pour échanger autour des livres jusqu'à ce qu'un dimanche soir un meurtre soit commis en plein milieu d'une de ces rencontres. Et le comble du comble, Annie est la principale suspecte du policier en charge de l'enquête. Elle décide alors, avec son ami Max, de mener sa propre enquête.

C'est un polar un peu désuet, il n'y a pas de sang à toutes les pages, (en même temps je l'ai lu en 214 quand il a été publié en 1998 !), mais ça marche toujours. Le rythme est assez lent mais avec tout de même des rebondissements et des des indices disséminés au fil des pages et de l'enquête de Annie. C'est un roman qui m'a fait penser aux séries Perry Mason et Arabesque que je regardais quand j'étais jeune. Tous les suspects sont connus dès le départ et la question est de savoir lequel est le coupable.

Ce roman est le premier d'une série écrite par l'auteur et on sent bien le côté novice de Annie en tant qu'enquêtrice et c'est aussi ça qui rend la lecture intéressante. Nous pourrions tous être Annie.

Bref, c'est un bon petit polar qui se lit bien et rapidement et qui procure un bon moment de lecture.

Annie tient une librairie spécialisée dans le polar sur une île friquée de Caroline du Sud. Par chance, beaucoup d'auteurs de polars habitent par là et ils tiennent donc des réunions régulières chez Annie. Mais un dimanche soir, la fiction devient réalité : le méchant Elliott est assassiné dans le noir pendant la réunion... Annie, assistée de son ex-petit ami oisif, mène l'enquête...



Un polar à la Agatha Christie, léger, très léger, à la limite de l'inconsistance, même... Ça se lit bien, vite, et ça s'oublie aussitôt refermé. Dommage, car c'est le premier d'une série! Le truc qui sauve le tout c'est la librairie d'Annie, sorte de caverne d'Ali-Baba des polars, ainsi que les références à la littérature policière (malheureusement quasi-exclusivement anglo-saxonne), dont beaucoup m'ont échappé...

A la mort de son oncle, Annie Laurance a quitté New-York pour s'installer à Broward's Rock, une petite île au large de la Caroline du Sud. Elle y a hérité d'une librairie spécialisée en romans policiers où elle anime des causeries le dimanche soir.

C'est justement lors d'une de ces soirées, où seuls sont conviés les auteurs de romans policiers de l'île, que l'un d'eux est assassiné d'une flèchette dans le cou.

Coupable idéale, Annie n'a d'autre choix que de mener l'enquête, aidée en cela par son riche petit ami, Max Darling.



Une île, une librairie, des polars, des écrivains...ce roman avait, de prime abord, tout pour me plaire. Hélas ce ne fut pas le cas! J'ai trouvé l'histoire mièvre au possible et l'intrigue frôle parfois le ridicule. Une héroïne belle, blonde et bronzée -et parfois un peu nunuche aussi- enquête avec son fiancé séduisant et très riche sur le meurtre d'un écrivain très méchant qui voulait divulguer les secrets honteux de ses collègues, le tout sur une île qui compte plus d'auteurs de romans policiers au kilomètre-carré que d'autochtones. Et ces auteurs ont tous, comme par hasard, quelque chose à se reprocher. Sorte d'hommage au roman policier, et à Agatha Christie en particulier, le livre se rapproche malheureusement plus des histoires à l'eau de rose de Barbara Cartland. Une belle idée de départ mais qui est décevante à l'arrivée...dommage.

Littérature de genre... elle a bon dos. Une daube reste une daube et une grosse bouse reste une grosse bouse. Je n'avais rien lu d'aussi nul depuis longtemps... à éviter... Carolyn Hart, Meurtre en librairie. Ce n'est pas Mozart qu'on assassine, non, c'est le lecteur...



Rien à sauver. Humour plat. Le meurtrier est le type que l'on attend le moins et -fatalement- on le devine tout de suite. Psychologie ratée, caractères mal campés, romance à deux balles... A flinguer tout de suite.



Vous venez de l'acheter? Offrez-le à votre belle-mère... mais uniquement si vous la détestez vraiment.

Vous rappelez vous d'Alice de la bibliothèque verte, au même titre que les six compagnons, le club des cinq. Toute mon enfance et mes premières enquêtes. Alice, jeune fille trépidante qui se lance tête baissée dans des enquêtes plus ou moins dangereuses avec des coupables malhonnêtes et dangereux.

Tout comme Alice, Annie n'a pas froid aux yeux. Cela est peut être du au fait qu'elle baigne dans l'univers des romans policiers puisque sa librairie leur est dédié. Afin de dynamiser sa librairie, en plus de ses énigmes mensuelles, Annie organise des soirées littéraires ou lecteurs et auteurs sont les bien venus. Débats pas toujours tendre, chacun ayant le droit de s'exprimer. Nous sommes sur une petite île où, comme un fait exprès, onze écrivains de roman policier se côtoient. Lors d'une de ces soirées littéraires un écrivain tombe raide mort. Toutes les portes et fenêtres sont fermées donc le coupable est forcément l'un d'entre eux. Mais qui ? Annie, qui était en conflit avec la victime est la première coupable désignée. Pour sauver son honneur, elle décide donc de découvrir le coupable.

