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Citations de Cora Carmack (90)


Certains hommes appartiennent-ils à une espèce différente ? Une espèce dont l'ADN les rend meilleurs que d'autres ?
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Ayant 14 ans j'ai beaucoup aimée et la fin ma fais sourire me rappelant celle de ''toute résistance est inutile'' .
J'ai bien aimée le pitche si bien classique fonctionne toujours aussi bien
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J’allais être lamentable…Plus lamentable que je ne l’avais jamais été. Si lamentable qu’il ne voudrait plus jamais me revoir (or je voulais vraiment le revoir). Et l’expérience allait se montrer si désastreuse tellement traumatisante que je ne voudrais plus jamais la tenter ; toutes mes relations futures allaient échouer et je finirais vieille fille aigrie et malheureuse, avec neufs chats et un furet.
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On devrait vivre comme on fume : en aspirant le présent pour exhaler le passé.
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Raccrocher était si agréable que j’ai failli la rappeler pour avoir le plaisir de recommencer.
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- Cade Winston, en buvant ce verre, tu t'engages solennellement à dégoter ce soir le numéro de téléphone d'une fille. Si tu échoues, que les dieux de l'ivrese t'infligent la plus faible tolérance à l'alcool qu'aucun homme n'aura jamais connue, une tolérance si faible que même un bébé anorexique pourrait te faire rouler sous la table.
J'ai éclaté de rire et pris mon verre.
- Ca éxiste pas, les bébés anorexiques.
- Qu'est-ce que tu en sais? Je suis sûr qu'ils détestent qu'on leur pincent le gras des fesses en se félicitant de leur mine rebondie. De quoi développer de sérieux troubles alimentaires, tu peux me croire.
J'ai vidé ma tequila, juste pour lui clouer le bec, puis j'ai admis:
- Un numéro de téléphone, c'est dans mes cordes.
Il a souris et rempli mon verre.
- Si tu m'annonces que la malédiction suivante est l'herpès, je te préviens, j'arrête tout de suite.
Il m'a tendu mon verre en riant.
- Détends-toi, Winston, ce genre d'ennui ne dépend que de toi et de ton haricot géant!
C'était malin. Maintenant, je ne pourrais plus jamais raconter l'histoire de Jack aux gosses dont je m'occupais sans chopeer un fou rire.
- J'espère que tu n'auras pas d'enfants avant longtemps, Milo.
- Qui te dit que je n'en ai pas déjà semé quelques-uns?
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Les doigts de Garrick m'ont effleuré la joue, créant un véritble séisme sur leur passage. Je n'ai pas bougé; je ne faisais rien de mal. Mais si je soulevais les paupières, si je voyais son sublime visage, ses lèvres sensuelles, j'étais sûre de franchir une limite complètement, radicalement interdite.
- Bliss...
Ce n'était qu'un murmure, un souffle sur mes lèvres, juste avant qu'il ne s'en empare.
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j'avais annoncé à mes parents que je partais en Europe afin de découvrir le monde et de mûrir (de toute façon, j'aurais pu dire n'importe quoi, mon père avait décroché dès la première phrase ; autrement dit, il n'avait pas entendu les suivantes, celles où je lui expliquais que j'allais aussi dépenser tout son fric et le contrarier au maximum). J'avais raconté à mes professeurs que j'allais multiplier les expériences dans le but de devenir meilleure actrice. Et j'avais dit à mes amis que j'allais tout simplement faire la fête.
La vérité relevait un peu des trois...A moins qu'elle n'eût aucun rapport.
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C'était la première fois qu'une fille me giflait. Et j'étais certainement le seul prétendant au monde, fictif ou pas, à être giflé par sa promise pour avoir plu à ses parents.
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- D'abord, a-t-elle repris, c'est un bar très sympa. Ensuite, et surtout, c'est un bar que les hommes apprécient. Et comme nous apprécions les hommes, c'est un bar que nous apprécions.
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« qu’on devrait vivre comme on fume : en aspirant le présent pour exhaler le passé »
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Les auberges de jeunesse peuvent être conçues pour que les gens se rencontrent, elles sont les pires endroits de solitude au monde. Tout y est provisoire, les occupants, les relations, l'eau chaude. Et moi, j'étais comme le reste, en suspension, nulle part.
