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Critiques de Chuck Palahniuk (453)
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A l'estomac

Si j'aime beaucoup cet auteur, je suis un peu resté sur ma faim avec cet ouvrage. Entre le roman et le recueil de nouvelles, l'auteur semble parfois se perdre et en fait trop dans son propre style. L'intrigue principale m'a beaucoup moins intéressé que les nouvelles, pour certaines très bonnes.
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A l'estomac

Roman poupée russe cachant un recueil de nouvelles avec comme lien une histoire à la « Dix petits nègres » : un étrange vieillard,M.Whittier , offre à dix sept « écrivains » (ou persuadés de l’être) un atelier d’écriture un peu spécial , coupé du monde en un lieu clos . Ils devront en profiter pour pondre le chef-d’œuvre qui leur vaudra la célébrité . Mais c’est Palaniukh donc ça dysfonctionne dur . Quant aux nouvelles … c’est du brutal ( je suis assez cuirassé mais « Tripes » m’a un peu fait sursauter..) . Bref , au mieux de sa forme provocatrice et outrancière , sans oublier la fantaisie débridée ( voir les pseudo des personnages) , le Chuck . Je dois avouer que ce dézingage de l’obsession moderne du « quart d’heure de célébrité » m’est assez sympathique . Désolé…
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A l'estomac

Palahniuk, c'est toujours indigeste - à la base, écoeurant, collant, gore parfois. Mais c'est tellement vrai!! Il nous confronte à la folie humaine, aux peurs, et aux limites. Si on arrive à se détacher de ce côté 'sale' qui se dégage de chacun de ses romans, ils deviennent de grands moments!
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A l'estomac

Bonjour à toutes et à tous. Pas de spoiler dans cette critique, alors soyez rassurés, vous pouvez y aller tout du long.



Après avoir lu la totalité de l'œuvre traduite à ce jour en français de Monsieur Palahniuk, "A l'estomac" est le dernier dans lequel je me suis plongé. Et j'ai été agréablement surpris par le "format" du récit. En effet, nous avons à faire à un recueil de nouvelles au sein duquel chacune d'entre elle est "nouée" par une intrigue commune. A vrai dire (et ce n'est que mon avis), cette intrigue centrale n'est pas ce qui est le plus accrocheur.



Ce qui m'a entrainé, c'est l'envie d'en apprendre d'avantage, lors de chacune des nouvelles, sur les personnages (et il y en a beaucoup) de ce roman. Ces nouvelles sont tantôt percutantes, tantôt stressantes et/ou totalement grotesques (non péjoratif). Toujours sombres et abrasives. Ce qui est percutant, c'est l'absence quasi totale d'empathie. Les personnages sont le vecteur d'une idée, et Palahniuk les utilises comme les outils de la morale de ce roman. Et là ou on reconnait l'aisance de l'auteur pour cet art qui est l'écriture c'est dans sa facilité à passer d'un genre à l'autre. On passe d'une nouvelle "horrifique" à une nouvelle "sociale" vers une nouvelle "comique" et ainsi de suite : à chaque fois c'est dans le mille.



Il y a eu beaucoup de "buzz" concernant une de ces nouvelles "Guts" qui est présente dans ce roman (la plus spectaculaire dirais-je) mais je peux vous assurez que toutes les nouvelles sont exceptionnelles. Les phrases sont courtes. Le rythme envolé. Ca touche l'esprit, ça fait mal au corps, ça remue les tripes et, soyons clair, on en prends plein la gueule tout au long.



Palahniuk affiche clairement un style incisif, qui ne cherche pas la démonstration dans une utilisation de mots à tout va pour faire du "beau" ou de la "vrai littérature".



Si vous êtes d'accord avec l'idée d'être bousculé : Foncez.



