Christine Feehan

Grâce à cette lecture, me voilà à jour dans une saga. Je peux même dire que je l’ai terminé puisque Milady a fait le choix d’arrêter de la publier mais je reviendrais sur ce point plus tard.

Ce que j’aime dans cette saga c’est que même si on ne se souvient pas de ce qui s’est passé en détail dans les tomes précédents, on se laisse emporter dans les aventures proposées dans chaque tome puisqu’il s’agit d’un même univers mais avec des personnages différents.

Dans ce quatrième tome, l’action, l’humour et la romance sont présents. L’emmêlement de ces trois points m’a permis de dévorer ce livre avec plaisir, sans m’ennuyer ni me perdre au milieu de l’action.

Briony, notre héroïne, a beaucoup de caractère. Caractère qu’elle s’est forgée au cours de son existence bien compliquée. En effet, Ghost Walkers sans le savoir, elle a dû apprendre à vivre avec ses dons psychiques qui lui semblait être une malédiction jusqu’à sa rencontre avec Jack.

Jack, soldat Ghost Walkers maîtrise parfaitement ses dons, est un homme brusque, dur, qui arrive à faire abstraction de ce qu’il ressent, au point que l’on doute qu’il éprouve des sentiments, jusqu’à ce qu’il rencontre Briony.

Ken (je vous rassure on est bien loin de l’époux de Barbie), frère de Jack, est lui aussi un Ghost Walkers. L’aperçu de sa personnalité donne envie d’en savoir plus mais malheureusement avec l’annulation de la saga, Milady ne nous le permet pas…

Pas de surprise dans le schéma, dès le début, on sait comment cela va se terminer. Pourtant, ce tome est différent des autres puisqu’il nous permet de comprendre certains phénomènes présents depuis le début de la saga. Un seul chapitre scientifique… Heureusement pour moi parce que j’ai vraiment du mal avec ça. Une fin un peu brusque qui aurait pu être adoucie par un dernier chapitre. Au vu de l’extrait du cinquième tome (que nous n’aurons pas) disponible à la fin, ce dernier chapitre peut s’expliquer par le fait que le tome suivant est vraiment dans la continuité.

Pour conclure, une lecture vraiment sympa. Quelle déception que cette saga s’arrête… En si bon chemin et après de telles révélations !
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Dark Gold démontre mieux que n’importe quelle histoire de vampires que j’ai lue jusqu’à présent l’intérêt de faire de ces créatures quasi-monstrueuses des héros de romance. Bien sûr, tous ces romans s’appuient de façon évidente sur la dualité séduction-répulsion propre aux vampires (ici, Carpathians) : ils ont un sex appeal de ouf, mais attention, ils sont aussi deadly… Ça, tout le monde, les lecteurs, les auteurs le savent. Justement. Souvent, les auteurs se reposent sur cet universel : comme si avoir droppé le mot “vampire” suffisait à caractériser leur personnage. On ajoute deux-trois commentaires, à l’effet que les gens de la ville se méfient de lui ou le détestent, et hop ! on croit qu’on a étayé le fait que notre vampire a une aura terrifiante. Or la lectrice, elle, n’a toujours rien vu ni rien ressenti.



Le fait que l’héroïne n’a bizarrement pas peur, ou encore tombe amoureuse de cet être persécuté dès le second regard, y est sans doute pour quelque chose. Ici, c’est l’inverse, l’héroïne résiste autant qu’il lui est possible les avances du héros, qui ne sait vraiment plus quoi faire… Insister, séduire Alex, lui laisser au contraire plus d’espace, argh ! tout se retourne contre lui. Notre héroïne ne rêve pas du tout, mais alors pas du tout de devenir une immortelle qui crame en plein jour et se nourrit du sang d’un autre être vivant ! L’idée même l’horrifie et la répugne. Aussi, malgré son attirance indécente pour ce beau blond roumain au nom anglais (Aidan Savage), elle sait que se rapprocher de lui signifie la fin de sa vie telle qu’elle l’a connue, de sa liberté, de tout ce qui lui est familier.



