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Citations de Christelle Verhoest (46)


je m'appesantissais sur mon désarroi, mon chagrin et la perte. C'était comme une blessure physique.
Sa saignée mais je ne lui laissais aucune chance de cicatriser. J'arrachais la croûte et légèrement garder le sang couler.
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Une vie de paria, ça peut nous faire perdre nos rêves. Le mariage gay n'a pas tout changé.
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– Si, repris Lorenzo. Toi, on te connaît. Mais Donovan ? Je me demande s'il ne serait pas du genre pédé.
Mais bien pédé. Fais gaffe.
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Tu es puissant, et tu as encore du potentiel, c'est ce qui te sauve. Mais ça n'enlève pas la punition. Et ce n'est pas parce que tu es mon fils qu'elle sera douce.
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C'est toujours après avoir perdu quelque chose qu'on en découvre le prix, n'est-ce pas ?
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Belle eau enchanteresse, murmure pour moi. Source sacrée,
jaillis pour moi. Belle eau enchanteresse, guéris-moi. Source sacrée, soigne mon corps. Belle eau enchanteresse, apaise mon âme.
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Il y a eu aussi les romantiques de l'époque de Victor Hugo, qui aimaient tout ce qui s'apparentait à notre monde, comme les ruines hantées ou les châteaux abandonnés. Les vivants peuvent aussi continuer d'aimer un disparu qui est devenu un revenant... Mais qu'un vivant soit attiré par un mort inconnu de lui autrement que pour se faire peur, c'est tout aussi illogique qu'un mort ...amoureux d'une vivante qu'il n'a jamais vue avant... Mais il ne faut pas que nous soyons les seuls, ce n'est pas possible...
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Les vivants ont peur des morts, et des lieux qu'ils jugent hantés, c'est bien connu. Ils ne vont pas vers nous, sauf pour se donner des sensations. En plus, les gens pensent que certains morts peuvent les entraîner définitivement vers l'Au-delà, ou qu'ils reviennent pour se venger...
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Ce n'est pas facile de maîtriser ce qu'on ressent pour quelqu'un.
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Il dénoua le foulard et il m’apparut à nu, à découvert, comme s’il m’offrait son corps entier
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Tu n’es pas vide, murmurai-je en le tutoyant, avant de le bercer.

Tu as été blessée mais ça va aller. ça va aller …
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— Merde, lâcha-t-il. Je crois que je me suis bousillé les talons, j’ai des ampoules.
— Je t’ai déjà dit de ne pas mettre tes Docs l’été, énonçai-je sentencieusement.
— Alexis de Pendreff ne met pas de sandales, grogna-t-il. Tu me vois en sandales ? En tongs ?
— Mets des Converse ou des baskets, suggérai-je.
— Je ne mettrai pas en péril mon prestige de vampire.
— Alors continue à avoir mal aux pieds.
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— C’est quoi, ton problème, à la fin ? me lança-t-il d’une voix parfaitement calibrée pour n’être entendue que de moi. Pourquoi tu me regardes sans arrêt comme ça ? Si tu veux toi aussi me traiter de buveur de sang, ne te gêne pas. On peut régler ça une bonne fois pour toutes. Crever l’abcès. Tu ne crois pas ?

J’étais pétrifié. Il se contrôlait pour que la confrontation reste discrète. C’était au moins ça. Parce que tout s’écroulait avant d’avoir commencé. Une boule se forma dans ma gorge, grossit au point de m’empêcher de répondre.

— Mais tu n’as même pas le cran de me le dire en face, conclut-il d’une voix tellement glaciale et méprisante, que les larmes me montèrent aux yeux.

Il me planta là, pénétra dans la salle et je demeurai où j’étais jusqu’à ce que le professeur ait un geste impatient, et m’ordonne de bouger et de fermer la porte.

— Il te voulait quoi, Nosfératu ? s’enquit Anton, tandis que je m’effondrais sur la chaise située à côté de la sienne.

Je haussai les épaules. J’étais bouleversé. Retourné. J’avais envie de vomir.

— Il t’a menacé ? insista Anton.

Je secouai la tête, et sortis mes affaires d’anglais. Je n’arrivais pas à répondre, tant j’avais la gorge nouée.

— Non, je sais, continua Anton, avec sa verve habituelle. Lestat le vampire t’a proposé de rejoindre son super groupe. Au programme ce soir : visionnage d’un épisode de True Blood, de tous les Twilight, puis dégustation de sang. Le tien. Désolé.

— Arrête tes conneries, tremblai-je. Tu ne me fais pas rire.

L’ironie de l’histoire, c’est qu’on traitait Alexis de vampire, alors que c’était moi, la créature qui n’était pas humaine. J’étais un Arc’Helar, un Encercleur, qui tentait de passer inaperçu. La grande beauté d’Alexis, trop parfaite pour être vraie, élégante et gothique, le faisait remarquer partout où il allait. Il impressionnait trop, les filles n’osaient pas l’approcher. Et moi, je n’avais même pas été capable de lui répondre.
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Morgan chercha Edern du regard. Son ami lui sourit, ses yeux bleus s’illuminèrent, confiants. Edern hocha la tête. Une chaleur diffuse se répandit dans le bas-ventre de Morgan, comme à chaque fois ou presque qu’il contemplait Edern. Aussitôt, le plaisir laissa la place à la douleur et Morgan devina que la faute en incombait à la sonde urinaire. Il espéra qu’on lui enlèverait vite cette horreur, qu’il sentait et qui l’empêchait de s’imaginer autrement que diminué. Il avait surtout envie qu’Edern lui prenne la main.
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– Vous paraissez trop jeune pour avoir un enfant de cet âge… commençai-je.
– Vous avez raison, s’esclaffa-t-elle, Alexei n’est pas mon fils. Il va avoir neuf ans en octobre, et s’il avait été mon fils, j’aurais été mère à onze ans !
– Euh, oui, en effet, répondis-je maladroitement.
– Je vais tout vous raconter. Mais je ne suis pas sûre que vous me croyiez. Mon nom était l’un des plus grands de Russie. Je m’appelle Lilia Andreïevna Oliakov et je suis née le 28 juin 1899…
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Mais quand il plaqua son corps sur le mien, je ne pensai plus. Le lieu n'importait plus. Il n'y avait plus que ce lien qui vibrait et passait sans cesse de lui à moi, comme une musique adorée.
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En classe, les professeurs se montrèrent en général suspicieux, voire sévères, certainement parce qu'ils s'attendaient à ce que cet adolescent aux mèches bleues provoque le bazar dans leurs cours.
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Bien plus facile à dire qu'à faire.
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Dans la vie, on a souvent tendance à dire qu'une situation s'aggrave parce que les catastrophes s'abattent les unes derrière les autres, de plus en plus vite, de plus en plus fort, dès que la première a donné le coup d'envoi.
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Il faudrait reconstruire, bâtir de la bonne façon, et j'ignorais le temps que cela prendrait.
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