Je me faisais l'effet d'une graine abandonnée essayant désespérément de germer dans le béton.
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Elle me faisait penser aux nymphes qui peuplent les pièces de Shakespeare. Elle m'offrait aussi, libre et d'une beauté presque surnaturelle, le tableau le plus érotique que j'aie jamais vu. J'étais sûr de ne jamais l'oublier et je n'allais plus tenir très longtemps.
Ses mains sont revenues sur mon torse, ses ongles m'ont éraflé, et j'ai bondi vers elle. Elle a jeté la tête en arrière et, en même temps que son cri, mon univers s'est désintégré avec le sien.
Elle est retombée sur moi, le regard voilé. Je l'ai serré dans mes bras, et, tandis que les derniers frissons de plaisirs nous traversaient, je mes suis assis sans la lâcher.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés enlacés, front contre front, les yeux dans les yeux. Quelques secondes, des heures ou des années, tout ce que je sais, c'est que je n'avais plus envie de bouger. Nos corps s'emboîtaient parfaitement comme deux morceaux de puzzles. Comme deux moitiés d'un tout enfin réuni.
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- Il t'arrive de ne plus te supporter, Golden Boy ?
- Parfois, oui. Et toi ?
Son honnêteté me donnait envie de me confier, moi aussi.
Inspirer.
Expirer.
- Oui, tout le temps.
Nous avons continué de marcher en silence, et, bizarrement, c'était confortable. Je regardais les façades des immeubles, les trottoirs inégaux, les lumières dans les appartements... Je connaissais bien ce chemin, c'était pourtant la première fois que je faisais attention à ce qui m'entourait.
C'était surprenant.
- Tu crois que tout le monde est comme ça, ai-je repris, ou c'est nous qui avons un problème ?
Il n'a pas répondu tout de suite.
- Personne n'en parle, mais je crois que tout le monde est comme ça, même les gens heureux. C'est dur de vivre, et plus le temps passe, moins c'est facile. Alors on s'arrête, on ferme les yeux, on va faire un jogging, ou on prend une longue douche. Ca permet d'oublier qui on est, ce qu'on doit faire tous les jours.
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" On dit que la tristesse se nourrit d'elle même, et les jours qui suivent, elle s'empiffre, et je ne la contrarie pas." -Dallas-
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J'ai passé trop de temps à faire semblant, trop de temps à l'écart, trop de temps à me sentir dénuée du moindre courage. Cette fois, je vais me battre pour ce que je veux.
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- Je ne peux pas te laisser tomber parce que je ne le veux pas, reprend-il. Il y a des milliers de choses que je veux faire, et qu’il faut que je fasse, mais tu les éclipses toutes. Tu m’obsèdes. Je veux me perdre en toi. Je veux que tu aies confiance en moi.
Ses lèvres glissent sur mon cou, sensuellement, avant de déposer un baiser sous mon oreille.
- C’est la réponse que tu voulais ? poursuit-il. Ou bien je t’ai effrayée et tu veux partir ?
- Tu m’as complètement effrayée.
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Parce que parfois dans la vie, vous avez juste à rester là et ne rien faire. Accablé par toutes les versions de nous-mêmes qui existent dans nos esprits-ce que nous voulons être, qui nous devrions être, qui nous ne sommes pas, et qui nous sommes-ce est une jungle qui peut piéger vos pieds et confondre vos yeux. Mais parfois, si vous restez immobile, toutes ces choses vont revenir à sa place comme une bande de caoutchouc. Et si vous pouvez passer la piqûre, vous pouvez continuer à avancer, pas tout à fait ensemble, mais maintenus ensemble pour le moment.
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Comme mon père aime à le répéter, désormais, on apprend tellement de ses erreurs ! Même à être heureux… 
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— Ça tu peux le dire ! Je ne t’ai pas élevée comme ça.
Ma première réaction est de piquer une crise et de lui jeter à la figure qu’« élever » n’est pas le terme que j’emploierais… Mais je parviens à refouler ma rancœur, et pas seulement parce que je crains d’aller trop loin. En fait, s’il m’engueule, c’est parce qu’il ne sait pas quoi faire d’autre.
Je le sais parce que je fais pareil. Preuve qu’il m’a bel et bien élevée. 
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