Citations de Céline Mancellon (333)
- Ma petite femme, dit-il d'une voix plus ferme.
J'approche également la tête.
- Si un jour, y'a une putain de connotation machiste dans ta manière de m'appeler comme ça, ne dors plus que d'un oeil, la nuit.
" C'est une mauviette qui a un balai coincé là où le soleil ne brille jamais. Ou alors il n’éprouvait rien de sincère envers toi.
-Dixit celui qui voulait forniquer avec une nana en imaginant le visage d'une autre! fis-je acerbe.
Koran en cassa le crayon en deux."
« Je pris délicatement la couverture, m’apprêtant à couvrir l’objet de tous mes désirs – je méritais la canonisation rien que pour ce geste – quand elle eut la délicieuse idée de pousser un autre gémissement.
Mes poils se hérissèrent.
Je ne sais pas quel genre de rêve elle faisait pour émettre ce genre de son, mais ma moine-attitude avait ses limites. Petites... les limites. Très, très petites... minuscules même.
Tandis que je me retrouvais tétanisé, les doigts sur la couverture, en essayant de réapprendre à respirer de façon fonctionnelle, je vis un mouvement suggestif de ses hanches.
Ne regarde pas.
Ne regarde pas.
Ne…
Trop tard.
Oh... bonjour petit bout de soie rose bonbon !
Sais-tu que je vais fantasmer sur toi durant mes prochaines nuits ?
Vilaine petite culotte. Vilaine, très très…» Keir
Nul ne peut maîtriser la peur éprouvée par les autres, surtout s'ils sont en grand nombre.
Je ne suis pas quelqu'un de bien, Carrie. Je ne le serai probablement jamais. Je suis égocentrique, cruel, moqueur. Je passe mon temps à mettre l'humain à l'épreuve, parce que je trouve cela très divertissant. Tu m'aimeras peut-être, mais tu me détesteras surement beaucoup plus souvent. Cependant... cependant, tu veux bien essayer de m'accepter? Aussi terrible que je sois? ?
Je venais de trouver ce qui me distinguait d’Alice : elle voyait un trou, elle sautait. Je voyais un trou, je voulais me barrer.
Bon, on pourra toujours « le » faire plus tard… comment je peux nommer ça ? Baiser est exclu. J’aime pas l’image que ça renvoie d’elle. On s’envoie en l’air ? Non, ça sonne comme de la baise. Putain… « on fait l’amour » ?
J’ai la nausée. Je regarde Jo, l’œil vitreux du mec à l’agonie.
— T’en fais une tronche, plaisante-t-il.
— Ta gueule, Jo. Je viens de me faire peur tout seul.
Seigneur, donnez-moi la patience, priai-je. Parce que si vous me donnez la force, je lui éclate la tête.
— Vous n'allez pas me tuer, si ?
— Je ne suis pas là pour ça... aujourd'hui.
Super !
Note pour moi-même : ne pas prévoir de planning dans les jours à venir.
Depuis que Kate gère le linge, mes vêtements sentent l’assouplissant. Tu parles d’une odeur de voyou : vanille des îles… ça me castre et je trouve ça mignon. Y a vraiment quelque chose qui ne tourne pas rond, chez moi.
En fait....il est vraiment beau.
Cette pensée à surgi dans mon esprit sans que je m'y attende, là, en le dévisageant alors qu'il engloutie le gratin. Dans son débardeur, avec ses tatouages sous lesquels roule chacun de ses muscles dès qu'il effectue même le plus insignifiant des mouvements. Même ses cheveux sombres coupés très courts, limite rasés, accentuent son coté sexy.
Je dois me gifler mentalement pour revenir à moi.
Ne te laisse pas avoir! Il n'y a rien de sexy chez les mauvais garçons de son genre! Ce sont des problèmes sur deux pattes......
_ Bon sang! Tu es jalouse de Gina alors tu te jettes dans les bras de cette sous-merde?! Je te pensais plus intelligente...
_ Koran, tu peux bien t'envoyer le club des majorettes, suivi de celui des bigotes en goguette, sans oublier celui du troisième âge au grand complet: je m'en contrefous! L'important, là, ce n'est pas que j'ai vu Cahl, c'est qu'il a affirmé que mon père était en danger et être le seul à pouvoir m'aider... Vu cette discussion stérile, je dois avouer qu'il n'a pas tort! criai-je, hors de moi.
« Il sourit de toutes ses dents, découvrant ainsi des canines qui dépassaient d’une rangée de dents parfaites, sans que cela soit très choquant.
- Et, que je sache, nous n’avons pas eu non plus ce genre de contact.
- Oh.
- Disons que… Hum, quel que soit le contact et votre niveau de… rapprochement – son sourire s’élargit à ses mots – Liam doit être déjà handicapé par un désir exacerbé, beaucoup plus profond que celui de mon père ou… le mien à ton égard. Ca doit être assez violent pour provoquer une soif proportionnelle. L’amour, le désir… la soif, le tout étant étroitement lié… Tu es surement SON élue… Ce qui expliquerait aussi… Le pauvre… ricana Keir.
J’étais éblouie par la nouvelle. Donc, Liam me désirait intensément. Malgré moi, un sourire rêveur étira mes lèvres.
- Tu veux peut-être comparer ? »
- Ne bouge pas ,lâcha-t-il après une minute de silence.
- Tu fais mon portrait ?!
- Garde aussi la bouche fermée.
- C'est obligatoire pour me dessiner ?
- Non,mais je préfère quand tu la boucle.
- J'ai honte d'être si heureux de t'avoir retrouvée vivante alors qu'il y a tellement de personnes chères à nos cœurs qui ont perdu la vie. Mais que tous les Dieux des quatre mondes m'en soient témoins : je suis tellement soulagé et heureux que tu sois en vie !
Ne pas confondre : il existe les agents du S.H.I.E.L.D. et l'agent de Sheffield. Si les premiers défendent la terre du Mal, le second s'occupe plutôt à défendre le Mal des terriens.
Il n’existait rien de plus agréable en ce monde que de poser ma bouche sur la sienne. Petit, je voyais ça comme un distributeur d'amour. Au lieu d'obtenir des bonbons contre une pièce de monnaie, je remportais ma ration de tendresse grâce à ses lèvres.
Et Satan créa l'enfer. Enfin, surtout pour les autres
Tu te fous encore de moi, là, hein ?
— Oui.
— Comment ça, oui ?!
Adrian pencha légèrement la tête sur le côté, les yeux plissés.
— Aurais-tu préféré que je te mente ?
— Arrête ça tout de suite, le prévint Ghislain, les joues rouges de colère.
— D’accord, la prochaine fois que tu me poses cette question, je te mentirai. Inutile de te mettre dans un état pareil.
Le vrai bonheur, c'est de ne plus souffrir.