C'est léger et quelque peu enfantin, d'où mon parallèle avec les jeunes détectives. Cette lecture est truffée d'allusions aux énigmes et titres inoubliables. Nous révisons nos classiques et découvrons d'autre pépites du genre.

Mais à part cela me direz vous ? Et bien ça manque un peu de punch. Clin d’œil à Agatha Christie et son "Dix petit nègres", désolée on ne doit plus dire cela. Donc clin d’œil à "Ils étaient dix". Une île, dix coupables, pas de possibilité d'intervention extérieure... C'est une enquête tranquille, où j'ai eu tendance à m'assoupir. Et puis tout à coup, cela s'accélère et le coupable est démasqué, arrêté avant d'avoir compris ce qui arrive. Intrigue peu palpitante, personnage manquant de charisme, suspens pointant aux abonnés absents. Même Annie est caricaturale dans son rôle d'enquêtrice. J'ai eu envie de la secouer tellement elle me faisait pitié.

Bref, mis à part le plaisir d'être dans une librairie nous faisant découvrir les classiques du genre, rien de bien intéressant. Mais comme j'avais acheté un deuxième tome, je vais continuer ma découverte.
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Un polar très classique, avec une intrigue correcte, sans plus. Et des références littéraires un peu trop présentes (au moins une bonne centaine) sur des auteurs ou des personnages de polars, c'est très agaçant à la longue, surtout si on ne reconnait pas grand monde, (beaucoup d'auteurs anglophones de la première moitié du XXe siècle).

Un roman policier qui prend pour cadre l'univers des livres et des librairies ne pouvait que me plaire^^

Les éditions Liana Levi nous proposent toujours de sympathiques romans policiers dans leur collection "A corps et à crime", de factures plutôt classiques, mais toujours bien troussés. Ceux de Carolyn Hart sont bien dans la même veine. Son héroïne, Annie Laurance, tient une librairie spécialisée en romans policiers. Aussi, dès qu'elle se trouve mêlée à une histoire louche, elle ne peut s'empêcher de jouer les détectives amateurs et de tester ses talents d'enquêteuse. Ici, c'est son amie et employée, Ingrid, qui l'appelle au secours en pleine nuit. Quand Annie arrive, Ingrid a disparu et il y a un homme poignardé sur son tapis de salon ! Tout accuse Ingrid. Comment la retrouver et l'innocenter ?



L'intrigue, bien que classique, est bien menée. Toutefois les références érudites constantes faites par l'héroïne aux auteurs et aux héros de romans policiers sont amusantes au début mais un peu lassantes ensuite...

Un agréable petit polar, avec énigme et sans rien de trop horrible. Et surtout avec une vraie ambiance, des personnages bien typés.



J'ai aimé cette énigme presque "en vase clos" puisque ça se passe quasi entièrement sur une île. J'aime beaucoup les romans se déroulant dans le sud est des Etats-Unis. Ici, ce ne sont pas les marais de Floride mais la Caroline du sud, près de Savannah. Mais on y sent une vraie vie inconnue de nous, ces curieux "lotissements" au bord de l'eau, où tout le monde se connaît et se toise, où on essaie à la fois de cohabiter et de s'éviter. (oui, je sais, chez nous aussi, sauf que là, l'ambiance est vraiment différente), et la nature si proche et si importante.



On a parfois un peu l'impression que l'auteur tire à la ligne, en reprenant les cogitations et listes d'indices de la narratrice à mesure qu'elle avance dans son enquête.

J'ai aussi un peu regretté de si mal connaître les héros de polar, plus de la moitié de ceux cités me sont pratiquement inconnus, mais ça ne gêne en rien la lecture, c'est juste un regret de ma part, et ça donne des idées de lectures prochaines ! Et à la fin, un bon index reprend tout ça.



J'ai bien entendu particulièrement apprécié que les deux personnages principaux soient libraires, et que les chats soient toujours présents même s'ils n'ont aucun rôle dans la résolution de l'énigme.



J'avais déjà apprécié "Meurtre en librairie" mais cet "épisode" est encore plus drôle du fait qu'Annie se marie au début du livre. Sa nuit de noce puis sa lune de miel vont être très perturbées par la disparition de sa meilleure amie et meurtre. Et les scènes où ils essaient de se rejoindre avec son nouvel époux, alors que l'organisation du QG de recherche leur complique bien la tâche, sont assez savoureuses. Le personnage de la belle-mère, à la fois new age et très mère poule est savoureux lui aussi, même si le trait est forcé.



Je crois que ces deux romans sont les seuls de l'auteur, du moins en traduction française, et je regrette, j'aurais bien continué avec ces personnages.

Un gentil petit polar, qui, comme le tome précédent, Meurtre en librairie, met en scène une libraire qui a du flair. Nous retrouvons Annie qui vient de se marier avec Max et s'apprête à partir en lune de miel. Mais un appel vient contrarier le départ. Un corps est retrouvé dans le salon d'Ingrid, la meilleure amie d'Annie. De plus, Ingrid a disparu et une enquête bâclée la désigne comme coupable. Ni une, ni deux, Annie et Max plongent tête baissée pour rétablir la vérité.

