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Citations de Catriona Ward (78)


- Je vais te confier un secret, chaton. Tout le monde se sent comme ça par moment. Parfois, les choses vont mal et on a l'impression que rien ne pourra s'arranger, que l'avenir est bouché, comme le ciel un jour de pluie. Mais tu sais, la vie ça change à toute vitesse. Les choses bougent tout le temps, les bonnes comme les mauvaises, et le ciel finira par se dégager. Je te le promets.
(...)
Je crois que les enfants ressentent la douleur plus fort que les adultes, parce qu'ils ne savent pas encore jusqu'à quelle intensité elle peut monter.
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L'écriture confère un pouvoir magique. Un pouvoir énorme. En écrivant, on peut garder quelqu'un dans un livre et l'empêcher de mourir, pour toujours.
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comme les fois d'avant, je ne me sens pas fier d'utiliser une photo de profil qui n'est pas la mienne, mais je sais que sans ça, personne n'accepterait de me rencontrer…
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Les dieux sont plus proches qu'on pourrait le croire. Ils vivent au milieu des arbres, derrière un voile si fin qu'un simple soup d'ongle suffirait à le déchirer.
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« Tu sais d’où je viens, Teddy ?
De Locronan, j’ai répondu. C’est en Bretagne, c’est en France. »
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Il y a une forte odeur de nettoyant ménager qui fait penser à une prairie en fleurs, en version chimique. J'imagine que dans le futur, on atteindra un moment où plus personne ne connaîtra le parfum d'une vraie prairie. Mais bon, si ça se trouve, d'ici là, les vraies prairies auront disparu et les fleurs seront fabriquées en laboratoire. Du coup, les ingénieurs feront en sorte que les fleurs aient une odeur de nettoyant ménager, parce qu'ils penseront que c'est ça, la véritable odeur des fleurs.
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'Ressaisis-toi' je me dis. 'Ne sois pas bizarre.' Les gens remarquent quand on est bizarre. Et ils s'en souviennent.
(p. 17)
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J’ai deux critères pour juger les gens ; comment ils traitent les animaux et ce qu’ils aiment manger. Ceux qui adorent la salade ont forcément mauvais fond. A l’inverse, ceux qui ont un faible pour le fromage ont tendance à m’inspirer confiance.
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L'écriture confère un pouvoir magique [...]. Un pouvoir énorme. En écrivant, on peut garder quelqu'un dans un livre et l'empêcher de mourir, pour toujours.
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Le cœur humain est vaste et sombre. Tant de choses se cachent dans ses nombreux recoins.
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- Je ne suis pas une personne normale, je lui avoue. C'est difficile d'être moi. Et c'est peut-être encore plus difficile pour ceux qui sont proches de moi.
- C'est quoi, une personne normale ? On fait ce qu'on peut, c'est tout.
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Pendant des semaines, j'emmagasine mes pensées les plus inintéressantes pour les raconter à l'homme-scarabée [son psy]. C'est du boulot, parfois, de trouver assez d'idées pour tenir une heure.
(p. 97)
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D'une manière générale, les animaux de compagnie valent mieux que leurs propriétaires. J'ai de la peine pour tous ces chiens, chats, lapins et souris forcés non seulement de vivre avec des gens, mais pire encore, de les aimer.
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La nuit, certains murmures font plus de bruit que des cris.
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Ce n’était donc que mon esprit qui projetait des images sur l’obscurité. De vielles peurs cherchant à revenir à la surface. M’attendais-je vraiment à ce qu’il n’y ait aucune conséquence lorsque j’ai décidé d’ouvrir le cercueil du passé pour chatouiller son cadavre ?
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De toute façon, c’est ça, l’écriture, non ? Ce qu’on choisit d’omettre.
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On se sent parfois bien seul, quand on est en famille.
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Les enfants nous mettent une laisse autour du cœur, puis ils tirent sans cesse dans toutes les directions.
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Je me demande à partir de quand on arrête de considérer son existence comme une succession d'étapes à franchir. À partir de quand on se sent enfin libre. Et en même temps, qu'est-ce que j'en ferais, de cette liberté ?
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La salle d'attente est déserte, et je m'installe sur une chaise. J'aime bien ce genre d'endroits entre une chose et une autre. Les couloirs, les salles d'attente, les entrées - toutes ces pièces où il n'est rien censé se passer.
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