Toute cette série telle qu’elle est conçue aborde un thème qui me rend pourtant à priori réticente : l’amour en tant que destin. Un peu comme le concept d’âmes sœurs, même si l’auteure a décidé de créer un mot juste pour ça : lifemate (la seule fois où apparaît le mot “soulmate“, c’est lorsqu’Aidan songe à son frère). Les Carpathians mâles ne choisissent pas leur compagne, ils doivent vivre avec ou mourir sans elle. Il en découle que le fait de courtiser, de convaincre ou de persuader la femme ne leur passe pas vraiment par l’esprit. LOL Ils la trouvent, ils la gardent : voilà comment ça fonctionne.



Sauf qu’en même temps, comme leur lifemate détient leur vie et leur bonheur entre ses mains, ils ont tout intérêt à ne pas la mettre en colère, n’est-ce pas ? De l’autre côté, une femme comme Alex, qui est devenue Carpathian contre son gré, doit abandonner ses croyances modernes selon lesquelles sa vie lui appartient totalement. Rough, vous trouvez ? Un peu quand il s’agit d’amour, mais philosophiquement, ça se tient tout à fait. La croyance moderne selon laquelle chacun fait ce qui lui plaît est une illusion ; notre vie entière est en réalité bordée par nos limitations (physiques, mentales) et, si on les accepte, par nos responsabilités.
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La quatrième de couverture n'est pas très fidèle au roman, puisqu'en réalité c'est son père et non pas Lily qui a réussi à amplifier les capacités psychiques des soldats. L'intrigue ne tourne pas spécialement autour de la mort de ces soldats, mais plutôt autour d'un complot chez les militaires. En effet, le père de Lily vient d'être assassiné ses supérieurs demandent à la jeune femme de poursuivre le travail de celui ci. Or son père, avant de mourir, lui demande de tout détruire et de sauver les hommes qui lui ont servi de cobayes.



Ce livre est loin d'être un coup de coeur. L'histoire m'intéressait pas mal au départ, moi qui voulait laisser de côté un peu ces histoires de vampires ou autres et sur ce point là, c'est sûr que je n'ai pas été déçue. Aucune créature surnaturelle ici, l'intrigue tourne autour des capacités psychiques des protagonistes (télépathie, télékinésie... etc). Si l'histoire avait donc au départ tout pour plaire, cela ne fut pas le cas principalement à cause de la romance entre Lily et Ryland.



J'ai été assez gênée par leur histoire d'amour, premièrement car je trouve qu'elle n'apporte rien à l'histoire. L'attirance entre les deux personnages sort de nul part et les "je ne peux pas vivre sans toi" de Ryland tout au long du roman m'ont légèrement exaspérée. De plus, les longs passages de plusieurs pages décrivant les ébats amoureux de Lily et Ryland sont assez lassant. Si l'histoire de base (le complot militaire) était plutôt sympathique, ces descriptions m'ont gâchées ma lecture puisque ce n'était absolument pas ce que je cherchais à lire en commençant ce roman.



J'ai trouvé ce livre trop lent, au final il ne se passe pas grand chose. J'ai eu l'impression que l'auteur alternait ébats amoureux et explications scientifiques barbantes. J'ai hésité à laisser tomber ce roman avant la fin à plusieurs reprises, j'aurais peut être du le faire! En effet, la fin ultra rapide est un peu trop "happy ending" pour moi. En plus, aucun élément ne laisse présager qu'il existe une suite.



Bref, je n'ai pas apprécié plus que ça ma lecture. L'intrigue de base était intéressante mais je n'ai pas aimé tout ce qui l'entoure. Je ne pense pas que je lirai la suite, à moins de n'avoir rien d'autre sous la main.
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Cessez de dire qu'il s'agit de romance paranormal, ça attire les jeunes filles.. Alors que ce livre ne leur est pas vraiment adressé. Ghost Walkers fait, pour moi, parti du genre de la Bit Lit et également de la Science-Fiction.





L'idée est très originale ! Et la suite du roman nous le prouve. C'est un univers totalement différents de la Bit Lit habituelle, aucune créature surnaturelles, uniquement des hommes que la science à transformé, amélioré.



C'est un assez bon roman.

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[...] Pour conclure, "Jeux d'Ombres" m'a infiniment déçue, alors que l'intrigue semble pas mal du tout, les scènes érotiques envahissent le livre et la tension sexuelle entre Lily et Ryland anéantit tout le reste. Bref, des bonnes idées mais des chapitres à supprimer... Je ne lirai pas la suite.
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Je ne sais pas si vous vous en souvenez mais dés le premier tome je suis tombée sous le charme de cette nouvelle saga, c'est donc avec joie que j'ai découvert ce troisième tome dans mon colis de Noël offert par Marine.