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A l'estomac

Vingt-trois personnes intriguées par la même annonce décident d’y répondre, et se retrouvent plongées en enfer. Vingt-trois écrivains en herbe qui s’imaginent avoir trouvé l’occasion de se consacrer uniquement à l’écriture durant trois mois, isolés du monde, et qui vont en fait être enfermés, privés de tout, y compris des besoins de première nécessité.



Voilà un bien étrange roman ! Les nouvelles qui le constituent, par lesquelles nous découvrons qui sont les héros de cette histoire, sont tout simplement terrifiantes et propres à donner la nausée. Certaines sont même difficiles à lire, tant elles s’inscrivent dans l’unique registre de la scatologie. C’est gore, dégoûtant… et pourtant si bien raconté qu’on ne peut lâcher ce livre.

Je suis plus réservée sur le sens de la démarche de l’auteur, le message qu’il a voulu délivrer. L’homme est ici au premier sens du terme un loup pour son prochain, et le geôlier n’est finalement pas le personnage le plus horrible de cette histoire. Le comportement et les réactions de ces êtres humains sont souvent peu crédibles, car n’ayant en fait plus grand-chose d’humain. Ce sont eux qui se privent de chauffage, de nourriture, d’eau…et tout cela dans l’espoir que cette aventure fera d’eux des gens célèbres !

Quelle est la morale de tout cela ? Pourquoi les victimes finissent-elles par devenir leur propre bourreau ? Tout cela n’est pas très clair et me laisse sur une impression mitigée. Je dirais presque me laisse sur ma faim, mais ce serait un trait d’humour douteux.


Lien : http://tassedethe.unblog.fr
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A l'estomac

C'est du Palahniuk - s'attendre donc à toute sorte d'horreur réaliste de notre bas monde et sa société la moins présentable. C'est plein d'idées, de petites surprises... On a envie de connaître le passé de chacun car il est toujours saisissant. Mais à mon goût, il y a trop de monde dans cette maison ou des rebondissements trop prévisibles pour un livre de cette longueur. Au final, un très bon livre mais parfois étouffant.

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Berceuse

BERCEUSE de CHUCK PALAHNIUK

Très connu pour Fight Club il commet ici un livre improbable entre policier et fantastique dans lequel une comptine enfantine a le pouvoir de tuer. Pour ceux qui aiment le délire et qui ne cherchent pas une logique foncez!! Pour les autres passez votre chemin.
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Berceuse

Comme toujours avec Palanhiuk, voilà un livre complètement fou. Une idée de départ plutôt sympa (un livre de contes pour enfants cacherait une comptine qui tuerait celui qui l'entendrait… d'où la "mort du nourrisson") qui part rapidement dans tous les sens, dans une écriture à la fois chaotique et complètement maitrisé par l'auteur américain survolté.

C'est moins percutant que Fight club, certes, mais ça reste très bon, bien fou-fou, et ça se lit d'une traite !
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Berceuse

Un polar teinté de fantastique fait-il pour autant un fantastique polar ? « Berceuse » de Chuck Palahniuk, l’auteur de l’excellent « Fight Club » est la preuve même que … non. D’ailleurs, il faudrait se poser la question de savoir pourquoi ce roman a été publié par Gallimard dans la collection Folio Policier. Donc, partant d’une enquête sur la mort prématurée de plusieurs nourrissons, un journaliste découvre qu’une berceuse en est la cause mais, surtout, que cette chansonnette est une arme redoutable bien plus efficace que toutes les armes du monde réunies. Au fil de l’histoire, il rencontre une agent immobilière doublé d’une tueuse à gages, une secrétaire sorcière en dreadlocks, une hippie écolo-naturiste, etc. Aucun personnage n’est sympathique, ni même attachant par un trait de son caractère, tant ils sont des prétextes à dénoncer des travers de la nature humaine, de notre monde post-moderniste en crise, de la vie également. Bref, une déception narrative que le style n’a pas sauvé, étant donné les répétitions de chapitre en chapitre, à un tel point que cela en devient un procédé, plutôt qu’un effet. Lisez ou relisez « Fight Club ».
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Berceuse

Une idée glaçante : donner la mort en lisant une simple comptine. Palaniuk vous emmène dans une histoire parfois alambiquée (c'est sa marque de fabrique) mais prenante. Ces personnages sont complexes ni vraiment bon ni vraiment dégueulasses.

