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Critiques de Claire Durand-Ruel Snollaerts (13)
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Les Impressionnistes en privé. Cent chefs-d'o..

Un complément indispensable à la suite de la visite de la très belle exposition impressionniste proposée par le musée Marmottan à Paris. Un succés incontestable au vue de la foule déambulant devant les oeuvres, empêchant même parfois de les apprécier à leur juste valeur.

Des tableaux qui appartiennent à des collections privées et que le public a donc peu de chance de revoir dans l'avenir.
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Camille Pissaro - Fenêtre sur la ville

Chez les mêmes éditions des Falaises, Claire Durand-Ruel Snollaerts m'avait déjà conquis avec Les Impressionnistes, loisirs et mondanités l'an passé.

Ce nouvel opus dédié à Pissarro, un des impressionnistes les plus attachants est de la même veine !



Sorti à l'occasion de la belle exposition en cours au musée Marmottan, ce beau petit livre - remarquablement illustré - rappelle le parcours atypique de Camille Pissarro. Alors que ses pairs se ruaient vers les bords de mer, de rivières ou dans les champs pour se rapprocher du motif, lui choisissait délibérément les villes pour parfaire son art naissant.



À Rouen bien entendu, où ses innombrables variations de paysages industriels de bords de Seine forment une série qui, à l'image des cathédrales de Monet, n'a parfois pour seul changement que la lumière. mais quel changement ! Mais aussi à Dieppe, au Havre et enfin à Paris.



Impressionniste des villes, Pissarro magnifie le gris, la brume, les fumées des cheminées d'usines, les rues sombres ou sous la pluie. Moins spectaculaire que les Impressionnistes de la mer, il y gagne pourtant en finesse et subtilité.
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Les Impressionnistes en privé. Cent chefs-d'o..

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La visite de ce charmant ancien hôtel particulier proche du bois de Boulogne est toujours un vrai bonheur. En cette année 2014, le musée Marmottan fêtait ses 80 ans .



Marmottan est un haut lieu de l'impressionnisme. Avec le musée d'Orsay, le musée renferme ce que l'on peut trouver de mieux comme chefs-d'oeuvre de cette peinture de lumière qui chamboula l'art académique à la fin du 19e siècle. Autour du célèbre « Impression, soleil levant », oeuvre de Claude Monet qui donna son nom au mouvement impressionniste, le musée possède le premier fonds mondial de toiles de cet artiste, ainsi que la première collection publique des oeuvres de Berthe Morisot.



A l'occasion de l'anniversaire du musée, cent chefs-d'oeuvre provenant uniquement de collections particulières nous sont présentés dans la nouvelle exposition temporaire « Les impressionnistes en privé » : oeuvres possédées par des propriétaires du monde entier qui ont accepté de s'en séparer, le temps d'une exposition parisienne, pour nous offrir un panorama complet de l'impressionnisme.

La plupart des tableaux présents dans cette exposition, dignes des plus grands musées, sont des oeuvres inédites. Personnellement, je ne les avais jamais vus, même en reproduction.

Les habitués des anciennes soirées du jeudi de la rue de Villejust chez Berthe Morisot, Claude Monet et Auguste Renoir, ses amis proches, sont les artistes qui reviennent le plus souvent dans l'exposition qui comprend évidemment ma petite préférée, Berthe elle-même.

Les oeuvres exposées sont tellement belles que je ne résiste pas à vous montrer celles que j'ai préférées, que l'on retrouve dans le somptueux catalogue édité à cette occasion. Les amoureux de cette peinture de lumière apprécieront.

N'oubliez pas que toutes les oeuvres proviennent de collections privées.



J'aime Camille Corot ; « J'ai vu en rêve des paysages avec des ciels tout roses » En prononçant cette phrase sur son lit de mort, il devait penser à ce paysage « La vachère au bord de l'eau » dont le titre n'est pas évocateur, pourtant quel talent de coloriste dans ce ciel aux teintes délicatement rosées, mauves, transpercées par endroit de trouées bleutés.



« La petite danseuse de 14 ans » d'Edgard Degas. Que dire devant la finesse de cette autre autre version privée de la jeune fille, fondue en bronze ! Degas se donna tout entier dans le modelage de cette petite danseuse inoubliable : « Retracez une figure de danseuse, vous pourrez avec un peu d'adresse, faire illusion un instant, mais vous n'aboutirez, quelque scrupule que vous ayez apporté à votre traduction, qu'à une silhouette sans épaisseur, sans effet de masse, sans volume, et qui manquera de justesse. La vérité, vous ne l'obtiendrez qu'à l'aide du modelage, parce qu'il exerce sur l'artiste une contrainte qui le force à ne rien négliger de ce qui compte ».



