Claire Bergeron

Un roman troublant, inspiré d’un fait vécu.
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«J'ai lu ce livre "Quand les femmes étaient des ombres" lors de mon voyage de chasse à l'arc en Afrique. Il était tellement captivant que je me sentais déchirée entre continuer de lire ou de me lever la tête temps de temps en temps pour voir si des animaux approchaient ma cache. Tellement bon que quand mon chum m’annonçait que c'était à mon tour de rester derrière pour qu'il puisse faire une approche finale sur une impala pour minimiser bruits et mouvements, j'y voyais l'opportunité de continuer ma lecture (moi qui adore faire des approches sur animaux et les voir de proches, à environ 20-30 mètres). J'ai tout simplement adoré ce livre, merci!!!!» (Nancy)

Ce livre nous offre une histoire touchante et poignante où l'on prend plaisir à suivre les personnages plus qu'attachants ou détestables selon les cas. J'ai vraiment aimé les personnages, ils semblent tellement humains, tellement "de chair et de sang" plutôt que de "papier et d'encre" que j'ai adoré les suivre et j'ai vibré, ri et pleuré avec eux.

L'écriture de l'auteur nous fait directement plongé dans le livre et il est rapidement dur d'en sortir. Néanmoins, j'ai trouvé que la partie procès était trop caricaturale et j'ai été plus d'une fois exaspéré par l’enchaînement des choses durant cette partie-ci.

Je ne conseille pas particulièrement ce livre car je pense qu'il faut surtout que le résumé vous fasse envie et que le genre vous plaise mais si vous êtes intrigués ou si le résumé vous tente effectivement, n'hésitez pas et prenez ce livre, vous ne le regretterez pas !
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Voici un livre très intéressant et bien écrit de Claire Bergeron. Les rapports entre le curé et l'infirmière de la paroisse de Saint-Mathieu-du-Nord, dans une région reculée du Québec des années 40, période où l'Église avait encore une forte emprise sur la communauté, sont très éloquents.

Le roman nous montre là une confrontation larvée, insidieuse, entre Charles-Eugène Aubert, le curé et Rosalie Lambert, l'infirmière. Tout les deux sont jeunes et arrivent à peu près à la même époque dans une région reculée du Québec.

Le roman commence en 1967, avec la mort de Charles-Eugène, dans le service de l'hôpital où exerce Rosalie, et cela va faire resurgir le passé de cette dernière. L'infirmière va replonger vingt-cinq ans en arrière pour se rappeler les circonstances de sa rencontre avec cet homme à qui elle voue une haine sans limite.

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