Il reste un sacré écrivain, certaines scènes, vous resterons en mémoires.
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Berceuse

C’est chez « Folio policier » et ça commence comme un livre à éviter pour les parents de nouveau-nés, avec un journaliste qui enquête sur un scénario de cauchemar absolu, des morts subites du nourrisson.



Mais, ce que découvre le journaliste est bien plus terrible qu’il ne pouvait l’imaginer. Et si ces morts étaient dues à la simple lecture d’une comptine ancienne ? Et si sa propre fille était morte de cette façon, juste parce qu’il avait voulu lui lire une histoire ? Et si les mots avaient le pouvoir de tuer ? Si en récitant une formule, on pouvait faire taire à jamais ses voisins trop bruyants, ou ce passant malpoli ?



Ouf ! Après un début qui pouvait ressembler à un polar, l’histoire bascule dans un tout autre registre, on se retrouve avec des sorcières et des grimoires pleins de pouvoirs magiques. Le journaliste parcourt le pays avec un couple de végétariens romantiques et une agente immobilière qui vend et revend des maisons hantées. Ça part dans tous les sens, on aura même droit à une vache qui parle ou une madone volante !



Une histoire tantôt morbide, tantôt farfelue, avec des notes d’humour grinçant, mais aussi des éléments de réquisitoire social contre le bruit qui nous envahit, contre la publicité qui nous conditionne et contre la destruction des milieux naturels.



Un mélange de genres un peu déroutant et plutôt destiné aux lecteurs avertis. Un roman qui ne plaira pas beaucoup aux amateurs de polars réalistes !

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Berceuse

Une berceuse pouvant tuer quiquonc l'entend, voilà le spitch de départ de ce roman.



Je n'ai pas trop accroché au style même si l'histoire en elle même m'a bien tenu en haleine. c'est peut être ce qui m'a fait tenir jusqu'au bout. je redonnerai une chance avec "fight club" je n'aime pas laisser un auteur en avis négatif sans être sur.
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Berceuse

Chuck Palahniuk est l'auteur du roman ''Fight Club'' qui a inspiré le film culte du même nom. Il a un style totalement délirant que je n'ai rencontré nulle part ailleurs. Il nous offre ici un roman décidément fantastique, puisqu'il y est question de sorcellerie. Nous vous fiez pas à la classification de Gallimard, ceci n'a rien d'un roman policier à mon sens.



Palahniuk nous embarque dans une histoire remplie d'extravagance et d'invraisemblance qui par ailleurs est des plus divertissante. J'ai trouvé l'épisode de la soirée Wicca à mourir de rire. On ne garde cependant pas le sourire aux lèvres d'un bout à l'autre. Comme toujours dans ses romans (du moins ceux que j'ai lu), nous sommes en présence de personnages torturés dont certains font preuve d'un pessimisme dévastateur et contagieux. Ceux qui ont aimé ''Fight Club'' vont certainement apprécier celui-ci également.



Comme pour mes autres expériences avec Chuck Palahniuk, j'ai été émerveillé par l'imagination débridée qui a donné naissance à une histoire pareille!

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Berceuse

Carl Streator, journaliste traumatisé par le décès de sa femme et de sa fille, enquête sur des morts subites de nourrissons. C'est ainsi qu'il découvre l'existence d'un conte africain, apaisante berceuse qui a le pouvoir de tuer ceux qui l'entendent, mais pas seulement puisqu'il se rend compte qu'il lui suffit de penser à ladite berceuse pour voir une victime s'effondrer morte sous ses yeux. Devenu un involontaire serial killer, le voilà parti pour une véritable odyssée à travers les Etats-Unis dans le but de détruire la page 27 de tous les livres contenant la comptine létale.

