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Citations de Colin O’Sullivan (45)


Le blues parle de la souffrance. Et les irlandais en connaissent un rayon là-dessus.
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La mémoire est une drôle de chose, elle peut vous jouer des tours , on oublie, si facilement, et tellement de choses peuvent vous revenir à l'esprit bien vivantes, pétillantes.
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Le blues parle de la souffrance. Et les Irlandais en connaissent un rayon là-dessus.
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- Le blues parle de la souffrance. Et les Irlandais en connaissent un rayon là-dessus.
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Honnêtement, les chansons sont assez pourries. Mais c'est bien d'avoir un hobby. C'est mieux que vous deux. Qui passez votre temps à faire du shopping. Et qui dépensez l'argent que vous avez durement gagné.
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Certains soirs elle parvenait à transformer l'histoire en une quête de Tir na nOg avec John qui nageait de plus en plus profond dans le lac pour atteindre la terre qui garantissait de rester jeune à tout jamais.
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Le tigre celtique est bien mort, sa carcasse en putréfaction enlisée dans les tourbières noires. A la place du tigre se trouve un chaton qui miaule, rachitique et nerveux, prêt à défequer.
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ll s’apprête maintenant à le faire en public. Qu’est-ce que ça va donner ? Quelque chose de hurlant et d’exubérant comme Chester Burnett en personne, ou plutôt calme et serein comme The Hook, qui fait des riffs sur une vibration.
Ses mains tremblent. Le micro a l’air sévère et dangereux, une sculpture de Giacometti, maigre et sinitre, à moins que ce ne soit perdue et désolée. À quoi va ressembler la chanson ?
« Bien. Allons-y », dit Tom, enthousiaste, enivré.
Bernard est sur le point de découvrir comment, juste comment tout cela va se passer.
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Quelques gouttes commencent à tomber sur la vitre à présent, doucement d'abord, quelques gouttes de temps en temps, flic floc, puis plus intensément et assurément régulière et vigoureuse, une pluie résolue, que le vent ne tarde pas à accompagner, lentement au départ, un murmure pour commencer, pas plus fort que le doux hululement d'un bébé chouette, mais bientôt, c'est bel et bien une chouette.
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C'est le gros intérêt de vivre seul : le bazar que tu mets, c'est ton bazar. Tu ramasses quand tu es fin prêt à le faire. Personne ne regarde par-dessus ton épaule l'air consterné, personne ne te secoue pour te dire de faire les choses, et plus vite que ça. ( p 73 )
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Il voit un lien entre la maladie de la pomme de terre en Irlande qui a donné lieu à l’atroce famine, la catastrophe des inondations du Mississippi et l’assaut insidieux du charançon des pommiers. Il a lu des trucs là-dessus. Toutes ces heures passées dans sa chambre lui ont rempli la tête de telles correspondances. Il entend la joie dans ces chansons, pas la morosité, il y voit une spiritualité qu’il ne trouve nulle part ailleurs, pas à l’église, pas dans les jacasseries des prêtres. Le blues contient tout à ses yeux.
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Mais en réalité, la trahison est pareille à un de ces poissons qui vit dans la boue et ratisse le sol dans les profondeurs troubles, il reste là, n’a pas besoin de lumière, se contente de remuer au fond, dans l’obscurité, en refusant de s’en aller.
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Le Tigre celtique est bien mort, sa carcasse en putréfaction enlisée dans les tourbières noires. A la place du tigre se trouve un chaton qui miaule, rachitique et nerveux, prêt à déféquer.
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Dans sa tête, il est Clint Eastwood, le fanfaron, celui qui plisse les yeux face au soleil dans le western spaghetti. Mais pour tous les autres sur le terrain, c’est juste un trou du cul.
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Noyé, il flotte parmi les débris et les poissons, les yeux et la bouche grands ouverts, comme frappé d’horreur par sa vie.
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Mon Dieu, c’est déprimant. On devrait se marier. Les filles avec qui j’étais à l’école ont des gosses de sept ans. Moi, j’ai juste des rhumes. Des rhumes et mes règles. Tout ça une fois par mois.
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C'est donc ça que les femmes sont censées faire ? S'accrocher, comme on s'accroche à un cheval de rodéo, même quand il rue pour se libérer, s'accrocher même quand il vous traîne dans la saleté.
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Il est rare que quelqu'un chante ses louanges, autant qu'il les chante lui-même.
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Ne pars pas plein d'espoir, comme ça, tout ne sera que meilleur. Tu ne sera pas déçu.
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Deux hommes le rouent de coups. Ils le cognent, le battent, le boxent. Le grand ricane tout en frappant, il rit en frappant du pied. Le plus petit n‘arrête ce flot de torture que pour surveiller les alentours ; il fait noir dans l’allée près du pub, mais tout de même, n’importe qui pourrait y jeter un œil et voir Bernard Dunphy au sol en train de se faire rosser, bourrer, cogner. » 1er paragraphe
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