Eva Gonzalès, cette femme peintre et modèle d'Edouard Manet décéda trop jeune. Elle possédait le même talent que ses amies Berthe Morisot et Mary Cassatt. Son « Moineau » peint au pastel est charmant. La technique du pastel, beaucoup utilisée par les impressionnistes, leur permettait de transmettre leurs émotions spontanément.



Les nombreuses toiles de Claude Monet présentes dans l'exposition sont peu connues.

En cette année 1870, Claude Monet est heureux. Il ne cesse de peindre sa petite femme Camille avec laquelle il vient de s'unir. Trouville l'inspire. Il aime sa côte normande. Alors, il peint tout ce qu'il voit : mer, voilier, port, et puis le luxueux hôtel face à la mer, calme en cette belle journée : « Sur les planches de Trouville, hôtel des roches noires ».

1874 est l'année de la première exposition du groupe des futurs impressionnistes dont il est le chef. Cette période des années 70 est celle que je préfère dans le travail de Monet : légèreté, vibration des touches fragmentées dans l'eau. Et puis ce ciel où quelques nuages sont suggérés uniquement par des traits nerveux « Voiliers au Petit-Gennevilliers ».

En 1916, Claude Monet vieillissant, dans la même période où il travaillait sur ses « Nymphéas » aujourd'hui exposées au musée de l'Orangerie à Paris, peint des « Hémérocalles au bord de l'eau » : Chatoiement de couleurs bleues, rouges, jaunes, vertes… Un mouvement ondulatoire rythme la surface de l'eau.



Berthe Morisot amène une sensibilité féminine, une touche de charme, de distinction, d'élégance, parmi tous ses amis masculins qui la respectent énormément. Je la considère comme la plus impressionniste des impressionnistes : « Fixer quelque chose de ce qui passe », ambition simple qui éclaire toute son oeuvre.

L'exposition montre un florilège de la remarquable technique de Berthe. Toujours des femmes : « Les lilas à Maurecourt », 1874, toile fraîche, légère comme une aquarelle ; « Jeune femme remettant son patin », 1880, peinte au Bois de Boulogne, parcourues de vibrations colorées. Plusieurs toiles de sa fille Julie qu'elle peignait sans cesse sont également présentes.

« La seule femme peintre qui ait su garder la saveur de l'incomplet et du joliment inachevé » dira Jacques Emile Blanche.



Renoir est certainement le plus grand portraitiste de groupe des peintres impressionnistes. Curieusement, pour une fois, il s'est inspiré d'Ingres pour ce magnifique portrait de jeune fille « Lucie Bérard » au visage ovale très pale, les yeux en amande soulignant l'éclat noir des prunelles, encadré d'une soyeuse chevelure ambrée.



« Dès que je me suis mis à peindre, la peinture a débordé de partout ; j'ai compris alors que mon destin était d'être coloriste et non dessinateur ».

Le chef-d'oeuvre de l'exposition : Un magnifique petit tableau «Jeunes filles au bord de la mer », peint en 1894, est la couverture du catalogue de l'exposition. Renoir est revenu aux lignes évanescentes des années 80 : les coloris du paysage, des figures, et les robes des jeunes filles, se fondent dans un même accord intime à la matière vaporeuse.



De nombreux prêteurs ont acceptés de se séparer de leurs plus belles oeuvres d'art garnissant les murs de leurs appartements. Je n'en ai montré qu'une infime partie. Il ne reste aujourd'hui que le catalogue de l'expo pour se délecter de cette belle leçon d'impressionnisme, nouvelle liberté de peindre pour un groupe de jeunes artistes talentueux qui avaient la lumière pour unique religion.


Lien : http://www.httpsilartetaitco..
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Les Impressionnistes : Loisirs et mondanités

Un recueil plaisant, sur la prédilection exercée par les bords de mer sur les impressionnistes à la fin du XIXe et au début du XXe.



En ligne avec leur époque et cette société avide de loisirs et de bon temps, migrant des côtes de Seine-Maritime (Fécamp, Dieppe, le Havre) vers celles - nouvelles - de Deauville, Trouville et Cabourg, les Impressionnistes retrouvent au bord de la mer et sur les plages, motif (ah, ah) à dépeindre ce pour quoi ils excellent : les atmosphères, les portraits, les postures et traits marquants d'un temps qui n'est plus tout fait l'ancien, et pas encore le nouveau.



Comme dans la plupart des petits livres de cet éditeur, on y crois avec plaisir Boudin, Monet, Manet, Degas, Renoir, mais aussi Dubourg, Morisot, Courbet, Caillebotte et l'exceptionnelle Mary Cassatt.



Un bémol sur le - très court et un peu insipide - texte de Claire Durand-Ruel Snollaerts, qui signe le livre. Une auteure qui vaut mieux que cela et que l'on a connu plus inspirée...
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Camille Pissarro: Patriarche des impression..