Bon, nous n'allons pas nous mentir. C'est gentil mais cela ne restera pas dans ma mémoire. J'ai eu beaucoup de mal a resté concentrée sur l'enquête et ses méandres. C'est une enquête bâclée, des rebondissements qui manquent de punch pour nous remettre sur les rails ou attiser notre curiosité. L'écriture est simple, tout comme l'histoire. Les personnages n'ont pas évolué mis à part la belle mère qui semble mettre un peu fantaisie dans l'histoire et évite que l'on s'ennuie pour de bon.

Cela reste intéressant pour les références littéraires mais pour le reste...
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Ce roman de la série « Death on Demand Mystery » est à la fois original et bien ficelé. Une excellente lecture de vacances.

Annie Laurance possède, sur une petite île au large de la Caroline du Sud, une librairie spécialisée en littérature policière. Elle y organise le dimanche soir des réunions, en conviant notamment les auteurs de romans policiers résidant sur l’île. Or, l’un d’eux est assassiné au cours d’une de ces rencontres. Annie se retrouve rapidement suspectée du meurtre, et doit ainsi mener sa propre enquête afin de prouver son innocence…



Rendez-vous compte, voilà qu’on assassine dans les librairies maintenant… quel sacrilège ! Carolyn. G. Hart a écrit avec « Meurtre en librairie », un sympathique petit roman policier, aux multiples clins d’œil à la littérature du genre. Un moment de lecture simple, sans prétention, mais divertissant.

Anna doit se marier mais rien ne se passe comme prévu. Son adjointe dans le magasin disparait laissant un cadavre et c'est parti pour une enquête. Visiblement, il y a eu d'autres aventures qui n'ont pas été traduites, il y est fait référence dans ce tome... Comme d'habitude énormément de références à des romans policiers.

Allons faire un tour sur une île en Caroline du Sud et dans la librairie dédiée aux romans policiers. J'avais lu cette série, il y a longtemps, et je l'ai retrouvée dans mes vieux livres. Il n'y a que 3 tomes traduits en français. C'est distrayant, classique dans l'enquête policière. Par contre, les références à tous les livres et auteurs de romans policiers sont impressionnantes.

J'ai lu ce polar voilà déjà longtemps et j'en avait gardé un bon souvenir. Je l'ai relu tout dernièrement et je sors un peu déçu de cette seconde lecture probablement parce que l'intrigue est, en fin de compte, assez classique et sans vraiment de surprise.

En lisant la quatrième de couverture, j'espérais retrouver la délicieuse ambiance de la série télévisée "Roman Noir" (Mystery Woman)... Je m'imaginais une enquêtrice libraire passionnée telle l'héroïne de la Bibliothèque des Coeurs Cabossés, une atmosphère à la Agatha Christie, une noirceur bien dosée pour vous mettre sous tension, du suspense façon "page-turner"... D'autant que le décor prometteur (une île difficile d'accès) s'ajoutait à tous ces ingrédients pour aboutir au roman parfait. Mais les quatre de couv' sont trompeuses... Ou mon enthousiasme est parfois trop débordant quand je les découvre... Car au final, me voilà déçue. Ca tient plus de l'Harlequin Poirot ou de l'Hercule Cartland que du Maigret en jupons. Et dire que, dans le tome 2, les "super beaux et riches " enquêteurs tourtereaux se marient... Euh, non, pas pour moi.

Je pense que je reprendrai quand même un jour la lecture de cette prometteuse série... quand ils auront divorcé et que la libraire noiera son chagrin dans le vin rouge, la lecture et les enquêtes !... ET que son ex sera ruiné et bedonnant !

Deux étoiles cependant car l'histoire était bien partie, les seconds rôles assez intéressants (même s'ils étaient peu originaux), et l'évocation, au fil des pages, de certains écrivains (à la manière de la Bibliothèque des Coeurs Cabossés) donne terriblement envie de lire... d'autres polars. Dommage que bluette et mièvrerie se soient invitées à la fête.

Il y avait tous les ingrédients pour me plaire dans ce roman:

Une librairie, une île et du mystère sauf que dès les premières pages le style est plus proche d'un Barbara Cartland que d'un Agatha Christie, l'héroïne est aussi creuse qu'une tasse de thé et l'enquête n'est guère palpitante. Pourtant je l'ai dévoré comme on se jette sur un paquet de guimauve en cas de grosse crise de boulimie et j'ai ressenti le même plaisir fugitif et gros écœurement sur la fin!

C'est le titre qui m'attiré en premier puis le résumé. Le fait que l'histoire se passe dans une librairie spécialisée en roman policier est vraiment top, qu'Annie Laurance la propriétaire organise des réunions réservées aux écrivains cela donne du peps.

J'ai aimé le fait qu'il y ai des allusions à des histoires criminelles pour donner une authenticité à cette librairie. Quand les meurtres commencent, Annie est suspectée , elle décide alors de mener l'enquête.

Cela m'a donné envie de le lire jusqu'au bout.