L'accompagnent la propriétaire d'une agence immobilière spécialisée dans la vente de maisons hantées, une secrétaire apprentie sorcière, et un copain écolo radical. Ces trois compagnons de route réalisent peu à peu que leur périple les conduit vers le fameux "livre des sorciers", grimoire maudit renfermant l'intégralité des sorts du monde entier. La tentation d'un tel pouvoir pervertit ce qui au départ relevait d'une démarche altruiste pour aider Carl...

On retrouve dans ce roman le style propre à l'auteur, fait de flash-backs, de digressions. Son intrigue lui sert régulièrement de prétexte à de percutantes et sardoniques réflexions sur le caractère matérialiste et superficiel de la société américaine.

C'est à la fois hilarant et terrifiant !
Lien : https://bookin-ingannmic.blo..
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Berceuse

L'idée de départ était excellente mais au fil des pages on perd complètement l'intérêt. Trop de détails inutiles, des transformations de personnages, et une histoire qui ne se tient pas du tout. A éviter.
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Berceuse

Quand on lit Palahniuk une fois on a tout lu (ou presque).



Ses romans se basent essentiellement sur l'effet de surprise et leur structure décalée sauf qu'après la lecture d'initiation et l'effet stylistique évaporé il n'y a pas de substance pour tenir le tout en place.



Monstres Invisibles fut mon premier Palahniuk et je l'avais adoré. Celui ci je l'ai détesté tout autant.

Ca sentait le réchauffé. La société? Foireuse, stupide, aveugle, et autres joyeusetés. On efface et on répète.



Il y avait cette scène dans le livre où Streatore tentait de déguster un hamburger et Oyster se met à l'ennuyer en récitant des chansons sur les OGM, les droits des animaux, etc Eh bien, j'eu la meme experience avec ce livre. Me voici tranquillement en train de profiter d'une bonne lecture et puis Palahniuk vient m'ennuyer avec politique, philosophie, existentialisme à deux sous et bla bla bla .
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Berceuse

Berceuse macabre pour une société à la dérive



Saviez-vous que la poésie pouvait tuer ? Un poème, un simple texte à la puissance inouïe, capable d’arracher la vie en un souffle. C’est dans cette danse macabre que nous invite Chuck Palahniuk avec son roman Berceuse, un hymne cauchemardesque qui résonne comme un cri d’effroi dans la nuit. La trame nous conduit dans un univers où une comptine ancestrale, héritage du peuple Zoulou, devient l’ultime sentence. Dissimulée au sein d’une banale anthologie pour enfants, cette berceuse d’un autre temps trouve des échos lugubres dans notre modernité désenchantée. Un trésor mortel récité innocemment par des générations de parents à leurs progénitures, semant le malheur sans que personne ne s’en doute.



« Les experts de la culture grecque antique disent que disent que les gens à l’époque ne voyaient pas leurs pensées comme leur appartenant en propre. Quand une pensée traversait l’esprit des Grecs de l’antiquité, ils y voyaient un ordre que leur donnait un dieu ou une déesse. Apollon leur disait d’être brave. Athena leur disait de tomber amoureux. Aujourd’hui, les gens entendent une publicité vantant des chips à la crème aigre et ils se précipitent pour les acheter, mais aujourd’hui, ils appellent ça le libre arbitre. Les Grecs de l’antiquité, eux au moins, se montraient honnêtes. »



Carl Streator, journaliste désabusé, se voit confier l’étrange tâche d’investiguer sur le mystérieux syndrome de mort subite du nourrisson. Le voilà plongé dans un monde où la menace ne vient pas d’une maladie, mais d’une mélodie funeste. Une mélodie qui lui rappelle douloureusement sa propre tragédie personnelle, où sa famille a été emportée par ce chant maudit. Aux côtés d’Helen Hoover Boyle, une agent immobilière spécialisée dans les maisons hantées, et de ses compagnons de route, Mona et Oyster, Carl Streator entreprend un voyage macabre à travers le pays pour éradiquer ce poème de la mort. Leur quête les mène à la recherche du grimoire d’où est tirée cette malédiction, offrant un pouvoir démesuré à quiconque le possède.