Christine Feehan garde, ici, le même schéma que pour les deux précédents tomes. A savoir, un des soldats ghost walkers par en mission à la recherche d'une des filles que Whitney a modifié psychiquement. La jeune fille est méfiante envers ce soldat mais finalement tombe sous sa charme et fini par rejoindre la cause des ghost walkers et tombe éperdument amoureuse de son sauveur. Aucune surprise par rapport au déroulement de l'histoire. Les surprises se trouvent au niveau des caractères des personnages, de leur don mais aussi des péripéties présentent dans le tome. Pas de surprises côté scène de sexe, elles sont présentes. J'en ai noté surtout deux mais la tension sexuelle est présente entre les deux personnages de façon pratiquement constante bien que la première vraie scène arrive plus tardivement que d'habitude.

Raoul Fontenot connu sous le nom de Gator est notre héros pendant près de cinq cent pages. Derrière une façade d'homme macho, sur de lui... se cache un homme sensible avec des rêves. On découvre son enfance, pourquoi est-ce qu'il a accepté de participer à l'expérience de Whitney... Les pouvoirs physiques développé par le scientifique lui sont très utiles et il les maitrise très bien. Contrairement au deux précédents tomes, je trouve que l'auteur n'a pas beaucoup mis en avant son don.Ces réactions d'hommes des cavernes m'ont parfois agacé mais dans l'ensemble je l'ai trouvé très attentionné, drôle, attachant... mais je ne dirais pas non s'il devait me sauver la vie et plus si...

Iris Johnson alias Flamme, notre jeune fille pas si en détresse que ça, a un caractère bien prononcé et n'est pas décidé à se laisser ramener par Gator pour servir à nouveau de cobaye humain. Contrairement aux deux précédentes jeune fille, Flamme a une vision plus négative de la situation et ai persuadé que Whitney est toujours en vie et surtout que le soldat travaille pour lui. Elle ne va pas se laisser séduire facilement par Raoul même une fois que cela est fait elle reste très méfiante. J'ai beaucoup apprécié la force qu'elle utilise pour ne pas tomber son le charme du beau cajun et la façon dont elle lui tient tête. Côté dons psychiques, elle les maitrise très bien. Gator n'a donc pas, comme Nico avait à le faire avec Dahlia.

Ces deux personnages nous offrent des dialogues très sportifs, leur deux caractères forts promettent de très beaux échanges verbales...

Nonny, la grand-mère de Gator, est une femme adorable, tendre, à l'écoute... Et surtout folle de Flamme. Elle ne rêve que d'une chose que son petit fils adoré et cette jeune femme forme une famille. Ce personnage secondaire m'a vraiment plu c'est pour ça que je vous en dis quelques mots. J'ai trouvé qu'il rajouté un côté humain non négligeable à l'histoire.

Pour ce qui est des anciens personnages, nous retrouvons rapidement Lily (qui nous annonce une nouvelle bonne ou mauvaise on ne sait pas encore), Ryland, Dahlia, Ian, Kadan... Mais ils sont là plus en tant que figurant qu'en tant que vrais personnages.

Côté style d'écrire, les pages défilent facilement mais un mot est répété très régulièrement dans les dialogue. Il s'agit de « Ma chère ». Je vous assure que ce mot je ne le supporte plus. A la fin, je ne pouvais plus, dès que je le voyais je me disais mais c'est trop ridicule, ça sonne faux. Est-ce un problème de traduction ou autre je ne sais pas mais j'espère ne pas le retrouver dans le prochain tome. Un autre reproche à faire c'est le langage scientifique du premier chapitre. Je n'ai pas compris grand chose. Alors certes Lily est une grande scientifique mais n'y aurait-il pas moyen qu'elle prenne en considération que ce n'est pas le cas du soldat à qui elle parle (ni celui du lecteur).

Hormis ces deux petits points qui m'ont un peu agacé, j'ai passé un excellent moment livresque et j'ai hâte de rencontrer le prochain soldat et sa moitié.
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Ce qui est bien avec les éditions Milady, c’est qu’ils nous permettent d’avoir les deux premiers tomes de leurs nouvelles séries le même jour. Est-ce un bien ?



