Christine Davenier

Encore un bon moment de lecture, plein d'humour, avec des personnages haut en couleur, qui ne manquent pas de piquant, il faut bien le dire !

C'est une belle comédie, qui m'a fait sourire bien des fois, bien qu'au début, le Fernand, je ne l'avais pas à la bonne, mais chemin faisant, il a su se montrer plus conciliant, aimable, charmant. Bref, il a enfin ouvert son coeur, réchauffer sa carcasse de vieux bougon, et laisser parler sa vraie nature.

J'ai particulièrement apprécié la jeune Juliette qui a su bousculer ce vieux monsieur, Béatrice qui a réveillé l'âme du don Juan.

Voilà, c'est sans prétention,mais ça a le mérite de nous faire sourire, de nous détendre le temps d'une lecture.

Mémé dans les orties est un premier roman réussi.

A force d'en entendre parler, je voulais lire moi aussi les aventures de Ferdinand, un vieil homme au caractère bien trempé.

J'ai bien aimé l'histoire, simple car ce sont les aventures de Ferdinand, un vieil homme grincheux, qui vient de perdre sa chienne et n'apprécie pas du tout l'idée que sa fille Marion veuille le faire mettre en maison de retraite.

Il est souvent mal luné et aime faire ronchonner ses voisines, jusqu'à l'arrivée dans sa vie d'une petite fille au caractère bien trempé.

Ce n'est pas un grand livre mais c'est bien ficelé et j'ai apprécié de suivre les aventures de ce vieil homme.

C'est un roman avec des personnages haut en couleur, que ce soit Ferdinand, ses voisines, ou Juliette, sa nouvelle petite voisine de 8 ans.

J'ai passé un bon moment en leur compagnie, et je mets avec plaisir quatre étoiles à ce petit roman, parfait pour se changer les idées :)

J'ai eu l'occasion de rencontrer l'auteur au cours d'une conférence du salon Lire en Poche. J'ai donc naturellement acheté son livre. Mais ça était une vrai déception.

J'ai trouvé l'histoire ennuyante, sans fond, les personnages superficiel ... Je suis vraiment surprise du succès que le roman a pu avoir ...

Mais bon, il y en a pour tous les goûts !

Je testerais quand même un autre roman de l'auteur, pour pouvoir découvrir sa plume plus en détail, et ne pas rester sur un échec !

Le ABSOLUMENT FABULEUX de Gérard Collard m'a attirée et j'ai eu tort. C'est juste absolument exagéré, à mon avis. Désormais, je me méfierai de ces éloges. J'ai trouvé le récit recuit, complètement invraisemblable...Et je dis seulement: faut pas non plus nous pousser dans les clichés!

La jaquette du livre mentionne « Absolument fabuleux » … Alors, soit je suis très difficile, soit c’est vraiment très exagéré ! J’ai le sentiment d’avoir déjà lu cette histoire plusieurs fois - l’octogénaire grincheux et acariâtre qui reprend goût à la vie grâce à des enfants ou des gentilles voisines.



Ferdinand est seul. Sa femme l’a quitté sur le tard, elle est partie avec le facteur et on la comprend : son époux était juste odieux. Sa fille vit à l’autre bout de la planète avec son petit-fils qu’il n’a vu que huit fois, de toute façon il n’est pas très intéressé… Il se dispute avec l’ensemble du voisinage, déclare la guerre à la concierge, une horrible bonne femme qui règne en despote sur la petite résidence. Heureusement, il y a son chien, fidèle, affectueux, présence bienveillante qui ne voit pas les défauts de son maître.



J’avais découvert l’auteur avec Né sous une bonne étoile, autre feel good que j’avais plutôt trouvé réussi. Ici, les aventures de Ferdinand ne m’ont paru ni drôles, ni émouvantes, un peu tirées par les cheveux, ça oui. Les personnages sont caricaturaux et il est difficile de croire à l’enchaînement des événements. Le style est plat, les dialogues pas très authentiques (je passe sur Juliette qui en CM2 parle et pense comme les adultes. Bref, même si la saison se prête à la légèreté, il y a des limites 😊 !