J'ai reçu ce Découverte Gallimard grâce à l'opération Masse critique. Je remercie les éditions Gallimard pour leur participation.

Amoureuse de l'art et plus précisément du mouvement impressionniste, ce livre est pour moi un petit bijou. Je connaissais la qualité de cette collection et je n'ai pas été déçue une fois de plus. Qualité présente autant sur la forme que sur le fond. Amateur d'art ou pas, ce livre convient à tous types de public, les explications sont claires et passionnantes : la vie et l’œuvre de Camille Pissarro sont passées au crible et les pages sont bien remplies entre anecdotes et tableaux du peintre. La qualité du papier met bien en valeur les œuvres représentées. Grâce à ce livre, j'ai appris énormément sur le chef de file des impressionnistes. Je conseille ce Découverte à tous ceux qui souhaitent étendre leur culture picturale tout en passant un agréable moment de lecture !
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Un voyage des impressionnistes aux fauves

[Exposition – Paris – 13 septembre 2018 – 10 février 2019 – Musée Marmottan-Monet] – "Collections privées : un voyage des Impressionnistes aux Fauves – Private collections : a journey from the Impressionnists to the Fauves" sous la direction scientifique de Marianne Mathieu – Musée Marmottan-Monet et éditions Hazan, 2018 (ISBN 978-2-7541-1481-3) – relié, format 29x23cm, 181p. – abondamment illustré



Ce catalogue entièrement bilingue français-anglais, comprend :

- une présentation de Patrick de Carolis, directeur du musée

- une introduction "collectionner c'est créer" de Marianne Mathieu

- un "dialogue" qui est une interview de Jean-Jacques Lebel par Hugo Daniel (pp.26-37)

- le catalogue complet de l'exposition (pp. 38-161), avec reproduction des œuvres

- les biographies sommaires des principaux artistes exposés, par Dominique Lobstein (pp. 162-175)

- une bibliographie sélective (pp. 176-178)



Le texte français de chaque article est placé en regard de sa traduction en anglais. L'ouvrage ne comprend pas la liste des œuvres exposées.



L'exposition – et donc le catalogue – réunit des œuvres de Emile Bernard, Pierre Bonnard, Antoine Bourdelle, Gustave Caillebotte, Camille Claudel, Edgar Degas, André Derain, Raoul Dufy, Paul Gauguin, Henri Matisse, Claude Monet, Pablo Picasso, Camille Pissaro, Odilon Redon, Pierre-Auguste Renoir, Auguste Rodin, Georges Seurat, Paul Signac, Henri de Toulouse-Lautrec, Kees van Dongen, Vincent van Gogh, Théo van Rysselberghe, Maurice de Vlaminck, Edouard Vuillard.



Une fois de plus, le musée Marmottan-Monet, lui-même engendré par une de ces grandes familles bourgeoises de la fin du XIXe siècle (tout comme les musées Jacquemart-André, Guimet, Camondo ou Cernuschi) accueille des œuvres provenant très largement de collections privées, donc relativement peu visibles en temps ordinaire.

Les locaux réservés aux expositions temporaires étant relativement limités, les œuvres sont accrochées selon une juxtaposition fort étroite, et il convient donc de choisir un créneau horaire de fréquentation minimale si l'on tient à voir les tableaux.



Je ne suis pas un inconditionnel de ces peintres de la fin du XIXe, qu'il s'agisse des "impressionnistes", des "pointillistes" ou des "fauves". Je veux bien accepter le constat selon lequel ils ont compris comment "montrer la lumière" différemment, mais les sujets retenus en ont beaucoup pâtis : les sempiternelles meules de foin rejoignent les danseuses de Degas, les façades de la cathédrale de Rouen dépourvues de toute spiritualité se joignent aux innombrables femmes à leur toilette de Bonnard (que d'eau, que d'eau), les grands boulevards parisiens montrent l'extérieur de tout ce petit monde bien léché de la bourgeoisie aisée culminant avec les donzelles de P.A. Renoir (illustrant les couvercles de boîtes de chocolat).

Cette peinture a certes renouvelé l'art de peindre, mais en délaissant la profondeur d'expression, on saisit tout de suite le parallèle avec un Debussy...

Au lendemain de la Grande Tuerie 1914-1918, l'Expressionnisme allemand-autrichien à la Schiele, Dix, Nolde etc allait remettre la peinture sur les rails...



Il se trouve que j'ai visité cette exposition pendant que je lisais "Falaise des fous" de Grainville (cf recension), ce qui fut un heureux hasard, l'un illustrant l'autre...

Les éditions Hazan fournissent là – comme d'habitude – un très bel ouvrage d'une grande qualité éditoriale.

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Camille Pissarro: Patriarche des impression..

Ce livre nous raconte la vie dédiée à l’art de ce peintre qu’aucun obstacle n’a empêché de réaliser son œuvre.