Je dirai que oui, si comme pour les GhostWalkers, le tome d’ouverture laisse à désirer. Au moins le fait d’acheter les deux vous pousse à continuer l’expérience. Et fort est de reconnaître que ce deuxième opus est un peu meilleur que le premier. Certes, tout est question de goût, mais il est bon d’admettre que pour la plus grosse partie du roman, il n’est pas question de sexe. Ouf ! Forcément, l’attraction est présente, les hormones bouillent, la tension est à son summum mais Christine Feehan s’est calmée sur les scènes voluptueuses. Merci !



Lily Withney a pris sous son aile tous les GhostWalkers pour les aider à forger des barrières psychiques leur permettant de vivre normalement. Maintenant que leurs efforts ont porté, ils sont tous en quête des femmes qui, enfants, ont subi les expériences de feu le docteur Withney. C’est ainsi que Lily retrouve la trace d’une des fillettes cobaye de son père. Devenue une femme surentraînée et dangereuse, Dalhia LeBlanc vit à l’écart du monde en plein bayou, aussi bien pour protéger les autres de son pouvoir dévastateur, que pour se défendre elle-même des assauts psychiques douloureux et invivables que le commun des mortels propage sans le savoir. Elle est une sorte d’aimant à émotions, s’accaparant toutes les ondes, se surchargeant et devenant une bombe vivante avec un trop plein d’énergie qu’elle n’arrive pas contenir, mettant ainsi le feu à tout et n’importe quoi sous le coup de la colère. Un vrai danger public !

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La suite sur mon blog (voir ci-dessous)
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Un univers différent qui prend le temps pour se planter mais un tr-ès bon moment passé même s'il souffre de quelques longueurs
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C'était bien parti, plus vif que le 1er tome... avant de replonger sans vraiment arriver à remonter la pente
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- Alors, pour tout dire tout de suite, je me suis arrêtée à 74% (très exactement) de ma lecture et ce n'est pas faute d'avoir essayé, j'ai tenté d'accrocher pendant un bon moment. Mais non, rien n'y fait.



Et pourtant, tout était propice à ce que ce livre me plaise. A lire le résumé, je pensais lire un roman dans la même veine que La Confrérie de la Dague Noire ou des Ombres de la Nuit ou encore du Cercle des Immortels... Mais non. Si ça y ressemble vaguement, c'est terriblement ennuyeux.



Tout d'abord, ça commence beaucoup trop vite. Il entre en contact télépathique avec Raven et pouf, deux mots échangés et il est transi d'amour... Alors certes, on pourrait penser au premier tome des ombres de la nuit mais ce n'est pas pareil... On essaie d'en faire une copie avec un alter égo... Mais la sauce ne prend pas.. Et tout le reste du livre ça sera "je t'aime, moi aussi, mais je ne suis pas sûre de ce que je veux, je suis folle de toi, je te rejette, je te comprends, je ne sais pas qui tu es, oh oui faisons notre vie ensemble, noooon je ne veux plus jamais te revoir, blablabla" et de son côté à lui, ça ne sera pas mieux car toujours la même chose "je t'aime, tu me comprends, tu es mon alter égo, j'ai besoin de toi dans ma vie, il faut que je te protège, je suis fou de toi, tu es là seule à savoir qui je suis, tu me comprends, tu es ma vie, je suis en manque sans toi, je ne peux pas survivre si je ne te vois pas pendant trois secondes et demi, blablabla".



Certes, j'aime les histoires d'amour bien sûr, mais là c'est écœurant, ils ne font que se parler de leur amour, leurs divergences, leurs ressemblances et le reste de l'histoire qui aurait eu le mérite d'être approfondie (peut-être l'est-elle vers la fin ? Mais je n'ai pas le courage de le savoir) ne l'est pas pendant le 3/4 du livre !



Bref, déception pour moi.



- Les personnages sont stéréotypés au possible, comme je l'ai expliqué ci-dessus, le livre n'est constitué que de leur relation... Tous les autres personnages sont en admiration devant Mikhail et Raven, c'est superficiel...



- Je ne saurais pas tellement donner un avis sur le style de l'auteur car j'étais trop agacée par l'histoire... C'est terriblement répétitif.
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