Challenge MULTI-DEFIS 2021

Le vieux

Sans intérêt, pour moi le titre du livre est le vieux grincheux. Ecriture simpliste, on dirait des collégiens qui ont fait des rédactions mis bout a bout. Il ne se passe rien pas drôle n'y attachant. Très déçu

Le temps d'un Paris-Marseille, je viens de refermer ce petit bijou de 280 pages avec une couverture vichy rouge.

On apprendra, suite à la confidence de Ferdinand à la petite Juliette, que son ex-épouse confectionnait du linge de maison "et chaque fois avec le même tissu vichy rouge".

Mémé dans les orties, c'est tout bonnement l'histoire d'un vieux schnok de 83 ans devenu infâme avec le temps (ou qui l'a toujours été) et qui aime à être désagréable, détestable dans sa résidence.

Un jour débarque la jeune Juliette, qui aime les cornichons, les enquêtes et les Histoires extraordinaires de Pierre Bellemare.

Elle vient s'incruster chez lui tous les midi pour éviter la cantine et manger des coquillettes jambon.

Peu a peu, Ferdinand se laisse attendrir (ou est-ce les pâtes de fruits ?) et s'ouvre peu à peu aux autres.

Notamment sa voisine de pallier, Mme Claudel, à qui il n'a quasiment jamais parlé.

Un pur moment de plaisir où les personnages sont décrits à la manière "Amelie Poulain".

Tous les détails comptent, créant ainsi une atmosphère bien particulière et donnant envie de connaître la suite.

Bien sur, il s'en passe des choses: drôles, tristes, surprenantes...

Je n'en dis pas plus, car il faut vraiment vivre l'histoire et son intrigue.

Il est inscrit en rouge sur la 4ème de couverture: Attention cure de bonne humeur en vente libre !

Aurelie Valognes signe là une bien jolie histoire qui fait du bien au moral.

L'histoire est simple mais efficace.

J'ai adoré !

Merci aux lecteurs de Babelio de m'avoir permis de découvrir cette merveille.

Ferdinand, un vieil octogénaire devenu avec l'âge grincheux, solitaire et mécontent de tout, habite un immeuble parisien typique, peuplé uniquement de vieilles femmes seules. Il a divorcé et n'a jamais pardonné à sa femme de le tromper avec...le facteur. Sa fille est partie s'installer à Singapour, et ne lui est donc pas d'un grand secours. Et la distance aidant, comme il n'a jamais voulu voyager, il ne connaît presque pas son petit-fils. Heureusement qu'il a Daisy, sa chienne adorée.

Mme Suarez, la concierge de l'immeuble trouve mille façons d'ennuyer le vieil homme...qui le lui rend bien. Elle voudrait surtout que Ferdinand quitte définitivement les lieux pour aller vivre en maison de retraite.

Un jour Daisy se fait renverser par une voiture...

Ferdinand est dévasté de chagrin et en devient suicidaire. Pourtant, grâce à l'intervention inattendue de Juliette, une petite voisine de 10 ans, nouvellement arrivée et de la voisine d'en face, Béatrice, une extraordinaire vieille dame, le vieil homme va être tenté peu à peu de reprendre goût à la vie et de devenir plus sociable...



Voilà donc un roman "feel good", qui fait du bien paraît-il... Sûr qu'il ne peut pas faire de mal ça je vous l'assure.

C'est un roman léger, sans prétention vous l'aurez compris, qui est empli de bons sentiments. C'est écrit simplement et compréhensible par tous.

Je n'ai malheureusement pas été conquise, ni par l'histoire, ni par les événements trop invraisemblables à mon goût et tirés par les cheveux.

Les personnages, non plus, n'ont pas su me séduire...car ils tombent tous, à un moment donné, dans la caricature.

La petite Juliette, âgée de seulement 10 ans qui apparaît dans le roman soudainement alors que tout le monde ignorait son existence dans l'immeuble, ne m'a pas conquise tant son personnage et ses actes dans l'histoire sonnent faux. Elle agit et parle trop comme une adulte.