« Ce bon vieux Georges Orwell a tout compris à l’envers. Big Brother ne surveille pas. Il chante et il danse. Il sort des lapins d’un chapeau. Big Brother est tout entier occupé à attirer votre attention à chaque instant dès que vous êtes éveillé. Il fait en sorte que vous soyez toujours distrait. Il fait en sorte que vous soyez toujours absorbé. Il fait en sorte que votre imagination s’étiole. Jusqu’à ce qu’elle vous devienne aussi utile que votre appendice. »



Dans ce roman à l’humour noir mordant, Palahniuk nous livre une critique cinglante de notre société obsédée par les médias, mettant en lumière nos dépendances malsaines et nos désensibilisations croissantes à la violence qui nous entoure. Une invitation à méditer sur notre relation ambivalente avec un monde médiatique de plus en plus étouffant. Berceuse se révèle être bien plus qu’un simple thriller ; c’est un cri d’alarme face à nos excès, un réveil brutal à la réalité d’un monde hypnotisé par la puissance de la parole. Palahniuk orchestre cette danse macabre avec une maestria sombre, résonnant comme un écho dans nos âmes troublées. À lire, mais surtout à méditer, car la complainte de Berceuse ne risque pas de s’effacer de sitôt de nos mémoires tourmentées.
Lien : https://jecritiquetout.fr/be..
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Berceuse

C'est l'histoire de l'étrange pouvoir de mort d'une berceuse... Un journaliste découvre cette vieille chanson et ses effets et veut s'en débarrasser malgré les conseils d'une étrange femme qui finit par le faire douter. Un scénario prenant, envoûtant, brutal ... Le tout servi par un style particulier avec une pointe d'humour noir.
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Berceuse

Lullaby


Traduction : Freddy Michalsky





Quel drôle de petit roman ! Il part d'une intrigue fantastique : une berceuse qui, chantée à n'importe qui, petit ou grand, a le pouvoir de l'endormir à jamais, pour entraîner son lecteur dans une critique plutôt sombre des Etats-Unis - et, de façon générale, de la société de consommation.


Y croit-on ou pas ? Moi, hélas ! je ne suis pas parvenue à y croire.


A vrai dire, le lecteur est très vite désorienté. A l'origine, il a choisi ce livre parce que l'histoire de la berceuse maléfique et de la quête qui allait s'en suivre le tentait. Mais quand les événements et les personnages partent dans tous les sens, il a beaucoup de mal à se maintenir à leur hauteur.


Pour y parvenir, mieux vaut peut-être considérer ce roman comme un conte, une fable moderne, dont les personnages - Helen, le narrateur, Mona et Oyster, cette espèce de succédané baroque et vicieux du Christ en personne - sont des symboles et non des êtres vivants.


Là où ça achoppe, c'est quand on se demande : "Oui, mais que symbolisent-ils, justement ?"


J'avoue n'avoir pas saisi pleinement où voulait en venir l'auteur. Je le regrette et je ne désespère pas qu'un jour, peut-être ... ;o)
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Berceuse

Extrait : Philosophe des plaies ouvertes, Palahniuk nous égratigne la peau avec des phrases lacérantes comme des rasoirs. Il continue son oeuvre de déconstruction de nos certitudes, de nos convictions judéo-chrétienne. Et ne pas rentrer dans son jeu, ne pas lâcher prise sur le réalisme durant la lecture, c'est prouver qu'il est dans le vrai. Berceuse, au delà de la part fantastique, c'est ce qu'on a du mal à admettre, ce qu'on refuse de valider comme contemporain. Dans tous les cas, Palahniuk a raison.


Lien : http://livrepoche.fr/berceus..
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