A 25 ans il quitte les Antilles danoises pour s’installer définitivement en France afin de devenir peintre. Il s’installe à Paris et croise le chemin notamment de Monet, Sisley ou Degas.

Il participera à l’organisation du salon des refusés et aux 8 autres expositions des impressionnistes.

Pédagogue, on oublie trop souvent qu’il fut le professeur de Gauguin et Cezanne.

Il n’hésite pas à se remettre en question et rejoindra en temps le mouvement des néo-impressionnistes avant de revenir à une technique plus impressionniste qui lui laisse une plus grande liberté.

Amoureux de Normandie, il y vivra longtemps et la peindra à de nombreux de reprises même si à la fin de sa vie il s’intéressera plutôt aux villes notamment Rouen qui le fascine et Paris ;

Claire Durand Ruel Snollaerts nous fait découvrir un homme bon, aux opinions politiques bien trempées qui n’a jamais eu le succès mérité ni la quiétude financière qui l’accompagne.

J’ai tout particulièrement apprécié la section témoignage et documents de la fin du livre. Elle nous en apprend plus sur ses relations avec les autres artistes de son époque.

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Les Impressionnistes en privé. Cent chefs-d'o..

Cent chefs-d'oeuvres impressionnistes de collections particulières réunis dans ce livre bilingue à l'occasion du quatre-vingtième anniversaire du musée Marmottan et de l'expo: les impressionnistes en privée.

Une majorité d'huiles sur toiles,mais aussi des dessins(crayon,fusain), aquarelles,lithographies,pastels,..

On apprend que Oscar Monet adolescent(premier prénom) était déjà doué pour les caricatures,celles de l'Anglais à favoris ou de l'Anglais à moustache sont drôles.

C'est aussi un hommage à tous ces collectionneurs privés qui n'ont pas attendu pour reconnaître le talent de ces peintres :Monet,Renoir,Sisley,Pissaro,Berthe Morisot....

Ce catalogue peut très bien se lire avant d'aller voir l'exposition magnifique.



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Les Impressionnistes en privé. Cent chefs-d'o..

Très beau catalogue de l'exposition portant le même nom au Musée Marmottan Monet en 2014 . Il comprend des essais en français et anglais (Hommage aux collectionneurs/ Peindre pour le marché .L'impressionnisme et les collectionneurs privés) , puis un catalogue des œuvres exposées (108 reproductions avec notice de commentaire) d'abord sur des peintres aux origines de l'impressionnisme ( avec de magnifiques Corot) puis sur l impressionnistes eux-mêmes (mon préféré "Interieur , femme à la fenêtre" de Caillebotte ) et enfin une bibliographie. Bel ouvrage .
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L'atelier en plein air : les impressionnist..

Ce livre retrace une exposition. je n'ai pas pu la voir mais quel bonheur de parcourir le livre.

Celui ci est très intéressant et si je pensais peu apprendre sur des artistes que je connaissais déjà, j'étais dans l'erreur. Le texte est complet et passionnant. les œuvres reproduites sont superbes. Je ne connaissais pas un certain nombre d'entre elles qui sont donc des découvertes. le livre à couverture souple est imprimé avec qualité de même que les illustrations. Un bon livre à poser sur sa table basse et à feuilleter régulièrement.
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Paul Durand-Ruel: Le marchand des impressio..

Une histoire assez classique d'un grand marchand d'art, mais quel marchand ! Et une formidable expo au Luxembourg.
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Camille Pissarro: Patriarche des impression..

J’ai reçu ce livre dans le cadre d’une opération masse critique. J’ai d’abord été déçue par le format : 12,5 x 17,8 sur 127 pages. C’est peu pour un livre consacré à un peintre et quel peintre ! Pissaro, patriarche (à 50 ans quand même) mais surtout prince des impressionnistes.

Est-ce que la collection « Découvertes Gallimard » se prête à ce type de biographie ?

J’ai eu des difficultés à lire ce livre car le texte principal se trouve sur la même page que les légendes accompagnant les photos des œuvres. Il faut naviguer en permanence d’une page à l’autre. De même les dimensions des tableaux ne sont données que dans la table des illustrations entre la muséographie et l’index des œuvres dans les annexes.

Ceci dit ce livre réussit un pari, celui de donner envie d’en savoir plus sur cet illustre peintre qu’était Pissaro et pour cela une bibliographie très riche est donnée dans les annexes.

Je remercie les Editions Gallimard pour leur collaboration avec Babelio.

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Camille Pissarro: Patriarche des impression..

Un très bon livre bien documenté et qui nous fait revivre la vie de Camille Pissarro, un précurseur de l'impressionnisme.



Pour tous les fans et pour ceux qui veulent découvrir ce courant pictural!!!!
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