Je n'ai pas trouvé crédible non plus, les frasques que Ferdinand commet en réponse aux attaques de la concierge (bien que parfois je me suis surprise à sourire); ni la disparition de sa chienne Daisy (et les événements qui vont suivre_du jamais vu !) ; ni l'intervention de Marion, sa fille, qui fait surveiller Ferdinand à distance par Mme Suarez, comme par hasard...

Le seul personnage qui finalement m'a amusé, est celui de Béatrice, la voisine d'en face, une vieille femme hyper-active, moderne, libérée et qui s'accepte comme elle est. Elle est même geek à ses heures...

Donc en conclusion je dirais que le sujet était intéressant car ce livre a le mérite de parler de la solitude et de l'isolement de la vieillesse et de montrer que les relations intergénérationnelles sont possibles et bénéfiques pour chacun.

J'ai trouvé dommage qu'avec une telle belle idée de départ, l'auteur soit tombé dans la caricature et dans l'invraisemblance. Les ingrédients auraient pu donner un bon roman et ce vieux Ferdinand, acariâtre et agaçant qui ne parle jamais à personne même pour dire bonjour, aurait pu être attachant...

Toutefois, le grand avantage de ce roman est que vous pouvez le lire dans le train ou le métro ou bien avec vos jeunes enfants qui jouent aux indiens à côté... vous ne perdrez pas le fil !

Un roman qui a su trouvé son public...puisqu'il a séduit plus de 200 000 lecteurs.




Lien : http://www.bulledemanou.com/..

"Mémé dans les orties" doit appartenir au genre roman feelgood. C'est gentillet, plein de bons sentiments, drôle (ou censé l'être). J'ai voulu me faire ma propre opinion sur cette histoire de vieux bougon vivant dans la moins parfaite harmonie dans un petit immeuble. Conclusion ? Ce bouquin m'a plutôt agacé. L'écriture est banale, l'histoire assez invraisemblable, les personnages caricaturaux. Ferdinand est un vieil acariâtre...mais pas tant que ça finalement. Il y a de nombreuses répétitions (celui qui n'a pas compris que la concierge n'était qu'une dinde...). Quant à l'humour...bref, il en faut pour tous les goûts, et si certains apprécient ce genre de romans, tant mieux, il ne faut pas les blâmer. Au moins, ils lisent...

Un vrai moment de pur détente que ce livre d'Aurélie Valognes...Un personnage des plus aigri, rabat joie au possible, emmerdeur de première avec ses voisines de palier ainsi qu'avec sa concierge de résidence...

On sourit sur toute la longueur du livre et franchement on passe un bon moment mais on attend qu'une chose c'est que ce cœur bien endurci de "vieux schnock" se ramollisse et s'attendrisse au mieux...

Un vrai moment de plaisir à la lecture de ce roman.

Aussitôt lu, aussitôt oublié.

Certes, c'est une histoire facile et sans prétentions, qui se lit vite et divertit.

Mais j'avoue avoir du mal avec cette "littérature". Les situations et les personnages sont caricaturaux, les dialogues assez peu crédibles et l'auteur ne s'embarrasse pas avec les détails ou la cohérence.



Bref, le "fabuleux" figurant sur le bandeau de l'édition de poche me semble quelque peu exagéré.

Dès le début de ma lecture, j'ai été très déçue par l'écriture très simpliste, très hachée par d'innombrables points. Je ne lui ai trouvé aucune consistance, aucune richesse. Les dialogues sont pauvres, d'une platitude exaspérante.

J'allais donc vers l'histoire à reculons, avec un sacré sentiment négatif.

Les personnages sont bien représentés, on visualise parfaitement leurs principaux traits de caractère. Je suppose que leurs descriptions caricaturales étaient à prendre avec humour mais j'ai dû rester trop terre à terre lors de ma lecture car je n'ai pas réussi à en rire, même pas à en sourire.

La petite Juliette est très, beaucoup trop surprenante pour une enfant de dix ans. L'amitié naissante entre elle et Ferdinand Brun, vieil homme grincheux n'ayant jamais supporté les enfants, n'est pas du tout crédible.

Et puis les vieux acariâtres qui se bonifient avec l'âge, je n'y crois pas du tout ou alors je ne vis pas dans le même monde. Autour de moi, c'est plutôt le contraire, ils deviennent de plus en plus hargneux en vieillissant. Mais peut-être que ce livre est justement fait pour rêver de relations plus humaines...J'en suis désolée mais en ce qui me concerne, le rêve n'a pas opéré.

GIGANTESQUE COUP DE COEUR!!!!



Aurélie Valognes nous présente Ferdinand Brun, ce viel homme aigri par la vie et acariâtre ne manqué pas une seule occasion d'ennuyer ses voisins.

Nous connaissons tous tatie Danielle, voice son equivalent au masculine!

Le personage de Ferdinand fait tout pour être et rester un vieux grognon prêt à tout pour render la vie dure à son voisinage. Malheureusement pour lui, il vit entouré de voisins sympathiques qui ne demande qu'une chose, l'aider!

Un beau jour, son unique compagnie, Daisy perd la vie suite à un tragique accident. Ferdinand se sent perdu et seul plus que jamais. Après une tentative rate de suicide, il fait la rencontre malgré lui de Juliette, une petite fille adorable qui connaît énormément de choses. Aussi, sa voisine Béatrice, 92 ans, l'encourage a rencontrer d'autres personnes et le familiarise à des habitudes afin de le sortir de la solitude.



mémé dans les orties est une histoire feel good! Transmise avec talent Aurélie Valognes réussit son pari de nous surprendre sans cesse avec un humour pétillant.

De pages en pages, Ferdinand Brun passe du vieux imbécile qui ne sort jamais de chez lui et qui pourrit la vie de chacun, à un papy attendrissant chez qui nous aimerions être invité à partager un succulent repas.



Nous ne pouvons sortir indemne de cet ouvrage, en effet "mémé dans les orties" est bouleversant et nous invite à la réflexion sur de nombreux sujets: Que sommes nous prêts à faire par amour?



Pur moment de plaisir, ce livre se lit avec facilité par son rythme captivant. Tous les personnages ont un côté intriguant qui nous pousse à vouloir savoir ce qu'il va se passer pour Ferdinant.



Mémé dans les orties est à lire de toute urgence pour nous réchauffer le coeur!




Lien : http://beasaaa.blogspot.be/2..

Un livre pas désagréable à lire mais facile à oublier. Comme chez Ronald, pas désagréable à manger mais facile à digérer.

Un octogénaire bougon va déverrouiller son coeur grâce à une jeune fille de dix ans. de vieil acariâtre il va devenir grand père emphatique en moins de temps qu'il faut pour l'écrire! Mon coeur se serre face à tant de finesse dans l'évolution d'un personnage.

Dans ce genre de roman dit "Feel good", la cohérence des situations doit laisser sa (précieuse) place aux (moins précieux) bons sentiments mièvres et à son lot de clichés. C'est agaçant mais l'ambiance légère et puérile de ce roman fait du bien. Il permet de décompresser entre deux romans plus aboutis. Un verre d'eau entre deux verres de vin pour éviter le mal de crane. Mais après tout on ne lit pas que pour réfléchir, un petit sourire innocent le temps de quelques centaines de pages cela fait du bien. Ce livre rentre pour moi dans cette catégorie et dans cette catégorie il y a, je pense, des ouvrages de meilleure qualité.

Un pur moment de bonheur!



Prenez 1 vieux aigri, une gardienne d'immeuble démoniaque et une petite fille très mature, ça vous donne une histoire, émouvante, drôle, amusante, surprenante...



Ferdinand, un vieil homme associable qui n'a pas sa langue dans sa poche et malpoli avec tout son voisinage "terrorise" tout son immeuble.

Mais c'est alors qu'une petite fille, Juliette, vient s'installer avec son père dans l'appartement au dessus de celui de Ferdinand. L'audace et l'aplomb de la jeune fille va déstabiliser Ferdinand qui va réapprendre à aimer la vie, et surtout les gens. Il va par la même occasion faire connaissance de sa voisine de pallier à qui il n'avait jamais adressé la parole en 2 ans de temps.



Une histoire des plus surprenante et imprévue à ne pas manquer!!!

Pour ma 400ème critique, honneur à un classique parmi les albums jeunesse : Léon et Albertine. Léon est un cochon qui fait tout pour séduire Albertine, une poule, mais n’y arrive pas ; ce n’est pourtant pas faute de demander des conseils à ses autres amis animaux. Se pavaner ? Danser ? Finalement, il faut être naturel pour parvenir à séduire… Une jolie histoire d’amour pour les pitchounes à partir de 3-4 ans.

Mémé dans les orties c'est avant tout l'histoire de Ferdinand, un homme de 80 ans bougon et aigri. Et en fond, l'histoire de tout son immeuble. Sa femme l'a quitté pour un autre, sa fille et son petit fils vivent sur un autre continent. Pour seul compagnie il a Daisy, sa chienne...



Cet homme acariâtre avec tous ceux qui l'entourent se fait bien des ennemis dans l'immeuble... Mais par une suite d'évènements inédits et la rencontre d'une fillette un peu seule il n'aura pas d'autres choix que de s'ouvrir aux autres et rester courtois.



Ce livre est une petite douceur qui se lit vite et qui rappelle qu'il faut être présent auprès des personnes âgées, parfois seules... le style du roman est très simple et très abordable. Il convient bien après des lectures plus complexes ou des histoires difficiles. Un livre sans prétention qui reste drôle et distrayant.

Voilà un roman qui fait du bien à lire !!! Un vrai feel good !!! J'ai vraiment pris du plaisir à lire cette histoire de M. Brun, vieux monsieur un brin détestable, mais qui s'ouvre à la vie, à l'amitié et à l'amour au contact de Juliette, sa petite voisine... J'ai souvent souri à la lecture de ses pages, et j'ai également eu les yeux plein d'eau à deux passages en particulier... Je n'avais jamais lu de Valognes, et j'ai bien envie de réitérer l'expérience !! Un très bon moment de lecture, tout léger, qui détend, qui touche et donne le sourire.

Livre humoristique traitant de bons sentiments au travers d'un vieil acariâtre.



Ce n'est pas de bol pour Aurélie Valognes mais j'ai décerné, depuis un certain temps déjà, la palme d'or de cette catégorie au roman "Vieux, râleur et suicidaire : La vie selon Ove" de Fredrik Backman.

Depuis, autant dire que, sur ce thème, mes attentes sont excessivement tatillonnes.

Bref, ce n'est pas "Mémé dans les orties" qui va détrôner mon livre fétiche laissant entendre que les vieux grincheux gagnent à être connus.

Ici, les personnages sont caricaturaux mais je n'ai rien contre ça. Le genre feel-good n'a pas vocation à faire de la psychologie.

Non, ce qui ne me plaît pas, c'est l'humour aux traits grossiers, prévisibles et sans finesse.



Si ce livre est dans votre PAL, pas de panique, l'humour est subjectif.

En plus, ce livre a d'abord été publié en auto-édition, il a donc trouvé son public bien avant que moi je ne le trouve en livre de poche.

Il y a donc de fortes chances que vous aimiez.

Ou pas...

Ferdinand, acariâtre, bougon, sème la terreur dans son petit immeuble parisien, laissant même croire à ses voisines qu’il est un serial killer ! Il s’attire ainsi les foudres de la concierge, Mme Suarez, mégère pas vraiment apprivoisée, prête à tout pour ramener le calme dans SON immeuble. Jusqu’au jour où Ferdinand trouve sur son palier, Juliette, 10 ans, sa nouvelle voisine du dessus, qui va peu à peu réussir à l’apprivoiser. Un roman drôle, plein de tendresse, à mi-chemin entre « Tatie Danielle », pour les personnages de Ferdinand et la concierge, et « L’élégance du hérisson », pour la gamine futée qui joue les entremetteuses dans l’immeuble.